samedi 30 novembre 2024 03:48

Tous les ressortissants marocains établis au Japon sont sains et saufs, après le violent séisme et le tsunami dévastateur qui ont frappé vendredi dernier le Nord-est du Japon, a indiqué mardi l'ambassade du Maroc à Tokyo.

"Aucune victime n'est à déplorer parmi les ressortissants marocains établis au japon étant donné que la plupart de nos ressortissants résident dans la ville de Tokyo et les régions avoisinantes", a souligné l'ambassade dans un communiqué parvenu à la MAP.

L'ambassade du Maroc à Tokyo a fait savoir que cinq marocains seulement vivaient dans la région la plus touchée par le séisme, en l'occurrence la préfecture de Sendai et la ville de Miyagi.

"A l'heure actuelle, ces personnes ont quitté cette région touchée par le séisme, avec le concours de l'ambassade, vers la ville de Tokyo", a précisé l'ambassade, qui a mis en place une cellule de crise opérant 24/24 au sein de l'ambassade afin de s'enquérir de la situation des ressortissants marocains et de leur transmettre les consignes des autorités japonaises relatives à cette catastrophe naturelle.

"Malgré les perturbations des réseaux de télécommunication, l'ambassade a pu entrer en contact avec les membres de la communauté marocaine résidant au Japon à travers la chaîne informatique consulaire", a ajouté la même source.

Un séisme de 9 degrés sur l'échelle ouverte de Richter, suivi d'un tsunami dévastateur, ont frappé vendredi le nord-est du Japon, faisant plus de 2.414 morts, selon un dernier bilan provisoire publié mardi par la police japonaise.

Les autorités nippones s'attendent à un bilan plus lourd après la découverte de nouveaux corps dans les zones sinistrées. Dans la préfecture de Miyagi, l'une des plus touchées par la catastrophe, le chef de la police a estimé que plus de 10.000 personnes auraient perdu la vie dans cette seule préfecture.

15/03/11

Source : MAP

"Il faut arrêter d'agiter des peurs. Il n'y a pas eu d'afflux massif d'immigrés depuis le printemps arabe." Ancien porte-parole de l'UMP, devenu président de l'office français de l'immigration et de l'intégration, Dominique Paillé est catégorique : le spectre d'un afflux de migrants venus de Tunisie, de Libye, d'Egypte ou d'ailleurs est un fantasme. "Mis à part le cas particulier de quelques arrivées à Lampedusa en Italie, qui est à part, tout cela relève de la pure fiction", insiste-t-il.

C'est sur cette île italienne, devenue le symbole de l'immigration en Europe avec ces images de navires chargés de migrants, que s'est rendue, lundi 14 mars, Marine Le Pen, qui compte bien profiter des peurs générées par les révolutions arabes. Et qui n'est pas la seule : Nicolas Sarkozy le premier avait, lors de son allocution à l'issue du remaniement du 27 février, mis en garde contre "les conséquences de telles tragédies sur les flux migratoires. C'est la France qui serait en première ligne", estimait le chef de l'Etat.

Une perspective balayée par Claire Rodier, juriste spécialiste des questions d'immigration au sein du Gisti (Groupe d'information et de soutien des immigrés) et cofondatrice du réseau d'études des question d'immigration euro-africain Migreurop. Elle rappelle que "dans l'histoire récente, les 'grandes invasions' annoncées, par exemple en provenance d'Europe de l'Est après la chute du mur de Berlin, n'ont jamais eu lieu". Selon elle, au contraire, "l'histoire de mouvements de démocratisation est aussi une histoire où des gens reviennent dans leur pays".

Dominique Paillé est plus nuancé. "Les moments d'incertitude politique ou institutionnelle créent toujours un 'appel d'air' migratoire. Mais si l'Europe est présente aux côtés des nouveaux régimes, on pourra dissuader l'immigration. La démocratisation du Maghreb est une bonne nouvelle".

Sandrine Mazetier, députée PS de Paris et secrétaire nationale aux questions d'immigration, est du même avis : "il y a eu une petite arrivée d'immigrés, liée à un désordre ponctuel en Tunisie, mais pas d'afflux massif. L'UMP et le président mélangent volontairement l'immigration à Lampedusa et les populations massées à la frontière libyenne, qui cherchent le plus souvent à rentrer chez elles."

Brandies par Marine Le Pen comme un exemple du péril imminent, les populations qui se pressent à la frontière libyenne ne sont en effet pas en attente de venir en Europe. "Il y a plusieurs catégories", relève Claire Rodier. "Des gens, notamment des Egyptiens, qui travaillaient en Libye et qui veulent rentrer chez eux ; mais aussi des gens qui viennent d'Afrique subsaharienne et qui étaient déjà des réfugiés politiques en Libye, qui ne peuvent pas rentrer chez eux car il y a un danger."

LAMPEDUSA, UN ACCORD AVEC KADHAFI

Le cas de Lampedusa est également issu d'un amalgame. Certes, l'île a vu arriver, selon les autorités locales, environ 10 000 migrants depuis le début de l'année 2011, soit le triple de l'année précédente. Mais ce chiffre est à relativiser : l'Italie, puis l'UE, ont négocié avec la Libye, qui a signé fin 2008 un accord pour empêcher l'immigration vers l'Europe de population le plus souvent issues de l'Afrique subsaharienne.

Selon les chiffres du ministère de l'intérieur italien, cet accord avait fait fortement baisser les arrivées à Lampedusa : de 37 000 en 2008, on n'en comptait plus que 3 000 deux ans plus tard en 2010, au point que le centre d'accueil installé sur l'île avait fermé ses portes.

Cet accord pourrait désormais se retourner contre l'Europe. "Il faut être vigilant, s'il n'est pas renversé, Kadhafi pourrait utiliser l'arme migratoire en guise de réciproque", estime Dominique Paillé. "En 2006, Kadhafi avait menacé d'envoyer deux millions de migrants, relativise Claire Rodier. Ils ne sont jamais arrivés. En Europe on a tendance à voir les flux migratoires comme des entités théoriques, en oubliant qu'il s'agit d'individus."

Et la juriste de rappeler que, selon le Haut Commissariat des Nations unis pour les réfugiés, 80 % des réfugiés politiques au monde sont pris en charge par des pays en développement et seulement 20% par les pays de l'OCDE. De même, selon la Banque mondiale, 69 % des migrations subsahariennes sont des migrations Sud-Sud.

Pour Sandrine Mazetier, l'accord avec Kadhafi "montre à quel point l'Europe était dans un contresens historique, en bafouant ses propres principes au nom de la lutte contre l'immigration, sans jamais se dire que l'existence de ces régimes autoritaires au Maghreb était l'une des causes de l'immigration".

L'IMMIGRATION "GLOBALEMENT STABLE" DEPUIS VINGT ANS

Pour le reste, l'image d'une vague imminente d'immigration venue des pays du Maghreb qui ont subi une révolution ne s'appuie sur rien, ou presque. Sur le long terme, s'il est vrai que l'Europe est la première destination d'immigration au monde, les flux apparaissent relativement stables depuis une vingtaine d'années.

De fait, selon la fondation Robert Schuman, en 2010 les immigrés représentaient 8,6 % de la population européenne, soit moins qu'aux Etats-Unis (12,9 %).Et des voix de plus en plus nombreuses estiment qu'avec le vieillissement de la population, l'Europe devra, à l'instar des Etats-Unis, faire appel à l'immigration pour maintenir sa force de travail à l'avenir.

La France comptait en 2010 6,5% d'immigrés, soit moins que l'Allemagne (10 %). "L'immigration a changé en vingt ans, ajoute Sandrine Mazetier. Elle s'est rajeunie, elle est plus mixte, plus diplômée. Mais ce phénomène est occulté, on préfère continuer à la caricaturer en 'toute la misère du monde' qui débarquerait chez nous."

14/3/2011, Samuel Laurent

Source : Le Monde

L'économie française a besoin de 10 millions d'immigrés d'ici à 2040, selon une étude révélée mardi par le journal économique français La Tribune.

Réalisée par les économistes Karine Berger et Valérie Rabault, cette étude fait de l'immigration "la planche de salut" de la France.

"Selon nos calculs basés sur des projections de l'Insee (institut national français de la statistique et des études économiques), 26% des Français auront plus de 65 ans en 2040 si on ne modifie pas notre politique d'immigration", prévient Karine Berger.

L'économiste estime qu'avec un peu plus de deux enfants par femme, la France est certes la championne d'Europe de la fécondité, mais "cette performance" permet seulement de "retarder le vieillissement de la population".

Officiellement, 100.000 personnes arrivent chaque année en France, "beaucoup plus si on prend en compte les clandestins", estime, de son côté, Valérie Rabault.

"L'idée est d'envisager plutôt un flux de 300.000 immigrés par an, soit 10 millions de personnes d'ici 2040 qui, selon nous, sont indispensables pour régénérer la population, permettre à notre économie de conserver sa capacité d'innovation et pérenniser notre système de protection sociale", explique-t-elle.

Dans les années 1960-1970-1980, la France pouvait "se targuer", selon ces économistes, d'accueillir les cerveaux du monde entier et les populations en souffrance. Cependant, depuis les années 1990, les premiers préfèrent partir aux Etats-Unis, et les secondes tentent désespérément d'arriver en Grande-Bretagne où, estiment-elles, elles auront une véritable chance de prendre un nouveau départ, relève l'étude.

Face aux craintes de flux d'immigrés, l'étude estime qu'un des moyens les plus efficaces pour intégrer ces immigrés est de "mettre à bas la ghettoïsation".

Selon une étude réalisée par des chercheurs américains, le coût de la ghettoïsation représente 3,8% du PIB des Etats-Unis, indique Karine Berger.

"Rapporté au PIB français, toutes choses égales par ailleurs, on frôle les 80 milliards d'euros. On pourrait faire beaucoup de choses pour stopper ce phénomène", conclut-elle.

15/3/2011

Source : MAP/Aufait

Le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur a entamé à La Haye une visite de travail qui le conduira à travers les quatre circonscriptions consulaires du Maroc aux Pays-Bas pour évoquer avec le gouvernement néerlandais les perspectives de partenariat pour une meilleure intégration de la communauté marocaine.

La première journée de cette visite, qui se poursuivra jusqu'au 18 mars courant, a été consacrée aux entretiens avec les responsables gouvernementaux néerlandais chargés des affaires de la migration et de l'intégration.

Dans ce cadre, le ministre marocain s'est entretenu respectivement avec M. Gerd Leers, ministre de l'Immigration et de l'Asile, et M. Piet Hein Donner, ministre de l'Intérieur chargé de l'Intégration.

Lors de ces entretiens, les deux ministres néerlandais ont affirmé que la communauté marocaine est, dans sa quasi-totalité, bien intégrée dans la société d'accueil, qu'elle y participe activement à la vie publique et joue un rôle considérable dans son développement socio-économique et son enrichissement culturel.

Cette réussite, ont-ils estimé, ne peut être occultée par les quelques problèmes liés à la résidence illégale ou aux difficultés d'intégration que rencontre une infime minorité des jeunes issus de la migration.

Les efforts du Maroc pour juguler la migration clandestine vers l'Europe ont été salués, au même titre que sa coopération exemplaire pour résoudre les cas isolés de résidents illégaux.

M. Ameur a, pour sa part, exprimé sa satisfaction devant le nombre considérable de domaines ou se manifeste la réussite exemplaire de l'intégration des ressortissants marocains aux Pays-Bas.

Il a également déclaré que le Maroc a conscience des difficultés rencontrées par une certaine catégorie de jeunes et a exposé ce que le Gouvernement marocain met en Âœuvre pour les aplanir.

Le ministre a affirmé que le Maroc et les Pays-Bas ont un intérêt à intensifier leur coopération pour optimiser l'usage fait de ce patrimoine humain qu'ils ont en partage.

Il a souligné la portée stratégique de l'action culturelle dans la mise en place des conditions d'une intégration sereine, tirant le meilleur parti possible de la double appartenance culturelle.

L'expérience des centres culturels à l'étranger que le Maroc met en place dans un certain nombre de métropoles mondiales, en accord et avec l'appui des autorités de ces villes, ouverts à la fois aux Marocains et aux nationaux de souche, est l'une des solutions envisageables pour lutter contre l'exclusion et le repli communautariste, a déclaré M. Ameur.

Le responsable marocain a également affirmé que l'essor imprimé au développement économique et humain au Maroc, conjugué à l'infléchissement de la courbe démographique, ne manquera pas d'instaurer un environnement propre à réduire, sinon à arrêter complètement, le flux migratoire des Marocains vers l'étranger à moyen terme.

Le ministre n'a pas manqué d'évoquer l'annonce historique faite par SM le Roi Mohammed VI d'entamer une profonde réforme du champ politique, qui assoit les bases d'un Maroc nouveau et dont l'aboutissement est une société plus juste et plus démocratique, offrant sa chance à chacun de ses citoyens.

A ce propos, M. Ameur a invité les deux ministres néerlandais à visiter le Maroc pour se rendre compte de la réalité du changement que connait le Royaume, faiblement reflété par les medias hollandais, de même que pour renforcer la connaissance mutuelle et la confiance nécessaires au déblocage des problèmes en suspens entre les deux pays. Une commission mixte sera d'ailleurs créée à cet effet.

M. Ameur était accompagné lors de ces entretiens par l'ambassadeur du Maroc aux Pays-Bas, M. Jawad El Himdi.

Au cours de son séjour, M. Ameur devra rencontrer la communauté marocaine résidant dans les circonscriptions consulaires d'Amsterdam, Rotterdam, Utrecht et Den Bosch.

Cette visite, qui s'inscrit dans le cadre du renforcement des liens de communication avec les membres de la communauté marocaine à l'étranger, sera également l'occasion de faire part des récentes dispositions gouvernementales prises en faveur de la communauté marocaine.

En marge de cette visite, le ministre tiendra des séances de travail avec les autorités gouvernementales et locales néerlandaises, ainsi qu'avec les maires des villes visitées. Ces entretiens intéresseront principalement, la consolidation de la coopération bilatérale, notamment dans le domaine culturel, pour la promotion de la condition de la communauté marocaine résidant aux Pays-Bas.

15/03/11

Source : MAP

La députée UMP Chantal Brunel a demandé lundi que "l'Europe donne des moyens financiers à l'Italie pour affréter des bateaux pour reconduire (les immigrés) dans leurs pays d'origine".

"La France ne peut pas accueillir l'immigration économique illégale (...) il faut que l'Europe se groupe pour donner des moyens financiers à l'Italie pour affréter des bateaux pour les reconduire dans les pays d'origine", a déclaré la députée à Public Sénat.

Mme Brunel avait déclenché contre elle une bronca à droite comme à gauche pour avoir suggéré la semaine dernière "de remettre dans les bateaux les immigrés qui viendraient de la Méditerranée".

"J'ai fait un raccourci dont je me suis excusée parce qu'il a choqué mais je maintiens que nous ne pouvons pas accueillir" toutes ces personnes, a-t-elle dit.

La députée a fait valoir que "la France n'a(vait) pas les moyens d'accueillir la population immigrée illégale pour des raisons économiques". Pour elle "favoriser et ouvrir largement l'immigration clandestine illégale économique" conduit à "engraisser les passeurs".

"Est-ce que vous pensez que c'est humain de faire venir en France des gens qui vont vivre dans une misère et une pauvreté extrême?", a demandé l'élue.

"Je le dis avec courage, les Français ne sont pas prêts à baisser leurs prestations sociales et leur couverture sociale pour financer" cette immigration, a conclu Mme Brunel.

14/3/2011

Source : AFP

Un Malien de 47 ans, expulsé de France en 2008 malgré sa maladie, est mort la semaine dernière "des suites de son hépatite B chronique et des politiques migratoires françaises", accuse, lundi 14 mars dans un communiqué, un groupe d'associations.

Parti du Mali en 1990, arrivé en France en 2002 et renvoyé dans son pays en 2008, Kanouté Tiéni est mort mardi dernier au Mali. "Son décès survenu trois ans après son expulsion met bien en lumière la période de progression d'une maladie chronique insuffisamment prise en charge et non traitée", estiment les associations dans leur communiqué.

D'après elles, les traitements antiviraux pour son hépatite étaient "disponibles de façon intermittente" à Bamako, "mais non accessibles dans le système public", "les examens biologiques spécialisés" n'étaient "qu'exceptionnellement disponibles", et son hospitalisation, après aggravation, "n'a pu être possible".

"28 000 ÉTRANGERS MALADES RISQUENT L'EXPULSION"

"On ne connaît pas le nombre de patients expulsés atteints de maladie grave où le pronostic est engagé à plus ou moins long terme, et qui meurent prématurément dans la plus grande indifférence", dénoncent les associations. Mais "aujourd'hui, 28 000 étrangers malades risquent eux aussi l'expulsion et une interruption brutale de soins", puisque "le 10 mars, l'Assemblée nationale a voté une disposition de la loi 'immigration' qui autorise le renvoi des étrangers gravement malades dans leur pays d'origine", ajoutent-elles.

Le communiqué est notamment signé par Act-Up Paris, Aides (lutte contre le sida), la Cimade (service œcuménique d'entraide aux étrangers), la Comede (aide à la santé et l'insertion des exilés), le CoMeGAS (Collectif des médecins généralistes pour l'accès aux soins), la Ligue des droits de l'homme, Médecins du monde et le MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié des peuples). Dans un communiqué séparé, Médecins sans frontières (MSF) a déploré "l'entêtement d'une partie de la majorité à vouloir restreindre l'accès aux soins des étrangers gravement malades".

14.03.11

Source : AFP/ Le MONDE

L’Evénement est organisé, du 17 au 20 Mars 2011,  par l'association les DEUX RIVES à Amiens (nord de la France). Le CCME est partenaire de l’activité…Consulter le programme

 

Le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur effectuera du 13 au 19 mars, une visite de travail aux Pays-Bas, où il rencontrera la communauté marocaine résidant dans les circonscriptions consulaires d'Amsterdam, Rotterdam, Utrecht et Den Bosch.

Cette visite s'inscrit dans le cadre du renforcement des liens de communication avec les membres de la communauté marocaine à l'étranger, indique un communiqué du ministère.

Le séjour de M. Ameur sera également l'occasion de faire part des récentes dispositions gouvernementales prises en faveur de la communauté marocaine.

La mise à niveau informationnelle des membres de la communauté marocaine relative aux évolutions de la cause nationale et leur mobilisation pour faire face aux manœuvres des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume seront également à l'ordre du jour de cette visite, ajoute la même source.

En marge de cette visite, le ministre tiendra des séances de travail avec les autorités gouvernementales et locales néerlandaises, ainsi qu'avec les maires des villes visitées. Ces entretiens intéresseront principalement, la consolidation de la coopération bilatérale, notamment dans le domaine culturel, pour la promotion de la condition de la communauté marocaine résidant aux Pays-Bas.

11/03/10

Source : MAP

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