Najat admet qu’elle est un « modèle positif » et souhaite « donner une bonne image de la justice. » Son mari Jaoid enchaîne : « C’est une battante. Humble, avec ça. Qui assume sa marocanité, mais se sent ici chez elle, comme nous tous. » Soufian, son petit frère, 16 ans, élève en foot-école ne dit rien d’autre : « Najat, elle donne envie de faire des études».
Source : lesoir.be