« Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit». Pourtant, il n’est actuellement pas une campagne électorale dans les pays les plus democratiques de la planète où les discours ne sont pas ouvertement racistes envers une partie de leur population. L’immigration et plus précisément la musulmane est devenue une question de « survie politique ».
L’écrasante majorité des candidats ayant une chance actuellement d’accéder au pouvoir en Europe -les Etats-Unis ayant déjà tranché avec l’élection d’un président qui a fait de la guerre contre l’immigration en général et les musulmans en particulier, son cheval de bataille- tiennent des discours très souvent ouvertement racistes envers ces immigrés musulmans dont la présence constituerait un danger pour « la culture Occidentale ».
En cette année 2017, où de nombreux pays de cette Union Européenne née justement après une guerre hideuse où fascisme et nazisme avaient commis des dégâts irréparables, la parole raciste semble à nouveau libérée…contre ces millions de musulmans très souvent européens, soudainement considérés comme la cause quasi mathématique de l’échec des politiques économiques, sociales, culturelles, scolaires et sécuritaires. Faute de pensée et de raison politique l’on crie au loup, qui aujourd’hui est défini comme l’immigré et le réfugié musulman.
Ces discours qui constituent une atteinte flagrante aux droits de l’Homme dans la partie du monde qui a sacralisé les Droits de l’Homme sont une démonstration de la défaite de la pensée politique. Celle qui cède à la facilité, au populisme le plus vil envers une minorité dont le seul tort est d’être musulmane. Et de ce fait condamnée à être « coupable » de crimes commis au nom de cette religion par une terreur, qui dans les faits, frappe plus les musulmans que les autres confessions.
L’Europe de l’après guerre a pourtant connu des périodes difficiles marquées par un terrorisme confessionnel notamment en Irlande du Nord avec l’IRA, politique en Allemagne avec la Bande à Baader, sans pour autant piétiner les valeurs inhérentes aux Droits de l’Homme.
La démagogie politique à laquelle l’on assiste en Europe et aux Etats-Unis marque un tournant dans l’Histoire (des idées) politiques. Avec le racisme - qui semble plus juste que le terme « islamophobie » (peur de l’islam) - contre les personnes de confession musulmane, une partie du monde « occidental » est peu à peu en train de plonger le monde dans une aventure périlleuse.
CCME
Tu es l’infini d’où se propage la lumière dans l’obscurité. Tu n’es pas addaou’u, la lumière, mais Annûru, non pas le jet mais la source, non pas l’effet mais l’origine, non pas la flamme mais l’étincelle. Tu n’es pas le fruit sur l’arbre ni même celui-ci, non plus sa graine, mais le propagateur de vie qui l’a faite germer par Son unique volonté. Tu n’es pas la lumière mais son Créateur, Toi le Générateur des sources, ayant mis en orbite les astres brillants et dépêché les étoiles filantes rappelant à l’ordre celles d’entre Tes créatures égarées. Ton langage est de lumière pure.
La présence marocaine aux Pays-Bas date du début du 17e siècle, mais c’est avec l’immigration de la main-d’œuvre que cette présence connaitra une profonde transformation quantitative et qualitative.
Le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger organise le 7 juin 2012, à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc à Rabat, un séminaire sur le thème « Les Marocain-e-s en Espagne et en Italie : Les défis de la crise ».
Dans un marché mondialisé et compétitif de savoirs et de savoir-faire, nous assistons à une réelle concurrence, de plus en plus acharnée, pour la captation de ressources humaines qualifiées.
L'étude "Beyond Irregularity" ( au-delà de l'irrégularité) mené par l'Institut de recherches en politiques publiques (IPPR) menée en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) publie deux rapports en guise de conclusion à ce projet qui avait débuté en mars 2011.
L'étude "Beyond Irregularity" ( au-delà de l'irrégularité) mené par l'Institut de recherches en politiques publiques (IPPR) menée en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) publie deux rapports en guise de conclusion à ce projet qui avait débuté en mars 2011.
L’intégration de l’approche genre dans le traitement de la question migratoire est une donnée inédite qui pose des défis et des enjeux nouveaux. Elle a un triple objectif : mettre en lumières des phénomènes existants mais jusque-là « invisibilisés » ; s’intéresser à l’émergence de nouvelles catégories d’émigré (e) s et contribuer à l’élaboration de nouvelles politiques publiques plus adaptées aux attentes et aux aspirations de l’ensemble des émigré (e) s.
L’intégration de l’approche genre dans le traitement de la question migratoire est une donnée inédite qui pose des défis et des enjeux nouveaux. Elle a un triple objectif : mettre en lumières des phénomènes existants mais jusque-là « invisibilisés » ; s’intéresser à l’émergence de nouvelles catégories d’émigré (e) s et contribuer à l’élaboration de nouvelles politiques publiques plus adaptées aux attentes et aux aspirations de l’ensemble des émigré (e) s.
Cette étude est conçue comme un outil de travail permettant d’appréhender concrètement les principales difficultés liées à la protection sociale des retraités marocains d France, et de proposer des mesures susceptibles d’améliorer cette protection.
La présente étude a pour objectif d’étudier les différents mécanismes de protection sociale dont peut bénéficier la communauté marocaine en Espagne. Elle concerne, ainsi, toutes les personnes qui sont en possession de la nationalité marocaine et résident de manière permanente en Espagne, indépendamment de leur statut légal dans ce pays, ainsi que leur éventuelle possession d’une autre nationalité autre que marocaine et espagnole.
L'étude "Beyond Irregularity" ( au-delà de l'irrégularité) mené par l'Institut de recherches en politiques publiques (IPPR) menée en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) publie deux rapports en guise de conclusion à ce projet qui avait débuté en mars 2011.
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