Dans plus d'un commissariat sur trois, les femmes battues sans-papiers, qui voudraient porter plainte contre les violences de leur conjoint, risqueraient l'expulsion, selon une enquête de la Cimade.
Le 2 mars, la Cimade a demandé à 75 commissariats si une femme sans-papiers battue par son conjoint pouvait venir déposer plainte.
38% des commissariats ont indiqué qu'elle serait interpellée, 5% d'entre eux précisant qu'elle ne pourrait même pas porter plainte. 12% des commissariats contactés n'ont pu donner de réponse, a révélé la Cimade dans un communiqué.
Pourtant, rappelle la Cimade, la Commission nationale de déontologie de la sécurité, saisie en 2008 sur la situation d'une femme interpellée et expulsée alors qu'elle venait déposer plainte contre son mari violent, avait estimé "qu'en faisant primer la situation irrégulière des personnes victimes de violences et dépourvues de titres de séjour (elles) se voient interdire, de ce fait, de déposer plainte et de faire sanctionner les auteurs de ces violences permettant ainsi leur impunité".
Il existe donc "un véritable fossé" entre la loi et la pratique, souligne la Cimade.
Par ailleurs, 52% des commissariats interrogés n'ont pas de personnel spécialement formé à la question des violences, assure la Cimade. Cette enquête anonyme a été réalisée par téléphone auprès de 75 commissariats (18 sur Paris, 30 en banlieue parisienne et 27 en province).
Le 1er mars, la présidente de la Délégation aux droits des femmes du Sénat, Michèle André (PS), a affirmé que le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux s'était engagé devant le Sénat à faciliter "le renouvellement des titres de séjour" pour les femmes battues.
Selon RESF (Réseau éducation sans frontières), Najlae Lhimer, une lycéenne marocaine de 19 ans d'Olivet (Loiret) a été expulsée le 20 février au Maroc après avoir porté plainte pour des violences infligées par son frère. Elle était en France depuis 2005 pour échapper à un mariage forcé dans son pays.
Source : AFP
Le Maroc a été cité en exemple lors d'une rencontre, vendredi à Beyrouth, sur la révision de la loi libanaise relative à l'octroi de la nationalité aux enfants des Libanaises mariées à des étrangers, de façon à permettre à ces femmes de transmettre leur nationalité à leurs enfants nés d'un père étranger.
"Plusieurs pays arabes nous ont devancé dans ce domaine même s'ils avaient des problèmes relatifs aux changements démographiques comme le Maroc", a souligné le ministre libanais de l'Intérieur, Ziyad Baroud lors de cette rencontre initiée par le Comité de la modernisation des lois sous la présidence du ministre de la justice, Ibrahim Najjar.
Ziyad Baroud a souligné que les droits des femmes sont avant tout des droits humains avant qu'ils ne soient des droits relatifs à l'égalité entre les sexes.
Il s'est étonné du fait que "les femmes libanaises mariées à des étrangers ne puissent pas transmettre la nationalité à leurs enfants et ce malgré le lien de sang qui est une preuve sûre du côté de la mère".
Le ministre de l'Intérieur a admis qu'il "existe des entraves politiques à ce sujet" notant que "le dossier peut être traité en mettant en place des limites et non en l'ajournant".
Le ministre de l'Intérieur a souligné que l'ancien gouvernement n'a jamais mis sur son agenda un projet de loi relatif au dossier de l'octroi de la nationalité aux enfants des femmes libanaises mariées à des étrangers.
"Ce sujet n'a même pas figuré dans la déclaration ministérielle du nouveau gouvernement", a-t-il déploré.
Il a indiqué qu'il a également pris des mesures pratiques en demandant à la Sûreté générale de faciliter les procédures de la carte de séjour aux enfants des Libanaises mariées à des étrangers, et ce en leur accordant une carte de long séjour et en leur consacrant un guichet spécial.
"Ces mesures, a-t-il dit, sont provisoires. Elles ont été prises en attendant que le Conseil d'Etat adopte un projet de décret qui sera transmis au gouvernement plus tard. Ce projet de décret ne réglera pas le problème mais facilitera les démarches administratives. "
Le ministre de la justice, Ibrahim Najjar a affirmé pour sa part que "ce dossier suscite plusieurs discussions sur les plans politique, démographique et humain, surtout que le Liban a adhéré à des conventions relatives au respect des droits des femmes".
"Il est urgent de discuter avec transparence de ce dossier même si nous ne parviendrons pas à des résultats rapides, notamment en ce qui concerne la loi relative à l'octroi de la nationalité aux enfants des Libanaises mariées à des étrangers".
Source : MAP
Plus de 11.000 Marocains résidant en Espagne, en France, en Italie, au Portugal et venant du Maroc ont convergé dimanche à Grenade (sud de l'Espagne) pour manifester leur soutien au sommet UE-Maroc et à l'initiative marocaine d'autonomie élargie dans les provinces du sud comme solution idoine pour le règlement définitif de la question du Sahara marocain, selon les organisateurs.
Cette grande manifestation, qui a vu la participation d'un grand nombre de citoyens espagnols et d'étudiants arabes inscrits dans les universités d'Andalousie ainsi qu'une présence en force des Marocains sahraouis résidant en Europe, (Espagne, Italie, France, particulièrement) a été organisée à l'appel d'associations des Marocains immigrés qui se sont mobilisées pour la défense de la cause nationale et le soutien du projet d'autonomie aux provinces du sud.
Les manifestants ont tenu à exprimer leur ferme soutien aux efforts du Maroc en vue de parvenir à une solution pacifique et durable de la question du Sahara, mettant en avant les différentes initiatives du Royaume pour clore définitivement ce dossier.
Le cortège des manifestants brandissait le drapeau national et des photos de SM le Roi Mohammed VI, et scandait des slogans en faveur de la marocanité du Sahara et de l'unité territoriale du Maroc. Dans les pancartes, on pouvait lire notamment "Tous pour le soutien du projet d'autonomie des provinces du sud" et "Le Sahara est marocain".
A ce propos, nombre de représentants d'associations marocaines à l'étranger ont affirmé, dans des déclarations à la MAP, que cette manifestation vient démystifier les manœuvres des adversaires du royaume et dénoncer les violations graves des droits humains par le "polisario" et réclamer la libération des Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf.
De même, ils ont salué la tenue du premier sommet UE-Maroc tenu à Grenade, couronné par une déclaration finale dans laquelle l'union se félicite des progrès réalisés par le royaume et des chantiers de réforme qu'il a engagés dans différents domaines.
Les manifestants ont, en outre, exprimé leur satisfaction pour le statut avancé accordé par l'UE au Maroc, en signe de reconnaissance pour les avancées accomplies par le royaume dans les domaines politique, économique, social et des droits de l'homme.
De nombreux groupes d'art populaire et une pléiade d'artistes ont été de la partie pour présenter des tableaux folkloriques et musicaux conférant une note de gaieté à ce rassemblement, qui s'est déroulé dans une des grandes places proches du Palais du Congrès de Grenade.
Source : MAP
Le ministre délégué chargé de la communauté marocaine à l'étranger, M. Mohamed Ameur, a annoncé, samedi à Abou Dhabi, l'organisation, durant les mois prochains, de journées culturelles au profit de la femme marocaine travaillant aux Emirats arabes unis.
Lors d'une rencontre avec les membres de la communauté marocaine établie dans l'Emirat de Abou Dhabi, M. Ameur a indiqué que l'organisation des ces journées tend à faire connaître les compétences des femmes marocaines dans ce pays, mettant l'accent sur le rôle important qu'elles jouent dans les domaines économique et social, entre autres.
Il a ajouté lors de cette rencontre, en présence de l'Ambassadeur du Maroc aux Emirats Arabes Unis, M. Abdelkader Zaoui, que la femme marocaine donne une image honorable de son pays et joue un rôle fondamental dans la vie professionnelle aux Emirats.
Le Maroc, a-t-il dit, a consacré une nouvelle dynamique visant à promouvoir la situation de la communauté marocaine établie dans la région du golfe, appelant les marocains y résidant à adhérer positivement à ce processus.
Le ministre a ajouté que la gestion des questions de l'immigration exige de couper court aux solutions de circonstances basées uniquement sur le travail saisonnier et de consacrer un nouveau concept fondé essentiellement sur le suivi des préoccupations des Marocains du monde, la résolution de leurs problèmes et la réalisation de leurs attentes et ambitions.
Il a estimé que le grand nombre des membres de la communauté marocaine établie dans les Emirats, plus de 25000 habitants, dont des cadres supérieurs et des compétences de qualité dans les domaines de l'économie, de la finance et des affaires, " nous incite, plus que jamais, à changer les méthodes de réflexion pour la résolution des problèmes de cette catégorie de la société marocaine , en optant pour de nouveaux moyens qui répondent à leurs besoins et préoccupations ".
M. Ameur a également passé en revue les grandes lignes de la stratégie de son ministère visant à promouvoir la situation des Marocains du monde, consistant à renforcer la présence culturelle de la communauté marocaine à l'étranger, en œuvrant à faire connaître la diversité de la culture et de la civilisation marocaines, à gérer leurs dossiers sociaux, dont les questions de retraite, du dédouanement de véhicules, et à soutenir les initiatives et les programmes des acteurs de la société civile de la communauté marocaine à l'étranger.
Par ailleurs, a-t-il poursuivi, cette stratégie porte sur la gestion des affaires administratives de cette catégorie de la société marocaine et la résolution de leurs problèmes à caractère administratif, foncier et juridique, par le biais d'un département relevant du ministère, ainsi que sur l'appui à leurs projets d'investissement, à travers l'octroi de 10 pc de leur coût financier, estimé à 1 million Dh et la garantie du financement bancaire à hauteur de 65 pc. De leur côté, les membres de la communauté marocaine établie à Abou Dhabi ont soulevé plusieurs questions d'ordre social, culturel et associatif.
M. Ameur avait organisé une rencontre similaire, vendredi à Dubaï, avec les membres de la communauté marocaine établie dans l'émirat pour s'enquérir de leurs préoccupations.
Source : MAP
«Mes collègues espagnols ont attendu un an avant de me dire bonjour.» Luis a 25 ans. Il est chauffeur de taxi à Madrid. Il fait son travail consciencieusement, reverse religieusement les 60 % de sa recette à son patron. Il se gare toujours au même endroit, sans empiéter sur les emplacements de la concurrence. Seul problème, il est Équatorien.
Ils sont cent Latino-Américains à conduire l'une des 16 000 voitures blanches qui sillonnent Madrid en quête de clients. Mais pour trois Espagnols sur quatre, c'est beaucoup. Trop, même ! Une étude diffusée cette semaine par le gouvernement révèle que 77 % des personnes interrogées jugent le nombre d'immigrés en Espagne «excessif» (46 %) ou «élevé» ( 31 %). Seuls 19 % pensent que la proportion est «acceptable». En 1996, en pleine croissance économique, ils n'étaient que 28 % à considérer qu'il y avait trop d'étrangers.
Les Latino-Américains sont sans conteste ceux qui s'intègrent le plus facilement. Ils maîtrisent la langue et connaissent la culture espagnole. Les Marocains, en revanche, les premiers pourtant à être arrivés en Espagne, souffrent davantage de l'exclusion. Les moros, comme on les surnomme de façon péjorative, ont plus de mal à accéder à un emploi ou à un logement. Samira Oukhiar, coordinatrice à Madrid de l'association socioculturelle Ibn-Batuta, confirme l'existence d'un racisme rampant : «On ne te dit pas directement qu'on ne veut pas t'embaucher parce que tu es marocain, mais on t'explique qu'on préfère des gens d'ici.»
Selon Eurostat, en décembre 2009, les étrangers résidant en Espagne étaient estimés à un peu plus de 5 millions. C'est-à-dire 2 millions de plus qu'en France et 2 millions de moins qu'en Allemagne. Avec une différence cependant : l'immigration est en Espagne un phénomène très récent et son rythme a été frénétique. Les gouvernements successifs du conservateur José Maria Aznar (1996-2004) et du socialiste José Luis Rodriguez Zapatero (depuis 2004) ont entériné cette explosion démographique par des régularisations massives, s'attirant au passage les foudres de leurs partenaires européens. Résultat, parmi les grands pays de l'UE, «l'Espagne est le pays qui a le plus reçu d'immigrés en proportion de sa population», résume Anna Cabré, directrice du Centre d'études démographiques de l'université autonome de Barcelone.
Luis et Samira sont-ils des cibles faciles de la crise ? «Je ne crois pas que les immigrés soient des boucs émissaires, tempère Santiago Pérez-Nievas, professeur de science politique à l'université autonome de Madrid. Cependant, le sentiment de compétition a augmenté dans le monde du travail. Auparavant, le marché était extrêmement segmenté, bien plus que dans le reste de l'Europe : les étrangers occupaient les postes dont les Espagnols ne voulaient pas.» En clair, jusqu'à la récession de 2008, seuls les immigrés acceptaient les travaux les plus pénibles, nécessitant une faible qualification et mal rémunérés. Mais avec l'arrivée de la crise et sa cohorte de 20 % de chômeurs, l'essentiel est désormais d'avoir un emploi. Quel qu'il soit.
Des municipalités ferment l'accès aux services sociaux
La différence sans doute par rapport à d'autres pays, c'est que le racisme «ordinaire» peut s'exprimer librement. Témoin, cette réflexion entendue dans une charcuterie du centre de Madrid : «On sert les meilleurs produits des meilleures régions du monde», s'enorgueillit le propriétaire, âgé d'une cinquantaine d'années. Avant d'ajouter : «Par contre, pour les immigrés, c'est chacun chez soi !» Dans la boutique, personne ne bronche. La société espagnole n'est pas pour autant fondamentalement raciste. «Il n'y a pas de sentiment xénophobe», affirmait ainsi le ministre du Travail et de l'Immigration, Celestino Corbacho, en réaction à l'étude. «En revanche, exprimer en Espagne des idées xénophobes est moins politiquement incorrect qu'ailleurs», reconnaît le professeur Pérez-Nievas.
En fait, depuis la fin du franquisme, le sentiment de rejet des étrangers n'a jamais trouvé de débouché institutionnel. C'est au niveau local qu'il faut aller chercher les propositions politiques ouvertement xénophobes. En Catalogne ou dans la banlieue de Madrid, par exemple, où des municipalités ont refusé, dans l'illégalité, d'inscrire au registre municipal des sans-papiers… et donc de leur ouvrir l'accès aux services sociaux.
Finalement, c'est peut-être la crise qui résoudra le problème qu'elle a elle-même amplifié. «Avec la récession, les arrivées d'étrangers seront moins nombreuses», conclut Anna Cabré.
Source : Le Figaro
Le Maroc et la Russie ont signé, jeudi à Rabat, le programme d'application de l'accord de coopération culturelle signé en 2005 entre les gouvernements des deux pays.
Ce programme a pour but d'encourager la participation des deux parties aux festivals et manifestations culturelles organisés par les deux pays, l'organisation d'expositions sur les arts plastiques, les échanges de visites et d'expertises et la coopération entre les musées, les bibliothèques et les instituts de formation dans les deux pays.
Le programme porte également sur l'organisation de journées culturelles de la Russie au Maroc en 2011 et d'une manifestation culturelle similaire marocaine en Russie en 2012.
Dans une intervention à l'occasion de la cérémonie de signature de ce programme, le secrétaire général du ministère de la Culture, M. Ahmed Gouitâa a souligné que la signature de ce programme constitue un nouveau jalon dans le processus de renforcement de la coopération culturelle entre les deux pays qui disposent d'un patrimoine historique et d'un héritage civilisationnel importants.
M. Gouitâa a plaidé pour la diversification de la coopération afin qu'elle englobe d'autres domaines telles la traduction et l'organisation d'expositions et de colloques culturels dans les deux pays, estimant que le dialogue culturel contribue au rapprochement et à l'approfondissement des liens d'amitié entre les peuples.
Dans une déclaration à la MAP, le représentant du ministre russe de la Culture, M. Alexander Golutva a exprimé sa satisfaction du niveau de la coopération culturelle entre le Maroc et la Russie, ajoutant que le ministère russe de la Culture veille à promouvoir cette coopération notamment aux niveaux des bibliothèques nationales, des monuments et de toutes les instances s'intéressant à la protection de l'héritage culturel et à la traduction des ouvrages littéraires.
Le Maroc et la Russie avaient signé, en 2005 à Casablanca, un accord de coopération dans les domaines culturel, éducatif et scientifique.
Source : MAP
La Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) a annoncé l'entrée en vigueur à partir du 1er mars courant, de la convention de sécurité sociale entre le Maroc et le Canada.
Cette convention, signée le 1er juillet 1998, s'applique notamment à la législation relative au régime de sécurité sociale, aux prestations à long terme (pension de vieillesse, de survivant et d'invalidité), à l'allocation au décès, à la législation sur les accidents de travail et les maladies professionnelles, ainsi qu'aux dispositions législatives réglementaires ou statuaires agréées par l'autorité publique, relatives à des régimes particuliers de sécurité sociale, a indiqué un communiqué de la CNSS.
Ces conventions couvrent des salariés ou assimilés et concernent des risques et prestations courants de la législation sur les régimes de sécurité sociale, a-t-on expliqué de même source.
La convention de sécurité sociale entre le Maroc et le Canada couvre le détachement et sa prorogation, la totalisation des périodes d'assurance avec un pays tiers lié avec le Maroc et le Canada par une convention de sécurité sociale, la pension de vieillesse, de survivants et d'invalidité, et la pension de survivants en cas de pluralité d'épouses, a-t-on précisé.
La convention facilitera, par ailleurs, l'expatriation (le détachement) et par conséquent, le développement de l'attractivité de notre pays pour les investissements étrangers, a-t-on ajouté.
Source : MAP
Le ministre délégué chargé de la communauté marocaine à l'étranger, M. Mohamed Ameur, s'est entretenu, jeudi à Abou Dhabi, avec le ministre émirati du travail, M. Sakr Ghabach, des moyens de renforcer la coopération entre les deux pays et promouvoir la situation des Marocains établis aux Emirats Arabes Unis.
Lors de cette entrevue, les deux parties ont exprimé leur satisfaction du niveau distingué des relations d'amitié unissant les deux pays, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI et de son frère Cheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyan.
L'accent a été mis également, à cette occasion, sur la situation des membres de la communauté marocaine résidant dans ces pays (quelque 25.000 personnes), et le rôle qu'ils jouent dans les domaines économique, social et médiatique.
M. Ameur a mis l'accent sur l'importance des initiatives lancées par le Maroc en faveur de l'amélioration de la situation de la communauté marocaine à l'étranger en général, et des Marocains établis dans les Emirats Arabes Unis particulièrement.
Au cours de cette visite, M. Ameur tiendra des réunions élargies avec les membres de la communauté marocaine résidant à Dubaï et à Abou Dhabi pour s'enquérir de leur situation et leur faire part des récentes dispositions gouvernementales prises en leur faveur dans les domaines social, économique et culturel.
Source : MAP
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