« De ces centaines de morceaux de textes, affiches, photos, il reste l’histoire de milliers d’émigrés qui ont quitté leurs pays, familles et amis pour partir travailler en France.
La mémoire sur les chemins de l’immigration et de l’exil se transforme en gares, musiques, amendes, machines, glaise, abris, carte de séjour, ports, herbes sauvages, être fragiles et écumes.
Le rire sur ces sentiers devient la religion du pauvre devant la brutalité des puissants »