mardi 26 novembre 2024 16:21

Le Parlement européen s'est prononcé mardi 18 mai, pour l'octroi d'une aide de 6.000 euro par personne pour inciter les Etats de l'UE à accueillir des réfugiés installés de manière précaire dans des pays tiers et dans l'impossibilité de revenir chez eux.
Aujourd'hui, seuls 10 pays sur 27 participent à ces programmes de "réinstallation" des réfugiés, qui ont concerné au total 4.378 personnes en 2008. La proposition concerne notamment des Irakiens installés provisoirement en Syrie après avoir fui leur pays en guerre et qui souhaitent s'établir en Europe.

Le Parlement européen demande que les pays participant perçoivent 6.000 euros de fonds européens par réfugié la première année d'accueil, puis 5.000 euros, puis 4.000 euros. L'argent serait versé aux Etats et non aux réfugiés eux-mêmes, mais le Parlement demande que pendant les deux premières années, les aides européennes soient consacrées à des programmes visant à améliorer les conditions d'accueil des nouveaux arrivants.

Le projet ne sera définitif qu'après approbation par les Etats membres, en désaccord avec le Parlement sur les critères de choix des réfugiés appelés à venir s'installer en Europe.  Les eurodéputés ont par ailleurs définitivement approuvé mardi la création d'un "Bureau d'appui européen en matière d'asile" basé à Malte et chargé de coordonner les réponses des Etats membres aux demandes d'asile.

Source : Le Figaro

Deux femmes, l'une portant le niqab et l'autre hostile au port de ce voile intégral, ont porté plainte suite à une altercation survenue samedi dernier dans un magasin de Trignac, près de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), a-t-on appris lundi de sources proches de l'enquête.

Une femme portant le niqab et deux autres femmes -la mère et sa fille- se croisent samedi après-midi dans un magasin de chaussures et de vêtements. Au passage de la femme intégralement voilée, la mère fait une remarque à sa fille, laissant entendre qu'elle souhaite voir rapidement adoptée la loi interdisant le port du voile intégral.

La femme au visage dissimulé, qui a entendu, réagit. Le ton monte. L'emploi du terme "Belphégor" (NDLR: allusion à une série télévisée, Belphégor ou le fantôme du Louvre, diffusée en 1965 et qui a connu un très grand succès) dans la conversation envenime la situation. Selon la mère et sa fille, la femme au niqab gifle l'une d'elles, ce que cette dernière conteste, tandis que l'époux de la femme voilée et le personnel du magasin s'efforcent de calmer la situation.

Finalement, les trois femmes ont été conduites à la brigade de gendarmerie et deux plaintes ont été déposées, a confirmé le Parquet: l'une pour injure à caractère ethnique, racial ou religieux, par la femme au niqab, l'autre pour violence sans ITT (incapacité totale de travail), par la mère et sa fille.

Le projet de loi sur l'interdiction du voile intégral prévoit une amende de 150 euros pour toute personne dissimulant son visage et crée un délit sanctionnant beaucoup plus sévèrement ceux qui l'imposeraient.

Source : La Croix/AFP

 

Le conseil municipal de Lerida en Catalogne (nord-est), va débattre fin mai sur l'interdiction de la burqa dans les espaces publics, a-t-on appris mardi auprès du groupe municipal, minoritaire, ayant formulé la proposition.

Les nationalistes catalans modérés de CiU ont présenté la motion lundi, a déclaré à l'AFP une porte-parole du groupe municipal de cette ville d'environ 140.000 habitants. Elle sera débattue le 28 mai.

"Nous ne sommes pas une ville où elles sont nombreuses, mais il y en a", a-t-elle déclaré.

La formation considère que "la présence à Lerida de représentants salafistes (une doctrine rigoriste de l'islam, ndlr) a facilité la diffusion de pratiques incompatibles avec les valeurs d'égalité des sexes et de respect de la femme", selon un communiqué.

CiU considère que "ces vêtements sont un obstacle à l'intégration de la femme dans notre société et qu'elles attentent à sa dignité".

D'une manière générale, les burqas ne sont pas très répandues dans l'espace public en Espagne.

Selon le journal El Pais, le maire socialiste de Lerida, Angel Ros, a déjà exprimé par le passé son hostilité à la burqa, mais le groupe municipal n'était pas disponible mardi matin pour s'exprimer.

Le ministre du Travail du gouvernement socialiste espagnol Celestino Corbacho, a déclaré lundi qu'il était partisan d'une interdiction de la burqa sur les lieux de travail et dans les locaux de l'administration.

"Cacher complètement la femme au travers d'un vêtement, quel que soit le symbolisme, heurte radicalement notre société et stoppe le mouvement vers l'égalité entre hommes et femmes", une valeur "qui ne peut régresser", a-t-il déclaré.

L'Espagne est un pays où l'immigration a explosé depuis les années 1990 et où la population issue de pays de tradition musulmane, notamment du Maroc, a fortement augmenté.

Au 1er janvier, il y avait 5,7 millions d'étrangers sur une population totale de 46,9 millions de personnes, selon les chiffres de l'Institut national de la statistique, dont 746.760 Marocains, un chiffre en hausse de 4% sur un an.

Une interdiction de ces vêtements est débattue dans plusieurs pays européens, comme la France et le Belgique.

Source : La Croix/AFP

L'Olympia de Montréal s'est avéré trop exigu samedi soir pour contenir le public marocain, et maghrébin en général, venu assister au concert de l'artiste marocaine Latifa Raafat et du plus jeune "Raï-man" Abdelhafid Douzi.

Tous ont exulté et repris en chœur les refrains des tubes interprétés par les artistes. Devant des fans qui ont placé la barre bien haute, les artistes ont su confirmer leurs qualités et sensibilités artistiques, et permettre une fusion totale avec le public sous le rythme de leurs musiques.

Débordée de joie, la foule était totalement en transe lors des prestations ponctuées par les échanges entre le public et les artistes. De "Khouyi Khouyi", "Ana F'arek ya yamma", "Maghyara" ou "Walou" jusqu'à sa reprise récemment de quelques joyaux du patrimoine musical marocain, Latifa Raafat a séduit une fois de plus ses admirateurs pendant trois heures de spectacle dans une atmosphère électrisante.

Elle a ainsi gratifié un public connaisseur de ses œuvres d'une douzaine de chansons. Au milieu de cette ambiance de fête, Latifa Raafat a profité de l'occasion pour interpréter des chansons qui ont fait vibrer le public. Des textes où l'amour côtoie déception, souffrance et espoir. "Sawalt alik laoud wanay", "Ya hli Yaachrani" ou encore "Alach ya ghzali". Des chansons que le public a consommées non sans joie, au bonheur de l'artiste qui a pu aussi faire adopter sa dernière chanson "twahachtak bazaf".

Le public a eu aussi la primeure de déguster quelques titres du nouvel album de l'artiste Douzi. "Inclassable", "imaginatif"," postmoderne", les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la musique séduisante du jeune Douzi (né en 1985), résidant marocain à Bruxelles.

"Ghyabek tal", "Myriamma", "Laki Qalbi", "Rouahi lia" ou "Laâyoun Aïnia" ont été parmi les chansons interprétées par le talentueux Douzi, l'un des rares chanteurs au monde capable de chanter dans six langues différentes (arabe, français, anglais, turque, espagnol et hindi) sans perdre ni son style ni son talent.

Pour lui, février 1994 restera une des dates les plus importantes. C'est, en effet, la date à laquelle il enregistra son premier album "Goulou lmemti tjini", l'album ne sera présenté au public qu'en 1996, mais pendant deux ans la chanson sera sur toutes les lèvres.

Puisant dans l'héritage de sa culture marocaine, l'artiste a présenté des sonorités donnant la mesure de la richesse d'une identité plurielle, symbole d'une rencontre de l'Orient et l'Occident. L´homme a séduit une fois de plus ses admirateurs en passant sans efforts d'une langue et d'une culture à une autre, les unissant et les utilisant pour les enrichir l'une l'autre.

Vivant actuellement en Europe où il s'est imposé rapidement dans le milieu de la World Music, Douzi est parvenu à se faire connaître comme un artiste de la nouvelle vague du "Pop Raï Oriental". Son identité artistique se révèle quand il décide de chanter dans sa langue maternelle et de rechercher la fusion des différents styles musicaux.

Un public comblé et des artistes au sommet de leurs talents, voilà en quoi se résume le concert de Latifa Raafat et Abdelhafid Douzi qui, dans une formidable ambiance, ont offert à un public un show unique en son genre. Séduite par leurs charismes et leurs performances, la foule a chaudement applaudi les chanteurs après chaque prestation. A la sortie du concert, on pouvait lire sur le visage des invités, qui n'ont pas de "frontières dans les oreilles", une grande satisfaction.

Source : MAP

Les recettes de cuisine de Choumicha et le groupe Nass El Ghiwane ont amplement séduit le public lors des deux premières journées de la semaine culturelle marocaine organisée du 14 au 22 mai par quatre villes de la banlieue nord de Paris.

A Villepinte, comme à Sevran, Clichy-sous-Bois et Stains, le public a été très nombreux à assister aux prestations de la star de la télévision marocaine et du groupe mythique de la musique des années 70.

Ouvrant le bal de ces journées, Choumicha, célèbre notamment par ses émissions culinaires à la deuxième chaîne de télévision marocaine, 2M, et ses livres de gastronomie, a animé avec brio une série de conférences et de rencontres de dédicaces de ses oeuvres à Villepinte, Clichy-sous-Bois et Sevran.

Dans chacune de ces rencontres, elle remporte un franc succès auprès des centaines de Marocains, Algériens, Tunisiens, Egyptiens établis dans cette région mais aussi de Français venus nombreux échanger avec celle qui a conquis le cÂœur et les papilles de millions de téléspectateurs.

Tout en préparant du couscous sucré aux fruits secs, elle répondait aux questions des spectateurs qui l'interrogeaient sur les ingrédients de ses recettes, les secrets de ses délices, ses projets futurs et même sur sa vie privée.

Avec une spontanéité phénoménale, Choumicha livre ses secrets et n'hésite pas à traduire ce qu'elle disait tantôt en arabe, tantôt en français, tout en donnant une dose d'humour à ses mots et ses gestes.

Comme au Maroc, Choumicha est accueillie chaque jour grâce à la diffusion satellitaire dans les foyers de la communauté maghrébine à travers ses émissions quotidienne "Ch'hiwate Choumicha" et "Ch'hiwate bladi".

Pour sa part, le groupe mythique Nass El Ghiwane a animé deux concerts à Clichy-sous-Bois et à Villepinte où un public nombreux les attendait pour une soirée conviviale, en signe de retrouvailles.

Comme à leur habitude, les "Rolling Stones d'Afrique", comme les surnommait le réalisateur américain Martin Scorsese, ont enflammé la scène.

Avec leurs tubes légendaires tels que la saga "Sinia", "Allah ya moulana", "Mahmouma", "Al Hala", "Nahla Chama", entre autres, ils ont transporté les mélomanes dans l'univers des années 70 et 80.

Outre les prestations de Choumicha et Nass El Ghiwane, le public de la semaine culturelle marocaine a eu rendez-vous avec des défilés de Caftan auquel ont participé de jeunes créatrices marocaines établies en France.

Placée sous le signe: "Inspiration marocaine", la semaine culturelle marocaine est organisée par les quatre villes du département Seine-Saint-Denis, en partenariat avec l'Ambassade du Maroc à Paris, le Consulat du Royaume à Villemomble, l'Agence de l'Oriental et plusieurs associations de Marocains en France.

Au programme figurent des concerts de Hoba Hoba Spirit, et des groupes de Dakka Marrakchia, Gnawa, Abidat R'ma, ainsi que des rencontres autour du conte avec Halima Hamdane, Hamed Bouzzine, Amid Beriouni et Nezha.

Des expositions de peinture, de calligraphie, d'artisanat et de photographies sur l'histoire du Maroc et sur les combattants marocains pendant la deuxième guerre mondiale, ainsi que des conférences et débats notamment sur le Code de la famille et sur l'expertise marocaine en matière de techniques économes en eau sont également au menu de cette manifestation culturelle.

La ville de Figuig est particulièrement mise à l'honneur, à travers la présentation des différentes us et coutumes d'un mariage traditionnel de cette ancienne cité de l'Oriental.

L'ouverture officielle de cet événement s'est déroulée vendredi à Villepinte, en présence des maires des villes concernées, des Consuls généraux du Maroc à Villemomble, Abdellatif Mortabit, et de Tunisie à Pantin, Abderrazek Ben Fraj, ainsi que d'un parterre d'élus et de représentants des associations partenaires.

Source : MAP

Le Premier ministre, qui présentait le bilan de l'action gouvernementale, à l'occasion du mi-mandat de l'actuelle législature, a indiqué que le gouvernement continue également de bâtir le modèle marocain en matière de gestion de la chose religieuse, un modèle inspiré des constantes de la Nation et fort d'une approche globale, intégrée et lucide, en vue de préserver la nation et consolider les valeurs religieuses tolérantes, conformément à la vision sage d'Amir Al Mouminine SM le Roi, que Dieu L'Assiste.

Dans ce cadre, M. El Fassi a souligné qu'un intérêt particulier est accordé au Saint Coran notamment par la création de nouvelles écoles coraniques, la mise en place de la Fondation Mohammed VI pour la diffusion du Saint Coran, soulignant l'importance accrue accordée aux mosquées à travers l'application du programme national de mise à niveau des mosquées, à la réforme de l'enseignement traditionnel et à la mise en place d'un plan pour l'encadrement des oulémas, des prédicatrices et des mouchardâtes, à la faveur de "Mithaq Al Oulamae" (charte des ouléma) dont SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, a défini les orientations.

Il a de même rappelé la création du Conseil des oulémas des Marocains d'Europe en octobre 2008 en vue de promouvoir la culture du dialogue et les valeurs de tolérance et immuniser la communauté marocaine des courants intrus.

Si la Constitution garantie à chacun de pratiquer ses rites religieux, cela ne signifie nullement que le gouvernement adopte une attitude indifférente ou laxiste vis-à-vis de certaines tentatives désespérées d'évangélisation ou d'atteinte à la religion musulmane, a-t-il affirmé.

M. El Fassi a indiqué que le gouvernement continue de préserver et de consolider l'identité et le sens d'appartenance à la Nation et ce grâce au rôle joué par les structures éducatives et médiatiques dans la diffusion et le renforcement des valeurs de citoyenneté et d'identité et la valorisation de l'héritage culturel et linguistique marocains", saluant à cette occasion, les actions louables entreprises par l'Institut Royal de la Culture amazigh (IRCAM), conformément aux Hautes Orientations contenus dans le discours royal d'Ajdir.

Dans la même logique, il a été procédé au lancement de la chaine amazighe, concomitamment à l'action du gouvernement pour consolider l'enseignement de la langue amazighe dans 3700 écoles au profit de 560 mille élèves.

Outre l'encouragement des langues étrangères, le gouvernement tient à préserver la langue arabe dans plusieurs secteurs et administrations et dans la vie publique "parce que nous considérons que l'Arabe, langue du Coran et langue officielle du Royaume et l'Amazighe, patrimoine de tous les Marocains sans exception, sont deux importants affluents du patrimoine marocain, que le gouvernement continuera à soutenir pour les hisser à la place de choix qui leur revient", a dit le Premier ministre.
Concernant les Marocains résidant à l’étranger, le gouvernement a mis en place un programme ambitieux visant la création de centres culturels à l'étranger, a t-il dit, faisant savoir qu'il poursuivra l'organisation des universités d'été et des colloques culturels visant le renforcement du potentiel de connaissance des jeunes et des enfants installés à l'étranger, dans le domaine de la culture et du patrimoine de leur patrie.

Source : Casafree

Le projet de loi visant à interdire le port du voile intégral, qui sera présenté mercredi en Conseil des ministres et dont l'AFP a obtenu copie, prévoit "un stage de citoyenneté" pour les femmes concernées, qui s'ajoutera ou se substituera à l'amende de 150 euros encourue.

Le projet de loi "interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public", préparé par la garde des Sceaux Michèle Alliot-Marie et qui peut encore évoluer à la marge d'ici à mercredi, comprend sept articles.

Le premier article stipule que "nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage". L'espace public comprend la voie publique ainsi que "les lieux ouverts au public ou affectés à un service public".

Le texte prévoit plusieurs exceptions à cette interdiction : quand "la tenue est prescrite par une loi ou règlement" (casque pour motocycliste...), si elle est "autorisée pour protéger l'anonymat de l'intéressé" (forces de sécurité...), si elle est "justifiée par des raisons médicales" ou si elle "s'inscrit dans le cadre de fêtes" (masque de carnaval...).

Selon l'article 3, les femmes contrevenant à la loi seront passibles d'une amende de 150 euros. Mais le texte stipule aussi que l'obligation d'accomplir le "stage de citoyenneté" prévu par le code pénal "peut être prononcée en même temps ou à la place de la peine d'amende".

Il peut donc être une alternative aux poursuites ou une peine complémentaire.

L'interdiction du port du voile intégral tout comme la verbalisation des contrevenantes n'entreront en vigueur qu'à "l'expiration d'un délai de six mois" de médiation et de pédagogie "suivant la promulgation" de la loi, soit aux alentours du printemps 2011.

Le projet de loi prévoit encore un nouveau "délit d'instigation à dissimuler son visage", punie d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende. Il vise notamment les maris ou concubins obligeant leurs compagnes "par menace, violence ou contrainte, abus de pouvoir ou abus d'autorité" à porter le voile intégral. Ce délit entrera en vigueur dès promulgation de la loi.

Source : AFP

"Football et immigration, histoires croisées"

Le football est au centre d’une exposition temporaire baptisée « Allez la France ! Football et immigration, histoires croisées » et programmée à la Cité de l’Immigration. Jusqu’en octobre 2010, le musée se propose d’analyser l’influence des flux migratoire sur la pratique du ballon rond dans l’Hexagone. L’expo est organisée autour de trois temps forts : la diffusion du football en France, l’organisation d’une immigration à logique sportive et, pour finir, un focus sur « les générations » de l’équipe de France entre 1938 et 1998.

A l’aube la Coupe du monde de football 2010, la Cité de l’Immigration a souhaité ainsi revenir sur les origines d’un sport et sur son impact sur la société française, à travers le prisme de l’immigration et la notion d’identité nationale, thème très en vogue depuis quelques temps.

D’autant que le ballon rond attise les passions d’un pays capable de sacraliser une génération « black-blanc-beur » mais où les stades laissent échapper des actes racistes. Le football n’est finalement que le reflet d’une société française, où union des communautés et racisme ambiant se côtoient dans un même paysage.

En marge de l’exposition, plusieurs manifestations ont été prévues pour animer l’exposition (tournois de babyfoot, débats, séances de cinéma, etc.). La Cité de l’Immigration a d’ailleurs prévu de diffuser les matchs du Mondial dans son Auditorium.

Source : Afrique foot


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