La première conférence des journalistes marocains du monde aura lieu, du 4 au 6 février à El Jadida, à l'initiative du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger et l'Instance chargée du "Dialogue national Médias et Société", annonce lundi un communiqué conjoint.
Cette rencontre inédite devrait regrouper près de 180 journalistes et professionnels opérant dans le secteur des médias dans 18 pays à savoir l'Afghanistan, l'Allemagne, la Belgique, le Brésil, le Canada, le Danemark, les Emirats Arabes Unis, l'Espagne, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Iran, l'Italie, le Liban, les Pays-Bas, le Qatar, la Russie et le Soudan.
De nombreux journalistes du Maroc et des membres de l'Instance chargée du "Dialogue national Médias et Société" prennent part également à cette rencontre qui fait suite aux échanges que l'Instance a eues, en avril dernier, avec un certain nombre de professionnels marocains émigrés, ainsi qu'à l'audition du CCME par ladite instance, souligne le communiqué.
Ces discussions ont notamment confirmé la place grandissante de la question migratoire dans les médias nationaux et internationaux et les enjeux que la couverture de cette problématique soulève, l'émergence de nombreux médias communautaires de tous types, l'accroissement du nombre de professionnels marocains des médias travaillant à l'étranger, leur intérêt soutenu pour l'évolution du champ des médias au Maroc et, dans plusieurs cas, leur désir d'investir dans ce champ.
Organisée à la veille de la publication du livre blanc issu du débat national, cette première conférence des journalistes marocains du monde constituera une occasion privilégiée de continuer ces échanges. Elle sera notamment l'occasion de présenter deux études inédites réalisées par le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger.
La première porte sur le traitement de la problématique migratoire par la presse écrite marocaine durant le premier trimestre 2010 et la seconde, réalisée sur la base d'un questionnaire adressé aux journalistes marocains du monde, porte sur les attentes et les aspirations de ces journalistes.
Outre des débats en plénière sur les deux études précitées, le programme de la conférence prévoit des échanges en ateliers sur "Quelle contribution des journalistes marocains du monde au développement du secteur des médias au Maroc?" et "Médias communautaires marocains et programmes spécifiques dans les pays de résidence : Dynamiques et enjeux", indique le même document.
Les participants se pencheront également sur "Le traitement de l'immigration par les médias nationaux publics et privés" et "Les professionnels marocains dans les médias internationaux: situations et défis".
31/01/11
Source : MAP
Plusieurs associations et médecins se sont inquiétés lundi du projet de loi sur l'immigration examiné mardi par le Sénat, qui pourrait restreindre la possibilité de droit au séjour pour les personnes sans papiers lorsqu'elles sont atteintes de pathologies graves.
Le Sénat doit examiner mardi le projet de loi relatif à l'immigration adopté par l'Assemblée nationale.
Le texte initial prévoyait dans son article 17ter de restreindre le droit au séjour pour raisons médicales, qui permet aux étrangers résidant en France et atteints d'une pathologie grave (cancer, diabète, VIH, hépatites, troubles psychiatriques, etc.), de bénéficier d'un titre de séjour et d'une prise en charge médicale, lorsqu'ils "ne peuvent effectivement bénéficier d'un traitement approprié dans leur pays d'origine".
Un amendement déposé par le gouvernement proposait de remplacer la condition de "non-accès effectif au traitement approprié" par une "indisponibilité du traitement approprié" dans le pays d'origine, un terme beaucoup plus flou et "sujet à caution", qu'ont dénoncé la sénatrice Alima Boumedienne-Thiery (Europe Ecologie-Les Verts) et l'Observatoire du droit à la santé des étrangers (ODSE), lors d'une conférence de presse organisée au Sénat.
La commission des lois du Sénat a supprimé cet amendement, s'est félicité le sénateur PS Richard Young, mais "un nouvel amendement similaire a été déposé par le sénateur UMP Louis Nègre", a déploré Adeline Toullier, de l'association Aides.
La disponibilité d'un traitement dans un pays ne garantit pas qu'un patient malade puisse y avoir accès, a souligné le professeur Willy Rozenbaum, président du Conseil national du Sida (CNS), rappelant qu'"aujourd'hui, tous les traitements existent dans tous les pays, mais ils sont loin de bénéficier à tous".
De plus, "croire qu'il y a une immigration thérapeutique liée à ce droit à séjour pour raison médicale, c'est mal connaître l'immigration", qui se fait surtout pour raison économique, a insisté le professeur François Bourdillon, président de la société française de santé publique (SFSP).
La plupart des maladies ne sont pas détectées dans le pays d'origine, mais en France, a ajouté Arnaud Veïsse du Comité médical pour les exilés (Comède), et selon le comité interministériel de contrôle de l'immigration (CISI), le nombre d'étrangers qui se prévalent de leur état de santé pour être admis au séjour s'est stabilisé en 2008, autour de 28.000 personnes, soit 0,8% des étrangers vivant en France.
"En France je survis. Retourner au Sénégal, ce sera ma mort", a expliqué Gnima Solly, Sénégalaise sans papiers de 44 ans, arrivée en France en 2001, et dépendante d'un traitement d'insuline depuis que son diabète a été diagnostiqué en 2003.
Rentrée au Sénégal en 2006, sans accès à la sécurité sociale sénégalaise et aux médicaments, elle a vu son état se détériorer fortement, avant de revenir en France en 2007, avec de fortes complications aux yeux et aux pieds, l'obligeant un temps à se déplacer en fauteuil roulant.
Pour Olivier Bernard, de Médecin du Monde, "bien sûr que le traitement d'insuline est disponible à Dakar, mais pour 5% de la population".
Source : AFP
La rencontre de Londres a permis de faire connaissance avec les potentialités marocaines de GB, d'identifier leurs champs de manœuvre et d'évaluer leur disposition à participer au développement du Maroc.
LE MATIN : Après la rencontre qui a eu lieu à Londres avec les investisseurs potentiels marocains établis en Grande-Bretagne, quelles sont les conclusions que vous avez tirées ?
MOHAMED AMEUR : Vous savez, ce qui caractérise la communauté marocaine en Grande-Bretagne, c'est, malgré son nombre réduit (entre 40 et 50 mille ressortissants, en comparaison avec la France, l'Espagne, l'Allemagne….), la présence d'une grande élite de cadres et de potentialités qui travaillent dans des secteurs très importants, dont celui de la finance, ou au sein d'institutions transcontinentales. Cette rencontre est la première d'une série d'autres que nous souhaitons durables et soutenues, pour que nous puissions examiner ensemble les possibilités et les moyens tangibles qui garantiraient leur participation au développement et aux chantiers initiés dans leur pays. Aussi, les personnes qui sont désireuses d'investir au Maroc ont eu l'occasion d'en savoir un peu plus sur les formalités, les moyens de financement et les opportunités d'investissement qui existent au Maroc. Les autres, qui ne vont pas forcément investir, peuvent également prendre part à ce processus d'une manière ou d'une autre. Cette rencontre avait donc pour objectif d'asseoir une méthodologie de travail opérationnelle pour faire participer un plus grand nombre de potentialités dans le développement du Maroc.
Est-ce que vous disposez de données chiffrées sur ces potentialités ?
La rencontre de Londres nous a permis de faire connaissance avec les potentialités marocaines de GB, d'identifier leurs champs de manœuvre et d'évaluer leur disposition à participer au développement du Maroc.
Nous avons déjà effectué ce genre d'opération dans d'autres pays. Nous avons commencé par la création de réseaux de potentialités marocaines qui travaillent dans le cadre d'un réseau et qui ont une force de propositions assez soutenue. D'autres initiatives s'en suivront. Elles visent à créer un cadre souple au sein duquel ces potentialités auront la possibilité de se rencontrer en vue de devenir des partenaires à part entière du Maroc et des interlocuteurs avec lesquels nous pourrons débattre de toutes les questions qui concernent la communauté marocaine à l'étranger, ainsi que sa participation dans les secteurs de développement.
Aussi bien le Maroc que les MRE ont changé. Dans quel sens ce changement s'est-il opéré ?
L'évaluation que nous avons fait des investissements des Marocains résidant à l'étranger nous a permis de tirer quelques conclusions. Premièrement, les investissements de la première génération dans les années 60, 70, 90 et même aujourd'hui, s'orientent principalement vers le secteur immobilier. Il s'agit surtout des MRE d'origine rurale qui ont pu grâce à l'immigration construire des logements dans leurs campagnes, villes ou dans les villes voisines.
On remarque aujourd'hui que la « révolution » immobilière qu'à connue le Maroc dans certaines zones rurales durant ces dernières années est due au rôle des MRE dans ce secteur (la région du Rif, du Souss…). La deuxième conclusion est que, vers la fin des années 90, sont apparues de nouvelles initiatives dans le secteur de l'investissement d'entreprise par la nouvelle génération, qui est constituée de cadres et de potentialités ayant acquis des compétences dans leurs pays d'accueil. Cette génération a donc commencé à investir dans le domaine du tourisme rural, dans le secteur des technologies modernes, dans l'agriculture comme c'est le cas dans la région de Tadla et dans les oasis. Nous voulons que ces investissements dans les secteurs productifs aillent loin.
Nous désirons également que l'orientation générale dans le pays soit celle des investissements dans les secteurs de l'avenir, qui participent à la création d'emploi et assurent des rentrées d'argent importantes au pays. Aujourd'hui, les conditions au Maroc sont propices pour ce genre d'investissement grâce aux efforts déployés dans différents secteurs, de planification, des politiques sectorielles et des programmes de développement… Aujourd'hui le secteur agricole présente d'importantes opportunités. Notre but en tant que gouvernement est d'encourager, d'encadrer et d'orienter les investissements des MRE dans le sens des nouveaux secteurs.
Comment comptez-vous répondre aux attentes de cette communauté d'investisseurs ?
Lors de l'étude que nous avons effectuée à propos des investissements des MRE, nous avons remarqué que les problèmes qu'ils rencontrent freinent leur volonté d'investir. Le premier problème concerne la multiplicité des institutions qui interviennent dans le processus d'investissement. Malgré les efforts de notre pays durant ces dernières années (création de centres régionaux d'investissement), les investisseurs potentiels cherchent encore un interlocuteur unique parce qu'ils n'ont ni le temps ni la connaissance des procédures administratives. Ils ont besoin d'être orientés et accompagnés.
C'est dans ce sens que nous avons tenté de dialoguer avec les CRI pour créer un guichet dédié aux MRE pour les accompagner. Mais nous n'avons pas réussi à créer un guichet unique même pour les grands investissements. Les MRE ont besoin d'un encadrement spécifique. Raison pour laquelle nous avons pensé, avec les banques marocaines, qui se chargeront de la gestion de la caisse de développement des investissements des Marocains et de certaines banques, à mettre en place des moyens de soutien et d'accompagnement de ces investisseurs en vu de leur faciliter les tâches dans toutes les démarches de la constitution du dossier d'investissement…
Est-ce que ces investisseurs connaissent assez les opportunités que leur offre le Maroc ?
Justement, parmi les problèmes auxquels nous devons faire attention est le manque de connaissance et de données concernant les opportunités d'investissement au Maroc. Nous sommes face à des personnes qui ont essayé d'investir et qui ont rencontré des problèmes et d'autres qui ont l'intention d'investir mais qui craignent la complexité des procédures. Néanmoins, parmi tous ceux que nous avons rencontrés, je suis sûr qu'il existe un certain nombre de potentialités, en sommeil, ce qui est très important. Nous ne devons pas attendre qu'ils manifestent leur désir d'investir. Seule une minorité a le courage d'affronter les problèmes de l'administration.
La majorité regarde de loin parce que n'ayant pas assez d'informations ni le désir d'investir au Maroc. C'est pour cela que nous avons entrepris d'aller vers eux et de les sensibiliser aux opportunités que leur offre le Maroc.
De quelle manière comptez-vous vous y prendre concrètement ?
L'investisseur potentiel moyen a besoin d'être accompagné. Nous avons donc pensé, en concertation avec les administrations concernées, à ce processus d'accompagnement à partir de l'identification du projet, de la mobilisation du potentiel, de la présentation des opportunités d'investissement, du montage du projet, du montage financier… C'est un travail qui demande la conjugaison des efforts de plusieurs administrations. Nous avons un rôle de sensibilisation. Nous sommes un mécanisme de mise en réseau entre l'offre et la demande et veillons à la création d'initiatives.
L'approche sectorielle du ministère des MRE
L'année 2011 s'annonce riche en rencontres pour le ministre Mohamed Ameur qui développe de grands projets avec les potentialités sectorielles. Dans les grandes villes, comme en France qui compte d'innombrables potentialités, le MCCME procédera à une approche thématique. Trois initiatives sont prévues en France : la première concernera les Marocains qui travaillent dans le secteur médical en vue de la constitution d'un réseau de médecins. Avec un certain nombre d'associations, un projet est en cours de montage. Il sera présenté au premier congrès des médecins. Une autre rencontre est prévue avec les potentialités qui œuvrent dans le domaine juridique. Le ministère prépare le premier congrès des femmes et des hommes de droit de la communauté des MRE. A signaler que le MCCME a instauré une assistance juridique et judiciaire disponible dans les institutions consulaires et dans les ambassades pour présenter un soutien à ceux qui en ont besoin. La troisième initiative concerne les élus d'origine marocaine et les élus amis du Maroc.
A l'ordre du jour, un congrès qui réunira ces élus et leurs homologues du Maroc pour étudier les moyens de développement et de coopération dans le domaine de la décentralisation et du développement local.
31/1/2011, Kenza Alaoui
Source : Le Matin
2010 a été une "année noire" pour les enfants immigrés en Italie, a conclu dans un rapport rendu public dimanche l'ONG Sauvons les Enfants, qui a appelé le gouvernement à améliorer leur bien-être et leur intégration.
"2010 a été dans l'ensemble une année critique, pendant laquelle de nombreux pas en arrière ont été faits", a déploré Raffaela Milano, à la tête du programme Sauvons les Enfants Italie-Europe, dans une déclaration jointe au rapport sur les "Immigrants mineurs en Italie".
Le nombre des enfants et adolescents étrangers en Italie est passé de 412.434 en 2004 à 932.000 en 2010, et beaucoup sont nés dans ce pays, y jouant un rôle "vital" en raison du taux de natalité très bas, est-il écrit dans le rapport.
Mais au moins 4.000 immigrants mineurs, en majorité originaires d'Afghanistan, du Maroc, d'Egypte et d'Albanie, ne sont pas accompagnés d'adultes, notent ses auteurs.
A l'issue d'un périple de plus en plus dangereux, souvent à bord de camions et de bateaux, ces enfants doivent faire face à un manque de moyens pour les accueillir, pour assurer leur sécurité et leur bien-être ainsi qu'à des obstacles à leur intégration, poursuit l'ONG.
Sauvons les Enfants appelle l'Italie à appliquer les mesures figurant dans un plan d'intégration lancé par le gouvernement en mai et à autoriser ceux de ces enfants nés en Italie à demander la nationalité italienne avent l'âge de 18 ans.
L'ONG s'inquiète en outre d'une chute en Italie du nombre d'enfants en provenance de la Corne de l'Afrique -ce "n'est pas un bon signe", souligne son rapport-, qu'elle met sur le compte d'un accord avec la Libye aux termes duquel des immigrants mineurs sont renvoyés chez eux malgré d'éventuels risques encourus au plan des droits de l'Homme.
La lutte contre l'immigration illégale a été un des thèmes centraux de la campagne électorale de Silvio Berlusconi, l'actuel Premier ministre, et de ses alliés de la Ligue du Nord pour les législatives de 2008 qu'ils ont remportées.
30 jan 2011
Source : AFP
Près de 10.000 personnes ont bénéficié du regroupement familial en 2008. L’immigration marocaine représente la majeure partie des regroupements familiaux en Belgique. Le dossier complet dans Le Soir
Qui sont ces migrants venus rejoindre un ou plusieurs membres de leur famille en Belgique ?
Le regroupement familial apparaît comme la première source de séjour légal sur le territoire belge : en 2008, l’Office des étrangers a délivré 9.993 permis de séjour pour ce motif et en a refusé 3.860. La Fondation Roi Baudouin, secondée par l’ULB et l’Université d’Anvers, s’est livrée à une analyse approfondie de ces chiffres. Qui « se regroupe » ? Pourquoi ? Qu’advient-il après cette reconstitution ?
Le regroupement familial représente 63 % des dossiers de séjours. Les deux principaux pays d’immigration sont le Maroc (5.975 personnes dont 4.768 sont des conjoints) et la Turquie (2.021 migrants dont 1.661 pour des raisons conjugales ou assimilées). Un migrant sur cinq finit par se retrouver seul dans les cinq ans. C’est davantage le cas pour ceux venus d’Afrique subsaharienne et du Maroc. Avec, à la clé, des situations sociales difficiles (isolement, précarité…).
31/1/2011
Source : Le Soir.be
Les immigrés qui acquièrent la nationalité belge trouvent plus facilement un emploi que ceux qui ne l'acquièrent pas, même s'il n'y a pas de conditions liées à l'octroi de la nationalité. C'est ce qui ressort d'une étude menée par le Centre pour la politique sociale (Centrum voor Sociaal Beleid) de l'université d'Anvers, rapportée lundi dans les quotidiens De Standaard et Het Nieuwsblad.
La Belgique est, en Europe, le pays le plus libéral en matière d'octroi de la nationalité. Il suffit d'y séjourner depuis trois ans pour demander sa naturalisation via le parlement et y vivre depuis sept ans donne à la personne immigrée le "droit" à la nationalité belge.
Taux d'emploi pour l'ensemble de la population: 65%
La Belgique est par contre à la traîne au niveau européen en ce qui concerne le taux d'emploi chez les immigrés. A peine 43% des immigrés ne venant pas de pays de l'ouest travaillent. Le taux d'emploi pour l'ensemble de la population est lui de 65%.
Le Centre pour la politique sociale de l'université d'Anvers voulait savoir si l'octroi de la nationalité belge a un impact positif sur le taux d'emploi. Le taux d'activité des immigrés ne provenant pas de pays de l'ouest et devenus Belges atteint 55%, contre 43%pour ceux qui ne sont pas Belges.
"Obtenir la nationalité Belge aide"
Chez les immigrés d'origine nord-africaine, devenir Belge fait passer le taux d'emploi de 35 à 46%, chez les sud-américain de 54 à 66% et chez les immigrés venant d'Asie de 48 à 63%.
Les immigrés habitant en Flandre présentent des taux d'emploi supérieur de 7 à 8% par rapport à ceux en Région bruxelloise et en Wallonie. "Obtenir la nationalité belge aide donc", conclut le chercheur Ive Marx. (belga/chds)
31/01/11
Source : 7sur7
L'ambassade du Maroc au Caire a mis en place des numéros spéciaux au profit de la communauté marocaine établie en Egypte, indique dimanche un communiqué.
Le communiqué exhorte les membres de la communauté marocaine à contacter, en cas d'urgence, l'ambassade à travers les numéros spéciaux mis en place : 0104276710, 0199035173 ou 27365762.
La même source ajoute que les services de l'ambassade ont reçu les demandes d'une centaine de résidants et de touristes marocains en Egypte pour les aider à être évacués vers le Maroc.
30/01/11
Source : MAP
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