jeudi 26 décembre 2024 07:00

Calais, Melilla, la Sicile... Lieux de l'immigration illégale en Europe

Transversales se penche cette semaine sur un phénomène qui prend de l'ampleur en Europe : l'immigration illégale. Nous avons tous vus ces images de migrants entassés sur un bateau, ou coincés dans d’énormes clôtures coupantes. Ils viennent d'Afrique subsaharienne, mais aussi très souvent de Syrie, d'Afghanistan ou d'Irak. Ils fuient leurs pays au péril de leur vie, malgré les barrières érigées par l'Europe, tout simplement parce qu’ils n’ont plus rien à perdre : leur pays est en proie à la guerre ou à la misère.

Transversales s’est rendu dans 3 pays de l’Union européenne. À Calais, d’abord, en France. Sur la côte, le centre de Sangatte a disparu depuis plus de 10 ans, mais les migrants sont toujours nombreux à tenter de passer en Angleterre.

Tous ces migrants demandent finalement une chose assez simple : qu’on les considère comme des êtres humains, pas comme des animaux qu’on laisse errer en rue, sans accès aux soins, sans nourriture, sans accès à des toilettes, à des douches… Mais même si les autorités françaises promettent la création d’un nouveau centre, aucune date n’est avancée. Et de toutes façons, ce centre ne pourra accueillir que 500 personnes, alors qu’elles sont plus de 1200 ou 1300 selon les estimations. Et puis ce sera un centre de jour : les migrants vont donc devoir le quitter en fin d’après-midi. La solution ne sera, quoi qu’il en soit, que très partielle.

Calais, Melilla, la Sicile... Lieux de l'immigration illégale en Europe - JOSE COLON - BELGAIMAGE

Aux frontières de l’Union, ils sont aussi de plus en plus nombreux. En Grèce, notamment, mais aussi en Espagne, et particulièrement dans l’enclave espagnole de Melilla, au Maroc. Des milliers de migrants subsahariens se pressent le long de la frontière.

Enfin la Sicile connait elle aussi un afflux de migrants de plus en plus important. Comme sur l’ile de Lampedusa, ils sont nombreux à débarquer sur les côtes siciliennes. Certains y arrivent, d’autres ont beaucoup moins de chance… Le Canal de Sicile, entre la Tunisie et l’ile italienne, est souvent le théâtre de naufrages dramatiques. Jusqu’en octobre prochain, la marine italienne tente de sauver les migrants en difficulté au large de ses côtes. C’est l’opération Mare Nostrum.

L’opération Mare Nostrum doit s’achever le mois prochain. L’Italie ne peut plus faire face toute seule, dit-elle. Du coup, l’Union Européenne devrait prendre le relais via l’opération Frontex Plus, même si l’opération sera axée sur la surveillance des côtes et non plus sur le sauvetage des migrants…

Enfin la Sicile connait elle aussi un afflux de migrants de plus en plus important. Comme sur l’ile de Lampedusa, ils sont nombreux à débarquer sur les côtes siciliennes. Certains y arrivent, d’autres ont beaucoup moins de chance… Le Canal de Sicile, entre la Tunisie et l’ile italienne, est souvent le théâtre de naufrages dramatiques. Jusqu’en octobre prochain, la marine italienne tente de sauver les migrants en difficulté au large de ses côtes. C’est l’opération Mare Nostrum.

L’opération Mare Nostrum doit s’achever le mois prochain. L’Italie ne peut plus faire face toute seule, dit-elle. Du coup, l’Union Européenne devrait prendre le relais via l’opération Frontex Plus, même si l’opération sera axée sur la surveillance des côtes et non plus sur le sauvetage des

Enfin la Sicile connait elle aussi un afflux de migrants de plus en plus important. Comme sur l’ile de Lampedusa, ils sont nombreux à débarquer sur les côtes siciliennes. Certains y arrivent, d’autres ont beaucoup moins de chance… Le Canal de Sicile, entre la Tunisie et l’ile italienne, est souvent le théâtre de naufrages dramatiques. Jusqu’en octobre prochain, la marine italienne tente de sauver les migrants en difficulté au large de ses côtes. C’est l’opération Mare Nostrum.

L’opération Mare Nostrum doit s’achever le mois prochain. L’Italie ne peut plus faire face toute seule, dit-elle. Du coup, l’Union Européenne devrait prendre le relais via l’opération Frontex Plus, même si l’opération sera axée sur la surveillance des côtes et non plus sur le sauvetage des

12 septembre 2014

Source : rtbf.be

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