samedi 30 novembre 2024 08:29

Le marché des transferts fermera ses portes ce soir à minuit. En cette dernière journée de mercato, plusieurs Marocains sont cités dans des opérations de dernière minute, aussi bien en Europe que dans le championnat national.

En Europe, aucun Marocain n’arrivera en grande pompe au Real Madrid ou au FC Barcelone, grands acteurs de ce mercato 2010. Néanmoins, des noms circulent ci et là pour renforcer des équipes moins en vue, mais pas moins ambitieuses. Ainsi, selon le site Marocfootball.info, l’international marocain de Liverpool Nabil El Zhar, serait en partance pour la Grèce.

En mal de temps de jeu dans le club de la Mersey, le joueur de 24 ans avait récemment fait part de ses envies de départ. Il aurait trouvé une porte de sortie du côté du PAOK Salonique. La durée du contrat, et le montant de la transaction n’ont toutefois pas été précisés par le site.

Egalement annoncé sur le départ, Nabil Baha, ne rentrant pas non plus dans les plans de son entraineur à Malaga (Liga espagnole), le Marocain serait proche du promu Levante, actuel 18e du classement. Baha avait également été annoncé du côté du Betis Séville, club de 2e division espagnole  qui aurait sollicité son prêt.

Mais le championnat Marocain n’est pas en reste. Des renforts venus du vieux continent seraient annoncés dans 3 grands clubs du Botola. Ainsi, selon le site Infomédiare.ma, le Wydad Casablanca, champion en titre, aurait mis  à l’essai le Franco-Marocain Fouad Dahmoune. Le jeune latéral gauche de 22 ans aurait été formé chez les girondins de Bordeaux, ancien club de Marouane Chamakh.

De son côté, le voisin du Raja aurait pris à l’essai Imed Taarabt, jeune cousin de l’international marocain Adil Taarabt, rapporte la même source. Le jeune milieu de terrain de 19 ans, pensionnaire d’Epinal (3e division française), effectuera une période d’essai de 5 à 10 jours.

Le Kawkab Marrakech aurait pris, toujours pour un essai, le cadet des frères Hadji, le jeune défenseur Farid. Le joueur de 21 ans, formé à Nancy, évoluait à Sarrebruck, en 3e division allemande.

Source : Yabiladi

31.08.2010

Plusieurs personnalités canadiennes et marocaines ont partagé, dimanche à Montréal, un dîner d'iftar organisé par le groupe Atlas Médias à l'occasion du mois sacré de ramadan.

Quelque deux cent représentants et membres des différentes communautés culturelles et confessionnelles établies à Montréal ont été conviés à partager la rupture du jeûne dans une ambiance fraternelle et conviviale qui met en avant l'esprit de solidarité qui prime lors de ce mois sacré.

Cette initiative, la sixième du genre organisée par le groupe, s'inscrit dans le cadre des activités sociales organisées par Atlas Médias en ce mois de piété et de recueillements.

Dans des allocutions de circonstance, les différents intervenants ont mis l'accent sur la dimension culturelle et sociale du mois de Ramadan et sur l'implication de la communauté marocaine dans la vie québécoise et son souci de donner l'image, la meilleure, de la culture maghrébine, en général, et marocaine en particulier.

L'occasion a été aussi pour rendre hommage à des personnalités de divers horizons et origines qui ont consenti des efforts au profit de la communauté marocaine établie au Canada et oeuvré de près ou de loin pour le rapprochement entre les différentes communautés culturelles et confessionnelles.

Ce diner d'iftar a été rehaussé par la présence notamment de Fatima Houda Pepin, première vice-présidente de l'Assemblée nationale du Québec, de membres du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger, de représentants des communautés culturelles et confessionnelles, ainsi que d'hommes politique, d'académiciens et de représentants d'associations marocaines établies à Montréal.

Source : MAP

Le long-métrage "Les oubliés de l'Histoire" du réalisateur marocain Hassan Benjelloun a été retenu en compétition officielle de la 26ème édition du festival du cinéma méditerranéen d'Alexandrie, qui se tiendra du 14 au 19 septembre prochain.

Prendront part à la compétition officielle de ce festival quelque 35 films représentant l'Albanie, l'Algérie, la Bosnie, la Croatie, l'Egypte, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie, le Liban, le Maroc, la Slovénie, la Syrie et la Turquie, selon les organisateurs.

Les films "Harragas" de l'Algérien Merzak Allouach, "chaque jour est une fête" de la Libanaise Dima El Horr, "la porte du paradis" du Syrien Maher Kedo participent également à la compétition officielle de ce festival.

Le jury, présidé par l'actrice tunisienne Moufida Tilali, comprend les acteurs égyptiens Hicham Salim et Zina, le président Directeur général du centre du cinéma grec, Giorgos Papalios, le compositeur de musique français, Eric Serra, et la photographe indienne Sabina.

Cette édition sera marquée aussi par l'organisation d'une compétition pour le choix des dix meilleurs films égyptiens durant la dernière décennie, précisent les organisateurs.

Source : MAP

Les artistes marocains, présents en force ce week-end à Paris, dans le cadre de la première édition du Grand Ramdam, fête musicale à la découverte des rythmes du Maghreb, ont charmé, par leur talent et l'originalité de leur musique, le public du festival, très nombreux à suivre leurs concerts au Parc de la Villette.

Dans la salle des concerts de la Cité de la Musique, les spectacles des groupes Mazagan et Nass El Ghiwane, accompagné de la troupe Jil Gnawa, ont ainsi fait un tabac auprès d'un public large, composé aussi bien de maghrébins, dont plusieurs marocains, que de mélomanes français, des inconditionnels des concerts d'artistes marocains.

Si la musique du groupe Mazagan, initiateur du style "chaâbi-groove" (mélange du chaâbi, reggae, rock, jazz), a attiré surtout les jeunes, celle de Nass El Ghiwane a, comme à l'accoutumée, eu la particularité de mettre en transe les spectateurs, tous âges confondus. Ils ont trouvé du plaisir à répéter en choeur les principaux succès du groupe mythique.

Youness Elguezouli, jeune talent marocain (27 ans) qui s'est produit en plein air aux côtés du Cheb Bilal, star du Raï au Maghreb et en France, a également fait danser la foule et eu sa part des applaudissements.

Lauréat du concours de chant "Casting Star" en 2003 (émission de téléréalité diffusée sur la première chaîne marocaine), ce natif de la ville de Fès se dit "honnoré" de pouvoir participer à ce concert à l'invitation du Cheb Bilal. Son premier album, "Safar" (voyage), sortira le 7 novembre en France où il poursuit sa carrière musicale.

"C'est un chanteur qui a beaucoup d'avenir et de potentiel", dira de lui Cheb Bilal qui l'a invité au Grand Ramdam après l'avoir rencontré pour la première fois, l'année dernière au festival international du Raï d'Oujda.

L'artiste algérien est un habitué des festivals marocains de musique. Il reconnaît que son succès actuel est dû en grande partie au public marocain.

"Le public marocain a joué un grand rôle dans ma carrière. S'il n'y avait pas le Maroc, je ne pense pas que je serai là maintenant", a-t-il confié à la MAP. Il compte prochainement enregistrer une chanson en duo avec la grande chanteuse marocaine Latifa Raafat.

Coïncidant avec le mois sacré du Ramadan, le festival "Grand Ramdam", initié par le ministère français de la Culture et dont les concerts ont pu être retransmis en direct sur la chaîne de télévision France O, donné l'occasion au public, venu en famille ou entre amis, de se réunir dans une ambiance de convivialité et de partage.

Une pause a été ainsi marquée au moment de rupture du jeûne où des bénévoles ont distribué aux spectateurs des dattes et du thé à la menthe.

"En France, nous sommes profondément solidaires, d'abord du mois du Ramadan et de son aspect sacré, mais aussi de son aspect festif", a déclaré à la MAP le ministre français de la Culture, M. Frédéric Mitterrand.

"Les nuits du Ramadan sont des nuits de fête et la fête c'est principalement la musique, d'où cette initiative de faire venir des groupes de toute la Méditerranée pour chanter dans ce milieux magnifique du Parc de la Villette", a indiqué le ministre qui tient à associer les artistes maghrébins et marocains en particulier aux différentes manifestations culturelles qui se déroulent en France.

Il s'est félicité de l'engouement du public pour cette première édition du festival et du fait qu'il soit rediffusée sur la chaîne France O à travers tout le territoire français.

"Je pense que c'est un honneur, un plaisir et un devoir aussi", a-t-il dit, estimant qu'il s'agit là de "l'amorce d'un festival que l'on doit continuer dans les années prochaines".

Car, selon le ministre, ce n'est pas uniquement la communauté musulmane qui tient à afficher son intérêt pour cet événement, dans la mesure où "dans l'assistance on trouve beaucoup de gens non musulmans qui viennent, par sympathie et solidarité, retrouver leurs amis".

"C'est important que les gens se comprennent et dialoguent", a-t-il souligné.

La chaîne France O partenaire du Grand Ramdam, a retransmis les concerts de cette édition dans le cadre de sa semaine thématique "Les lumières de la Méditerranée" (du 28 août au 3 septembre). Celle-ci prévoit une programmation tout entière destinée à mieux faire connaître les richesses culturelles de tous les pays riverains de la "Mare nostrum".

Magazines, concerts, fictions, mais aussi documentaires et spectacles vivants viendront rendre hommage aux lumières de la Méditerranée.

S'y ajoutera un grand débat, prévu le 1er septembre à la Cité nationale de l'histoire de l'immigration à Paris, autour de trois thèmes cruciaux pour l'avenir du monde méditerranéen: "mythes, enjeux stratégiques et vivre ensemble". Il sera diffusé le même jour sur France O .

Source : MAP

Cent neuf subsahariens candidats à l'émigration clandestine ont été arrêtés, dimanche, dans la ville d'Oujda et ses environs, a-t-on appris lundi auprès des autorités locales.

Ces personnes ont été arrêtées lors d'une vaste opération de ratissage menée conjointement par des éléments de la gendarmerie royale, de la sûreté nationale, des forces auxiliaires et des autorités locales d'Oujda.

De différentes nationalités, ils sont entrés clandestinement au Maroc et ont trouvé refuge notamment dans les zones forestières et périphériques et dans les alentours du campus universitaire de la ville d'Oujda, a précisé la même source.

Les subsahariens interpellés sont originaires du Ghana (32), Mali (10), Nigéria (12), Niger (4), Guinée Conakry (8), Guinée Bissau (4), Cameroun (4), Sénégal (4), Libéria (7), Kenya (3), Ethiopie (3), Sierra Leone (4), Côte d'Ivoire (6), Soudan (1), Rwanda (1), Zimbabwe (1), Congo (1), Bangladesh (1), Benin (1) et Gambie (2), a-t-on ajouté, faisant savoir qu'un camerounais souffrait d'une maladie infectieuse a été transféré à l'hôpital Al Farabi d'Oujda pour recevoir les soins nécessaires.

Lors de cette opération de ratissage il a été procédé à la destruction par incinération d'une soixantaine d'abris de fortune, a encore ajouté la même source, notant que des opérations similaires menées le même jour dans les provinces de Nador et Driouch ont permis l'arrestation d'une cinquantaine de subsahariens candidats à l'émigration clandestine.

Source : MAP

Pour "stopper" l'immigration clandestine et éviter une Europe "noire", "la Libye soutenue par l'Italie demande à l'Union européenne au moins 5 milliards d'euros par an", a déclaré lundi le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi lors d'une cérémonie à Rome aux côtés de Silvio Berlusconi.

Le chef du gouvernement italien n'a pas commenté cette demande d'aide libyenne ni l'affirmation du colonel Kadhafi qu'elle serait défendue devant les instances européennes par l'Italie.

Répondre à la demande libyenne est dans l'intérêt de l'Europe, qui sinon, "demain, avec l'avancée de millions d'immigrés, pourrait devenir l'Afrique", a affirmé le colonel Kadhafi, en fêtant à Rome le traité d'amitié Italie-Libye signé il y a deux ans pour mettre fin au contentieux colonial.

La Libye "est la porte d'entrée de l'immigration non souhaitée" qu'il faut "stopper sur les frontières libyennes", a argué le dirigeant libyen.

"Demain peut-être que l'Europe ne sera plus européenne et même noire car ils sont des millions (d'Africains) à vouloir venir", a encore déclaré Kadhafi. Il a qualifié ces mouvements migratoires de "chose très dangereuse". "Nous ne savons pas ce qui se passera, quelle sera la réaction des Européens blancs et chrétiens face à ce flux d'Africains affamés et non instruits", a-t-il dit avant d'ajouter: "nous ne savons pas si l'Europe restera un continent avancé et uni ou s'il sera détruit comme cela s'est produit avec les invasions barbares".

Le traité italo-libyen prévoit notamment le refoulement vers la Libye des migrants clandestins cherchant à atteindre les côtes italiennes ainsi que 5 milliards de dollars d'investissements italiens en dédommagement de la colonisation, notamment pour 1.700 km d'autoroute sur le littoral libyen.

Selon M. Berlusconi, grâce au traité bilatéral et au refoulement des migrants, l'Italie a contribué à "contrer avec succès la traite des clandestins de l'Afrique vers l'Europe contrôlée par les organisations criminelles". Il n'a toutefois pas répondu aux organisations de défense des droits de l'homme qui s'inquiètent régulièrement du sort des immigrés renvoyés en Libye.

"C'est un avantage pour tous si les relations entre l'Italie et la Libye ont changé. Qui ne le comprend pas appartient au passé et est prisonnier de schémas dépassés", a estimé M. Berlusconi.

Pour sa part, le colonel Kadhafi a invité les Libyens ayant des ressources à investir en Italie. "Il y a aussi une immigration souhaitée. Il y a des Libyens qui ont de l'argent et je les encourage à venir en Italie pour investir", a-t-il dit.

Selon Mouammar Kadhafi, M. Berlusconi s'est ému en inaugurant lundi une exposition photographique sur l'histoire des relations entre la Libye et l'ancienne puissance coloniale italienne.

M. Berlusconi "a pleuré devant les photos relatives aux drames vécus par le peuple libyen, mais la chose importante est que cela ne se reproduise pas", a déclaré le colonel Kadhafi au cours d'un discours fleuve de 40 minutes.

Source ; Le Matin.ch/AFP

31 août 2010

Le président Nicolas Sarkozy organise vendredi, à l'Élysée, une réunion d'arbitrage sur les amendements à la déchéance de la nationalité, a annoncé mardi, sur LCI, le ministre de l'Immigration Éric Besson, qui a reconnu une "divergence juridique" avec son collègue de l'Intérieur Brice Hortefeux.

"C'est le président de la République et le Premier ministre qui arbitreront cette fin de semaine, si j'ai bien compris vendredi", a déclaré M. Besson, pour lequel la question de la déchéance de la nationalité n'est pas une "révolution" puisqu'elle existe dans le droit français à l'article 25 du Code civil. Alors que M. Hortefeux veut un amendement créant un "délit de polygamie de fait/escroquerie/abus de faiblesse", M. Besson souhaite que les amendements soient limités "scrupuleusement aux crimes les plus graves, ceux qui portent atteinte à l'État, à la nation".

"Sur le plan moral et politique, rien ne me choque en la matière" (Besson)

"Il faut lutter contre la polygamie de fait, contre les fraudes sociales", a estimé M. Besson. "Est-ce que la sanction doit être la déchéance de la nationalité ? J'ai dit un certain nombre de réserves et je considère que la jurisprudence du Conseil constitutionnel ne le permet pas. Nous le verrons, nous en discuterons, c'est pour cela que j'ai dit que c'était complexe", a-t-il argumenté. En revanche, M. Besson se demande s'il ne fallait pas assimiler au terrorisme les meurtres de représentants de l'État.

"Est-ce qu'on peut considérer que tuer un magistrat, un préfet, un policier ou un gendarme quand on vient d'acquérir la nationalité française ne peut pas être assimilé à un acte de terrorisme ?" s'est-il interrogé. "Le seul cas de figure accepté justement par la communauté internationale, les conventions internationales, c'est que vous perdez votre nationalité lorsque vous venez de l'acquérir, quand vous portez atteinte à la sûreté de l'État, à ce qui fait l'essence d'une nation. La circonstance me paraît assez incontestable", a-t-il dit. "Sur le plan moral et politique, rien ne me choque en la matière. Il faut quand même accepter l'idée que quand on devient français, on signe moralement et bientôt formellement un pacte républicain. On s'engage à respecter les lois de la République", a dit le ministre.

Source : Le Point

La grogne continue de se propager au sein du gouvernement. Après Bernard Kouchner et Hervé Morin, c'est Fadela Amara qui marque sa différence. La secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville s'est dite "contre les expulsions de Roms", mardi matin, sur RTL. "J'ai toujours milité contre les expulsions", a-t-elle indiqué.

Interrogée sur la déchéance de nationalité, mesure phare du virage sécuritaire de Nicolas Sarkozy amorcé au coeur de l'été, l'ancienne présidente de Ni putes ni soumises n'a pas non plus hésité à s'opposer au discours présidentiel. "Je suis contre l'élargissement de la déchéance de nationalité à toutes les autres formes de crimes", a prévenu la secrétaire d'État.

L'ex-associative ne croit pas non plus, comme Frédéric Lefebvre l'avait affirmé au début du mois d'août, qu'il y a "des liens entre délinquance et immigration". "L'insécurité n'a pas de couleur de peau", lui a-t-elle répondu, assumant ses désaccords avec l'exécutif sur cette question. "Nous sommes en démocratie, nous pouvons avoir des désaccords", a prévenu Fadela Amara. "Faire un amalgame, ça peut amener à des dérives. Je ne suis pas convaincue qu'il y ait ce lien si formel" entre délinquance et immigration, a-t-elle martelé.

Le remaniement en ligne de mire

"Je suis évidemment totalement pour la fermeté quand on parle d'insécurité", a-t-elle toutefois tempéré ensuite, précisant adhérer à la "logique" du président de la République d'"éradiquer la délinquance", de "combattre les groupes mafieux des cités". "Le meilleur moyen pour arriver à sortir du marasme certains jeunes, c'est de rétablir l'ordre républicain qui est émancipateur", a prôné Fadela Amara.

"Nos parents n'ont pas immigré pour que leurs enfants basculent dans la délinquance", a rappelé l'ex-associative, fustigeant "la manière dont tout cela est présenté, la surenchère qui a été faite autour du discours du Président". Et de critiquer ouvertement "la surenchère de Hortefeux", ministre de l'Intérieur, qui, lundi soir, a une nouvelle fois durci ses positions en affirmant qu'un auteur de vol sur cinq à Paris était roumain.

Autant de divergences qui n'ont pas pour autant poussé Fadela Amara à quitter ses fonctions, à l'instar de ses confrères des Affaires étrangères et de la Défense. "Je ne suis pas quelqu'un qui jette l'éponge. Je reste et je continuerai", a-t-elle promis. Mais, à quelques semaines d'un remaniement annoncé, Fadela Amara a prévenu : "Si je ne sens pas la même détermination intacte, je pense que je ne resterai pas."

Source ;: Le Point

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