vendredi 5 juillet 2024 21:15

picto infoCette revue de presse ne prétend pas à l'exhaustivité et ne reflète que des commentaires ou analyses parus dans la presse marocaine, internationale et autres publications, qui n'engagent en rien le CCME.

Un Colloque international sous le thème "Islam dans le monde moderne: opportunités et défis" se déroulera, ce mardi et mercredi à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université Mohammed V de Rabat.

Organisé par le ministère des Habous et des Affaires islamiques et l'ambassade de Grande-Bretagne au Maroc, ce Colloque ambitionne d'examiner, du point de vue de l'Islam, les défis que doit relever le monde moderne et les questions auxquelles font face les leaders politiques, les militants de la société civile et les citoyens ordinaires dans leur vie quotidienne.

Cette rencontre, organisée en collaboration avec British Council et la Faculté des lettres et des sciences humaines, débattra de plusieurs sujets portant, entre autres, sur les enseignements à tirer des politiques visant à rendre hommage à l'héritage religieux et culturel, tout en gardant les engagements vis-à-vis des droits de l'Homme, les méthodes de traitement par les sociétés des dilemmes et des conflits résultant des changements et la répartition des rôles entre hommes et femmes.

Les participants à cette rencontre examineront également la question de l'interprétation du patrimoine religieux est son impact sur l'édification et la gestion de l'Etat islamique moderne et de l'éducation dans le monde islamique, indique lundi un communiqué du ministère des Habous et des Affaires islamiques.

Ce Colloque sera décliné en sessions dédiées à des axes principaux, dont "les Musulmans en Europe et à travers le monde", "le rôle des Musulmans européens dans le renouvellement de la civilisation islamique", "dilemmes résultant des changements et des rôles des hommes et des femmes", "le cadre de la vie publique", et "l'éducation et la science dans le monde islamique contemporain".

Source : MAP

Les recettes des Marocains résidant à l’étranger se sont établies à 40,7 MMDH à fin septembre 2010, contre 37,6 MMDH une année auparavant, en progression de 8,2 pc…Suite

L'économiste-consultant marocain Mohamed Larbi El Harras vient de publier un livre sur les relations économiques et sociales entre le Maroc et la Belgique intitulé "Maroc-Belgique: de l'avantage comparatif naturel à l'avantage compétitif".

Ce livre de 141 pages, réparti en quatre parties, met l'accent notamment sur les économies et les sociétés Marocaine et Belge et les relations économiques et sociales entre le Maroc et la Belgique outre des propositions pour une meilleure intégration des Marocains résidant en Belgique.

L'auteur souligne que dans les années 1960, les relations économiques et sociales entre le Maroc et la Belgique se limitaient à un flux d'émigration touchant essentiellement des hommes d'un niveau scolaire très bas. Les échanges commerciaux entre ces deux pays étaient fort limités.

Un demi siècle, environ, plus tard, force est de constater qu'une évolution a été enregistrée dans la nature des relations économiques et sociales existantes entre les deux pays et ce dans le domaine de la migration, des échanges commerciaux et des investissements belges au Maroc.

En d'autres termes, le Maroc passe graduellement de "l'émigration" d'une main d'œuvre sans compétences particulières en général, à l'exportation de biens et services et à l'importance de biens d'équipement et de biens intermédiaires à contenu technologique relativement élevé, ajoute l'auteur dans son introduction générale de l'ouvrage.

Sur le plan humain, note l'économiste, la communauté d'origine marocaine résidant en Belgique, forte d'environ 400.000 personnes, connait progressivement un changement au niveau de ses compétences professionnelles acquises, soit à travers les études, soit à travers un apprentissage professionnel.

Les relations économiques et sociales existantes entre le Maroc et la Belgique sont-elles en train de passer d'un schéma Ricardien des avantages comparatifs naturels des nations à celui de l'avantage compétitif, s'interroge l'écrivain.

L'examen des échanges commerciaux, du flux des investissements belges vers le Maroc, du mouvement touristique belge au Maroc, des transferts de fonds de la part des membres de la communauté des belges d'origine marocaine ou des marocains résidant en Belgique vers le Maroc montrent que la Belgique intervient grosso-modo pour 5 pc de l'ensemble des relations économiques du Maroc avec l'extérieur, indique l'auteur du livre.

A côté des chiffres combien importants, mais qui restent dans une certaine mesure assez "froids", se dégage, fondamentalement, une amélioration qualitative des relations en question.

L'écrivain met l'accent sur un changement relatif du contenu des produits échangés entre les deux pays, notant qu'une évolution est également en cours au niveau de la place qu'occupe la communauté d'origine marocaine installée en Belgique et qui, d'une façon volontaire ou involontaire, acquiert progressivement des compétences professionnelles dans divers domaines.

Le livre met en exergue l'ouverture du Maroc sur l'investissement étranger, notamment belge et le renforcement de la coopération réalisée par la Belgique au profit du Maroc.

Si des réformes ont bien été lancées par le Maroc dans divers domaines, beaucoup reste à faire. N'est ce pas là l'expression des contraintes de la recherche du passage d'une économie en voie de développement à une économie émergente, indique l'écrivain.

02/11/10

Source : MAP

Avec l'arrivée de la saison agricole, la petite ville italienne de Rosarno se prépare à celle des travailleurs saisonniers. Ceux-là mêmes que les émeutes de janvier 2010 avaient chassés de la ville. Unanimement, les médias avaient alors dénoncé le «racisme» de la population. Un retour sur les lieux permet de découvrir d'autres raisons aux violences…Suite

Le film Pégase de Mohamed Mouftakir est en lice pour remporter le grand prix du festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles prévu du 5 au 13 novembre courant.

Bonne nouvelle pour Mohammed Mouftakir. Son premier long-métrage, Pégase, est en compétition au festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles qui aura lieu du 5 au 13 novembre à Bruxelles. Cet opus a, pour rappel, remporté le grand prix du festival national du film de Tanger en janvier 2010.

Les cinéphiles, ceux notamment qui n’ont pas eu l’occasion de découvrir Pégase, pourront l’apprécier au cinéma dès sa sortie en salle prévue en novembre. Fidèle à son style qui est un mélange de psychodrame et de fantastique, le réalisateur risque de séduire une fois de plus avec sa dernière création. Ce film, dans lequel on retrouve les actrices Majdouline Idrissi et Saâdia Ladib, met en valeur le personnage de Zineb, une jeune femme qui travaille dans un asile psychiatrique. Son supérieur lui confie une jeune patiente terrorisée qui croit être enceinte.

La mission de Zineb consiste à la faire parler mais la jeune fille ne s’avère pas très coopérante. Outre la fiction «Pégase» de Mohammed Mouftakir, la section panorama du festival dédié à la production cinématographique actuelle en Méditerranée a prévu de projeter le long-métrage Ahmed Gassiaux, réalisé en 2009 par le jeune Belgo-marocain Ismaël Saïdi qui s’est inspiré de l’époque coloniale pour poser le problème de l’identité. «Les oubliés de l’histoire», film que Hassan Benjelloun a réalisé en partie à Bruxelles, sera aussi présenté dans le cadre d’une «soirée découverte marocaine» initiée en partenariat avec le festival du film arabe de la capitale belge. Ce long-métrage est une interpellation douce-amère sur les conséquences néfastes de l’immigration clandestine et l’exploitation des clandestins ainsi que sur les questions de l’exil et de l’accueil. La série documentaire prévoit de même la projection du film «Hadjira, Mehrezia, Latifa : femmes musulmanes en Occident». Il s’agit d’une production maroco-suisse, réalisée par Mohammed Soudani qui propose de suivre «le voyage à trois voix et trois visages au sein d’un univers féminin qui se raconte, avec ou sans voile». La découverte «Med Maroc» se clôturera par une «veillée» gnaoua-jazz animée par le groupe «Trance Mission» et dirigée par le maâlem gnaoui Hassan El Gadiri et à laquelle participe le saxophoniste belge Grégoire  Tirtiaux.

«Plus qu’un simple festival cinématographique, c’est donc un véritable lieu de partages, de rencontres et de découvertes qui se crée pendant plus d’une semaine en plein cœur de Bruxelles», ajoute-t-on de même source. Ainsi, la 11e édition du festival du cinéma méditerranéen propose quelque soixante-dix projections représentant une vingtaine de pays méditerranéens. Dix films seront en compétition internationale pour l’octroi du grand prix du Festival et du prix du Public, représentant notamment le Maroc, la Turquie, la Croatie, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, la Palestine et l’Algérie et qui seront départagés par un jury présidé par le célèbre cinéaste français Claude Brasseur. Le festival du cinéma méditerranéen a pour objectif de révéler à travers le 7e art toute la richesse du bassin méditerranéen en constante évolution. Tous les deux ans, cette manifestation donne l’occasion, soulignent les organisateurs, «d’ouvrir les esprits, de rapprocher les cultures, d’instaurer le dialogue entre des populations différentes par la langue, l’origine ou la condition».

Outre la fiction Pégase de Mohammed Mouftakir, la section panorama du festival dédié à la production cinématographique actuelle en Méditerranée a prévu de projeter le long-métrage Ahmed Gassiaux, réalisé en 2009 par le jeune Belgo-marocain Ismaël Saïdi.

2 novembre 2010

Source : Le Soir

Trois films marocains seront projetés lors de la 2ème édition du Festival du cinéma arabe à Berlin, qui aura lieu du 3 au 11 novembre, à l'initiative de l'Association des amis du cinéma.

Le public sera au rendez vous avec les films «Les cœurs brûlés» du réalisateur Ahmed Maânouni, ''Whatever Lola Wants'' de Nabil Ayouch et "Le Grand Voyage" d'Ismaël Ferroukhi.

Quelque 30 films regroupant longs et courts métrages seront projetés lors de cette édition qui, placée sous le signe de «l'immigration», verra la projection en ouverture du film «Le temps qu'il reste» du réalisateur palestinien Elia Suleiman.

Le programme de cet événement culturel sera aussi marqué par l'organisation, samedi prochain, d'une conférence sur «l'image de l'immigré arabe dans le cinéma», avec la participation d'Ahmed Maânouni.

01/11/10

Source : MAP

L'immigration rapporterait à la France 18,4 milliards d'euros de taxes sur la consommation et des milliers de strat-up, selon le dernier numéro du mensuel Capital qui consacre un dossier spécial à l'apport des étrangers à l'économie française.

Même si ce constat est élitiste, car concernant de hauts cadres dont l'embourgeoisement profite à la consommation, il renseigne, selon Capital, sur la "réussite de leur intégration économique"...Suite

Le réalisateur franco-marocain vient d'achever le tournage de son dernier film, qui raconte l'amitié entre un ouvrier musulman et un chanteur juif dans la France de Vichy…Suite

Google+ Google+