mercredi 3 juillet 2024 08:51

Les associations de Marocains en Italie ont appelé, samedi, les responsables et élus de la région de Toscane (nord du pays) à se ranger du côté de la légalité en soutenant les droits légitimes du Maroc sur son Sahara.

Dans une lettre ouverte adressée à ces responsables, les quelque 200 signataires insistent pour que ceux-ci se rendent compte de l'énormité de la supercherie et du leurre pratiqués par les ennemis de l'intégrité territoriale.

Ils les interpellent notamment sur les détournements d'aides par les séparatistes et sur la situation dramatique dans laquelle vivent les populations des camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien.

Les destinataires de la lettre, dont les présidents de la région de Toscane et de la province de Florence et plusieurs maires de la région, ont été appelés à prendre position contre la "sécession" prônée par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume et à faire en sorte que se dissipent leurs "rêves séparatistes".

Après avoir brossé l'historique de la question du Sahara marocain, les signataires de la lettre ont évoqué le statut d'autonomie sous souveraineté marocaine proposé par le Royaume comme cadre de règlement à ce conflit artificiel.

Ils ont souligné la pertinence de cette proposition et la large adhésion dont elle a bénéficié auprès des Etats et gouvernements du monde entier.

Les signataires de la lettre ont, à cet égard, mis en relief l'attachement des habitants des provinces sahariennes à leur marocanité, rappelant leur participation massive aux élections législatives du 7 septembre 2007.

Lecture a été donnée à cette lettre lors d'une conférence de presse tenue par les organisateurs d'un sit-in devant la commune de Campi Bisenzio (Florence) où se joue, ces jours-ci, l'un des épisodes du feuilleton maladroitement interprété par les ennemis de l'intégrité territoriale.

Des citoyens marocains ont afflué, en grand nombre, de diverses régions d'Italie pour renouveler leur ferme attachement à l'intégrité territoriale nationale et réaffirmer leur engagement inconditionnel pour la défense de l'unité du Royaume.

Plusieurs médias italiens, dont l'agence ANSA, le journal "Corriere della Sera" et "Il giornale di Firenze", se sont fait l'écho de ce rassemblement organisée par l'association Oued Eddahab avec le soutien de nombreuses associations de Marocains en Italie.

Source : MAP

Une réunion pour la constitution d'une section espagnole du "Mouvement des Marocains Démocrates résidant à l'étranger" s'est tenue, samedi à Madrid, avec la participation de plusieurs acteurs du tissu associatif.

La création de ce mouvement émane d'une initiative d'acteurs de la société civile, de politiques, d'intellectuels et d'hommes d'affaires d'origine marocaine établis en Espagne.

L'objectif de cette plate-forme est de fédérer les membres de la communauté marocaine en Espagne, toutes tendances confondues, de défendre leurs intérêts, et de s'ériger en force fédérant les Marocains d'Espagne autour de la défense des valeurs démocratiques, selon les initiateurs de ce mouvement.

Selon le président du Mouvement des Marocains Démocrates résidant à l'étranger, Jamal Eddine Ryane, le Mouvement est une plate-forme qui n'est inféodée à aucune organisation politique, ni a d'orientation idéologique.

Le Mouvement se fixe comme objectifs de défendre les intérêts de la communauté Marocaine à l'étranger, forte de 3,5 millions de membres selon des chiffres officiels, soit 10 pc de l'ensemble de la population marocaine.

Il a appelé dans ce contexte à la participation des Marocains résidant à l'étranger aux prochaines élections au Maroc, ajoutant que le Mouvement, qui s'est constitué en août dernier à Rabat, a lancé une initiative baptisée "Initiative 2012 " pour la participation des MRE aux prochaines échéances électorales au Maroc.

Concernant le Conseil de la Communauté Marocaine à l'étranger (CCME), le président du Mouvement des Démocrates Marocains résidant à l'étranger a indiqué que cette institution constitue "un acquis", soulignant qu'elle est appelée à être dynamisée pour conforter sa vocation représentative des Marocains de l'étranger.

Il a par ailleurs invité la communauté marocaine établie en Espagne à tirer profit des expériences réussies d'autres communautés marocaines comme celles de Hollande, pour être présente avec force dans la vie politique en Espagne.

Dans un communiqué final distribué à la presse, les initiateurs de la section Espagne du Mouvement des Démocrates Marocains résidant à l'étranger, ont lancé un appel aux partis politiques démocratiques espagnols de considérer les immigrants comme des citoyens ayant les mêmes droits et les mêmes obligations et de leur ouvrir la voie pour une participation aux prochaines élections en Espagne.

Le communiqué final a également fait part de "son soutien aux initiatives importantes de SM le Roi Mohammed VI pour la démocratisation du pays et la façon avec laquelle le Souverain gère le dossier de l'unité territoriale".

Les initiateurs de la section Espagne du Mouvement des Démocrates Marocains résidant à l'étranger ont également appelé, dans ce communiqué, "les dirigeants du Maghreb Arabe à l'union, à l'instar des pays de la rive nord".

Source : MAP

Las Palmas, 23 oct (MAP)-La 4ème Conférence Euro-africaine sur l'immigration irrégulière, s´est tenue, mercredi et jeudi , dans l´île canarienne de Tenerife avec la participation de représentants des services de sécurité et d´experts venus de 40 pays, dont le Maroc.

Lors de cette rencontre, initiée par la garde civile espagnole, et à laquelle ont pris part quelque 135 représentants des services de sécurité de plusieurs pays européens et africains, les participants ont débattu des moyens de lutter de manière efficace contre le phénomène de l'immigration irrégulière.

Les participants ont abordé la situation actuelle et les perspectives de lutte contre ce phénomène et examiné les moyens de renforcer la coopération en matière d'échanges d'informations entre les Officiers de Liaison, ainsi que la collaboration entre l'UE, l'Afrique et l´agence européenne de contrôle des frontières extérieures (Frontex), basée à Varsovie (Pologne).

La rencontre a été clôturée, jeudi, par une intervention du Directeur Général de la police et la garde civile espagnoles, Francisco Javier Velazquez, qui a souligné que la coopération et le renforcement des moyens de contrôle dans les pays transit et d´origine ont pu contribuer à une réduction du flux migratoire en provenance de l´Afrique de 72,9 pour cent par rapport à l´année dernière. Des participants ont, à cet égard, mis en en exergue les efforts déployés par le Maroc pour la lutte contre le phénomène de l'émigration illégale, ainsi que le rôle joué dans ce domaine par la Mauritanie et le Sénégal et d´autres pays de l´Afrique de l´Ouest. Les précédentes conférences s´étaient tenues à Las Palmas, en Grande Canaries.

Source: MAP

La France et l'Italie ont demandé un renforcement des moyens de l'agence pour la sécurité et la protection des frontières de l'Union européenne (Frontex), afin notamment qu'elle soit en mesure d'organiser régulièrement des vols groupés de rapatriement d'immigrés clandestins.

Dans une lettre à la présidence suédoise de l'UE, Nicolas Sarkozy et le président du Conseil italien Silvio Berlusconi réclament en outre l'élaboration par les Vingt-Sept d'une "doctrine d'engagement claire et partagée" des opérations maritimes d'interception de clandestins en Méditerranée.

Dans leur lettre publiée vendredi par l'Elysée, ils jugent que les filières d'immigration illégale "exercent une pression sans précédent sur les frontières extérieures de l'Union européenne, en particulier en Méditerranée".

Ces filières mettent selon eux à l'épreuve la politique définie par le Pacte européen de l'immigration adopté fin 2008.

Pour ces raisons, ils estiment que le Conseil européen des 29 et 30 octobre doit décider "immédiatement d'axes de travail" sur le sujet et que des orientations politiques "claires et précises" sur le renforcement de Frontex sont "indispensables".

Pour lutter tout particulièrement contre l'immigration clandestine en Méditerranée, la France et l'Italie réclament que Frontex noue une coopération avec chacun des Etats de départ des migrants.

L'affrètement régulier par l'agence "de vols groupés pour des opérations communes de reconduite au niveau européen" est un autre de leurs souhaits, la publication de cette lettre intervenant en pleine polémique en France sur les conditions du renvoi d'immigrés afghans dans leur pays.

Paris et Rome veulent en outre un accord spécifique avec la Libye "pour consolider le mouvement récent de réduction des flux migratoires" en provenance de ce pays.

Il devra selon eux "comporter des clauses opérationnelles pour appuyer ses efforts de maîtrise des frontières libyennes et renforcer la coopération en matière de retour".

Source : Reuters

La France et l'Espagne ont souhaité vendredi que l'Union européenne (UE) renforce les moyens de l'agence européenne de surveillance des frontières Frontex pour lutter contre l'immigration, a indiqué le ministère français de l'Immigration dans un communiqué.

Le ministre français de l'Immigration, Eric Besson et son homologue espagnol, Consuelo Rumi, ont indiqué que leurs pays "travaillaient ensemble" pour préparer le prochain sommet européen "en vue de renforcer les moyens" de Frontex, à l'occasion d'un déplacement de M. Besson à Almeria (sud). Frontex "doit agir plus efficacement (...) par des opérations tournées vers l'interception et la reconduite des étrangers en situation irrégulière (...) par la possibilité pour Frontex d'affrêter des vols pour des opérations conjointes de reconduite à la frontière", selon le communiqué.

L'agence européenne pourrait également être renforcée par "un programme de formation commun pour les garde-frontières européens".Les deux pays souhaitent "une politique européenne d'immigration juste et équilibrée, s'appuyant sur des partenariats avec les pays d'origine et de transit", selon le communiqué.

Le ministre français a également souligné "la nécessité d'accélérer la construction de l'Europe de l'asile afin de mieux protéger les migrants persécutés", souhaitant "la mise en place d'ici la fin 2009, du bureau européen d'appui chargé de promouvoir l'harmonisation des politiques d'asile".

Plus tôt dans la journée, la France et l'Italie avaient exigé dans une lettre rendue publique que l'Union européenne (UE) prenne, dès le sommet de la semaine prochaine, des décisions renforçant l'agence Frontex.

Source : Le Soleil

Les pays d'accueil et ceux émetteurs de l'immigration ont des problèmes communs qui ne peuvent se résoudre que dans le cadre de la concertation entre toutes les parties concernées, a indiqué samedi à Rabat le ministre délégué chargé de la communauté marocaine résident à l'étranger, M. Mohamed Ameur.

Intervenant lors de la table ronde initiée sous le thème "La condition juridique des femmes issues de la migration maroco-néerlandaise. L'application du droit de la famille marocain et néerlandais", M. Ameur a souligné que toute stratégie doit prendre en compte la double culture et l'appartenance nationale des immigrés.

La réussite de l'intégration des Marocains aux Pays-Bas est un atout pour les deux pays, a-t-il souligné, relevant que la coopération et la concertation avec la société civile s'avère indispensable pour atteindre des objectifs communs.

Partant du constat que plusieurs MRE ne connaissent pas les droits que leur confère leur nationalité, citant l'exemple de la Moudawana, le ministre a indiqué qu'un centre d'aide et de soutien juridique est cours de mise en place pour mettre à la disposition des Marocains du monde des conseils juridique en plusieurs langues.

Pour sa part, Mme Latifa Lazaar, membre du bureau administratif de l'Association néerlandaise pour le soutien aux migrants de retour (SSR) a passé en revue les objectifs de cette association qui a fait de la promotion de la condition juridique des femmes immigrées l'une de ses priorités.

Les femmes issues de la migration se retrouvent dans une situation juridique complexe face notamment au manque d'information sur le code de la famille, a-t-elle relevé, énumérant les différents problèmes notamment l'abandon conjugal, le mariage forcée ou encore les conflits au sujet de la tutelle (hadana).

Initiée par la SSR, cette rencontre s'articule de trois ateliers ayant trait au volets juridique, social et aux conséquences de l'abandon des femmes et enfants. Cette rencontre s'inscrit dans le cadre d'une série de tables rondes tenues à Al Hoceima (juin 2008) et à Ouazzane (mars 2009), deux régions qui connaissent une forte migration vers les Pays-Bas.

Source : MAP

Cinq partis européens d'extrême droite ont annoncé samedi avoir formé une alliance pour s'opposer à l'Union européenne et à la mondialisation.

Le Front national de France et celui de Belgique se sont alliés à la Flamme tricolore italienne, aux Démocrates nationaux suédois et au parti hongrois Jobbik. Ils espèrent être rejoints bientôt par le Parti national britannique, le FPO autrichien et leurs homologues espagnol et portugais.

Ces formations ont en commun de s'opposer à l'immigration et aux droits des homosexuels et de considérer que la mondialisation met en péril les cultures nationales. Elles voient d'un mauvais œil tout transfert de souveraineté vers un corps supranational tel que l'Union européenne.

Aux dernières élections européennes en juin dernier, ces partis ont obtenu des scores relativement élevés. En remportant 15% des voix en Hongrie, Jobbik a décroché trois sièges à Strasbourg, tandis que le Parti national britannique s'octroyait 6% des suffrages et deux sièges.

« C'est une étape importante (...) pour la renaissance des nations souveraines'', a commenté Marc Abramsson, président des Démocrates nationaux suédois. « C'est une lutte pour notre propre culture et notre héritage''.

Des délégués des cinq partis (français, belge, italien, hongrois et suédois) ont signé un accord précisant leurs objectifs communs: remplacer l'UE par une confédération d'Etats souverains, renforcer le soutien aux familles pour juguler les pertes démographiques en Europe, s'opposer à ôôl'impérialisme religieux, politique, économique ou financier''.

Source : La Presse Canadienne

Les habitants de l'Ile de Pâques ont approuvé samedi lors d'une consultation populaire une réforme de la Constitution chilienne, qui doit donner aux autorités de l'îlot du Pacifique Sud un contrôle accru sur leurs flux migratoires.

Quelque 1.300 électeurs ont approuvé, à plus de 96% selon les médias chiliens, le principe d'une réforme constitutionnelle, initiative du gouvernement chilien pour répondre aux inquiétudes des îliens pour l'impact sur leurs écosystème et culture d'un tourisme et d'une immigration croissants.

En août, les Pascuans, d'origine majoritairement polynésienne, ont "fermé" l'île pendant 24 heures, bloquant l'unique aéroport, pour réclamer des limites à la durée de séjour des touristes et à l'immigration de Chiliens du continent.

Ils s'inquiètent des flux vers leur bout de paradis perdu de près de 5.000 habitants à 3.500 km des côtes chiliennes. Chaque année 50.000 touristes viennent visiter ses plages, ses paysages volcaniques et ses célèbres Moai, statues géantes de pierre.

Le vote, a expliqué le vice-ministre de l'Intérieur Patricio Rosende, présent sur l'île samedi, doit à terme aider à "réguler la croissance de la population de l'île. C'est un territoire très fragile qui ne supporte pas une quantité indéterminée de peuplement permanent".

Le gouvernement avait lancé en septembre un système de cartes migratoires, vérifiant le motif, la durée et le lieu de séjour des visiteurs, premier pas vers un contrôle des flux. La Cour suprême début octobre l'a jugé "illégal et arbitraire", au nom de la liberté d'aller et venir dans le pays.

Le vote de samedi doit lancer un processus de révision de l'article de la Constitution qui reconnait déjà à l'île de Pâques un statut particulier.

Source : Romandie Nwes

Député de l'Hérault, Elie Aboud ne veut autoriser que des drapeaux français lors des mariages en mairie

Elie Aboud, député de l'Hérault et adjoint au maire de Béziers, s'apprête à déposer une proposition de loi visant à autoriser les maires à interdire «d'arborer des drapeaux ou des signes d'appartenance nationale autres que ceux de la République française», lors des mariages en mairie.

Le texte, qui serait déjà en discussion au sein du groupe UMP, dispose que «le maire devra avoir le soin de faire respecter les symboles républicains lors des célébrations de mariage se tenant dans les locaux de la mairie».

«Il pourra, s'il l'estime nécessaire, interdire aux participants d'arborer des drapeaux ou des signes d'appartenance nationale autres que ceux de la République française. Le maire, dans ces conditions, pourra interrompre la célébration», ajoute le texte de la proposition.

«Il y a eu de la provocation»

«Ce que je constate aujourd'hui, c'est que, de plus en plus, on assiste à un phénomène bizarre, curieux: lors des mariages, l'entourage, le public fait une exhibition de drapeaux, de chants», explique le député.

«Ca ne me gêne pas que les gens chantent un peu leur identité culturelle. Ce que je constate c'est qu'il y a eu des bagarres, il y a eu de la provocation dans tout cela. Il y a un vide juridique complet: demain, moi maire, je souhaite arrêter le mariage parce qu'il y a eu ce genre de manifestation, je suis en tort», poursuit l'élu, ajoutant que sa «proposition de loi vise à donner un socle juridique au maire».

«La provocation ne peut pas être un signe d'identité culturelle, sinon elle se transformerait en signe d'isolement pluriel», estime M. Aboud. «Ce que je voudrais, c'est surtout un soutien de la part de toutes les associations franco-étrangères, autour des communautés, c'est pour eux que je fais cela», a-t-il insisté.

La proposition de loi pourrait, soit être déposée par l'élu qui demanderait alors à ses «collègues parlementaires de tous bords politiques s'ils acceptent de la cosigner», soit être portée par le groupe UMP, a précisé l'élu.

Source : Liberation.fr

Les Français se prononcent majoritairement contre l'expulsion, mardi vers minuit, de trois sans-papiers afghans . C'est la conclusion d'un sondage CSA réalisé pour Le Parisien /Aujourd'hui en France : 44 % des personnes interrogées se disent opposées à cette mesure, contre 36 % qui lui sont favorables (20 % ne se prononcent pas). Pour Jean-Daniel Lévy, de l'institut CSA, "ce rejet net, mais pas massif, traduit un rapport dépassionné des Français à l'égard de la politique d'immigration".

Un revirement puisqu'en mars 2003, un sondage CSA portant sur des expulsions groupées a montré que les Français étaient majoritairement favorables à de tels retours par charters. Une différence de jugement qui repose sur la situation politique de l'Afghanistan : "Cette fois, le gouvernement renvoie des immigrés dans un pays en guerre. Cela fait toute la différence", ajoute dans les colonnes du quotidien Jean-Daniel Lévy.

Source : Le Point

Le CFCM (Conseil français du culte musulman) "dénonce avec force la profanation du carré musulman du cimetière communal de Montjoie-Saint-Martin (Manche), ainsi que celle de la mosquée de Laubadère, à Tarbes", dans un communiqué diffusé jeudi.

"Des symboles nazis ou la lettre H ont ont été tagués sur les sépultures de huit soldats marocains de la 2e DB du général Leclerc, écrit le CFCM qui condamne fermement ces actes et s'élève contre cette atteinte insupportable à la mémoire de ces soldats qui sont morts pour la libération de la France".

Le CFCM "est également choqué par la violence des propos racistes, +les ratons de mort et la sale race dehors+, peints sur les murs de la mosquée, ainsi que par l'inscription de symboles du judaïsme dont l'objectif est créer des tensions entre les communautés musulmane et juive".

Le CFCM rappelle dans son communiqué qu'à l'occasion de son audition par la mission parlementaire d'information sur le voile intégral, il a demandé la mise en place d'une mission "similaire consacrée aux dangers de la montée de l'islamophobie en France".

Source: AFP

Une première Rencontre des compétences marocaines au Canada se tiendra, samedi prochain à Montréal, à l'initiative du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger (CCME).

Cet événement se fixe pour objectifs "de permettre une rencontre des originaires du Maroc détenteurs de savoir et savoir-faire et initier ainsi une démarche dont l'aboutissement consistera en l'émergence d'un réseau de compétences marocaines" capable de se prononcer notamment sur des questions telles que la reconnaissance des diplômes et expériences acquis à l'étranger, l'intégration professionnelle et socio-économique des originaires du Maroc, et participer aux réflexions en cours au Maroc sur l'identification des compétences marocaines vivant à l'étranger, notamment dans les domaines de l'enseignement supérieur, de la recherche, économie-finances-investissements, et du développement humain, apprend-on auprès des organisateurs.

Ce réseau de compétences marocaines est appelé aussi à "réfléchir à la création d'une banque d'idées et de projets portés par des compétences marocaines vivant au Canada et recenser les difficultés rencontrées par des porteurs d'idées et de projets, ajoute-t-on.

Cette rencontre, qui sera présidée par M. Driss El Yazami, président du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger, offre également l'occasion de s'informer sur le CCME, ses objectifs et ses actions, selon les organisateurs.

Source : MAP

Le maire de Barcelone, Jordi Hereu, vient d'effectuer une visite de courtoisie et de travail au Maroc du 19 au 22 octobre sur l'invitation de Mohammed Ameur, ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'Etranger.

Parmi les projets maroco-catalans, figure celui de la création de «Maison Maroc en Catalogne » qui intervient suite à la convention-cadre signée à Barcelone entre Mohamed Ameur et Jordi Hereu, un an plus tôt.

En vertu de cette convention, un terrain sera gracieusement mis à la disposition du Maroc, par la mairie de Barcelone. L'espace culturel verra le jour à proximité du musée national de Catalogne, l'un des emplacements les plus dynamiques et les plus stratégiques de la capitale. ...

Le maire de Barcelone, Jordi Hereu, vient d'effectuer une visite de courtoisie et de travail au Maroc du 19 au 22 octobre sur l'invitation de Mohammed Ameur, ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'Etranger. Au cours de son séjour, l'élu du Parti socialiste catalan a rencontré plusieurs hauts responsables dont le Premier ministre Abbas El Fassi, le ministre des Affaires étrangères, Taieb Fassi Fihri, des responsables chargés de l'immigration et les présidents des deux chambres du Parlement marocain. Cette visite s'inscrit dans le cadre du « renforcement des relations d'amitié et de bon voisinage qui ont toujours caractérisé les Royaumes du Maroc et d'Espagne, en particulier avec la Région autonome de Catalogne, a déclaré Mohammed Ameur.

En témoignent les différentes résolutions et recommandations de la dernière réunion du comité mixte maroco-espagnol », a-t-il poursuivi. Le maire de Barcelone a, quant à lui, souligné la position stratégique du Maroc, situé à la charnière de l'Afrique et de l'Europe et son rôle clé dans le processus euro-méditerranéen. «Les prodigieuses mutations du Maroc, le lancement des grands chantiers industriels comme Tanger-Med et la croissance du pays qui avoisine les 6 % font du Maroc, un partenaire privilégié parmi les 44 Etats que compte l'Union pour la Méditerranée», a-t-il indiqué. A l'ordre du jour de cette rencontre, plusieurs projets maroco-catalans, dont celui de bien avancé de la création de «Maison Maroc en Catalogne » qui intervient suite à la convention-cadre signée à Barcelone entre Mohamed Ameur et Jordi Hereu, un an plus tôt.

En vertu de cette convention, un terrain sera gracieusement mis à la disposition du Maroc, par la mairie de Barcelone. L'espace culturel verra le jour à proximité du musée national de Catalogne, l'un des emplacements les plus dynamiques et les plus stratégiques de la capitale. Ainsi que l'a expliqué le ministre chargé de la Communauté marocaine à l'étranger, ce grand projet culturel du Maroc en Catalogne aura tout d'abord pour vocation de faire connaître la culture et la civilisation ancestrales du Maroc parmi les communautés immigrées de Catalogne et contribuer à l'intégration de celle-ci dans la région.

«Ce sera non seulement La Maison de tous les Marocains mais de toutes les autres communautés résidant en Catalogne», a-t-il ajouté. L'espace culturel contribuera ainsi le plus largement possible à la promotion du dialogue entre les deux peuples et à la dynamique culturelle de la région de Catalogne.

La création de la Maison du Maroc s'inscrit résolument dans les volontés édictées par le Souverain de répondre aux attentes de la communauté marocaine résidant à l'Etranger, notamment dans le domaine religieux et culturel en vue de perpétuer leur attachement à leur pays d'origine et les aider à réussir leur intégration dans le pays d'accueil.

En ce sens, le partenariat avec la Catalogne dans la création de ce premier centre culturel ne doit rien au hasard, la Région autonome représentant un des principaux pôles politiques et économiques d'Espagne où vivent et travaillent près de 300.000 ressortissants marocains.

Le caractère hautement politique et social n'a pas manqué d'être souligné par le maire de Barcelone qui a assuré de tout son soutien la finalisation de ce projet culturel qui «donne une image d'ouverture et de tolérance d'un Maroc moderne et d'un partenaire préférentiel pour l'Espagne ».

Une belle manière de participer au rayonnement et au rapprochement des civilisations et de déjouer les discours des apôtres du choc culturel.

Programmes bilatéraux annexes

Conscient du rôle que peut jouer le tissu associatif dans l'amélioration des conditions de vie des MRE et dans l'accompagnement de leur intégration dans la société catalane, Mohammed Ameur et Jordi Hereu ont projeté d'entreprendre des actions concertées à la mise en œuvre d'un programme susceptible de renforcer les capacités de ces associations et d'augmenter la portée de leurs actions.

Suite à l'expérience réussie des Universités organisées au Maroc au cours de l'été 2009, les deux parties ont également convenu de multiplier leurs échanges sous forme de séjours culturels au profit des jeunes Marocains et Catalans en vue de favoriser l'ouverture sur l'autre et la connaissance mutuelle.

Source : Le Matin

Le ministère de l'Emploi et de la formation professionnelle n'a reçu "aucune notification officielle" relative à une éventuelle rupture de contrats conclus entre le Maroc et l'association des employeurs espagnols du secteur agricole, a déclaré mercredi le ministre, M. Jamal Rhmani.

Les rumeurs prêtant aux autorités espagnoles l'intention de manquer aux engagements pris avec la partie marocaine concernant l'emploi d'ouvrières marocaines durant les mois de février et mars prochains en raison de la crise économique ne sont confirmées par aucune notification officielle espagnole, a-t-il souligné en réponse à une question orale du Groupe de l'Unité et de l'Egalitarisme à la Chambre des représentants.

Le ministre a rappelé que 10.684 contrats saisonniers, dont 5.226 concernant des ouvrières ayant travaillé en Espagne durant des saisons précédentes, ont été conclus au 15 septembre dernier, ce qui confirme le maintien des engagements pris par les associations des employeurs du secteur agricole espagnol.

M. Rhmani a, par ailleurs, indiqué que le nombre des offres d'emploi présentées par les employeurs espagnols par l'intermédiaire de l'Agence Nationale de Promotion de l'Emploi et des Compétences (ANAPEC), a accusé une baisse, notamment dans les secteurs des services et du bâtiment.

Pour la nouvelle campagne agricole, l'ANAPEC a reçu quelque 746 offres de contrats pour la période de plantation du mûrier et de la fraise, a-t-il indiqué.

L'ANAPEC a organisé l'opération de signature des contrats et, au 16 octobre courant, 498 ouvrières sont parties en Espagne alors que 244 autres doivent les rejoindre, a précisé le ministre.

Les autorités marocaines et espagnoles oeuvrent, dans le cadre d'un accord signé le 25 juillet 2001, à renforcer la coopération bilatérale en matière de gestion du mouvement migratoire légal, a-t-il rappelé.

Les deux pays ont convenu, lors de la réunion du groupe de travail permanent maroco-espagnol tenu le 5 octobre courant, de poursuivre la coopération et renforcer les efforts visant à faciliter l'émigration légale comme moyen de lutte contre la migration clandestine, a-t-il ajouté.

Source : MAP

Un total de 275 entreprises ont été créées dans la région Taza-Al Hoceima-Taounate, au profit de Marocains résidant à l'étranger (MRE) avec des capitaux mobilisés de 113 millions de dirhams, représentant ainsi 5,20 pc de l'ensemble des entreprises créées et 1,96 pc de l'investissement dans la région.

Le secteur du commerce et des services vient en tête des demandes de création d'entreprises, selon un rapport du centre régional d'investissement (CRI) de la région Taza-Al Hoceima-Taounate.

Le nombre de projets d'investissement des Marocains résidant à l'étranger agréés par le centre entre 2003 et le premier semestre 2009 a atteint 14 projets avec un montant global de 38,32 millions dirhams, soit 4,57 pc de l'ensemble des projets pouvant favoriser la création de 225 postes d'emplois.

Le secteur du tourisme arrive en tête avec neuf entreprises d'une valeur de 20,15 millions dirhams, soit 64,26 pc de l'ensemble des projets présentés.

Source : MAP

L'Afrique reçoit des sommes considérables des migrants partis travailler sur d'autres continents, mais le manque d'information, de concurrence et de régulation empêche cet argent d'agir pleinement sur le développement. C'est ce que révèle un rapport de l'International Fund for Agricultural Development (IFAD), publié jeudi 22 octobre à l'occasion d'un forum sur les transferts de fonds organisé à Tunis par cette agence de l'ONU, pour mobiliser banques centrales et gouvernements sur la question.

La première surprise de ce rapport tient en un chiffre : d'après l'IFAD, 40 milliards de dollars (26,7 milliards d'euros) sont envoyés chaque année à leurs proches par les émigrés africains. Ce montant était jusqu'alors inconnu, mais il était estimé entre trois et quatre fois moindre.

"L'Afrique avait toujours été une énigme en ce qui concerne les transferts de fonds", explique Pedro de Vasconcelos, économiste à l'IFAD et coauteur de ce premier état des lieux. "On les évaluait généralement entre 10 milliards et 17 milliards de dollars. Même les banques centrales africaines n'avaient aucun chiffre."

Ce manque d'information a des conséquences en cascade : "L'impact des transferts est colossal, mais sous-utilisé. L'argent est là; le problème, c'est le manque d'options. N'ayant pas conscience des montants en jeu, les gouvernements ne se préoccupent pas de réguler le marché ou de rendre ces sommes productives, pas plus que le secteur privé", explique M. de Vasconcelos.

Résultat, le marché des transferts est détenu à 64 % par deux acteurs seulement, Western Union et MoneyGram. Faute de concurrence, le taux des commissions est d'environ 10 % en moyenne en Afrique - où il peut même atteindre 25 % -, contre 5,6 % en moyenne dans le monde.

"Si on réduit ce taux de moitié, 2 milliards de dollars de plus arrivent dans la poche des familles chaque année, résume l'économiste de l'IFAD. En Amérique latine, l'ouverture du marché a fait chuter les taux de 15 % à moins de 5 %."

La concurrence aurait un autre avantage : la multiplication des points de retrait, dont les zones rurales africaines sont largement dépourvues. Or un tiers des transferts sont destinés à des familles rurales. "Le Mexique dispose d'autant de points de retrait que toute l'Afrique, avec une population dix fois moindre", compare M. de Vasconcelos. "Pour beaucoup d'Africains, aller chercher cet argent, c'est un ou deux jours de travail perdus."

L'agence des Nations unies propose de transformer les bureaux de poste en points de retrait, alors qu'ils n'en ont aujourd'hui pour la plupart ni le droit ni les moyens. L'IFAD vient de signer un accord avec l'Universal Postal Union pour travailler en ce sens.

D'autres solutions existent. Au Kenya, le téléphone mobile devient un des moyens les plus économiques d'effectuer des transferts d'argent. Le Kenya est aussi un des rares pays à autoriser les institutions de microfinance à opérer ces envois de fonds. Dans toute l'Afrique, ces organismes ne forment que 3 % des points de retrait. Leur ouvrir le marché des transferts suffirait à doubler le nombre de guichets, selon l'IFAD.

Surtout, au lieu d'un simple mécanisme de consommation, "cela créerait une dynamique locale d'épargne et de microcrédit, qui donnerait une tout autre dimension à l'économie", estime M. de Vasconcelos.

Car si l'essentiel de l'argent des transferts de fonds sert à faire face à des dépenses de première nécessité - nourriture, logement, santé ou éducation -, "5 à 10 milliards de dollars sont disponibles pour l'épargne et l'investissement", selon le rapport. Des sommes capitales en pleine crise économique, alors que l'aide publique au développement s'essouffle et que les investissements directs étrangers s'effondrent.

Les transferts des migrants souffrent eux aussi : ils ont chuté de 12,7 % depuis le début de l'année selon l'IFAD. Un choc d'autant plus rude que ces envois avaient connu une croissance moyenne de 17 % dans le monde depuis dix ans, et que "par rapport à d'autres régions, l'Afrique dépend vraiment des transferts de fonds", précise M. de Vasconcelos.

Source : Le Monde

Taoufik Baccar, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, a inauguré jeudi 22 octobre 2009 le Forum international sur les transferts de la diaspora africaine. Le forum est co-organisé par que la Banque africaine de développement et le Fonds international pour le développement de l'agriculture (FIDA) et ce les 22 et 23 octobre 2009 à l'hôtel LAICO Tunis.
Selon un nouveau rapport du FIDA, la diaspora africaine transfère chaque année plus de 40 milliards de dollars sur le continent, mais les restrictions réglementaires et le coût prohibitif des transactions de transfert oblitèrent les transferts de fonds de la diaspora et les empêchent de sortir les populations de la pauvreté. Ce rapport, Sending Money Home to Africa, sera présenté le 22 octobre à Tunis après l'ouverture officielle du Forum.

Pour trouver des solutions pour une meilleure utilisation des transferts de la diaspora, la BAD avait lancé de son côté, une étude pour répartir ces transferts sur 4 corridors : France-Comores, France-Mali, France-Maroc et France-Sénégal. Cette étude a montré que les transferts de la diaspora pouvaient représenter 750 % de l'aide au développement perçue par certains pays. Dans ce contexte, un fonds pour la canalisation de ces ressources devrait bientôt être lancé par la BAD et la France.
Selon un communiqué de presse, Donald Kaberuka, président du Groupe de la BAD, procèdera le 23 octobre à Paris, aux côtés d'Eric Besson, ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, ainsi que du représentant du FIDA, à la signature de l'accord portant création du Fonds fiduciaire sur les transferts de fonds des migrants.
Ce fonds, administré et géré par la BAD, est ouvert à d'autres donateurs -Etats ou institutions. Il vise à fournir des financements pour l'amélioration des connaissances sur les transferts des fonds des migrants en Afrique, l'appui aux réformes des cadres règlementaires nécessaires à l'amélioration des conditions de transfert, le développement de produits financiers et l'appui à l'investissement productif et au développement local dans les pays d'origine des migrants.

Source : Business News

Mme Karima Benyaich, ambassadeur du Maroc au Portugal a exprimé sa détermination à oeuvrer à l'amélioration des prestations administratives et sociales au profit des membres de la communauté marocaine.

Rencontrant mercredi à Porto (320 km au nord de Lisbonne) les membres de la communauté marocaine établis dans cette ville, Mme Benyaich a souligné la disposition de l'ambassade du Maroc à moderniser ses outils de travail à travers la mise en place d'un service d'accueil performant pour faciliter les démarches administratives. Elle a, à cet égard, annoncé le lancement prochainement d'un site web dédié à la communauté marocaine pour lui permettre notamment d'effectuer à distance les démarches administratives et obtenir les informations nécessaires sur les facilités accordées en matière d'investissement au Maroc.

Mme Benyaich a rappelé que ces efforts s'inscrivent en droite ligne des hautes orientations de SM le Roi Mohammed VI relatives à l'amélioration des conditions de vie et de séjour des ressortissants marocains résidant à l'étranger. Elle a également fait part des démarches auprès des autorités portugaises pour régler certains problèmes administratifs des ressortissants marocains et des efforts visant à répondre aux doléances des immigrés marocains établis à Porto concernant notamment l'enseignement de la langue arabe aux enfants.

Les membres de la communauté marocaine à Porto ont saisi cette occasion pour réitérer leur attachement au glorieux trône alaouite et leur mobilisation constante derrière le Souverain pour la défense de l'intégrité territoriale du Royaume.

Selon des statistiques récentes des services consulaires, la communauté marocaine au Portugal est estimée à quelque 3.500 personnes, dont 40 pc de femmes travaillant principalement dans le secteur tertiaire.

Source : MAP

Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a rendu hommage jeudi aux victimes de la traite des êtres humains venus dénoncer ces crimes, au siège de l'ONU, à New York, lors d'un événement spécial organisé par le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme (HCDH).

Quatre victimes ont apporté leur témoignage sur le thème "Donner la parole aux victimes et aux survivants de la traite des êtres humains".

"Le trafic d'êtres humains blesse, traumatise et tue. Il dévaste les familles et menace la sécurité mondiale. Et il implique des pratiques atroces, notamment la servitude pour dettes, le travail forcé, la torture, le trafic d'organe, l'exploitation sexuelle et des conditions proches de l'esclavage", a dénoncé jeudi le Secrétaire général.

M. Ban a souligné que la lutte contre le trafic passait par la prévention, la protection et les poursuites. Les victimes "ont besoin d'un système judiciaire capable de poursuivre les trafiquants et leur infliger de lourdes peines. Le taux de condamnation dans la plupart des pays reste dérisoire au regard de l'ampleur du problème. Mais lorsque les Etats aident les victimes, elles peuvent aider les Etats à briser les réseaux de trafiquants".

Il a souligné que le phénomène ne faisait que s'aggraver du fait de la crise économique.

"La lutte contre la traite des êtres humains, un fléau qui touche près de 30 millions de personnes, exige que la voix des victimes soit entendue pour adapter nos politiques à leurs propres expériences", avait déclaré de son côté la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'Homme, Navi Pillay.

Source : MAP

A l'initiative du musée du quai Branly à Paris, le spectacle Izlan : chants, poésies et danses berbères aura lieu du 27 novembre au 7 décembre ...

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