Exil amer est un recueil de quatre nouvelles, chacune mettant en scène des personnages exilés ayant la France pour dénominateur commun. On trouve des histoires d'immigrés souffrant de leur exil mais également du poids des jours, des circonstances et des pensées. On découvre, ainsi, l'histoire de Malika, la jeune marocaine exilée en France, celle de…Suite
L’interprète et compositrice marocaine, Saïda Fikri, se met au service de la promotion de son pays. À travers sa fondation, elle organise une manifestation multiculturelle sous le nom « Beautiful Morocco Festival», le 23 juin 2012…Suite
Les Marocains critiquent souvent le Code des nationalités des pays européens qui durcissent leurs procédures de naturalisation. Pourtant, il est notoire que la nationalité marocaine est l'une des plus difficiles à obtenir. Petit tour d'horizon
Le phénomène des migrations a toujours constitué une préoccupation majeure pour nombre d'acteurs associatifs dans le sud marocain. A cet effet, de nombreuses initiatives ont meublé le paysage scientifique, culturel et social régional et, partant, à l'échelon national…Suite
La ville de Lincoln, chef-lieu du comté de Lincolnshire (est de l'Angleterre), s'est vêtue des couleurs nationales du Maroc, à l'occasion d'une semaine de l'artisanat marocain, inaugurée mercredi en présence des autorités locales de la ville et de responsables et professionnels du secteur de l'artisanat national.
Plus de 40 tentes ont été dressées au long de l'avenue Corn Hill, haut lieu de shopping et cÂœur battant de la ville, offrant aux visiteurs l'opportunité de découvrir toute la richesse du patrimoine culturel et la diversité des produits de l'artisanat marocain.
En cette occasion, hautement saluée par les responsables de la ville, l'avenue Corn Hill, en particulier le Guild Hall, imposant édifice abritant le siège de la mairie, a été orné de drapeaux marocains.
C'est la première fois que les responsables de la ville ont pris l'initiative de hisser le drapeau d'un pays étranger sur cette emblématique bâtisse du comté de Lincolnshire.
"Il s'agit d'un geste hautement symbolique, qui témoigne de l'amitié entre le Maroc et le Royaume-Uni", a indiqué Mme Karen Lee, Maire de Lincoln, qui s'est réjouie d'avoir contribué à l'organisation d'un événement qui s'annonce déjà réussi.
En effet, une forte affluence a été enregistrée lors de cette première journée de ce véritable festival de l'artisanat marocain. Des centaines de visiteurs sont venus admirer la splendeur des produits exposés allant du cuir, au bois en passant par la poterie, le costume traditionnel, le tapis dans toutes ses variétés propres à chaque région du Royaume et les produits de décoration (bougies, miroirs et meubles).
Des maitres artisans ont fait le déplacement à Lincoln pour exposer in-situ un savoir-faire légué de père en fils à travers les générations et les siècles. L'événement, qui célèbre avant tout le génie de ces maitres-artisans qui ont su perpétuer un art noble, contribuera à coup sûr au raffermissement des liens d'amitié et de coopération entre le Maroc et la Grande-Bretagne, a dit Mme Lee.
La responsable a mis en exergue l'important rôle que la culture peut jouer pour promouvoir les valeurs d'amitié et de compréhension entre les peuples en particulier en ce temps marqué par des clivages d'ordre idéologique.
En effet, au-delà de son aspect commercial, la semaine marocaine se veut, comme l'a affirmé M. Abdellah Adnani, directeur général de la Maison de l'Artisan, un espace de rencontre et de partage.
Il s'agit de valeurs que le Maroc, grâce à sa vocation connue et reconnue de terre d'accueil et de rencontres, symbolise par excellence, s'accorde, Mme Melanie Tointon, haut responsable civil de la ville de Lincoln.
Plusieurs autres personnalités et opérateurs économiques se sont succédés, lors d'une réception organisée à cette occasion, pour saluer la tenue de la semaine de l'artisanat marocain dans cette ancienne ville anglaise, notant que la splendeur des produits exposés reflète une civilisation millénaire dont le rayonnement dépasse les frontières nationales pour conquérir des marchés, mais surtout des cÂœurs, dans d'autres contrées du monde.
Avec une histoire de plus de 2.000 ans, Lincoln est l'une des plus anciennes villes d'Angleterre. Initialement baptisée Lindon avant d'adopter son appellation actuelle après la conquête anglo-saxonne au cinquième siècle, Lincoln abrite une population de plus de 500.000 âmes.
Durant la dernière décennie, la ville a connu un important essor économique principalement en raison des grands projets d'infrastructure et d'investissement lancés dans le comté de Lincolnshire.
Jadis considérée parmi les villes typiquement anglaises, Lincoln est devenue de plus en plus cosmopolite suite à l'arrivée de vagues successives d'immigrés durant les dernières années, en particulier en provenance de l'Europe de l'est. (MAP). AO---BI AK
17 mai 2012, Abdelghani Aouifia
Source : MAP
Une délégation des conseillers de coopération de l'Union européenne et de ses Etats membres ont visité, mardi, des projets soutenus par la coopération européenne au niveau de la province de Nador.
Le déplacement de cette délégation à Nador s'inscrit dans le cadre d'une tournée dans l'Oriental qui vise à montrer "l'engagement de l'UE vis-à-vis du Royaume dans des secteurs de coopération et de développement prioritaires à travers toutes les régions".
La délégation a suivi, à cette occasion, un exposé sur le projet "Migration et développement économique dans la région de l'Oriental (Mideo)", réalisé par l'Agence de coopération allemande qui vise essentiellement à améliorer la compétitivité du tissu économique de la région.
Le projet, achevé l'année dernière et repris par l'Agence de l'Oriental, avait pour objectif de contribuer à l'amélioration du climat des affaires dans l'Oriental en ciblant l'ensemble des acteurs impliqués dans la promotion économique régionale et dans l'accompagnement des petites et moyennes entreprises (PME), notamment le Centre régional d'investissement (CRI), la Chambre de commerce et d'industrie, ainsi que les différents prestataires de services, les entrepreneurs, les PME et les Marocains résidant en Europe.
Plusieurs diagnostics ont été réalisés pour déterminer le degré de compétitivité et les points forts et faibles de certains secteurs-clés au niveau de la région, notamment l'écotourisme, l'agriculture et la filière matériaux de construction. Les résultats de ces études ont été présentés et partagés avec l'ensemble des acteurs locaux (privés et publics).
La délégation a, par la suite, visité le Centre Baraka pour la formation réalisée dans le cadre de la coopération espagnole. Créé en 2009, ce Centre vise l'intégration socioprofessionnelle des jeunes en difficulté et dispense des formations dans plusieurs spécialités (cuisine, pâtisserie, informatique, soutien scolaire, plomberie).
Les diplomates européens, notamment des conseillers et chargés de mission aux ambassades des pays membres de l'UE, se sont rendus également au Centre de protection de l'enfance de l'Entraide nationale, également créé grâce à l'appui espagnol.
17 mai 2012
Source : MAP
La 9ème édition du grand salon de l'immobilier marocain "SMAP Immo" s'ouvre jeudi à Paris avec la participation d'une centaine d'exposants de toutes les régions du Maroc, présents avec une offre qui se veut "diversifiée et complète" pour tous ceux qui souhaitent investir dans un projet immobilier dans le Royaume.
Troisième étape du SMAP ROAD SHOW 2012 après celles de Bruxelles et d'Amsterdam, avant de se poursuivre à Milan et Abu Dhabi, cet événement, organisé par SMAP GROUP avec le soutien du ministère marocain de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la politique de la Ville, "répond à un besoin spécifique et avéré: offrir une réponse complète et adéquate à toute personne intéressée par un investissement immobilier au Maroc", assurent ses initiateurs.
Ils tablent sur plus de 50.000 visiteurs pour cette édition, invités à découvrir, quatre jours durant, la richesse de cette offre, déployée sur une surface de 15.000 m2 au Parc des Expositions-Porte de Versailles, allant du "confort" à "l'excellence" pour répondre de façon appropriée aux différents besoins d'investissement.
En s'adressant tant aux Marocains Résidant à l'Etranger (MRE) de générations et de catégories socioprofessionnelles diverses, qu'aux Européens toujours plus nombreux à venir, l'édition 2011 avait attiré quelque 45.300 visiteurs dont "un grand nombre envisageaient un achat soit dans l'immédiat soit au plus tard dans le courant de l'année".
Elle a notamment permis à près de 9.000 investisseurs français de "concrétiser leur désir d'investissement au Maroc".
L'édition 2012 s'enrichit d'un nouvel espace de conférences, proposant pour la première fois des ateliers "Workshop" sur le financement immobilier et les opportunités d'investissement dans différentes villes du Maroc, en complément des conférences juridiques animés quotidiennement par des notaires marocains.
Le SMAP IMMO Paris a su s'imposer, en neuf ans d'existence, comme "le premier Salon de l'immobilier marocain en Europe", à la faveur de sa plateforme d'investissement permettant de faire rencontrer "dans un seul et même lieu, l'offre et la demande", expliquent les organisateurs.
"Aujourd'hui, grâce à l'expertise et la notoriété du SMAP IMMO Paris, le salon bénéficie d'une confiance renouvelée de la part des principaux opérateurs immobiliers mais également du secteur bancaire représenté par une dizaine d'établissements dont quatre français", assurent-ils.
Après l'étape de Paris, le SMAP IMMO devrait se poursuivre à Milan, du 8 au 10 juin, puis à Abu Dhabi, du 6 au 8 décembre. L'an dernier, le SMAP ROAD SHOW, qui comprend également les étapes Bruxelles et Amsterdam, a totalisé 215.000 visiteurs sur ses cinq salons.
17 mai 2012
Source :MAP
Des croix gammées orange et des inscriptions qui n’ont pas été décodées à ce stade de l’enquête ont été peintes dans la nuit de mercredi à jeudi à l’entrée d’une salle de prière musulmane à Draguignan (Var), a-t-on appris de sources concordantes.
«Des croix gammées et deux inscriptions F.A et F.A.R ont été découvertes devant une salle de prière», a déclaré à l’AFP la procureure de Draguignan, Danielle Drouy-Ayral.
Selon la même source, «aucune revendication» n’a été faite.
«Nous n’avons pas de piste mais immédiatement une enquête a été ouverte par le commissariat de police de Draguignan», a ajouté la magistrate, précisant qu’«en l’état, aucune plainte n’avait été déposée».
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a, dans un communiqué, «condamné avec la plus grande fermeté la profanation de la mosquée de Draguignan par des inscriptions nazies».
Des actes anti-musulmans récurrents
«Cet acte intervient après la profanation de tombes musulmanes à Carros (Alpes-Maritimes, NDLR) le 29 avril et l’agression de deux personnes âgées, alors qu’elles se rendaient à une mosquée d’Amiens (Somme, NDLR), le 5 mai dernier», écrit le président du CFCM, Mohammed Moussaoui.
Tout en exprimant son soutien «aux responsables et sa solidarité avec l’ensemble des musulmans de Draguignan fortement indignés par cet acte xénophobe», il exhorte «les musulmans de France à la vigilance et à la sérénité face à la multiplication de ces actes de provocation lâches et méprisables».
Le CFCM appelle par ailleurs «les pouvoirs publics à mobiliser tous les services concernés pour identifier au plus vite les auteurs de ces actes et les déférer devant la justice».
17/5/2012
Source : : Libération/AFP
L'immigration reste à l'Intérieur, au moins jusqu'aux législatives
Le ministère de l’Intérieur garde pour l’instant la haute main sur la politique de l’immigration, une réforme emblématique du mandat de Nicolas Sarkozy dénoncée en son temps par les socialistes et les ONG de défense des étrangers qui espèrent un changement après les législatives en juin.
«L’immigration reste à l’Intérieur», a indiqué à l’AFP l’entourage du nouveau ministre Manuel Valls, adepte d’une gauche moderne et décomplexée, d’origine catalane et naturalisé français à 20 ans.
Lorsque la politique de l’immigration est entrée complètement Place Beauvau à la suite d’un remaniement du gouvernement de François Fillon en novembre 2009, le PS s’en était indigné. Au même titre que les associations.
En rattachant l’Immigration à l’Intérieur, le gouvernement «fait un lien entre immigration et insécurité», avait alors dénoncé auprès de l’AFP la députée Sandrine Mazetier, spécialiste de la question qui n’a pas souhaité réagir jeudi.
Les associations regrettent cette décision
«On aurait pu imaginer une rupture avec cette réforme symbolique de Nicolas Sarkozy mais ce n’est pas le cas», remarquait jeudi Stéphane Maugendre, président du Groupe d’information et de soutien des travailleurs immigrés (Gisti). «On constate que la conception policière (de l’immigration) reste imprimée dans ce choix» de François Hollande, ajoutait-il.
«Le compte n’y est pas», a regretté France Terre d’Asile (FTA) qui a salué la victoire du socialiste le 6 mai. Son président, Pierre Henry, se dit désormais «dans une position d’attente jusqu’aux élections législatives».
«Pas d’impatience, attendons les législatives», a insisté M. Henry, estimant qu’«une rupture symbolique doit s’opérer» avec la conception de Nicolas Sarkozy car «les questions de l’asile et de l’intégration ne peuvent pas relever de la logique de sécurité».
Autre association de défense des étrangers, la Cimade avait appelé juste après la victoire de M. Hollande à une rupture avec «l’approche sécuritaire» de son prédécesseur. Le «premier signe» en serait, selon elle, «de sortir la question de l’immigration de l’Intérieur».
«La gauche doit être très claire»
Au début de son quinquennat, Nicolas Sarkozy avait instauré un «ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire» qui avait été fortement critiqué à cause de l’association «immigration» et «identité nationale».
Jusqu’à cette date, la politique de l’immigration relevait de plusieurs ministères: Affaires étrangères, Emploi et Affaires sociales et Intérieur.
Le maintien de l’immigration dans le giron de Beauvau «ne doit pas être détaché de la nomination de Manuel Valls», incarnation de la droite du PS, a analysé M. Maugendre.
Portée au coeur de la campagne électorale par Nicolas Sarkozy qui a tenté de séduire les électeurs de l’extrême droite, l’immigration a révélé un malaise au sein du PS, partagé entre ceux qui souhaitent «plus de fermeté» et ceux qui «veulent plus d’humanité» vis-à-vis des étrangers.
Son candidat, accusé de «flou», a fini par dévoiler une doctrine démentant le laxisme dont il était soupçonné par la droite. Il s’est prononcé pour le «contrôle des flux» et contre les «régularisations massives», promettant que les étrangers non régularisés «ont vocation à être reconduits» dans leur pays d’origine.
Cette position a été exprimée sans ambiguïté par Manuel Valls quand, il y a un an, son prédécesseur a expulsé des centaines de Tunisiens arrivés en France après la chute du dictateur Ben Ali.
«Les migrants qui sont en situation irrégulière n’ont pas vocation à rester sur le sol français. Je pense que la gauche doit être très claire sur cette question», avait approuvé M. Valls.
17/5/2012
Source : Libération/AFP
Entre 2007 et 2011, la Russie se classe à la cinquième place des pays présentant le solde migratoire le plus élevé. Avec une différence entre les personnes ayant quitté le pays et celles qui sont arrivées de plus de 1,1 million de personnes.
Après l'éclatement soviétique
Les anciens habitants de la Russie ou leur descendants, qui s'étaient installés dans d'autres républiques de l'URSS et qui reviennent aujourd'hui sont une source d'immigration pour le pays. Entre 1989 et 2007, ce "rapatriement" représentait environ 80 % des flux migratoires vers la Russie selon l'Ifri, Institut français des relations internationales. La Russie connaît aussi l'immigration économique des pays pauvres, dont également les anciennes républiques soviétiques. A ces immigrés s'ajoutent aujourd'hui ceux d'Asie du Sud-est et du Proche-Orient.
Source : L’Internaute actualités
Dans le cadre de la célébration du cinquantième anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Canada et le Maroc et pour fêter le dixième anniversaire de sa création, le Groupe Atlas Media organise, le dimanche 20 mai 2012, un colloque sur le thème : Migration, citoyenneté et participation.
Cet événement verra le concours d’éminent(e)s chercheur(e)s canadien(ne)s et maghrébin(e)s et personnalités politiques fédérales, provinciales et municipales, et seront recherchées des débuts de réponses à des questions telles que : La masse démographique critique que représente la communauté maghrébine profite-t-elle réellement à la société de vie? Son influence est-elle perceptible dans la vie publique? Produit-elle des restitutions utiles à la société d’origine?...Suite
le port de Sète vient de renoncer à ses créances en faveur des marins dans l'affaire des trois bateaux de la Comanav-Comarit, immobilisés depuis plus de quatre mois dans le port de cette ville française. La décision a été prise, dans le cadre d'une assemblée générale extraordinaire tenue le 14 mai dernier, à l'unanimité…Suite
Il est onze heures à Bab Marrakech. Salamalecs, blagues et causeries rendent l’ambiance joviale. C’est dans un endroit florissant de couleurs, fourni en objets d’art, produits alimentaires et cosmétiques que des immigrants subsahariens, généralement d’origine sénégalaise, tiennent boutique. Le petit «souk», bien garni, donne des airs de Dakar, la capitale sénégalaise.
Cet été, la communauté musulmane d'Autriche fêtera le centenaire de la loi du 15 juillet 1912 qui a fait de l'Islam, à l'instar du Catholicisme, du Protestantisme et du Judaïsme, une religion d'Etat.
Ce fait, unique en Europe a une histoire, un contexte socio-politique et des spécificités.
En 1908, l'Empire Austro-hongrois annexe la Bosnie Herzégovine qu'il occupait depuis 1878. Cette annexion apporte à la communauté nationale Austro-hongroise, depuis longtemps familiarisée avec la diversité par les nombreuses nations qui la composent, les langues qui y sont parlées et les religions que l'on y pratique, une forte communauté musulmane dont la loi du 15 juillet reconnait à la fois les spécificités mais aussi son appartenance pleine et entière à l'Empire.
Aujourd'hui, dans le paysage national d'une Autriche ayant perdu avec la première guerre mondiale, sa monarchie et son empire, l'Islam est la seconde religion du pays (6 pc), loin derrière le Catholicisme (près de 90 pc), mais avant le protestantisme (5 pc) et le Judaïsme, peu représenté puisqu'il ne compte au total que huit à douze mille âmes, 65.000 ayant disparu du fait du nazisme et 120.000 s'étant exilés depuis 1945.
L'essentiel des Musulmans d'Autriche, en dehors des reliquats de l'empire et des quelques Autrichiens convertis, est issu de l'immigration récente. La majorité des immigrés musulmans ou des musulmans d'origine étrangère vient de Turquie et constitue la plus forte communauté étrangère vivant en Autriche toutes origines et religions confondues. On trouve également beaucoup d'Egyptiens qui arrivent en tête des ressortissants arabes, suivis des Tunisiens et des Algériens. Les Marocains quant à eux, sont entre 1.500 et 2.000 ressortissants.
La loi de 1912, soucieuse de la cohésion nationale, invoque pour les communautés religieuses nouvellement admises l'assujettissement aux lois générales de l'Etat. Celui-ci reconnait aux différentes communautés religieuses composant la nation le droit de vivre en harmonie tant avec leurs convictions qu'avec la société nationale. Il leur reconnait aussi celui de dispenser une éducation religieuse aux enfants qui en sont issus. L'Etat prend en charge les émoluments des maîtres des enseignements religieux dont les cours sont intégrés dans les programmes scolaires publics et privés.
Par ailleurs, un citoyen musulman peut faire des dons financiers à la mosquée et, dans certaines limites prévues par la loi, déduire ces dons de ses impôts.
A fait unique, conception unique
La conception de la religion en Autriche envisage la foi de chacun comme une conviction propre qui participe à la coexistence pacifique des différentes communautés religieuses et culturelles qui composent la mosaïque nationale et "contribue à la prospérité générale du pays."
Notons également que Vienne, comme d'autres grandes villes du pays contient de nombreuses écoles privées musulmanes et que la grande mosquée de la ville, construite en 1978 grâce à une importante contribution financière saoudienne, est classée parmi les 70 plus belles mosquées du monde.
L'histoire de l'Islam en Autriche retiendra le nom de Leopold Weiss, dit Mohamed Asad, le plus illustre des Musulmans du pays.
Né en 1900, descendant d'une longue et grande lignée rabbinique, Leopold Weiss était un homme politique et un journaliste autrichien, longtemps correspondant du Frankfurter Zeitung au Moyen Orient qu'il visite dès l'âge de 22 ans (Syrie, Irak, Iran, Palestine etc...). C'est grâce à des discussions avec des intellectuels des pays visités que Leopold Weiss découvre l'Islam et se convertit, traduit le Coran en Allemand et devient en quelques années l'un des érudits de l'Islam les plus connus de son époque.
17 mai 2012
Source : MAP
La justice italienne a ouvert une enquête pour détournement de fonds publics à l'encontre d'Umberto Bossi qui, après avoir été le leader incontesté de la Ligue du Nord (droite), a du renoncer à son leadership pour se contenter d'un poste honorifique en attendant la tenue du congrès du parti.
Le scandale qui secoue ce parti autonomiste, populiste et anti-immigrés avait éclaté en janvier dernier suite à des révélations sur l'utilisation, à des fins privées, par Bossi et certains de ses proches, de l'argent que la Ligue du Nord a obtenu comme remboursement de frais électoraux.
Jusqu'alors, la Ligue du nord, dont Bossi est le principal fondateur, se présentait comme le défenseur des intérêts de milliers de petits entrepreneurs du Nord de l'Italie et le porte-voix de la lutte anti-corruption face au pouvoir central de Rome.
La Ligue du Nord avait été le principal allié du Parti du peuple de la liberté (PDL) de Silvio Berlusconi au sein de la coalition gouvernementale de centre-droit à laquelle a succédé, en novembre dernier, le gouvernement de technocrates présidé par Mario Monti.
Selon des écoutes téléphoniques et des témoignages cités par les médias depuis des semaines, Bossi et certains de ses proches, dont son épouse, auraient puisé dans les caisses pour financer des dépenses privées: rénovation de maisons, fonctionnement d'une école, location de voitures de luxe et même soins dentaires.
L'enquête ouverte contre Bossi pointe également du doigt ses deux fils, Riccardo et Renzo, soupçonnés d'"appropriation illicite" pour avoir utilisé l'argent du parti pour leurs besoins personnels.
L'ex-trésorier du parti, Francesco Belsito, est visé aussi par cette enquête, ainsi qu'un sénateur de la Ligue du Nord, Piergiorgio Stiffoni.
En attendant les conclusions de l'enquête, des têtes ont commencé à tomber au sein du parti, fondé en décembre 1989, avec notamment les démissions de Francesco Belsito et Renzo Bossi, qui était conseiller régional, ou l'expulsion de Rosy Mauro, vice-présidente du Sénat.
Pour sa part, Bossi a dû démissionner en avril de la direction opérationnelle du parti qui devrait échoir au terme du congrès, prévu fin juin, à l'ex-ministre de l'Intérieur, Roberto Maroni.
16 mai 2012
Source : MAP
Une carte de séjour pour tous les étrangers sera exigée pour vivre en Mauritanie à compter du 1er juin afin de mieux lutter contre le "terrorisme" et "le crime organisé", a appris mercredi l'AFP de source officielle.
Le ministère des Affaires étrangères "a officiellement écrit aux représentations internationales présentes" en Mauritanie "pour les informer de cette mesure qui s'impose désormais dans le cadre de la sécurisation du pays face au terrorisme et au crime organisé" a précisé cette source.
La lettre, dont l'AFP a obtenu copie, affirme que les étrangers "ont été sensibilisés sur cette question par le biais des représentants des colonies étrangères" en Mauritanie et qu'un bureau spécial a été ouvert à cet effet dans un commissariat de la capitale Nouakchott.
Les étrangers doivent désormais fournir des dossiers comportant un passeport en cours de validité pour obtenir une carte de séjour, sauf pour les "immigrés privilégiés" que sont les ressortissants de pays voisins - Sénégal, Mali et Gambie - qui n'auront besoin de présenter qu'une carte d'identité pour l'obtenir.
Le ministère a averti que la nouvelle mesure, qui s'inscrit dans le "cadre du contrôle du flux migratoire", concernait "l'ensemble des étrangers, adultes et enfants, vivant sur le sol mauritanien, sans exception".
Cette mesure avait été évoquée mi-avril avec les autorités mauritaniennes par le ministre sénégalais des Affaires étrangères Alioune Badara Cissé, lors d'une visite à Nouakchott. Il avait déclaré que "ces opérations de sécurisation" du pays permettaient
à la Mauritanie "non seulement la protection de son espace mais aussi de tout l'espace ouest-africain et même africain".
16 mai 2012
Source : AFP
Quelque 22.643 immigrés clandestins arrivés en Italie par voie maritime, principalement de Libye et de Tunisie, ont été rapatriés entre avril 2011 et avril 2012, a annoncé mercredi la ministre italienne de l'Intérieur, Anna Maria Cancellieri.
Ces immigrés clandestins ont été expulsés dans leur pays par la police des frontières "dans le respect des règles internationales", a souligné la ministre, qui s'exprimait lors d'une séance au Sénat italien.
La ministre italienne a affirmé que "quelque 1.056 immigrés en provenance de Libye et de Tunisie sont arrivés sur les côtes italiennes depuis le début de l'année 2012, à l'issue de "23 opérations de débarquement", estimant ce nombre nettement en deçà des afflux massifs enregistrés à la même période l'an dernier, lors des émeutes dans ce pays.
"L'attention du gouvernement continue à rester élevée et l'engagement est constant dans la recherche d'instruments efficaces de lutte contre l'immigration illégale", a-t-elle indiqué.
Dans le même temps, à Cagliari, en Sardaigne, où s'est ouvert un séminaire réunissant des ONG issue des deux rives de la Méditerranée, sur l'immigration et les réfugiés, un intervenant italien, cité dans les médias, a mis en garde contre une nouvelle vague migratoire sur les côtes italiennes de Libye, où la situation politique restait "instable".
"Par milliers, et aidés par le beau temps, ils sont prêts à rejoindre l'Italie. Le pays doit se préparent à faire face à une vague migratoire en provenance de l'Afrique du Nord'', a dit Oliviero Forti, chef du Bureau de l'immigration de l'ONG Caritas-Italie, à cette occasion.
"Le gouvernement de transition en Libye ne peut pas gérer les migrations", a-t-il affirmé, appelant à cet égard, les autorités italiennes à faciliter l'accueil de ces personnes issues surtout d'Afrique sub-saharienne.
Le 3 avril dernier, lors d'une visite à Tripoli, la ministre italienne de l'Intérieur avait fait part de la disponibilité de l'Italie à apporter son aide à la Libye "dans sa lutte contre l'immigration clandestine".
16 mai 2012
Source : APS
Gestion des flux migratoires, droit de vote des étrangers ou régularisation des sans papiers, la question sensible de l’immigration s'impose à François Hollande dès le début de son quinquennat. De nombreuses associations de défense des droits des étrangers attendent des mesures urgentes pour mettre un terme à la politique du chiffre et à l'approche sécuritaire de l'immigration. Le nouveau président s'est déjà engagé sur plusieurs points.
Accorder le droit de vote aux étrangers non communautaires aux élections locales est la mesure phare annoncée pour ce début de mandat. Son application est très attendue, même si les étrangers ne pourront pas être élus maire ou adjoint au maire.
Autre signal fort : la fin des contrôles abusifs et au faciès qui touchent les minorités dites visibles. François Hollande a promis un décret pour rapidement mettre un terme à cette pratique.
Très attendue aussi, l'abrogation de la fameuse circulaire Guéant du 31 mai sur les étudiants étrangers. Ces derniers ne seront plus expulsés à la fin de leur cursus s'ils ont une promesse d'embauche. Le nouveau chef de l'Etat souhaite cependant limiter l'immigration économique, en fixant le nombre d'étrangers à accueillir à travers un débat annuel au Parlement.
François Hollande s'est enfin engagé à supprimer le placement d'enfants dans les centres de rétention, sans pour autant promettre de régularisations massives de sans papiers. Le nouveau président l'a répété au cours de la campagne, les clandestins présents sur le territoire auront toujours vocation à être reconduits à la frontière.
16/5/2012, AFP/Bertrand Guay
Source : RFI
Si tout relevait de la propriété privée, l’acceptation et l’invitation ou le rejet de personnes ne poseraient aucun problème, mais sur ces questions la situation ne change pas même si l’utilisation de la voie publique ne relève pas du privé. Le respect de toutes les personnes et le châtiment des délinquants est essentiel, en totale indépendance du lieu de naissance des personnes.
On annonce une prochaine décision de la Cour suprême de justice des États-Unis à propos de la loi Arizona SD 1070 selon laquelle une personne pourrait être appréhendée et éventuellement détenue si la police ou son équivalent avait un « soupçon raisonnable » [sic] que son statut migratoire ne cadrait pas avec les autorisations qu’exigent les normes en vigueur. Sarkozy, qui vient d’être battu, a déclaré sans complexes lors de sa campagne électorale qu’ « il y avait trop d’étrangers en France », en Autriche l’hystérie progresse contre les étrangers et Chávez insiste avec son antisémitisme (mon cher ami Carlos Alberto Montaner prédit que le gouvernement chaviste ne sera pas étudié dans les cours de science politique mais dans ceux de criminologie). Il ne s’agit là que de quelques exemples, mais sur base de ces bordées de haine, nous allons analyser le sujet d’une manière plus générale et applicable à tous les pays et circonstances.
D’entrée, nous disons que l’expression « immigration illégale » constitue une offense aux principes élémentaires de la société ouverte (pour recourir à un terme popperien). Ils sont loin ces temps où la xénophobie et les étatismes n’étaient pas présents de manière incommode et écrasante. A. J. P. Taylor nous rappelle dans son History of England 1914-1945 qu’ « à partir d’août 1914, un Anglais éduqué et respectueux des lois pouvait passer sa vie sans pratiquement noter l’existence de l’État, au-delà du courrier et de la police. Il pouvait vivre sa vie où il le voulait et de la manière qu’il désirait. Il n’avait aucun numéro officiel de carte d’identité. Il pouvait voyager à l’extérieur sans passeport ni aucun permis officiel. Il pouvait changer sa monnaie pour n’importe laquelle sans restrictions ou limites. Il pouvait acheter des biens de n’importe quel pays dans le monde de la même manière qu’il pouvait le faire dans son pays. Par ailleurs, un étranger pouvait passer sa vie dans ce pays [Angleterre] sans permis et sans informer la police [...] L’Anglais payait des impôts à une modeste échelle, moins de 8% du revenu national. »
Dans le contexte migratoire – afin de dissiper l’argument fallacieux selon lequel le travailleur étranger pourrait déplacer le local –, il convient d’abord de clarifier le fait que si les arrangements contractuels sont libres, il n’existe pas de chose comme le chômage involontaire. Comme on le sait, les ressources sont limitées et les besoins illimités. Le facteur travail est la ressource par excellence, puisqu’il n’est pas possible de prester un service ou de produire un bien sans le concours du travail intellectuel et manuel. Peu importe la quantité de travail disponible, jamais elle ne pourra satisfaire la croissante demande de biens et de services (s’il n’en était pas ainsi, nous vivrions dans un pays de Cocagne et il n’y aurait besoin d’aucun travail puisqu’il y aurait tout pour tous tout le temps). Le chômage que nous observons est toujours dû au blocage des contrats volontaires au travers des fameuses « conquêtes sociales » qui prétendent fixer les salaires au-dessus de ce que permettent actuellement les taux de capitalisation qui sont l’unique cause de l’amélioration des revenus (c’est là la différence sur ce point entre le niveau de vie de l’Ouganda et de celui du Canada). Dans cette situation, la seule façon de trouver du travail, c’est de travailler au noir pour éviter l’imposition légale qui expulse les gens du marché du travail. Le peintre en bâtiment de La Paz qui déménage à Houston gagne cinq fois plus, non pas grâce à la générosité de l’entrepreneur texan mais parce qu’il n’y a pas d’autre voie que de payer des salaires élevés à cause des taux de capitalisation existants. C’est là la raison pour laquelle dans certains pays on ne peut engager personne comme domestique, non pas parce que la maîtresse de maison n’aimerait pas pouvoir compter sur un tel appui logistique, mais parce que c’est trop cher. D’un autre côté, le moyen de compter sur des salaires élevés consiste à disposer de cadres institutionnels civilisés.
Bien entendu, de même manière que dans le libre échange de biens, il se peut que certains salaires diminuent selon les circonstances à cause de la concurrence, mais la meilleure utilisation du capital et la plus grande productivité élèvent conjointement les taux de capitalisation, ce qui poussent à la hausse tous les salaires et revenus.
On a dit que les immigrants représentent un coût additionnel au fisc (c’est-à-dire au contribuable) dû au fait qu’ils recourent aux services du dénommé « État providence » (santé, éducation, etc.) En réalité, il s’agit là d’un problème de l’ « État providence » (une contradiction dans les termes, puisque que faire le bien se réalise avec ses ressources propres et volontairement) et non pas un problème que causerait l’immigration. De toutes manières, pour que cela ne serve pas de prétexte pour éliminer ou limiter l’immigration, on doit insister sur le fait que les immigrants devraient être écartés de l’usage de ce type de services mais, naturellement, ces derniers ne devrait pas être obligés d’apporter leurs contributions pour les maintenir, devenant ainsi des personnes libres comme beaucoup de citoyens aimeraient l’être et non se voir obligés de financer des services chers, déficitaires et de mauvaise qualité.
On a également soutenu que l’immigration « contaminerait » la culture locale et affecterait l’« identité » du pays d’accueil, comme si la culture était quelque chose de statique et incrustée dans la personne et non pas quelque chose de dynamique et changeante tous les jours par l’incorporation de nouvelles connaissances et de perspectives variées. Personne n’est obligé d’incorporer les pensées et les habitudes qui ne nous apparaissent pas attirantes, ce dont il s’agit, c’est d’ouvrir les horizons de part en part et rejeter les cultures barbelées propres des troglodytes. En définitive, toutes les cultures sont un permanent échange de prêts et de dons. À ce niveau de la discussion, on a insisté sur la « préservation de la langue native » comme s’il s’agissait d’un trophée inamovible et non pas inséré dans un processus de changement permanent (qui fait qu’il est impossible de comprendre l’anglais ou le castillan anciens).
Il ne s’agit pas de soutenir que tous les immigrants seraient d’excellentes personnes, il y a les mauvais, les passables et les bons comme dans n’importe quel groupe humain (en fin de compte, excepté quelques Africains, nous sommes tous des descendants d’émigrants ou d’immigrants de première génération puisque l’origine de l’Homme se situe en Afrique), mais dans ses études Julian Simon vise les moyennes en ce qui concerne les motivations des immigrants pour abandonner leurs terres et l’observation de leurs comportements dans leurs nouvelles destinations. Dans ce sens, il a présenté plusieurs travaux de fond sur l’immigration, mais se détachent, pour leurs très illustratives séries statistiques et leur solide argumentation, son livre The Economic Consequences of Immigration et son essai « Are there Grounds for Limiting Immigration? » Dans un article de journal, il n’est pas possible de reproduire la documentation substantielle et les tableaux respectifs mais nous pouvons mentionner rapidement ses conclusions, qui balaient la propagande nationaliste et qui sont successivement : a) les immigrants sont plus disposés à réaliser des tâches que les natifs n’acceptent pas ; b) ils sont plus flexibles dans le déplacement vers d’autres lieux ; c) ils ont moins d’enfants à cause de l’insécurité et des situations pressantes qu’ils ont connues dans leur pays d’origine ; d) ils ont une plus grande tendance à épargner ; e) ils fournissent de bonnes performances non seulement dans leur travail, mais aussi dans leurs études : f) dû à leur âge, ils ont un état de santé très satisfaisant ; et g) ils manifestent leurs aptitudes pour affronter de nouvelles entreprises.
Évidemment, il faut interdire d’entrer dans le pays d’accueil ceux qui ont des antécédents criminels ou qui représentent un danger pour les droits des tiers, mais cela n’est pas dirigé contre l’immigration mais contre toute personne native ou non qui se comporte d’une manière délictueuse. Par ailleurs, on a prétendu argumenter en disant que la liberté migratoire pouvait changer les idées qui prévalaient dans le pays hôte sans percevoir que, de nouveau, le problème n’est pas les étrangers ou les natifs mais de soutenir les principes de la société ouverte avec la rigueur nécessaire, ce qui, de nombreuses fois, ne s’accorde pas avec les absurdes systèmes socialistes dans des pays qui prétendent faire partie du monde libre, systèmes qui représentent un risque manifeste pour le futur (comme le révèle, par exemple, aux États-Unis, Thomas Sowell dans Inside American Education).
C’est pourquoi c’est un spectacle honteux que ce mur de 1.500 kilomètres à la frontière américaine avec le Mexique (dont, d’un autre côté, les immigrants se déplacent également via la frontière canadienne et les aéroports) et ces restrictions imposées en Europe et sous d’autres latitudes. Si tout relevait de la propriété privée, l’acceptation et l’invitation ou le rejet de personnes ne poseraient aucun problème, mais sur ces questions la situation ne change pas même si l’utilisation de la voie publique ne relève pas du privé. En résumé, le respect de toutes les personnes et le châtiment des délinquants est essentiel, en totale indépendance du lieu de naissance des personnes.
17/5/2012, Alberto Benegas Lynch (Professeur associé au Cato Institute et président de la sections de Sciences économiques de l’Académie nationale des sciences d’Argentine)
Source : Contrepoints
Le Mouvement Desjardins (www.desjardins.com) présentera la toute première édition du Salon de l'immigration et de l'intégration au Québec qui aura lieu au Palais des congrès de Montréal, les 18 et 19 mai prochains. Ce Salon, qui s'adresse aux nouveaux arrivants, réunira pour la première fois les principaux acteurs de l'immigration au Québec, en emploi et formation, en services commerciaux et en services d'aide aux immigrants, et proposera aussi une zone dédiée aux opportunités en région.
Au cœur du Salon, le kiosque Desjardins regroupera, entre autres, des professionnels du secteur Ressources humaines, de Desjardins Sécurité financière, de la Fondation Desjardins, de Développement international Desjardins, ainsi que des experts en finances personnelles du Carrefour Desjardins, tous disponibles pour répondre aux questions des visiteurs et leur donner de précieux conseils. Deux représentants du Carrefour donneront une conférence sur l'accès à l'immobilier pour les nouveaux arrivants, le vendredi 18 mai à 16 h 30.
« Desjardins, qui se classe parmi les dix meilleures entreprises au Canada pour lesquelles travailler, souhaite faciliter l'arrivée des nouveaux arrivants. Que ce soit au chapitre des finances personnelles, de l'accès à l'immobilier, ou des possibilités d'emploi, les experts de Desjardins coopèrent pour offrir un service sur mesure aux nouveaux arrivants », de déclarer M. Sylvain Trottier, directeur du Carrefour Desjardins.
À propos du Mouvement Desjardins
Avec un actif de 196,4 milliards de dollars, le Mouvement Desjardins www.desjardins.com est le premier groupe financier coopératif du Canada. S'appuyant sur la force de son réseau de caisses au Québec et en Ontario, ainsi que sur l'apport de ses filiales dont plusieurs sont actives à l'échelle canadienne, il offre toute la gamme des produits et services financiers à ses 5,6 millions de membres et clients. Le Mouvement Desjardins, c'est aussi le regroupement d'expertises en Gestion du patrimoine et Assurance de personnes, en Assurance de dommages, en Services aux particuliers ainsi qu'en Services aux entreprises. L'un des plus importants employeurs au pays et classé parmi les 100 meilleurs employeurs au Canada en 2012MC, il mise sur la compétence de ses 44 645 employés et l'engagement de près de 5 400 dirigeants élus. Desjardins offre un programme en éducation et coopération à l'intention de ses membres et du grand public. Pour en savoir plus, visitez le site www.desjardins.com/coopmoi.
16 mai 2012
Source : CNW Telbec
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