« Il n’y a pas de procédure d’expulsion » visant ces deux anciens combattants marocains, âgés de 76 et 77 ans, qui doivent être relogés de façon définitive d’ici la fin de l’année, a affirmé Elizabeth Touton, maire-adjointe (UMP) de Bordeaux en charge du logement et présidente de la société InCité.
« Un rendez-vous avait été fixé pour lundi. Ils ont souhaité rentrer chez eux dès aujourd’hui (samedi), ils y sont », a-t-elle dit lors d’un point de presse.
Selon l’élue, les deux locataires, les derniers d’un immeuble qui doit être réhabilité, ont été relogés jeudi dans un hôtel meublé après avoir fait état de leur crainte en raison de la présence d’un squatteur dans le bâtiment. Une porte blindée a depuis été installée.
AFP