L’Union des Femmes investisseurs arabes, qui organise ce congrès par le biais de sa Représentation au Maroc, espère étudier une nouvelle stratégie de développement de l’investissement au féminin lors des travaux de cette rencontre qui vise notamment à examiner la situation économique dans le monde arabe à la lumière de la crise économique et financière mondiale, a-t-on souligné dans un communiqué parvenu vendredi à la MAP.
Ce congrès a pour objectifs l’élaboration de solutions alternatives, l’identification de nouvelles opportunités d’investissement et la mise en place de plans pour le renforcement de l’investissement au féminin, considéré comme facteur porteur de solutions alternatives, a-t-on précisé de même source.
Il devrait également présenter des perspectives aptes à attirer de nouveaux capitaux dans la région, élaborer des mécanismes permettant de créer et relier les réseaux de solidarité, de coordination, d’échanges professionnels et de stimuler les acteurs économiques et financiers à l’échelle nationale, régionale et internationale pour prendre des mesures spéciales en faveur du développement et de l’encouragement de l’entreprenariat et de l’investissement.
Outre les représentants des pays arabes membres de l’Union, plusieurs personnalités du monde arabe et des responsables d’organisations internationales prendront part à ce forum. Fondée en décembre 2004 au Caire, l’Union des Femmes investisseurs arabes exerce ses activités sous l’égide du Conseil de l’Union économique arabe.
Seize pays arabes sont actuellement membres de l’Union, à savoir la Jordanie, l’Etat des Emirats arabes unis, le Bahreïn, la Tunisie, l’Algérie, l’Arabie saoudite, le Soudan, la Syrie, le Qatar, le Koweït, le Liban, la Libye, l’Irak, le Yémen, le Maroc et l’Egypte.
MAP