Sur le bord de la route nationale qui relie Tanger à Tétouan, le matin déverse ses grappes de migrants clandestins, silhouettes fragiles surgies des bosquets. De petits groupes se forment, hèlent les automobilistes dans l'espoir de récolter du pain, du lait, du riz, quelques dirhams ...De quoi préparer le repas du soir. L'enclave espagnole de Ceuta est à 8 kilomètres à peine. L'Europe rêvée, si proche et si loin ... Suite
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