L'ECONOMISTE, ces migrants qui se déplacent vers les pays du froid
L'Economiste consacre dans son édition du 7 août 2013 un dossier sur ces marocains du monde qui "migrent" de plus en plus vers les pays du nord de l'Europe moins touchés par la crise économique internationale. Les destinées les plus économiquement prisées seraient l'Allemagne et les pays scandinaves. En résumé bien que les immigrés aient été durement touchés par la crise dans les pays hôtes, la majorité reste en Europe et ne rentre pas définitivement au Maroc.
Le quotidien pointe aussi du doigt les problèmes qui pourraient se poser pour les marocains vivant dans les pays arabes où règne encore une instabilité politique. D'après le quotidien les ressortissants marocains vivant dans ces pays "sont suivis par une cellule de veille et de soutien regroupant le département des marocains du monde en plus de ceux de l'intérieur et des Affaires étrangères marocain".
Le journal consacre par ailleurs un dossier, essentiellement basé sur les données de l'Association marocaine des Droits Humains (AMDH) qui dénonce le traitement réservé par les autorités aux migrants subsahariens.
AUJOURD'HUI LE MAROC, le spécial Marocains du Monde
Dans son édition de ce 7 août 2013, le quotidien consacre un spécial Marocains du Monde. Le journal qui rappelle l'hommage de SM le Roi Mohammed VI au patriotisme sincère des Marocains du monde écrit que "le nombre des marocains du monde a connu une hausse remarquable durant les dix dernières années passant de 1,7 million en 1998 à 4,5 millions de ressortissants". Le journal précise que "dans cette communauté, 70% des membres sont âgés de moins de 45 ans, dont 20% sont nés à l'étranger" et souligne que les marocains résidant à l'étranger sont établis dans 100 pays des cinq continents, dont la majorité en Europe". Avancées significative: "17% de cette communauté ont un niveau BAC+5. Dans le dossier le quotidien aborde Maghribcom, le site pour les compétences des marocains du monde et l'opération Marhaba 2013
LIBERATION (ma),les Rohingyas ces musulmans apatrides
Le journal de l'Union socialiste des forces populaires (USFP) publie une dépêche de l'Agence France Presse sur les "Rohingyas"des musulmans considérés comme apatrides dans plusieurs pays d'Asie. Leur vie consiste à fuir la persécution notamment birmane, pays essentiellement composé de bouddhistes."Expulsés par la Thaïlande et la Malaisie qui estiment avoir sur leur sol assez de ses réfugiés apatrides" les Rohingyas n'ont pas plus de chance en Indonésie, le pays musulman le plus peuplé de la planète avec ses 240 millions d'habitants. Car si l'Etat indonésien souhaite ouvertement la bienvenue à cette population musulmane apatride dans les faits "au lieu de la liberté rêvée, ce sont des centres administratifs, où ils sont considérés comme prisonniers, qui attendent les Rohingyas à leur arrivée sur le sol indonésien". Selon le journal qui cite l'AFP, de nombreux Rohingyas, lassés d'attendre des années durant avant d'obtenir un statut de réfugiés précaire, reprennent la mer, dans des bâteaux de dortune pour se diriger vers l'Australie "à des milliers de kilomètres plus au sud (...) avec peu de chance là encore, de se voir accorder le statut tant envié de réfugiés".
LE MATIN, pas de danse des enfants du monde à Rabat
Le quotidien annonce l'organisation du 7ème festival international du folklore de l'enfant
qui se tient du 12 au 18 août sous le thème "Enfants de la paix". "La manifestation qui sera organisée sous la présidence de Son Altesse Royale la princesse Lalla Meryem, se veut une célébration par excellence des danses traditionnelles de plusieurs pays invités: la Slovénie, la Géorgie, le Mexique, le Karjakistan, la Turquie, la Belgique, la Thaïlande, l'Ukraine, la Russie, l'Indonésie, la France, la Pologne, la Hongrie, la Serbie, le Venezuela, la Biélorussie, la Tunisie, la Libye, la Côte d'Ivoire, la Palestine, l'Egypte, le Gabon et le Maroc".
