dimanche 4 juin 2023 05:14
Avec quelque cinq millions de jeunes sans emploi dans l'Union Européenne, le taux de chômage des 15-24 ans a atteint 18,3% au premier trimestre, contre 8,2% pour l'ensemble de la population active, selon les chiffres communiqués jeudi par Eurostat, l'agence des statistiques de l'UE.

Dans les 16 pays de la zone euro, 3,1 millions de jeunes étaient au chômage, soit un taux de chômage des jeunes de 18,4%, pour un taux de chômage total de 8,8%.

Le taux de chômage des jeunes augmente plus vite que le taux de chômage total, note Eurostat. Les jeunes hommes souffrent davantage que les jeunes femmes de la crise, qui frappe durement des secteurs dominés par les hommes, comme la construction et l'industrie, victimes d'une baisse de la demande.

AP

La 12ème session du Conseil des ministres des Transports de l'Union du Maghreb Arabe (UMA), a clos, jeudi à Syrte, ses travaux avec la signature de trois accords relatifs au renforcement de la coopération maghrébine dans le domaine des transports terrestre et maritime.

Dans une déclaration à la MAP, le ministre de l'Equipement et des Transports, M. Karim Ghalab a indiqué que ces accords portent respectivement sur le transport routier des personnes, le transport des substances dangereuses et le transport maritime.

Les ministres de l'UMA ont débattu également du transport aérien, a ajouté M. Ghalab, rappelant que le Maroc avait déjà signé des accords de libéralisation du transport aérien sur le plan bilatéral notamment avec la Tunisie.

"Nous avons profité de cette réunion pour débattre du développement du transport aérien et notamment pour continuer à promouvoir ce type de transport en parallèle avec la politique menée par le Maroc après la signature de l'accord de libéralisation du transport aérien avec l'Europe, les Etats-Unis, la Tunisie et d'autres pays arabes et africains", a-t-il souligné.

Le ministre a indiqué, par ailleurs, avoir eu des entretiens avec le Commissaire européen aux transports, M. Antonio Tajani, en visite en Libye, qui ont porté sur la coordination des efforts de coopération dans le domaine des transports entre les pays de l'UMA et de l'UE.

Cette rencontre avec M. Tajani a porté en particulier sur l'organisation d'une conférence sur le transport en automne prochain, à Naples, en vue de donner une impulsion à la coopération entre les deux parties dans le domaine des transports.

La 12ème session du Conseil des ministres des Transports de l'Union du Maghreb arabe (UMA) a été consacrée à l'examen de la mise en œuvre des recommandations de la précédente session, qui s'est tenue en mars 2007 à Skhirat, notamment celles relatives aux transports terrestre et aérien, aux aéroports, à la navigation aérienne et aux compagnies aériennes maghrébines.

MAP
Le secrétaire général de l'Organisation internationale Cités et Gouvernements locaux unis d'Afrique (CGLUA), M. Jean pierre Elong Mbassi a annoncé, jeudi à Rabat, que le 5ème sommet africain des collectivités locales se tiendra, du 16 au 20 décembre prochain à Marrakech.

L'annonce de M. Elong Mbassi a été faite lors de la cérémonie de signature d'une convention de partenariat entre la CGLUA et l'Association marocaine les Rangs d'honneur visant l'organisation de missions médico-sociales au profit des populations démunies en Afrique.

Ce sommet, qui sera organisé sous le thème "La réponse des collectivités locales et régionales d'Afrique à la crise globale: promouvoir le développement local durable et l'emploi", ambitionne de faire des propositions dans le but de transcender les effets de la crise mondiale portés par les collectivités locales et régionales d'Afrique.

Lors de ce sommet, les participants examineront plusieurs questions, notamment le fonctionnement de l'économie mondiale, les stratégies de développement et la dimension économique, sociale, écologique et géopolitique de la crise.

MAP
Un musée national d'archéologie et des sciences de la terre et un nouveau théâtre national seront bâtis au bord du Bouregreg, a annoncé le ministère de la Culture.

Ces deux projets s'inscrivent dans le cadre des grands chantiers culturels ouverts par SM le Roi Mohammed VI, visant à enrichir le paysage culturel national et promouvoir la ville de Rabat en tant que capitale culturelle, indique un communiqué du ministère.

Le Musée national d'archéologie et des sciences de la terre sera un des grands musées spécialisés dans ce domaine, réaffirmant ainsi l'intérêt qu'accorde le Maroc à son riche patrimoine archéologique et aux sciences de la terre, ajoute le ministère qui lancera prochainement un appel d'offre international d'architecture pour la construction du musée.

Ces projets sont en parfaite harmonie avec la vision éclairée de la gestion du champs culturel national à travers laquelle le Souverain aspire à faire du Royaume un pays de rayonnement culturel et civilisationnel.

MAP
Les ministres arabes de la Santé ont conseillé aux personnes âgées, à celles atteintes de maladies chroniques, aux enfants et aux femmes enceintes de reporter leur pèlerinage et Omra cette année, dans le but de préserver leur santé.

Lors d'une réunion extraordinaire, tenue mercredi au Caire, les ministres arabes de la Santé ont indiqué qu'ils attendent toutefois de connaître les mesures préventives qui seront prises par l'Arabie Saoudite pour garantir la santé et la sécurité des pèlerins et des personnes accomplissant la Omra.

Les participants à cette réunion, organisée sous l'égide du comité de l'Organisation mondiale de la santé pour le Moyen-orient, ont examiné l'évolution croissante du nombre des cas de Grippe A/H1N1 et des pays touchés, ainsi que les préparatifs et mesures préventives qui s'imposent lors de la saison de la Omra et du Pèlerinage.

Après un exposé du ministre saoudien de la Santé, les participants ont recommandé aux pays membres d'adopter et d'appliquer les mesures de santé publique, recommandées par la réunion scientifique consultative, tenue à Jeddah du 27 au 30 juin dernier, pour la saison de Pèlerinage et la Omra et que l'Arabie Saoudite exigera cette année aux pèlerins.

MAP

L'ambassade du Maroc au Liban a organisé, mercredi à Beyrouth, une grande réception à l'occasion de la création de l'Association d'amitié et de coopération libano-marocaine.

Cette cérémonie a été marquée par la présence de l'ambassadeur du Maroc au Liban, M. Ali Oumlil, du secrétaire d'Etat chargé de l'Artisanat, M. Anis Birou, aux côtés de diplomates et d'autres personnalités politiques et acteurs économiques et culturels.

A cette occasion, M. Oumlil a souligné la solidité des liens maroco-libanais, relevant que cette cérémonie coïncide avec la célébration du 10è anniversaire de l'accession de SM le Roi Mohammed VI aux Trône de Ses glorieux ancêtres.

Pour sa part, M. Samir Chamaa, président exécutif de l'Association, a souligné que cette cérémonie constitue le point de départ d'une action conjointe en faveur du dialogue et du rapprochement entre les deux pays et les deux peuples.

Cette première activité de l'association, a comporté un spectacle de musique, avec la participation, notamment, de la chanteuse Karima Skalli, et un défilé de caftan marocain.

A noter que Mme Leila Soulh, fille de l'ancien chef de l'exécutif libanais M. Riad Soulh, a été désignée présidente de l'Association.

Le Comité de gestion a, également, élu MM. Samir Chemmaa (PDG du groupe communications et médias) président exécutif de l'association, Kamil Mansi (journaliste) secrétaire général, Joseph Tarbia (économiste et président d'un groupe bancaire) conseiller de l'association, et Alouiya Haidar Frihat (médecin et acteur associatif), trésorier.

MAP

Joaquim Crima a beau être noir et originaire d'un pays méconnu, la Guinée-Bissau, il croit en ses chances d'être élu chef de district en Russie, où un teint mat suscite encore beaucoup d'aversion.

"Il y a beaucoup de problèmes à régler, l'état des routes, l'accès au gaz, à l'eau potable. Tout ça inquiète beaucoup de gens, et il faut changer les choses pour le mieux", explique au téléphone cet homme de 37 ans, installé en Russie depuis 12 ans et qui parle russe presque sans accent.

Les élections sont prévues pour le mois d'octobre, et les candidatures n'ont pas encore été enregistrées, mais Joaquim a déjà déployé des affiches électorales dans son village, Sredniaïa Akhtouba, pour l'élection du chef de district de Sredneakhtoubinsk, près de Volgograd (sud).

Rien ne prédestinait à la politique cet instituteur, né à Bolama en Guinée-Bissau mais formé en Moldavie et en Russie grâce à une bourse soviétique.

Ce père d'un enfant de neuf ans, marié à une Russe d'origine arménienne, gagne aujourd'hui sa vie en vendant les pastèques cultivées par son beau-père. Et il se sent russe, allant jusqu'à se choisir un prénom et un patronyme passe-partout ici: "Vassili Ivanovitch".

M. Crima veut croire que le message de "changement" martelé par Barack Obama lors de sa campagne présidentielle peut aussi marcher en Russie, où les rares afro-russes célèbres ont fait carrière dans la chanson et à la télévision.

"Je ne peux pas me comparer à une figure comme Obama, mais je peux changer les choses, c'est même une obligation", dit-il, ajoutant que l'élection d'un président noir aux Etats-Unis fait partie d'un "processus mondial, et tôt ou tard cela arrivera en Russie".

Mais au pays d'Alexandre Pouchkine, qui avait pourtant des origines africaines, Joaquim Crima souligne avoir "tout connu" en terme de racisme, et assure dès lors n'avoir "plus peur de rien".

Il reste même très philosophe sur le terme de "nègre" encore couramment employé en Russie pour désigner les noirs.

"Je ne vis pas "nègre" comme une insulte. Si c'est ça le mot qu'emploient (les Russes), et bien employons-le. Il faut être fier de ce qu'on est", dit-il, reconnaissant cependant que sa candidature est loin d'être acceptée par les habitants de son district.

"Des gens dans la rue m'ont demandé de retirer ma candidature, mais je leur répond, si on est en démocratie, pourquoi devrais-je me retirer, que la population décide", relate Joaquim.

Le président de la commission électorale du district, Viktor Sapojnikov, balaie pour sa part cette initiative comme une blague, une fantaisie qui pourra, au mieux, rassembler une partie du vote protestataire.

"On en parle beaucoup dans la rue. Bien sûr qu'on en rigole. Dans les conversations avec moi, les gens ne prennent pas cela au sérieux", explique le fonctionnaire, assurant que ce n'est pas le racisme qui suscite cette réaction mais le fait que Joaquim "est sur le marché et vend des pastèques".

Viktor Sapojnikov estime même que le principal intéressé ne se prend pas au sérieux : "Mon impression est que (Joaquim) se moque de lui-même. Il dit +je suis comme Obama+, avec en permanence un sourire sur le visage".

L'historien Apollon Davidson, l'expert de référence pour les questions africaines en Russie, regrette de son côté que l'épopée de Joaquim n'ait guère de chance de succès.

"J'ai bien peur que nous n'ayons pas dépassé nombre de préjugés. des tendances à la xénophobie existent toujours", relève-t-il.

AFP

La politique des grands chantiers engagée par SM le Roi Mohammed VI permet au Maroc de résister à la crise économique, affirme jeudi le quotidien économique français "La Tribune".

Le Maroc "a réussi son décollage économique" et a réalisé des "avancées notables" dans plusieurs domaines, souligne le journal, faisant observer à cet égard que le Royaume affiche depuis plusieurs années des rythmes de croissance élevés et est "bien armé pour résister" à la crise.

Le Maroc "est loin de baigner comme ses voisins européens dans les affres de la déprime économique", relève la publication, pour qui l'aménagement de la vallée de Bouregreg "confirme un peu plus cette dynamique".

Depuis quelques années, le Royaume "est le théâtre d'importants chantiers d'aménagement, de construction, initiés par le lancement des grands chantiers", fait remarquer "La Tribune", notant qu'outre les autoroutes et les voies ferrées, ces chantiers "comprennent surtout en point d'orgue" la création de Tanger-Med, le premier port de transbordement d'Afrique et qui est en passe de devenir le premier de la Méditerranée avec Tanger-Med II.

Parallèlement, ajoute le journal, la lutte contre la pauvreté, via l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) lancée en 2005 par SM le Roi Mohammed VI et dotée d'un budget de 800 millions d'euros, "a aussi contribué à l'augmentation de la richesse par habitant de 1.407 à 2.423 dollars entre 1999 et 2009".

"Le miracle économique marocain, qui s'est traduit par un doublement en dollars du PIB en une décennie, est en ce sens une belle revanche du modèle keynésien", souligne-t-il.

"Le Maroc est devenu au cours de la dernière décennie un pays émergent", avance un diplomate européen en poste à Rabat, cité par "La Tribune", qui en veut pour preuve l'importance de l'investissement, dont la part dans le PIB est passée d'un quart à un tiers en dix ans.

Le quotidien économique français affirme également que "ce décollage du Tigre de l'Atlas a été rendu possible grâce à la manne des privatisations mais aussi des subventions des grandes institutions internationales".

MAP
Le Maroc s'est lancé, ces dernières années, dans la création de villes nouvelles autour des grands centres urbains, pour décongestionner les grandes agglomérations urbaines et fournir aux populations des espaces agréables, dotés de toutes les infrastructures et de toutes les commodités, répondant aux besoins des diverses catégories sociales.

L'objectif d'une telle démarche est d'assurer, pour les années à venir, une urbanisation équilibrée et homogène, qui devrait stopper l'extension illimitée des grandes agglomérations urbaines, fournir aux populations un choix de logement conforme à leurs désirs, dans des espaces aménagés conformément aux normes modernes et dotés de toutes les infrastructures.

Baptisées également villes "satellites", ces nouveaux pôles urbanistiques tendent par ailleurs à répondre aux exigences d'une population de plus en plus nombreuse et satisfaire les besoins en matière de logement des ménages, toutes catégories confondues, dans une nouvelle approche à la fois quantitative et qualitative.

Dans ce sillage, le Maroc s'est donné comme ambition de créer une quinzaine de nouvelles villes, à l'horizon 2020, réparties sur l'ensemble du territoire national afin de résorber le développement démographique prévisible en milieu urbain mais aussi en tant qu'alternative à l'extension démesurée des grands villes.

Quinze villes nouvelles à l'horizon 2020.

Dotés de nombreux équipements urbains, d'espaces verts, de stations de traitement des eaux usées et d'un tissu économique important, ces nouveaux espaces urbains auront pour vocation d'optimiser le développement urbain qui s'opérait de manière mal maîtrisée, notamment au niveau des grandes agglomérations où la croissance démographique est particulièrement élevée, comme Casablanca, Rabat et Marrakech.

Au-delà des populations que les villes nouvelles sont appelées à accueillir dans quelques années, ces centres devraient permettre un vrai rééquilibrage de l'aménagement du territoire et une régulation du marché du foncier, en offrant des logements et des terrains d'activités à un prix raisonnable dans un cadre urbain agréable et de bonnes conditions de desserte et d'équipement et un environnement sain.

Dans cette optique, il a été procédé au lancement de deux nouvelles villes: la ville de Tamensourt aux portes de Marrakech, premier fleuron de cette politique et celle de Tamesna dans la banlieue ouest de Rabat, toutes deux déjà mises en chantier et où les travaux sont très avancés. Une troisième ville, baptisée Zénata, prend naissance à la croisée des chemins entre Casablanca et Mohammedia.

De même, les études de faisabilité de trois autres villes nouvelles sont en cours concernant "Lakhiayta", à 8 kilomètres au sud de Casablanca qui s'étendra sur 1.300 ha pour accueillir 300.000 habitants, " Tagadirt" à 6 km d'Agadir prévue pour abriter quelques 250.000 habitants et "Melloussa", située à 15 km à l'Est de Tanger, et devant accueillir, dans une première tranche quelque 30.000 habitants.

Vaste engouement pour les nouvelles villes.

La création de villes nouvelles, qui va de pair avec un ambitieux programme de résorption complète des bidonvilles, suscite un vaste engouement parmi la population, au point que les offres de Tamensourt ont été épuisées avant même la fin du projet et que des programmes additionnels avaient été mis au point. Les projets, notamment les programmes précurseurs ou pilotes, deviennent au fur et à mesure des réalités concrètes. Ils impliquent à la fois les pouvoirs publics et les promoteurs privés, y compris des sociétés étrangères.

La politique des villes nouvelles, a expliqué M. Abdelaziz Belkziz, directeur général délégué d'Al- Omrane Tamensourt, dans une déclaration à la MAP, a été adoptée comme alternative pertinente destinée à absorber l'habitat insalubre, à atténuer les pressions sur les villes et surtout, à mettre sur le marché un habitat correspondant aux besoins de toutes les couches sociales, principalement celles à revenu moyen.

Ces villes nouvelles préconisées par les schémas directeurs relatifs aux grandes agglomérations, ont l'avantage d'avoir une assise foncière à portée: des terrains de l'Etat, des terrains collectifs et domaniaux ou "Guiche", outre le fait qu'elles bénéficient d'un intérêt particulier en matière d'architecture, d'équipements, et de respect de l'environnement (création d'espaces verts).

"Les villes nouvelles ont la particularité d'évoluer de manière autonome. Ce sont des villes qui créent de l'emploi pour la population qui y résident, qui répondent aux besoins au niveau de la scolarisation, des équipements et de tous les autres services. Ce n'est pas une extension des villes, mais une ville à part entière", a-t-il expliqué, relevant, dans le même contexte, que l'extension d'une ville ne permet pas dans tous les cas de résoudre tous les problèmes, notamment ceux liés au déficit en équipements.

Ces villes nouvelles, a poursuivi M. Belkziz, peuvent aussi répondre aux besoins des villes riveraines qui n'ont pas des moyens et des équipements similaires, entre autres, des zones industrielles, citant, à titre d'exemple, la ville de Tamensourt qui disposera d'une grande zone industrielle de 300 ha appelée à combler le manque en équipements industriels de Marrakech. En outre, ce nouveau pôle urbanistique disposera d'une zone Offshoring (80 ha) que la cité ocre ne peut pas offrir malgré son extension. Une extension qui, a-t-il dit, commence à montrer ses limites et à engendrer de sérieux problèmes lié au foncier, car s'opérant le plus souvent au détriment des terrains à vocation agricole.

Il a toutefois relevé, que l'une des difficultés réside dans le fait que ces villes nouvelles sont créées au sein de communes rurales, souvent démunies d'expériences et de moyens, rappelant, dans ce sens, que l'Etat et plus particulièrement Al Omrane prend pratiquement en charge toute l'infrastructure ainsi que la gestion de ces villes, tout en assurant un accompagnement des différents projets et programmes.

MAP

Le Salon national de l'immobilier a ouvert ses portes, mercredi à Nador, avec pour but de faire connaître les progrès réalisés et les opportunités offertes par le secteur au niveau national et régional.

Une vingtaine d'exposants représentant le secteur et autres activités liées à l'immobilier prennent part à ce salon, organisé à l'initiative d'un acteur privé de la place en partenariat avec plusieurs partenaires.

Le salon national de l'immobilier de Nador, qui se poursuivra jusqu'au 25 juillet, sera l'occasion pour les Marocains résidant à l'étranger (MRE), notamment ceux originaires de la région, de découvrir les acquis réalisés en la matière et s'enquérir des nouveautés du domaine, indiquent les organisateurs.

Des rencontres et tables rondes sont au programme de ce salon qui a aussi pour objectif d'encourager les MRE à investir dans leur pays d'origine, précise-t-on.

MAP

SG au JT de 2m: spécial programmation de la journée internationale des migrants

Les entretiens du symposium

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