Barack Obama recevra "dans les prochains jours" à la Maison Blanche l'universitaire noir et le policier blanc de Cambridge (Massachusetts, nord-est) au centre d'une querelle raciale aux Etats-Unis, a déclaré dimanche le porte-parole de M. Obama, Robert Gibbs.
"On veut en tirer une leçon et créer une meilleure communication et un dialogue entre les communautés et la police", a dit M. Gibbs sur la chaîne de télévision Fox.
"Nous espérons que bientôt le professeur (Henry Louis) Gates et le sergent (James) Crowley viendront s'asseoir à la Maison Blanche et parler de ces problèmes et prendre une bière avec le président", a indiqué M. Gibbs, rappelant l'invitation lancée par M. Obama lui-même vendredi.
M. Gibbs a précisé que cela se ferait "dans les prochains jours".
M. Obama fait face depuis mercredi à la première controverse raciale de sa présidence après avoir qualifié lors d'une conférence de presse de "stupide" l'arrestation d'un de ses amis, un universitaire noir, par la police.
"Ses propos ont contribué inutilement à jeter de l'huile sur le feu", a reconnu M. Gibbs.
Barack Obama a regretté publiquement le choix de ses mots vendredi, au moment où la polémique enflait dangereusement.
"Je crois vraiment qu'il regrette la formulation qu'il a employée", a déclaré dimanche sur CNN le principal conseiller du président américain, David Axelrod.
"Ce qui est important maintenant, c'est que sa déclaration (concernant le choix de ses mots) a eu un effet très positif", a-t-il ajouté, soulignant que cela ouvrait la voie à une "discussion sur comment améliorer les relations entre la police et les populations".
AFP
"On veut en tirer une leçon et créer une meilleure communication et un dialogue entre les communautés et la police", a dit M. Gibbs sur la chaîne de télévision Fox.
"Nous espérons que bientôt le professeur (Henry Louis) Gates et le sergent (James) Crowley viendront s'asseoir à la Maison Blanche et parler de ces problèmes et prendre une bière avec le président", a indiqué M. Gibbs, rappelant l'invitation lancée par M. Obama lui-même vendredi.
M. Gibbs a précisé que cela se ferait "dans les prochains jours".
M. Obama fait face depuis mercredi à la première controverse raciale de sa présidence après avoir qualifié lors d'une conférence de presse de "stupide" l'arrestation d'un de ses amis, un universitaire noir, par la police.
"Ses propos ont contribué inutilement à jeter de l'huile sur le feu", a reconnu M. Gibbs.
Barack Obama a regretté publiquement le choix de ses mots vendredi, au moment où la polémique enflait dangereusement.
"Je crois vraiment qu'il regrette la formulation qu'il a employée", a déclaré dimanche sur CNN le principal conseiller du président américain, David Axelrod.
"Ce qui est important maintenant, c'est que sa déclaration (concernant le choix de ses mots) a eu un effet très positif", a-t-il ajouté, soulignant que cela ouvrait la voie à une "discussion sur comment améliorer les relations entre la police et les populations".
AFP