mercredi 27 novembre 2024 15:31

Le jeune milieu de terrain belgo-hispano-marocain Mehdi Carcela-Gonzales, qui évolue au Standard de Liège (D1/Bel), a finalement opté pour le maillot de l'équipe du Maroc, apprend-on, lundi à Bruxelles, d'une source de la Fédération royale marocaine de football (FRMF).

"Mehdi Carcela a opté pour l'équipe nationale de football du Maroc et le choix du talentueux milieu de terrain sera officiellement annoncé dès finalisation de la procédure par la FIFA", a confié à la MAP Noureddine Moukrim, fraîchement nommé coordinateur auprès de la FRMF, chargé de la prospection des jeunes joueurs marocains en Belgique et aux Pays-Bas.

"Le dossier de Mehdi Carcella est actuellement soumis à la FIFA. Il s'agit de simples formalités, le joueur ayant déjà signé un document dans lequel il exprime son choix de jouer pour le Onze marocain", a affirmé M. Moukrim.

Selon la même source, Mehdi Carcela n'a jamais fait de déclaration officielle ni exprimé son souhait de porter le maillot de la sélection belge.

"Il avait demandé un délai pour régler certaines questions administratives. Son choix a toujours été de faire partie du Onze national marocain", a-t-il souligné.

Le joueur du Standard de Liège possède la triple nationalité maroco-belgo-espagnole, sa mère étant marocaine.

Révélation du championnat belge, le jeune joueur de 21 ans avait été convoqué à plusieurs reprises en équipe nationale belge mais avait décliné l'offre.

Milieu de terrain, il peut également évoluer sur le flanc gauche ou en attaque. Il a signé à 19 ans un contrat professionnel de 4 ans avec le Standard.

29 Septembre 2010

Source : Libération.ma

Le Sénégal est le meilleurs accès aux marchés de l'Afrique de l'ouest, plusieurs acteurs économiques marocains au Sénégal ont compris l'importance pour leurs activités du tissu associatif et des compétences marocaines installées dans ce pays ami où l'apport marocain axé historiquement sur le commerce, se diversifie pour s'orienter vers les services et l'industrie. Un réseau des Compétences marocaines au Sénégal, annoncé en mars dernier, devait déboucher sur un Club.

Comment s'organise l'immigration marocaine au Sénégal plus ancienne que celle en Europe? Quel est le rôle du Conseil National des Marocain au Sénégal qui regroupe plusieurs associations? Des questions que notre équipe a posé à Monsieur Sidi Mohamed FARSI son président. Notre invité est également membre du CCME et directeur de l’Ecole Doctorale des Télécommunications de l’Université de Dakar, professeur titulaire à l’école supérieure polytechnique de Dakar, et Directeur du Laboratoire de recherche en Imagerie Médicale et Bio Informatique…Suite

Le Maroc est passé d’un pays de transit à un pays d’accueil pour les migrants subsahariens selon les résultats préliminaires d’une étude sociologique rendue publique lundi à Rabat. D’après la même étude, conduite par le Centre Jacques Berque pour le développement des sciences humaines et sociales au Maroc et l’ONG italienne Coopération internationale sud-sud (CISS), le choix de rester au Maroc est une conséquence du développement économique que connait le Royaume. Toutefois, d’autres raisons pousseraient les migrants à s’établir au Maroc, malgré eux-mêmes.

Le Royaume du Maroc n'est plus comme il l’était jadis, uniquement un pays émetteur d'immigrés. Le Maroc est depuis plus de deux décennies, une terre d’accueil pour les étudiants subsahariens. Aujourd’hui, il y a quelques 7000 étudiants subsahariens inscrits dans écoles supérieures marocaines.

Mais aussi depuis des années, le Maroc est perçu par d’autres Subsahariens comme une porte donnant accès à l’eldorado européen. Nombreux sont ceux qui ont tenté l’aventure – surtout les hommes – pour essayer de rejoindre le Vieux contient à travers le Maroc. Le désir initial d’aller en Europe est laissé souvent de côté au profit d’un établissement au Maroc. Au final, ils sont nombreux à choisir la terre marocaine, en attente d’un passage illusoire vers le Vieux continent.

L’étude sur les « droits des immigrés et l'altérité culturelle », a indiqué que leur « séjour permanent » au Maroc est lié le plus souvent à la pratique d’emplois et de petits métiers, dont les Marocains ne veulent pas, ou ne pratiquent pas à grande échelle. Ainsi, il n’est pas rare de croiser des porteurs ou des vendeurs ambulants aux alentours des marchés. Selon les chercheurs, l’entretien d’une relation avec des Marocaines victimes d’exclusion sociale, comme les femmes divorcées ou les mères célibataires, est aussi une raison pour ces migrants de résider au Maroc.

Toutefois, à côté de ces exemples mineurs, la difficulté d’accès à l’Europe est également un motif obligeant les migrants à se sédentariser au Maroc. La crise économique qui a frappé l’Espagne, principale porte d’entrée de l’Europe via le Maroc, a eu des répercussions sur la politique migratoire de ce pays. De plus, les frontières du sud de l’Europe, notamment celles de l’Espagne, sont de plus en plus difficiles à franchir. Du coup, beaucoup de Subsahariens se sont retrouvés « coincés » au Maroc : impossible de traverser la Méditerranée ou de faire marche arrière et retourner dans leur pays d’origine.  Ils n’ont plus d’alternative à part plonger dans la mendicité, triste réalité quotidienne de centaines de migrants subsahariens au Maroc.

Le directeur du Centre Jacques Berque, Michel Peraldi a déclaré que la transformation du Maroc en un pays d’accueil,  exige une réflexion sur la situation de ces immigrants clandestins, dont personne ne connait le nombre, faute de statistiques officielles. Conscient de ce vide, le Haut commissariat des Nations Unies pour les refugiés (HCR) en collaboration avec la Fondation Orient Occident (FOO) et le soutien des Coopérations suisse, néerlandaise et suédoise, a décidé dès 2007 de la création d'un centre d'accueil pour réfugiés. Ce centre inauguré en juin dernier à Rabat qui est le premier du genre au Maghreb, a été cofinancé essentiellement par la Coopération suisse et la Fondation de la Commission espagnole pour le soutient du réfugié (CEAR).

29/09/2010

Source : Yabiladi

Le Groupe acrobatique de Tanger (GAT) a gratifié, mardi soir, le public romain d'un spectacle haut de gamme à mi-chemin entre l'art traditionnel et le théâtre contemporain.

Savamment interprété par une équipe de douze jeunes artistes, dix garçons et deux filles, ce spectacle Intitulé: "Chouf Ouchouf", allie harmonieusement plusieurs techniques de scène (danse, chant, musique, mime et acrobatie traditionnelle et moderne).

A travers les mouvements gracieux de leurs corps et le maniement subtil des mots, de bribes de chanson ou de cris d'animaux, les membres de la troupe se sont déployés, avec finesse, à jeter la lumière sur certains maux de la société: bureaucratie, pauvreté, chômage et exil.

"Chouf Ouchouf " est né de la rencontre des membres de la troupe, créée en 2003 par Sanae El Kamouni, avec les célèbres metteurs en scène suisses Martin Zimmermann et Dimitri de Perrot, qui ont su donner à la troupe une nouvelle dimension: un mélange de théâtre sans parole et de cirque contemporain.

Toutes les scènes ont pour seul décor des planches en bois mobiles, qui sont tantôt érigées en murs tantôt transformées en labyrinthe.

Ce spectacle, qui s'est déroulé dans le prestigieux théâtre "Elisio" de Rome qui a affiché complet, a été programmé dans le cadre du festival "Europa Roma".

Une nouvelle représentation est prévue ce mercredi dans la soirée.

Source : MAP

Le premier Observatoire pour l'intégration médiatique de la communauté arabe en Espagne vient d'être créé, ont annoncé, mardi à Madrid, les promoteurs de cette initiative.

Cet Observatoire se veut une institution indépendante ayant pour mission de suivre et d'analyser la manière avec laquelle les médias espagnols traitent les questions concernant la communauté arabe en Espagne et le monde arabe, en général, a-t-on souligné de même source.

Constituée de journalistes, d'académiciens, d'experts et de spécialistes arabes et Espagnols des questions relatives à la communauté arabe installée en Espagne, cette institution ambitionne également de contribuer au renforcement du rayonnement médiatique de cette communauté dans le pays d'accueil.

Par ailleurs, la rencontre de présentation de cet Observatoire a constitué une occasion pour exposer les résultats d'une étude sur les habitudes et centres d'intérêts de la communauté arabe en Espagne en rapport avec la presse écrite, réalisée à l'initiative d'" Andalous Médias " pour l'information et la communication.

Réalisée auprès d'un échantillon de plus de 1.000 ressortissants arabes installés à Barcelone, Madrid, Alicante et Almeria, cette étude a révélé que la majorité des membres de la communauté arabe a l'habitude de lire la presse écrite espagnole.

Les questions touchant la communauté arabe, ainsi que l'actualité sportive et internationale viennent à la tête des préoccupations des lecteurs arabes en Espagne, selon la même étude.

Lors de cette même rencontre, " Andalous Médias " a annoncé la prochaine parution en Espagne, vers la fin d'octobre prochain, du premier journal hebdomadaire en arabe.

Source : MAP

Une campagne médicale au profit des populations démunies des provinces de Midelt et d'Errachidia, sera organisée du 2 au 10 octobre prochain, à l'initiative de l'Association médicale d'aide au développement entre l'Auvergne et le Maroc (AMDAM).

Une centaine de médecins et de chirurgiens bénévoles, de différentes spécialités, feront le vol Clermont-Ferrand-Errachidia, pour participer à cet élan de solidarité, aux côtés d'une vingtaine de praticiens marocains, indique mardi un communiqué de l'AMDAM.

Organisée en partenariat avec le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, cette action de solidarité, la cinquième du genre, sera couronnée par la signature d'une convention de partenariat entre le ministère et l'AMDAM, en application de la politique d'encouragement des actions de co-développement portées par des associations marocaines à l'étranger.

Au cours des 4 précédentes missions, l'AMDAM, rappelle-t-elle, a réalisé plus de 33.000 consultations médiales, plus de 1.500 interventions chirurgicales et a offert plusieurs tonnes de médicaments et d'équipements médicaux à des structures de soins au Maroc.

Source : MAP

L'université Abdelmalek Essaâdi de Tétouan et l'université de Cadix (Sud de l'Espagne) ont convenu de la création d'un espace de coopération académique intitulé "Campus Transfrontalier du Détroit".

Le "Campus Transfrontalier du Détroit", une initiative conjointe des universités Abdelmalek Essaâdi de Tétouan et l'université de Cadix, vise la création d'un espace de coopération interuniversitaire dans le cadre du projet "Juntos" (Ensemble), pour mener un programme commun de séminaires qui auront lieu durant l'année universitaire 2010-2011.

Le projet "Juntos", qui s'inscrit dans le cadre du Programme opérationnel de la coopération transfrontalière Espagne-Frontières extérieures de la Commission Européenne, est financé à hauteur de 75 pc par le fonds FEDER et de 25 pc par l'Institut Espagnol de l'emploi, du développement socio-économique et technologique (IEDT).

Une cérémonie a eu lieu, lundi au siège de la Fondation "Deux rives" à Algésiras (Sud de l'Espagne), au cours de laquelle le "Campus Transfrontalier du Détroit" a été présenté devant un parterre de responsables et d'universitaires marocains et espagnols, notamment les vice doyens des Universités de Cadix et de Tétouan, respectivement Fransisco Trujillo et Hassan Ezbakhe, et le consul général du Maroc à Algesiras, Sellam Berrada.

Le projet "Juntos", qui s'inscrit dans le cadre d'une coopération bilatérale vieille de 10 ans entre les deux universités consiste en un cycle de séminaires étalé sur les deux prochains trimestres au cours desquels seront débattus une panoplie de thèmes multidimensionnels d'intérêt commun, a-t-on expliqué lors de la présentation du projet.

Parmi les séminaires qui seront organisés à Tanger, Algésiras et Tétouan, les promoteurs du projet ont retenu des thématiques traitant de questions d'actualité comme la régionalisation, l'Autonomie, l'immigration et l'environnement.

A cette occasion, le consul du Maroc à Algesiras, M. Berrada s'est félicité de la qualité et la pertinence de la thématique des séminaires programmés dans la mesure où ils traitent de questions d'actualité et au bénéfice tant du Maroc que de l'Espagne, notamment les séminaires consacrés à la régionalisation et l'Autonomie, à l'immigration et à l'environnement.

Source : MAP

La fondation ONA organise, le mercredi 6 octobre 2010, une rencontre littéraire sous le thème de « la diversité culturelle »; et l’invité sera l’auteur Mohamed Hamadi Bekouchi, sociologue et expert en management, qui présentera son livre « les Marocains d’ailleurs, identités et diversité culturelle »…Suite

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