Le débat en France sur l'intégration va rentrer dans une nouvelle séquence. Et il aura des effets considéral, les sur le rapport des immigrés aussi bien avec leur pays d'origine qu'avec le pays de résidence. En France comme dans d'autres pays européens, les immigrés ont été perçus jusqu'au début des années 80 comme une simple force de travail, essentiellement masculine, corvéable à loisir, vivant dans la Cité sans être concernés par les affaires de celle-ci. L'immigration, particulièrement maghrébine, ne se percevait alors que comme «une masse apolitique et passive» qui se contentait, sans le moindre sourcillement, de sa posture de double variable d'ajustement économique. Elle était utilisée en tant que telle aussi bien par les pays d'accueil que par les pays d'origine, comme le Maroc…Suite
Cette revue de presse ne prétend pas à l'exhaustivité et ne reflète que des commentaires ou analyses parus dans la presse marocaine, internationale et autres publications, qui n'engagent en rien le CCME.
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