3 ouvrages :
{tab Morceaux de choix: Les amours d’un apprenti boucher}
Fiche technique
- Titre: Morceaux de choix Les amours d’un apprenti boucher
- Auteur(s): Mohamed Nedali
- Editeur: Le Fennec
- Catégorie: Œuvres littéraires
- Date d’édition: 2003
- ISBN: 9954-415-10-6
Morceaux de choix est un roman d’apprentissage et peut-être plus profondément d’initiation.
Thami, un jeune homme de bonne famille, issu d’une prestigieuse lignée de adel, brave l’ire paternelle et la représentation familiale pour embrasser la seule profession qui comble son cœur et ses sens. Il devient apprenti-boucher. Dans une langue truculente, Mohamed Nedali nous livre les émois de son jeune héros.
{tab Grâce à Jean de la Fontaine !}
Fiche technique
- Titre: Grâce à Jean de la Fontaine
- Auteur(s): Mohamed Nedali
- Editeur: Le Fennec
- Catégorie: Œuvres littéraires
- Date d’édition: 2003
- ISBN: 9954-415-32-7
Ainsi s’ouvre le dernier roman de Mohamed Nedali. Outre le narrateur, nous y ferons la connaissance de Aziz qui appartient au clan des N’Chaïtyyas (noceurs), opposé à celui des Sloughis (gens du cru), opposé à celui des Frérots-toutes-tendances.
Les protagonistes de cette fresque devront s’affronter sous les beaux yeux de Malika Tazi, qui par deux fois, changera le cours du destin du narrateur, mais surtout ceux de Louhou, tellement énigmatiques ! Mêlant le monde rural, trop souvent méconnu, et le pouvoir urbain omniprésent, Mohamed Nedali signe ici, son deuxième roman truculent et plein d’humour.
{tab Le bonheur des moineaux}
Fiche technique
- Titre: Le bonheur des moineaux
- Auteur(s): Mohamed Nedali
- Editeur: Le Fennec
- Date d’édition: 2008
- ISBN: 9954-415-70-X
Omar, part à la recherche de sa « légende personnelle ». Commençant son périple par un petit village perdu dans les hauteurs de Marrakech, cet homme a plein d’idées pour réussir ? Omar est philosophe.
Mais que faire quand les liens de la pauvreté empêchent l’épanouissement individuel ? Un livre marquant, un témoignage contemporain de ce qu’est la vie là-bas, dans des bourgades dont nous, « citadins », ne soupçonnons même pas l’existence.
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