mercredi 27 novembre 2024 15:27

Le Mondial-2010 est le premier tournoi où la sélection allemande reflète la diversité de sa société, avec 11 joueurs sur 23 nés hors d'Allemagne ou d'origine étrangère.

A 21 ans, Mesut Özil a déjà beaucoup de responsabilités: il est le plus jeune meneur de jeu de l'histoire de la Nationalmannschaft, il doit faire oublier le forfait de la star Michael Ballack et il est le symbole d'une Allemagne "multi-kulti", ou multi-culturelle, transformée depuis les années 1960 par divers courants migratoires.

Il aura fallu attendre 2010 pour qu'un joueur d'origine turque devienne, à l'exception notable de Mehmet Scholl dans les années 1990, titulaire indiscutable en équipe d'Allemagne. Un comble lorsqu'on sait que la communauté turque, installée essentiellement dans l'ancien bassin industriel de la Ruhr et à Berlin, est la plus importante d'Allemagne avec 2,5 millions de personnes d'origine ou de nationalité turque.

La faute à la Fédération allemande qui se faisait "piquer" les talents par leur pays d'origine. La faute surtout au style de jeu pratiqué par l'Allemagne, réputée jusqu'à peu pour sa puissance physique et sa rigueur défensive.

Avec Jürgen Klinsmann de 2004 à 2006 et Joachim Löw depuis, le football allemand est devenu plus offensif, plus technique et la sélection s'est ouverte aux profils les plus divers.

Comme le résume Philipp Lahm, le nouveau capitaine, "il y a moins de joueurs typiquement allemands et cela nous fait beaucoup de bien".

Löw a intégré Cacau le Brésilien, naturalisé allemand en 2009, Mesut Özil et Serdar Tasci, fils d'émigrés turcs, Sami Khedira, de père tunisien, Marko Marin, né en Bosnie, Dennis Aogo, d'origine nigériane, et Jérôme Boateng qui aurait pu représenter, comme son demi-frère Kevin-Prince, le Ghana.

Ils ont rejoint la "faction" polonaise (Klose, Podolski, Trochowski) et Mario Gomez, de père espagnol et de mère allemande, déjà présents à l'Euro-2008.

"Ils sont Allemands de la tête au pied. Pour un entraîneur, c'est un enrichissement, car ils ont, en plus de leur style de jeu, des cultures et des mentalités différentes", s'enthousiasme Joachim Löw.

L'Allemagne a eu le déclic en voyant la France Black-Blanc-Beur de Zinédine Zidane remporter la Coupe du monde 1998 quand son équipe nationale "100% allemande" échouait en quart de finale.

"On regardait cette France avec admiration et on ne pensait pas qu'avoir une telle équipe était possible chez nous", rappelle l'ancien international Oliver Bierhoff, aujourd'hui manageur de la Nationalmannschaft.

La Fédération allemande (DFB) a depuis fait de l'intégration par le football son message central. Elle parvient désormais à convaincre les talents d'origine étrangère, majoritaires dans les sélections de jeunes et convoités par le pays de leurs parents, d'opter pour la Nationalmannschaft.

"Pour moi, il a toujours été clair que je porterai ce maillot", assure Özil, né à Gelsenkirchen et objet de menaces de mort de supporteurs turcs lorsqu'il a choisi de représenter l'Allemagne, son pays.

Source : Le Temps/AFP

Le gouvernement britannique s'est dit mercredi prêt à explorer avec son homologue marocain les meilleurs moyens de renforcer les liens de coopération dans les domaines liés à l'immigration.

Le gouvernement britannique souhaite renforcer les discussions avec la partie marocaine au sujet des moyens de renforcer cette coopération, a confié à la MAP M. Eric Pickles, Secrétaire d'Etat britannique chargé de la cohésion sociale, à l'issue d'une séance de travail avec le ministre délégué chargé de la communauté marocaine à l'étranger, M. Mohamed Ameur, actuellement en visite au Royaume-Uni.

Le responsable britannique a qualifié d'"intéressants" ses entretiens avec M. Ameur, notamment au sujet du projet visant la mise en place en Grande-Bretagne d'un espace culturel au profit de la communauté marocaine au Royaume-Uni.

"Nous allons examiner les moyens d'avancer rapidement vers la concrétisation de ce projet", a assuré M. Pickles.

Lors de la rencontre, tenue au siège du parlement britannique, M. Ameur a donné un aperçu sur les pas franchis par le Maroc dans tous les domaines, soulignant que les entretiens avec les responsables britanniques offrent l'occasion d'examiner les moyens de bâtir un partenariat gagnant-gagnant dans les domaines touchant à la vie culturelle et à la préservation de l'identité de la communauté marocaine établie au Royaume-Uni, en particulier les jeunes.

Le secrétaire d'Etat, qui a rappelé que le Maroc et la Grande-Bretagne partagent les mêmes valeurs et idéaux de démocratie, de tolérance et de pluralisme, a souligné que le Maroc est soucieux de voir ses ressortissants réussir leur intégration dans les pays d'accueil tout en restant attachés à leurs origines.

Il a souligné que le centre culturel que le Maroc propose de créer en Grande-Bretagne devra servir d'espace d'échange, de dialogue et de partage, l'objectif étant de refléter l'image réelle d'un Maroc moderne et en marche.

De son coté, le Sous-secrétaire d'Etat britannique chargé des Communautés et des Gouvernements Locaux, M. Andrew Stunel, a indiqué que le Royaume-Uni attache une grande importance au renforcement des échanges avec le Maroc, un pays, a-t-il dit, qui demeure "un modèle".

Source : MAP

 

L'Appel chrétien démocrate (CDA), la formation du premier ministre néerlandais sortant, Jan Peter Balkenende, va réunir un congrès pour décider s'il participera, ou non, à un gouvernement de coalition, a indiqué le président intérimaire du parti, Henk Bleker, mercredi 16 juin. Le CDA, qui a subi une lourde défaite électorale le 9 juin (21 sièges de députés, - 20) est divisé sur le principe d'une nouvelle participation au pouvoir, et singulièrement avec le Parti de la liberté (PVV), la formation du député populiste de droite Geert Wilders.

La reine Beatrix, chef de l'Etat, a nommé il y a quelques jours un "informateur" chargé de mener les premières négociations : Uri Rosenthal, membre du Parti populaire pour la liberté et la démocrate (VVD, libéral), le vainqueur du scrutin législatif. Il est chargé d'examiner la possibilité d'une coalition entre le VVD et le PVV de M. Wilders. Une formule qui a les faveurs des électeurs libéraux, comme l'a confirmé un sondage récent.

Cette formule à deux ne dispose toutefois pas d'une majorité suffisante à la Chambre des députés : il lui manque 20 sièges, que pourraient lui apporter les chrétiens démocrates. Mais jusqu'ici, le CDA a refusé le principe de négociations directes.

Son nouveau leader, Maxime Verhagen, ministre des affaires étrangères sortant, devait rencontrer séparément M. Rosenthal, mercredi. Il estime que libéraux et populistes doivent sceller leur entente avant de s'adresser à une troisième formation. Mark Rutte, numéro un des libéraux, a esquivé, estimant qu'une coalition de droite reste "la plus évidente". Geert Wilders, en revanche, a critiqué l'attitude de M. Verhagen : "Il doit indiquer qu'il n'a pas envie du PVV, ou alors il doit négocier avec nous."

DES CADRES LOCAUX TRÈS RÉTICENTS

Le dirigeant populiste a renoncé à certaines de ses exigences et s'est montré particulièrement coopératif depuis quelques jours. Il a déclaré qu'un gouvernement de droite serait "tout à fait fantastique" pour les Pays-Bas. En fait, il n'ignore pas que, faute d'une alliance avec les libéraux et les chrétiens démocrates, il n'a aucune chance de participer au pouvoir. Or, les critiques enflent au sein du CDA, de nombreux cadres locaux estimant impossible de gouverner avec M. Wilders étant donné, notamment, ses positions sur l'islam, l'immigration et le droit d'asile. M. Wilders veut fermer les frontières des Pays-Bas à toute immigration et réclame l'interdiction du Coran, qu'il qualifie de "fasciste".

La mission confiée à l'informateur de la reine semble intégrer la possibilité d'un échec des négociations avec le PVV. M. Rosenthal a, en effet, été invité à examiner "en premier lieu" l'hypothèse d'une coalition de droite. Ce qui maintient la possibilité d'une alliance entre les libéraux et des travaillistes, le deuxième parti du pays. Mais là, ce sont les divergences entre les programmes socio-économiques des uns et des autres qui pose problème.

Seule certitude : les négociations pour la formation d'un gouvernement s'annoncent très longues à La Haye.

Source : Le Monde

Après un très long séjour en France (18 ans) et de nombreux spectacles donnés à travers l’Europe, la chanteuse marocaine évoque…Suite

Jordi Hereu, le maire socialiste de Barcelone, a annoncé lundi que le port du voile intégral sera  interdit dans tous les bâtiments publics de la capitale. Pour l'association ATIME, il s'agit de manœuvres électorales…Suite

La Fondation des Trois Cultures et le ministère chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger organisent conjointement les 14 et 15 juin, un séminaire international à Séville. De nombreux experts des deux rives du Détroit prennent part à cette rencontre qui a pour thème « Dynamiques migratoires des Marocains dans le contexte de l'Union Européenne et l'Espagne ».

Les travaux qui ont débuté ce lundi matin se pencheront en deux jours sur l’état actuel de l’immigration et les mouvements associatifs marocains en Andalousie, selon un communiqué de la Fondation. La coopération en matière d’immigration dans le dialogue euro-méditerranéen ainsi que l’évaluation des politiques migratoires sont d’autres sujets qui sont à l’ordre du jour.

L’objectif de ce séminaire est d’« améliorer et mettre à jour » les connaissances de la migration marocaine dans le contexte espagnol et européen, précisent les organisateurs. Cette première journée a été consacrée en partie à la présentation de l’étude intitulée « Marocains en Andalousie. Dynamiques migratoires et conditions de vie ». Cette enquête dévoilée en juillet 2009 par le Centre d'études andalouses (CEA), entre dans le cadre d’un projet d’investigation développé parallèlement par la Fondation des Trois Cultures, avec le CEA, la Direction générale de coordination des politiques migratoires du ministère andalou de l'Emploi.

Le séminaire international de Séville se tient dans le cadre du cycle d'activités culturelles « Maroc en trois cultures », organisé depuis le 26 mai à Séville (Sud de l'Espagne) par la Fondation des Trois Cultures de la Méditerranée. Des concerts de musique, des expositions et défilés de mode, des projections de films marocains ainsi que des concours gastronomiques sont au programme de « Maroc en trois cultures », qui s’étale jusqu'à octobre prochain.

Source : Yabiladi

Bruxelles accueillera ce mercredi une soirée littéraire organisée par Fouad Laroui. L’auteur marocain se fera ainsi l’hôte de trois « Marocains du marécage » bruxellois : le cinéaste Nabil Ben Yadir, la chanteuse Laïla Amezian et l'écrivaine et femme politique Yamila Idrissi.

Une ambiance littéraire, une discussion entre intellectuels, c’est en somme le programme que proposera le Centre littéraire de Bruxelles ce mercredi à 20 heures (heure de Bruxelles). Ce qu’il y a de spécial, c’est que les intellectuels en question sont de grands noms issus du terroir maghrébin, et qui, chacun à sa manière, font parler d'eux dans leur domaine de prédilection.

L’un de ces grands nom n’est autre que Fouad Laroui, écrivain, économiste et scientifique, auteur d’un essai sur l’immigration nord-africaine en Hollande, paru en mai. L’œuvre, intitulée Des Bédouins dans le polder, est un portrait atypique de l’immigration, basé sur le vécu de l’auteur, et des témoignages reçus.

Fouad Laroui comptera parmi ses invités le réalisateur belge Nabil Ben Yadir, dont le film Les Barons,  sorti en Belgique au mois de novembre 2009 a obtenu le prix du jury lors de la dernière édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM). Il y aura aussi Laïla Amezian, chanteuse marocaine aux inspirations jazz. Le trio d’invité sera complété par Yamila Idrissi, députée flamande d’origine marocaine.  Comme qui dirait, les grands esprits se rencontrent

Source : Yabiladi

La jeune artiste marocaine Sofia Essaïdi est la marraine de la saison 2 du concours "Les Talents Acoustic", une émission de TV5Monde offrant un tremplin aux futurs talents de la scène musicale francophone, a-t-on appris mardi auprès de la chaîne internationale francophone.

A la fois chanteuse, danseuse et comédienne, Sofia Essaïdi a triomphé dans la comédie musicale "Cléopâtre, reine d'Egypte" ou encore dans "Aïcha", une fiction réalisée par Yamina Benguigui pour France 2 et dont une suite est actuellement en tournage.

La jeune chanteuse marocaine est lauréate de l'émission de TF1, "Star Academy" (2003). En janvier 2010, elle est élue artiste féminine francophone de l'année aux NRJ Music Awards à Cannes (Sud-est de la France). Un mois plus tard, elle reçoit le prix de la "meilleure actrice" aux "jeune talents de l'année 2009" pour sa prestation dans "Aïcha".

L'artiste marocaine succède à Mademoiselle K qui avait accompagné les candidats de la première édition en 2009 sur le plateau d'"Acoustic", et viendra soutenir la prestation des cinq finalistes en octobre prochain lors de l'enregistrement de l'émission.

Après le succès de la première édition l'an dernier, TV5MONDE a ouvert depuis le 26 avril, et jusqu'au 29 août, les inscriptions pour la saison 2 de son concours musical. Près de 150 candidatures ont déjà été enregistrées en 6 semaines sur le site de la chaîne.

Source : MAP

Pour remédier à la situation de sous-liquidité bancaire, qui persiste depuis 2007, un effort devrait être déployé en direction de la bancarisation et de la petite et moyenne épargne, a indiqué, mardi à Rabat, le gouverneur de Bank Al Maghrib, M. Abdellatif Jouahri.

L'objectif d'un taux de bancarisation de 50 pc en 2010 est vraisemblablement à portée de main, surtout après le lancement de banque postale "Al Barid Bank", a affirmé M. Jouahri, lors du point de presse tenu à l'issue de la réunion trimestrielle du Conseil de Bank Al Maghrib.

"Nous sommes actuellement à un taux de bancarisation de 47 pc, avec le réseau d'Al Barid Bank. Il y a encore de la marge" pour atteindre l'objectif de 50 pc à fin 2010, a souligné le gouverneur de la Banque centrale, précisant que la bancarisation du monde rural n'est que de 6 pc.

"Nous avons donné l'agrément à la banque postal pour qu'elle participe à cet effort de bancarisation", a-t-il dit, ajoutant que Poste Maroc, qui compte actuellement environ 4 millions de clients, vise d'ici 2013 environ 6 millions.

Parmi les autres mesures que Bank Al Maghrib juge utiles pour remédier à la situation de sous-liquidité bancaire, M. Jouahri a cité le renforcement de la proximité avec les Marocains résidents à l'étranger .

"Nous avons incité le secteur bancaire à aller davantage vers une politique de proximité avec les Marocains résidents à l'étranger ", a-t-il poursuivi, estimant que cette politique a "commencé à donner des résultats", en témoigne l'amélioration des transferts des MRE, durant les quatre premiers mois de l'année en cours (+11,9 pc).

M. Jouahri a indiqué, également, que des efforts devraient être déployés en direction de la mobilisation de l'épargne à long terme dans le but de permettre aux liquidités de "reprendre une certaine normalité".

Il a indiqué, dans ce cadre, que vu les contraintes d'investissement et le niveau des coefficients d'emploi, il n'est pas admissible, maintenant plus que jamais, de trouver des financements de court terme au niveau de l'investissement, estimant nécessaire de travailler en direction des incitations pour la mobilisation de l'épargne à long terme.

Source : MAP

Le gouvernement a mis en place une nouvelle stratégie visant une meilleure interaction avec la communauté marocaine à l'étranger, a affirmé mardi soir à Londres, le ministre délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur.

Cette stratégie se base sur le renforcement des liens des MRE avec leur mère patrie, et l'accompagnement des efforts de cette communauté visant une meilleure intégration dans les pays d'accueil, a expliqué le ministre lors d'une rencontre avec des membres de la communauté marocaine établie au Royaume-Uni.

Dans ce cadre, le ministère a pris plusieurs initiatives dans l'objectif de consolider l'attachement des Marocains de l'étranger aux valeurs, à la langue et à la culture du Maroc, a dit le ministre.

Il a rappelé, dans ce sens, un projet visant la création de centres culturels dans plusieurs pays.

"Il est absolument nécessaire de renforcer davantage l'attachement des Marocains résidant à l'étranger au Maroc, à travers l'enseignement de la langue arabe et l'ancrage des préceptes de l'Islam", a indiqué le ministre, précisant qu'à cette fin, environ 600 enseignants d'arabe ont été envoyés aux pays d'accueil.

M. Ameur a également rappelé l'organisation des universités d'été qui reçoivent chaque année plusieurs jeunes MRE, formant le vŒu de voir ces universités accueillir entre 1000 et 1500 jeunes Marocains dans les prochaines années.

Le responsable a, par ailleurs, passé en revue les multiples initiatives prises par les autorités marocaines en faveur des MRE désirant lancer des projets au Maroc.

Il a cité, en autre, la création du fonds MDM Invest qui permet aux MRE investisseurs qui assurent 25 pc du coût global du projet de bénéficier d'une aide de l'Etat de 10 pc et d'un financement bancaire de 65 pc avec un taux d'intérêt faible, ainsi que la création d'un fonds d'aide aux à l'acquisition de logements, et une initiative visant à encourager et à soutenir les investissements au Maroc.

M. Ameur a, d'autre part, souligné la qualité des membres de la communauté marocaine à l'étranger, invitant les MRE à s'engager davantage aux efforts de défense des intérêts du Royaume contre les ennemies de son intégrité territoriale.

Intervenant lors de cette rencontre, le Secrétaire général de la Moroccan-British Society (MBS), M. Driss Ouaouicha, a rappelé les objectifs de l'association qui vise à renforcer les liens d'amitié entre le Maroc et la Grande-Bretagne, ajoutant que la MBS est ouverte aux contributions et aux suggestions des MRE dans ce sens.

M. Ouaouicha, également Président de l'université Al Akhawayn d'Ifrane, a souligné les efforts fournis par l'université pour assister les étudiants marocains désireux de poursuivre leurs études au Royaume-Uni, rappelant également les possibilités qu'elle offre aux étudiants MRE dans le cadre des programmes d'échange.

Source : MAP

Dans un rapport, la Commission européenne contre le racisme et l'intolérance "recommande aux autorités françaises de réviser la législation sur l'immigration", qui est de nature à "encourager un climat hostile".

Un rapport de la Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (Ecri), un organe du Conseil de l'Europe, dénonce le climat de xénophobie qui entoure les questions d'immigration en France, a-t-on appris mardi 15 juin.

En conséquences, l'Ecri "recommande vivement aux autorités françaises de réviser la législation sur l'immigration et le droit des non ressortissants", du 20 novembre 2007. La Commission estime en effet que la législation est de nature à "encourager un climat hostile aux non ressortissants".

"Au-delà de la question des droits fondamentaux des non ressortissants", le collège d'experts issus des 47 états membres de l'organisation "s'inquiète de l'évolution du climat général à (leur) égard".

Dérapages des élus et des membres du gouvernement

Dans le collimateur de la Commission : les politiques français et le débat sur l'identité nationale. "Plusieurs propos tenus notamment sur les questions d'immigration et d'intégration par les responsables politiques, y compris par des élus et des membres du gouvernement, ont été ressentis comme encourageant l'expression du racisme et particulièrement de la xénophobie", souligne l'Ecri. Elle se félicite en revanche des condamnations de ces dérapages par la société.

Rédigé fin 2009, ce quatrième rapport sur la France reprend les analyses de la Halde (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité), qui soulignent que "l'immigration choisie", vantée par le président Nicolas Sarkozy, a "un caractère potentiellement discriminatoire".

Selon la Commission, "l'immigration choisie" associe trop exclusivement le droit de résider en France à l'exercice d'un métier dans un secteur qui peine à recruter, au détriment d'autres raisons telles que le regroupement familial.

Le ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale est particulièrement épinglé par le rapport pour sa "politique du chiffre" en matière de reconduites aux frontières. L'Ecri estime que ces objectifs "créent apparemment des tensions au sein de la société française et des administrations concernées". Ils "entraîneraient des excès" en matière d'interpellations et contribueraient à développer une "suspicion généralisée de fraude" à l'encontre des étrangers.

"Profilage racial" persistant

En revanche, la Commission se réjouit que la loi de 2007 reconnaisse la nécessité d'agir en faveur de l'intégration tout en mettant en garde "contre les excès possibles". Elle s'interroge sur la pertinence du lien entre l'obtention d'une carte de résident et le respect du contrat d'accueil et d'intégration, qui prévoit une formation linguistique et civique, alors que "le degré d'intégration d'une personne ne dépend pas seulement de sa volonté".

En outre, le rapport dénonce "la persistance d'allégations de comportements discriminatoires de la part des représentants de loi", notamment le "profilage racial" ou "contrôle au faciès".

Un commentaire de la France joint au rapport est contesté par la France.

La Commission, qui s'appuie notamment dans ses analyses sur le travail de la Halde et de la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), invite par ailleurs le gouvernement français à "soutenir" ces deux institutions.

Source : Le Nouvel Observateur

Wali Al Madhalim, Moulay M'hamed Iraki, a été réélu à l'unanimité président de l'Association des Ombudsmans de la Méditerranée (AOM), lors de l'assemblée générale de cette association tenue mardi à Madrid.

S'exprimant à cette occasion, M. Iraki a passé en revue les principales étapes franchies par l'Association depuis sa création et les initiatives qu'elle a entreprises, tout en soulignant les défis et enjeux auxquels elle doit faire face.

M. Iraki avait souligné, lors des travaux de la 4ème rencontre de l'AOM, que le choix de la problématique de la relation entre immigration, droits de l'Homme et rôle des ombudsmans comme thème de cette rencontre était "judicieux", étant donné l'importance de cette question et sa complexité.

Il avait mis l'accent sur l'importance de toutes les questions relatives à l'immigration et aux migrants, notamment la nécessité de défendre la dignité et les droits de cette catégorie sociale pouvant faire face à toute forme d'exclusion et de marginalisation, surtout en cette conjoncture de crise économique vécue par plusieurs pays d'accueil.

"Cette situation nous interpelle tous en tant qu'institutions de médiation ou ombudsmans", avait-t-il ajouté.

La 4ème réunion de l'AOM a été une occasion de mettre en lumière les diverses conceptions et expériences des différents pays membres de l'Association sur la question de l'immigration et des droits de l'Homme.

Elle a été sanctionnée par l'adoption d'une déclaration où l'AOM a exprimé son engament à oeuvrer pour la promotion et la défense des droits fondamentaux et le respect de la dignité des migrants, ainsi qu'à veiller au respect des droits fondamentaux dans tout l'espace méditerranéen pour toutes les catégories de migrants, y compris les migrants irréguliers.

L'Association a appelé à "mettre en œuvre une politique active d'intégration des migrants et de lutte contre l'exclusion, la xénophobie, le racisme, l'antisémitisme et, en général, contre toute forme de fanatisme".

L'Association des ombudsmans méditerranéens a été créée en 2008 à Marseille, à l'occasion de la 2ème rencontre du Réseau méditerranéen des médiateurs et ombudsmans.

Source : MAP

La qualité du dialogue politique entre le Maroc et l'Italie et leurs acquis en matière de coopération économique et d'échanges humains militent pour que les deux pays inscrivent désormais leur partenariat dans une vision stratégique et novatrice, ont souligné mardi à Rome Mmes Latifa Akharbach, Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération et Stefania Craxi, Secrétaire d'Etat italienne aux Affaires Etrangères.

Lors d'entretiens qui s'inscrivent dans le cadre des consultations politiques renforcées entre le Maroc et l'Italie, les deux responsables se sont félicités, à ce propos, du niveau du dialogue politique existant entre les deux pays et des acquis en matière notamment de coopération économique.

S'agissant de la coopération migratoire avec l'Italie, la secrétaire d'état a rappelé que, comme c'est le cas avec l'ensemble des pays de l'Union Européenne, le Maroc prône l'adoption d'une stratégie globale et équilibrée, fondée essentiellement sur la promotion de l'immigration légale et la facilitation des procédures d'obtention de visas.

Lors de ses entretiens avec Mme Akharbach, Mme Craxi a, pour sa part, salué l'intégration réussie de la communauté marocaine résidant en Italie et loué sa contribution active au développement économique de la Péninsule.

D'autre part, les deux parties ont relevé la convergence de leurs analyses concernant le coût humain, politique et économique du non-Maghreb et souligné la nécessité de lever les blocages institutionnels et politiques qui entravent la marche et l'action de l'Union pour la Méditerranée.

Mme Akharbach effectue, du 14 au 16 juin, une visite de travail en Italie pour des entretiens portant sur les derniers développements de la question nationale, la coopération bilatérale économique et culturelle, les relations entre le Maroc et l'Union européenne (UE), la gestion de l'immigration, le partenariat euro-méditerranéen et le processus de paix au Moyen Orient.

Source : MAP

Les associations des Marocains d'Italie ont réaffirmé la mobilisation de l'ensemble de la communauté marocaine pour la défense de la marocanité du Sahara et leur adhésion totale au projet d'autonomie proposé par le Royaume.

Dans un communiqué parvenu mardi à la MAP, le réseau des associations des Marocains d'Italie souligne, à cet égard, l'enthousiasme débordant manifesté par des milliers de membres de cette communauté pour participer à la "Caravane de la Paix" partie, jeudi dernier, de Bruxelles à destination de Lagouira, pour un périple de plusieurs milliers de kilomètres destiné à sensibiliser l'opinion publique européenne à la pertinence du projet d'autonomie et à la légitimité des droits du Royaume sur son Sahara.

Le réseau a tenu, cependant, à rendre un vibrant hommage à cette caravane qui se déroule avec la participation de trois cent cinquante Marocains établis dans plusieurs pays européens, dont l'Italie, un chiffre symbolique en référence aux 350.000 participants à la glorieuse Marche Verte.

Réitérant l'attachement indéfectible de toutes ses composantes à la marocanité des provinces du sud, le réseau souligne la détermination renouvelée des Marocains d'Italie à ne ménager aucun effort pour mettre constamment à nu les manoeuvres ourdies par les ennemis de l'intégrité territoriale et dénoncer leurs mystifications et leurs mensonges.

Il s'élève également contre la répression sauvage à laquelle sont soumis les séquestrés des camps de la honte et l'exploitation à outrance faite par les dirigeants du "polisario" de la situation inhumaine dans laquelle ces séquestrés sont maintenus pour s'enrichir, en détournant à leur profit les aides qu'ils n'ont de cesse de réclamer.

Les associations des Marocains en Italie lancent un appel pressant pour la levée du blocus imposé aux camps de Lahmada afin que les séquestrés puissent retourner librement à la mère patrie, retrouver les leurs desquels ils sont séparés par la force et jouir des bienfaits de la sérénité et de la prospérité dans leur pays, le Maroc.

Source : MAP

Les fondamentaux de l'économie marocaine sont restés stables, malgré un contexte économique international difficile, témoignant ainsi d'une meilleure résistance face aux chocs externes, selon le rapport sur les perspectives économiques en Afrique pour l'année 2010.

Malgré la crise économique internationale, les performances de l'économie marocaine sont "restées bonnes" en 2009, avec un taux de croissance de l'ordre de 5 pc, relève-t-on dans ce rapport, présenté mardi à Rabat, par la Banque africaine de développement (BAD).

"L'instabilité des marchés financiers, la flambée du prix du pétrole et l'essoufflement des grands partenaires commerciaux du Royaume ont fait redouter le pire, pourtant les fondamentaux sont restés stables, témoignant d'une meilleure résistance face aux chocs externes", explique-t-on dans le rapport, élaboré sous le thème "mobilisation des ressources publiques et aide au développement".

La résilience de l'économie marocaine tire son explication des réformes structurelles et sectorielles, lancées au Maroc, et qui ont contribué, ces dernières années, à asseoir "les fondements d'une économie moderne et ouverte sur l'extérieur", ajoute-t-on de même source.

Pour faire face aux effets de la crise économique mondiale, les pouvoirs publics au Maroc ont redoublé d'efforts pour "moderniser le secteur public, lancer de grands projets d'infrastructure, promouvoir le secteur privé et protéger l'environnement", relève-t-on dans le rapport sur les perspectives économiques en Afrique.

Le rapport fait état également de certaines fragilités au niveau de l'économie nationale, soulignant que la crise a eu un impact négatif sur les recettes touristiques et les transferts des marocains résidents à l'étranger.

La croissance économique devrait donc marquer le pas en 2010 pour s'établir à environ 4,3 pc, estime le même rapport, élaboré en partenariat avec l'OCDE et la Commission économique pour l'Afrique de l'ONU (CEA).

"Les performances économiques du Maroc sont frappantes et remarquables", a affirmé Mme Amani Abou-Zeid, représentant résidante de la BAD, lors de la présentation du rapport.

Elle a réaffirmé, à cette occasion, la disposition de la BAD à accompagner le Maroc dans ses efforts visant à consolider davantage ses fondamentaux économiques.

"Nous encourageons les autorités marocaines à continuer sur cette voie", a-t-elle dit, ajoutant que la BAD a accompagné le Maroc durant les 40 dernières années, tout particulièrement lors de la crise, durant laquelle elle a triplé ses investissements au Maroc".

Pour sa part, le représentant du ministère de l'Economie et des Finances a souligné les efforts déployés au Maroc pour la diversification de l'économie, le renforcement des ressources publiques, la rationalisation des dépenses et l'amélioration du climat d'affaires.

Grâce à cette démarche et malgré un contexte international défavorable, l'économie nationale a enregistré un taux de croissance de l'ordre de 5 pc en 2009, avec une inflation de 1 pc, un déficit budgétaire de 2,2 pc et un ratio de la dette totale du trésor de 47,1 pc en 2009 contre 47,3 pc en 2008, a-t-il rappelé.

Source : MAP

La situation de la communauté marocaine établie à Londres a été au centre d'entretiens que le ministre délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur, a eus mardi dans la capitale britannique avec le maire du Royal Borough de Kensington and Chelsea (ouest de Londres), M. James Husband.

Les deux parties ont passé en revue plusieurs questions relatives aux moyens de renforcer les relations de coopération et de partenariat entre le Maroc et la Grande-Bretagne dans le domaine de l'immigration.

Elles ont notamment étudié les possibilités d'organiser des voyages au Maroc au profit de jeunes issus de la communauté marocaine à Londres.

Ce genre de démarches entreprises avec plusieurs autres pays offre l'occasion à ces jeunes de renforcer les liens avec leur pays d'origine et voir de visu les progrès réalisés par le Maroc, un pays ouvert, démocratique, tolérant et résolument tourné vers la modernité, a confié à la MAP M. Ameur.

Le responsable a également examiné avec son interlocuteur britannique un projet visant la création à Londres en partenariat avec la partie britannique d'un centre culturel marocain dans le but promouvoir les liens culturels entre la communauté marocaine et son pays d'origine.

M. Husband, à la tête d'une région où sont installés quelque 10.000 ressortissants marocains, s'est réjouit du projet, tout en soulignant l'importante contribution qu'apporte la communauté marocaine à la vie dans le district de Kensington and Chelsea.

Par ailleurs, M. Ameur a souligné que sa visite en Grande-Bretagne, la première du genre, vise à évaluer la situation de la communauté marocaine dans ce pays et informer les membres de cette communauté des programmes retenus par le gouvernement marocain à leur profit dans les domaines social, culturel et de la mobilisation des compétences.

La visite sera également l'occasion d'écouter les préoccupations de cette communauté et d'examiner les moyens de mettre en place des relations de partenariat dans les domaines social et culturel, a dit le responsable, qui devra tenir une rencontre avec les cadres marocains établis à Londres.

Cette dernière rencontre sera l'opportunité d'exposer l'approche du gouvernement en matière de mobilisation des compétences et les moyens de donner une nouvelle dynamique à cette approche au niveau de Londres, qui abrite plusieurs compétences marocaines de haut niveau, a poursuivi M. Ameur

Durant son séjour à Londres, le responsable tiendra également une rencontre avec les représentants de la communauté marocaine et s'entretiendra avec le Sous-secrétaire d'Etat au ministère chargé des Communautés et des Gouvernements locaux, M. Andrew Stunnel.

Source : MAP

La police a interdit mardi un projet d'apéro géant "saucisson et pinard" qui devait se tenir vendredi dans un quartier à forte population musulmane de Paris…Suite

Ses élites et son bon niveau d’éducation, comptent parmi les atouts du Maghreb, selon les participants au séminaire de l’IFRI du 14 juin 2010 à Paris sur « Le Maghreb dans l’économie mondiale : défis et opportunités », mais à condition que les cerveaux expatriés n’oublient pas leur pays.

MAGHREB. La percée de pays comme l’Inde ou Israël dans la haute technologie s’est réalisée en grande partie grâce à leurs cadres partis travailler dans la Silicon Valley depuis les années 90. Qu’ils soient revenus créer ou moderniser des entreprises dans leur pays ou qu’ils jouent les intermédiaires en mobilisant réseaux et investisseurs, ce rapatriement des compétences est une recette de succès. Cet exemple pourrait inspirer les élites du Maghreb, expatriées depuis plus ou moins longtemps, plus ou moins loin mais en nombre toujours croissant.

Or, « l’indicateur de l’attachement des élites économiques à leur pays reste très faible » regrette Driss Ksikes, directeur de la revue Economia de Rabat en parlant de l’absence d’investissement privé national dans les économies du Maghreb, à l'occasion d'un séminaire sur le Maghreb dans l'économie mondiale organisé par l'IFRI le 14 juin 2010 à Paris. Ce phénomène qui concerne les entrepreneurs établis sur place s’applique aussi aux cerveaux expatriés qui ne tentent pas assez de faire bénéficier leurs pays d’origine de leurs compétences et des relations qu’ils ont pu établir dans leurs nouveaux pays d’accueil.

Rattraper la fuite des cerveaux

Cette faiblesse du transfert du savoir vient s’ajouter à la tendance générale des nouvelles vagues de migrants qui transfèrent de moins en moins de fonds vers leurs pays d’origine, comparés aux émigrés des années 60 et 70. La fuite des cerveaux s’accompagne aussi d’une perte de revenus pour les pays du Maghreb qui voient leurs meilleurs éléments s’éloigner de plus en plus loin. Nombreux sont ceux qui se dirigent vers l’Amérique du Nord, plus accueillante qu’une Europe qui n’accepte de faire venir les familles de ces immigrants choisis qu’au bout de trois ans.

Quelques mesures nationales que pourraient prendre les pays du Maghreb, assorties d’accords euro-méditerranéens pourraient rattraper, sinon inverser, cette fuite durable des cerveaux. Plutôt que de dénoncer le «brain drain», ils plaident en faveur de la mobilité coordonnée des compétences à condition que les diasporas maghrébines contribuent efficacement au développement de leurs pays d’origine.

Source : eco nosrum

Dans un rapport publié mardi 15 juin, le Conseil de l'Europe établit un bilan de l'action des pouvoirs publics français en matière de lutte contre le racisme. Dans ce document d'une soixantaine de pages qui se concentre sur la période allant de février 2005 à décembre 2009, le Conseil dresse une liste des "progrès" qui ont été réalisés – comme le travail menée par la Haute autorité de lutte contre les discriminations et l'égalité (Halde) ou par la Cité nationale de l'histoire de l'immigration –, mais il s'inquiète dans le même temps d'une persistance des discriminations raciales en France.

Le Conseil de l'Europe pointe notamment la persistance des discriminations raciales dans l'accès à l'emploi et à l'éducation. Des discriminations qui "touchent particulièrement les musulmans, les gens du voyage et les Roms". Il constate qu'un "label diversité" a certes été mis en place pour récompenser les entreprises ayant fait un effort. Il se félicite de la loi sur l'égalité des chances de 2006 qui prévoit l'anonymisation des CV dans les candidatures à l'embauche dans les entreprises de 60 salariés et plus. Mais il regrette que les sanctions contre les discriminations à l'embauche demeurent malgré tout "insuffisamment dissuasives".

CONSTATS PARTAGÉS

Parmi les 150 points du Conseil de l'Europe qui figurent dans ce rapport, quatre concernent le racisme sur Internet. Le Conseil s'inquiète en effet de l'essor des "préjugés et stéréotypes racistes" sur la Toile. Selon les sources que les experts du Conseil ont pu rencontrer lors de leur séjour en France, la situation est même "extrêmement préoccupante".

Le Conseil reconnaît le travail dans ce domaine de l'Office central de lutte contre les infractions liées aux technologies de l'information et de la communication. Mais compte tenu du fait que de nombreux sites sont hébergés à l'étranger, il admet qu'une action efficace devrait supposer une "coopération internationale".

Ce rapport du Conseil de l'Europe établit à peu près le même constat que la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) qui a rendu public ses conclusions sur le sujet le 31 mai. Son travail est le reflet d'une consultation menée auprès des organes institutionnels et associations françaises engagés dans la lutte contre les discriminations.

Le document du Conseil de l'Europe, élaboré via sa Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (ECRI), est le troisième depuis 1998. L'institution mène des enquêtes similaires dans une quarantaine de pays européens.

Source : Le Monde

La fondation esprit de Fès, l’association Fès Saiss, le centre sud nord organisent en partenariat avec l’institut royal de la culture amazighe, le Festival de la Culture Amazighe 6ème Edition Fès, 1-4 juillet 2010

Les axes inscrits à l’ordre du jour du congrès comprennent  l’Amazighité, Migration et Ecriture, la pluralité culturelle au Maghreb dans ses relations avec l’Europe, la Migration et hybridités discursives et l’écriture et littérature de l’immigration…Suite

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