vendredi 5 juillet 2024 16:21

Le ministre des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration met les jeunes au cœur de ses préoccupations. Anis Birou explique les grandes lignes de la stratégie établie pour accompagner les jeunes…Suite

Le choix de la thématique de cette journée, à savoir "Les jeunes Marocains du monde : potentialités et défis d'avenir", est "loin d'être anodin, puisque la jeunesse d'une manière générale, et celle des Marocains du monde en particulier, occupe une place plus importante dans les politiques publiques ces dernières années"…Suite

Les migrants qui cherchent à se réfugier en Australie par voie maritime sont transférés de force à Nauru, Etat insulaire du Pacifique. Une politique critiquée par des ONG, qui dénoncent notamment une violation de la loi internationale sur l'aide aux réfugiés.

Ils sont près de 800 000 juifs d’origine marocaine à vivre en Israël, dénombre le ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad. La plupart d’entre eux sont encore attachés à leurs origines et à la culture marocaine, comme l’artiste israélienne Neta Elkayam. Originaire de Tinghir, la chanteuse est restée fidèle à son patrimoine et veille à présenter des chansons inspirées du Maroc en darija. Retour sur la place qu’occupe le Maroc auprès de Neta El Kayam, ses origines et ses projets. Entretien.

La tragédie migratoire se poursuit toujours en méditerranée.

Plus de 89 000 migrants, pour la plupart originaires d’Afrique subsaharienne, sont arrivés sur les côtes italiennes depuis le début de l’année, un total approchant des 93 000 recensés entre janvier et juillet 2015.

Alors que l’Europe fait face à un afflux important de migrants et de réfugiés, 74% des citoyens souhaitent que l’Union européenne intervienne davantage qu’à l’heure actuelle sur la question migratoire, selon un récent sondage Eurobaromètre réalisé par le Parlement. Les deux tiers des personnes interrogées estiment que l’action actuelle de l’Union européenne est insuffisante.

En 2015, 2,5 millions de Marocains résidant à l’étranger ont regagné le royaume. Comment s’y sont-t-ils pris ?

Dans le grand jardin public de Milan, dédié au journaliste Indro Montanelli où je me prélasse en cette fin de juillet caniculaire, il y a des centaines de jeunes migrants érythréens qui ont posé là, pour une nuit ou pour une saison, leurs baluchons. Ils arborent un sourire pas feint pour deux sous et ignorent tout de cette grande plume qui couvrit jadis la conquête de l’Abyssinie par Mussolini et prit pour épouse une jeune Erythréenne qui aurait aujourd’hui l’âge de leur grand-mère.

L’Égypte semble devenir la nouvelle préoccupation de l’Union européenne (UE) sur le dossier des migrants. Après les restrictions appliquées par la Turquie depuis mars 2016, le nombre de personnes arrivées en Europe par la partie orientale de la Méditerranée, essentiellement vers la Grèce, a baissé de 95 % au mois de juin par rapport à l’année dernière. Frontex, l’agence chargée de la gestion des frontières extérieures de l’UE, craint désormais de voir l’Égypte « devenir un pays de départ » selon les propos tenus par son directeur Fabrice Leggeri à la presse allemande à la fin du mois de juin.

Le festival des «Marocains Rigolos à l’étranger» (MRE) revient pour la deuxième année consécutive et élargit sa programmation pour devenir celui des «Marocains Rigolos et Résonnants à lʼÉtranger».

Au moment où l’Europe fait face à un afflux important de migrants et de réfugiés, 74 pc de citoyens européens souhaitent que l’Union européenne intervienne davantage qu’à l’heure actuelle sur la question migratoire, selon un récent sondage Eurobaromètre réalisé par le Parlement européen. 

Vingt-et-un migrants dont l'identité n'a pu être établie ont été enterrés dans une petite ville de Libye par des habitants qui ne supportaient plus de voir leurs corps se décomposer près de la plage, sans que les autorités ne réagissent.

Plus de 153.000 Marocains résidant à l'étranger (MRE) ont regagné le Maroc via le poste de Bab Sebta depuis le lancement de l'opération "Marhaba 2015", le 5 juin dernier jusqu'à dimanche soir, selon une source douanière.

Lancée le 28 juillet dernier à Tanger, la deuxième édition des Séminaires régionaux de l’investissement en faveur des Marocains résidant à l’étranger (MRE), ce poursuit cette semaine avec les étapes de Meknès (8 août), Al Hoceïma (10 août), Nador (11 août), Oujda (12 août) et Kénitra (16 août).

Pour l’historienne Sabine Dullin, la démultiplication actuelle des frontières est à rapprocher de celle des époques impériales.

Va-t-il falloir se réhabituer à passer la douane dans une Europe que l’on croyait ouverte ? A l’heure de la monnaie unique, de Schengen et d’Erasmus, les frontières paraissaient caduques. Pourtant, entre attentats, flux de réfugiés et Brexit, la tendance est au repli national.

Pendant que l’Europe essaie de trouver une solution à la plus grave crise migratoire de son histoire récente, certains artistes contemporains s’approprient du sujet et plusieurs expositions invitent à la réflexion.

Le tissu associatif des Marocains résidant à l’étranger est composé de quelque 2 500 associations. Qu’elles évoluent dans la réalisation d’activités culturelles, religieuses ou encore sportives dans les pays d’accueil, ou qu’elles soient actives dans les projets de développement local du Maroc, elles constituent une véritable richesse pour le pays.

Le Maroc soutient l’enseignement de la langue arabe et la culture nationale à travers l’enseignement institutionnel et parallèle. Des accords intergouvernementaux ont été signés avec la France, l’Espagne et la Belgique. Au total, on dénombre jusque-là 70 000 bénéficiaires.

Création de réseaux géographiques, par corps de métiers, de réseaux des entrepreneurs…, plusieurs actions ont été concrétisées dans le cadre du programme de mobilisation des compétences. Plusieurs organismes nationaux et internationaux sont impliqués.

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