Comme à chaque automne, les troupeaux de moutons ont fait leur halte à Rosans. Une pause sur la route vers l’étable, en descendant des alpages. Quelques heures durant, en ce samedi 3 octobre, leurs clochettes sont venues troubler le silence des vieilles pierres de la cité médiévale. A mi-chemin entre Alpes et Provence, perché à plus d’une heure de Gap (la préfecture) dans le parc national des Baronnies, ce village de 520 habitants n’avait pourtant pas besoin de ce branle-bas automnal. Depuis cet été, on s’agite et on y cause beaucoup dans les cafés ou sur la place du marché. L’accueil de réfugiés syriens a réveillé de vieilles querelles de clocher et mis à nu deux visions de la ruralité…Suite
A Rosans, l’accueil de deux familles syriennes a réveillé de vieilles querelles de clocher
Publié dans Médias et migration
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