Trois ONG, dont Médecins Sans Frontières (MSF), ont annoncé mercredi cesser leurs activités dans les "hotspots" grecs par refus de cautionner leur transformation en centres de détention pour migrants après l'accord UE-Turquie censé barrer la route migratoire égéenne.
La Pologne refuse désormais d'accueillir des migrants sur son sol dans le cadre du programme de répartition de l'UE, a annoncé mercredi la Première ministre Beata Szydlo, en réaction aux attentats de Bruxelles.
Des organisations non-gouvernementales ont accusé mercredi la Hongrie d'infliger des "traitements dégradants" aux migrants dans les camps, gardés par des chiens et des surveillants, mis en place par le Premier ministre de droite Viktor Orban.
La Finlande a annoncé mercredi avoir signé avec la Russie un accord pour interdire le franchissement de leur frontière septentrionale aux migrants, lesquels voient ainsi se refermer la route de l'Arctique vers l'espace Schengen.
Quelques centaines de réfugiés et migrants bloquaient mercredi soir depuis plusieurs heures le trafic routier vers et en provenance de la Macédoine, dans le nord de la Grèce, réclamant la réouverture de la route des Balkans, selon une source policière.
Au temps de la Bulgarie communiste, les barbelés du village de Chtit verrouillaient toute sortie du monde soviétique. Une clôture flambant neuve à cette frontière avec la Turquie barre aujourd'hui l'entrée en Europe aux migrants en quête de nouvelles routes.
Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a estimé jeudi qu'environ 800.000 migrants attendaient de pouvoir passer en Europe depuis la Libye.
Ce qui est une habitude en France est une nouveauté de l’autre côté des Alpes puisque la fédération italienne commence à voir certains de ses jeunes choisir la sélection du pays d'origine de leurs parents et ce dès les catégories Under.