La 3ème édition du festival international de la danse se tiendra, du 29 septembre au 3 octobre à Fès, sous le signe « murmure du corps ».
Initiée par l’association « Babylon Cult-Art », cette manifestation artistique vise à partager le plaisir de l’œil avec tous les passionnés de danse, issus de différentes cultures, et découvrir avec d’autres l’art de l’écriture corporelle.
A travers un bouquet de danses traditionnelles et modernes, le festival est, selon ses initiateurs, une « fenêtre ouverte sur le monde de la danse permettant de redécouvrir la richesse et la créativité des danses nationales et internationales, lesquelles contribuent à approcher les peuples du monde par le biais du langage du corps muni d’une potentialité expressive sans pair « .
La programmation de cette année a été élaborée de façon à montrer comment la danse chorégraphique peut, dans sa singularité même, continuer d’être le terreau des valeurs tolérantes universelles.
Les festivaliers effectueront, cinq jours durant, un voyage à travers des spectacles de danse, des expositions de peinture et de photo, des ateliers de danse et des tables-rondes sur « l’écoute du corps », ainsi qu’un hommage à la célèbre chorégraphe allemande Pina Bausch.
Le somptueux complexe culturel « Al-Houria » sera, à cette occasion, le théâtre où troupes nationales, espagnoles, françaises, belges et anglaises présenteront des performances chorégraphiques mariant la magie du geste à l’intensité des sensations.
Des professeurs et chorégraphes de renom animeront, pour leur part, des ateliers et cours de danse et d’expression corporelle, destinés à un public, jeune soit-il ou moins jeune.
Pour le directeur du festival, Aziz El Hakim, cette édition » opte pour la noblesse du geste, en offrant au public un menu varié de danses traditionnelles et modernes et en rassemblant des chorégraphies riches par leurs thèmes et leurs styles « .
« Le festival reste fidèle à son principal objectif tracé depuis sa création, à savoir l’établissement d’un dialogue artistique et culturel entre toutes les formes de communications vouées aux valeurs de la tolérance et de la cœxistence », dit-il.
MAP
Initiée par l’association « Babylon Cult-Art », cette manifestation artistique vise à partager le plaisir de l’œil avec tous les passionnés de danse, issus de différentes cultures, et découvrir avec d’autres l’art de l’écriture corporelle.
A travers un bouquet de danses traditionnelles et modernes, le festival est, selon ses initiateurs, une « fenêtre ouverte sur le monde de la danse permettant de redécouvrir la richesse et la créativité des danses nationales et internationales, lesquelles contribuent à approcher les peuples du monde par le biais du langage du corps muni d’une potentialité expressive sans pair « .
La programmation de cette année a été élaborée de façon à montrer comment la danse chorégraphique peut, dans sa singularité même, continuer d’être le terreau des valeurs tolérantes universelles.
Les festivaliers effectueront, cinq jours durant, un voyage à travers des spectacles de danse, des expositions de peinture et de photo, des ateliers de danse et des tables-rondes sur « l’écoute du corps », ainsi qu’un hommage à la célèbre chorégraphe allemande Pina Bausch.
Le somptueux complexe culturel « Al-Houria » sera, à cette occasion, le théâtre où troupes nationales, espagnoles, françaises, belges et anglaises présenteront des performances chorégraphiques mariant la magie du geste à l’intensité des sensations.
Des professeurs et chorégraphes de renom animeront, pour leur part, des ateliers et cours de danse et d’expression corporelle, destinés à un public, jeune soit-il ou moins jeune.
Pour le directeur du festival, Aziz El Hakim, cette édition » opte pour la noblesse du geste, en offrant au public un menu varié de danses traditionnelles et modernes et en rassemblant des chorégraphies riches par leurs thèmes et leurs styles « .
« Le festival reste fidèle à son principal objectif tracé depuis sa création, à savoir l’établissement d’un dialogue artistique et culturel entre toutes les formes de communications vouées aux valeurs de la tolérance et de la cœxistence », dit-il.
MAP