Au volant de sa Lada 4 × 4 d'un autre âge, Barnabás Herédi, 26 ans, patrouille sur le territoire d'Ásotthalom, commune rurale du sud de la Hongrie. Embauché il y a an par László Toroczkai, maire apparenté Jobbik (extrême droite), ce garde champêtre rencontre tous les jours près de 200 migrants qui traversent les 23 km de champs et d'herbes folles que le village partage avec la Serbie. En temps normal, sa mission serait de réprimer le braconnage ou le vol de bois dans les forêts. Mais aujourd'hui, l'occupation principale de cet homme en treillis, pistolet à la taille, a trait au franchissement illégal de la frontière…Suite
En Hongrie, les migrants affluent avant qu'un mur ne ferme la frontière
Publié dans Médias et migration
- Cinéma et Migration : Entretien avec le réalisateur Moumen Smihi sur l'évolution de l'image de l'immigré à l'écran
- Nora El Hourch : Une réalisatrice engagée, porte-voix des femmes et des invisibles
- Selon une étude, l’Allemagne doit attirer 288 000 travailleurs étrangers par an
- Partenariat NIMAR-CCME: Rencontre avec Chafina Bendahmane
- Une étude de l’Insee met en lumière les paradoxe de l’intégration en France