Dans cette interview, journaliste et doctorante spécialisée dans le cinéma d’immigration au Maroc Mounira Leghzal explore les concepts d’auto-représentation et de « troisième voie » dans le cinéma, en s’appuyant sur des œuvres de pionniers du cinéma et des oeuvres plus récentes comme « Moi, capitaine » de Matteo Garrone ou « L’Homme qui a vendu sa peau » de Kaouther Ben Hania.
Mounira Lourhzal est journaliste et doctorante. Cinéphile et passionnée des droits humains, d’Histoire et de littérature, sa thèse porte sur le cinéma d’immigration
au Maroc. Suite à une formation en journalisme, communication et cinéma documentaire, son parcours s’est étoffé d’expériences professionnelles avec des chaînes marocaines dirigées vers une audience internationale.