mercredi 3 juillet 2024 19:28

picto infoCette revue de presse ne prétend pas à l'exhaustivité et ne reflète que des commentaires ou analyses parus dans la presse marocaine, internationale et autres publications, qui n'engagent en rien le CCME.

Associations de défense des droits et personnalités inauguraient ce samedi un "boulevard de la honte" à Paris.

SOS Racisme donnait rendez-vous à 14h30, samedi 16 janvier, face au 8 Avenue de Flandre à Paris (Métro Stalingrad), pour l'inauguration d'un "boulevard de la honte". A l'occasion de la "Journée des Expulsés", l'association comptait dénoncer "Eric Besson [et] sa politique migratoire mise en œuvre 'au service de la France'". "La politique du gouvernement déshumanise les étrangers", estime SOS Racisme, qui publie sur Nouvelobs.com un appel co-signé par la FIDL, l'UNEF, l'UNL, la Confédération étudiante, l'UEJF, les Jeunes Communistes et les Jeunes radicaux.


A la suite de l'inauguration devait également se tenir, à 15h30, un "Freeze contre les expulsions & lâcher de ballons" place de la Rotonde (Métro Stalingrad également). "Nous sommes de plus en plus nombreux à dénoncer ces atteintes aux droits humains" peut-on encore lire dans le communiqué. Devaient notamment être présents Amel Bent, Jean-Christophe Cambadélis, Sarah Forestier, Axelle Lafont et Firmine Richard.

Source : Nouvel Observateur

Eric Besson va proposer au président de la République d'instaurer une charte des droits et devoirs que les Français signeraient au moment de leur majorité. C'est ce que le ministre de l'immigration a déclaré vendredi soir lors d'un débat sur l'identité nationale à Marseille.

A la question d'un jeune homme sur l'opportunité de faire signer à chaque Français "une sorte de contrat commun (...) établissant des principes à la fois moraux et politiques qui constituerait un ensemble de règles et de droits", M.
Besson a répondu : "Tout jeune Français au moment où il bascule dans sa majorité à 18 ans et va recevoir sa carte d'électeur pourrait se voir proposer de signer un serment, une charte, quelque chose qui l'attache à la République", ajoutant que si "l'on est dans l'ordre du symbole, c'est un symbole qui peut toucher".

Quelque 200 personnes, toutes conviées par carton d'invitation, ont assisté à ce deuxième débat marseillais, organisé à la préfecture. La discussion a tourné davantage autour de l'intégration des immigrés et plus particulièrement des musulmans et maghrébins. Elle s'est déroulée dans le calme hormis une prise de bec qui a opposé des membres de l'assistance au maire UMP de la ville, Jean-Claude Gaudin, sur les démonstrations de joie des supporters de l'équipe d'Algérie de football après sa victoire contre l'Egypte.

A Marseille, "où la communauté musulmane est très forte nous faisons l'effort de formation, d'accueil, de recherche d'emplois et de logements pour que tout le monde soit traité de la même manière. Cependant nous voulons aussi la réciprocité. Quand il y a des matches de football, quand après il déferle 15.000 musulmans sur la Canebière et qu'il n'y a que le drapeau algérien, cela ne nous plaît pas", a déclaré M. Gaudin lors d'une rencontre avec des militants UMP précédant le débat. "Vous m'avez blessé, ma famille et les 200.000 musulmans qui vivent à Marseille", a déclaré un élu municipal d'origine algérienne. Une enseignante d'histoire-géographie s'est déclarée "heurtée par les propos tenus". "Nous ne sommes pas 15.000 musulmans mais 15.000 franco-algériens. Il y avait aussi de nombreuses personnes qui portaient les couleurs des drapeaux français et algérien et la fête s'est bien passée", a-t-elle affirmé.

Avant le débat, quelque 200 personnes ont manifesté contre sa tenue et pour réclamer la suppression du "ministère de l'indignité nationale" et la régularisation des 6.000 grévistes sans papiers, à l'appel notamment de La Cimade, de RESF, de la LDH et de syndicats.

Source : Le Monde

Après quinze ans de succès sur les scènes de festivals, l’artiste franco-marocaine attaque l’année 2010 avec son premier album : « Handmade », dont le clip a été réalisé par Tony Gatlif.

Elle s’engouffre dans un taxi. Direction la Maison de Radio France, pour l’enregistrement du Pont des artistes, émission phare de France Inter dont elle est l’invitée. Dur-dur, la nouvelle vie de révélation musicale, lorsque l’on a connu, quinze ans durant, le succès plus confidentiel des scènes underground et des festivals…

Courtisée par les médias français, Hindi Zahra, artiste franco-marocaine, enchaîne interviews et promotion. Et démarre l’année 2010 en fanfare avec la parution de son premier album, Handmade, dans les bacs le 18 janvier sous le label jazzy Blue Note (EMI). Dans la foulée, elle se produira à Cannes à l’occasion des MidemTalents 2010 (du 24 au 27 janvier) qui l’ont sélectionnée parmi 13 jeunes artistes prometteurs dotés d’un « potentiel à l’export ». Entretien.

Vous faites de la scène depuis l’âge de 16 ans, et vous sortez votre premier album à 30 ans. Avez-vous le sentiment d’un aboutissement ?

Non, plutôt d’une continuité. C’est la suite logique de mon parcours et je n’ai pas encore tout dit. Ce n’est pas un aboutissement puisque je n’en ai pas fini avec la musique.

En juin 2008, votre maquette était prête. Pourquoi avoir tant attendu pour sortir cet album ?

Parce que je porte plusieurs casquettes à la fois, en tant qu’arrangeuse, réalisatrice et productrice. Ça prend du temps d’assumer tous ces rôles. J’ai d’ailleurs loué un appartement pendant trois mois où je me suis enfermée pour ne me consacrer qu’à ça. C’était un temps qui m’appartenait et ça ne m’a pas paru long. Je tenais à produire l’album moi-même. J’ai donc signé un contrat sous licence avec Blue Note.

En 2008, vous nous confiez avoir été approchée par plusieurs labels. Pourquoi avoir choisi Blue Note ?

C’est un label que j’admire, qui a sorti de grands noms du jazz et beaucoup de musique instrumentale. Et puis, je connaissais un peu les gens de la maison puisqu’ils me suivent depuis plusieurs années. Surtout, ils me laissaient libre, ce qui est essentiel pour moi.

Pour votre premier clip, « Beautiful Tango », la réalisation a été confiée à Tony Gatlif. Comment s’est faite votre rencontre ?

D’abord, je suis une de ses fans. J’ai vu tous ses films ainsi que son spectacle aux Bouffes du Nord (à Paris, ndlr) qui rassemblait les musiciens de son film Exil, dont des gnaouis. Et j’avais déjà croisé le chemin de sa fille, qui m’avait filmée en concert. Avec Tony, on s’est rencontré en septembre 2009 et, en décembre, on tournait déjà le clip.

Sur les onze morceaux de Handmade, deux seulement sont en tamazigh, la langue berbère. Pourquoi pas davantage ?

J’avais envie de mettre en valeur la langue berbère, mais pas de faire tout l’album en berbère. Je ne suis pas une raïssa, une chanteuse traditionnelle. J’ai d’autres cultures en moi et je veux pouvoir toutes les exprimer. Mais je prépare d’autres chansons en berbère, qui est la langue des mes origines, celle dans laquelle j’ai grandi.

Qui sont vos musiciens ?

Il y a Thomas Naïm, guitariste, avec lequel je travaille depuis des années. Et nous a rejoint Abdenour Djemaï, qui a travaillé entre autres avec Cheikha Remitti et Enrico Macias.

Avec quels artistes aimeriez-vous collaborer par la suite ?

Je n’envisage rien, mais je rêve de travailler avec Tinariwen par exemple. Il y a aussi le groupe mauritanien Doueh, excellent et que j’adore. Nous avons déjà travaillé ensemble à l’occasion d’un festival à Dakhla au Maroc et je suis prête à remettre ça. Autrement, je travaille en ce moment avec El Tanbura, un groupe égyptien de Port Saïd qui puise dans la tradition soufie et qui joue notamment de la simsimiyya (une lyre à 5 cordes datant des Pharaons, ndlr). On prépare quelque chose ensemble pour un nouveau festival qui est sur le point de se créer. Mais chut, c’est encore un secret…

Source : Jeune Afrique

Le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur, a invité les associations des Marocains résidant à l'étranger à mettre en place des partenariats avec son département pour mieux servir les intérêts de la communauté marocaine.

Des partenariats entre le ministère chargé de la Communauté marocaine à l'étranger et les associations des Marocains expatriés, dans les domaines éducatif, social et culturel sont de nature à contribuer à mieux répondre aux attentes et aux préoccupations de cette catégorie, a souligné M. Ameur lors d'une rencontre, vendredi à Valence (est de l'Espagne), avec les représentants des associations marocaines et des ressortissants marocains établis dans cette région espagnole.

A cette occasion, le ministre a mis l'accent sur la nécessité d'engager un dialogue permanent avec les différentes composantes de la communauté marocaine résidant à l'étranger, qui ont grandement contribué au développement de leur pays d'origine dans plusieurs domaines.

Le ministre a, par ailleurs, passé en revue les différentes actions entreprises par son département au profit de la communauté marocaine résidant à l'étranger, faisant part de la solidarité du gouvernement marocain avec les MRE dans ces moments difficiles marqués par la crise économique qui frappe de plein fouet plusieurs pays européens, notamment l'Espagne.

M. Ameur a indiqué, à cet égard, que son département est disposé à aller de l'avant dans l'accompagnement des MRE, faisant savoir que le gouvernement a mis en place un programme ambitieux embrassant les aspects économique, administratif, social, culturel, juridique et éducatif pour améliorer la situation des expatriés marocains.

S'agissant de la question du Sahara, M. Ameur a appelé la communauté marocaine résidant à Valence à davantage de mobilisation pour faire face aux complots ourdis par les ennemis de la nation, visant à porter atteinte à l'intégrité territoriale du Royaume et au projet moderniste et démocratique du Maroc.

M. Ameur a, dans ce contexte, souligné la pertinence de la proposition marocaine d'accorder une large autonomie aux provinces du Sud, qui constitue une solution définitive et audacieuse à ce conflit artificiel, précisant que le projet de régionalisation avancée vient consolider le processus démocratique engagé par le Royaume sous l'impulsion de SM le Roi Mohammed VI.

Lors de cette rencontre, qui s'est déroulée en présence du Consul général du Maroc à Valence, M. El Hassan Dahman, les représentants de la communauté marocaine à Valence ont réaffirmé leur disposition à défendre la cause nationale et à faire face aux manoeuvres visant à saper le processus démocratique au Maroc.

Cette rencontre a été également l'occasion d'exposer plusieurs problèmes rencontrés par les MRE en Espagne liés, notamment, au renouvellement des titres de séjour et à l'insuffisance des enseignants de la langue arabe.

M. Ameur, qui effectue du 10 au 17 janvier une visite de travail en Andalousie, à Valence et en Catalogne, s'est réuni auparavant avec plusieurs responsables, dont le président du gouvernement autonome d'Andalousie, M. José Antonio Grinan, la directrice de la Fondation des Trois Cultures de la Méditerranée, Mme Elvira Saint-Gerons Herrera et le vice-secrétaire général de l'UGT d'Andalousie, M. Dionisio Valverde.

Lors de son séjour en Espagne, M. Ameur a eu également des rencontres avec les représentants des associations marocaines et des ressortissants marocains établis à Seville, Algésiras et Almeria.

Cette visite s'inscrit dans le cadre des rencontres régulières avec les MRE initiées par ce département pour s'enquérir des conditions de ces derniers et les informer des actions entreprises en leur faveur.

Source : MAP

Une étude sur la communauté marocaine résidant à Almeria (Sud de l'Espagne) sera réalisée prochainement par l'Université de cette ville, en partenariat avec le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger.

Cette étude scientifique, qui sera menée par l'Observatoire de l'immigration relevant de l'Université d'Almeria, a pour objet de mieux s'informer de la réalité des Marocains établis dans cette région et leurs dynamiques d'intégration.

Une fois achevée, cette recherche servira de référence au ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger dans l'élaboration des programmes visant l'accompagnement des Marocains et l'amélioration de leur image au sein de la société d'accueil.

Ce projet a fait l'objet d'une réunion, mercredi à Almeria, entre le ministre délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l'Etranger, M. Mohamed Ameur, et le président de l'Université, M. Pedro Molina, en présence du consul général du Royaume à Almeria, M. Rachid El Mougha.

M. Ameur a relevé, dans une déclaration à la MAP, qu'une attention particulière sera accordée au renforcement des relations de coopération entre l'Université d'Almeria et des établissements d'enseignement supérieur au Maroc, notamment ceux déjà liés par des accords de coopération avec l'université espagnole.

Les entretiens ont porté également sur les possibilités de soutenir les étudiants marocains inscrits à l'Université d'Almeria, en leur accordant des bourses dans le cadre du projet de l'étude sur la communauté marocaine dans cette région, a ajouté M. Ameur.

Le président de l'Université d'Almeria, l'une des plus prestigieuses d'Espagne notamment dans le domaine de la recherche agronomique, a affirmé, pour sa part, que cet établissement est disposé à accueillir des activités destinées surtout aux jeunes de nature à faire promouvoir la culture marocaine auprès de la société espagnole.

Dans le même contexte, M. Ameur s'est réuni également avec le maire d'Almeria, M. Luis Rogelio Rodriguez-Comendador.

Lors de cette réunion, il a été convenu d'organiser des Journées culturelles marocaines à Almeria, en partenariat avec le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger et avec la collaboration de l'université de la ville.

Le responsable espagnol a déclaré que la mairie d'Almeria est disposée à participer à l'organisation d'autres manifestations culturelles à l'attention des Marocains résidants dans sa ville.

Le ministre marocain s'est également entretenu avec le délégué du gouvernement central à Almeria, M. Andrés Heras, de la situation des immigrés marocains établis dans cette ville et sa région.

Les deux responsables ont souligné la nécessité de prendre en considération les conditions difficiles de certains ressortissants marocains, qui lors de la procédure de renouvèlement de leurs titres de séjour,se sont retrouvés au chômage à cause de la crise économique.

M. Ameur effectue du 10 au 17 janvier une visite de travail dans les régions d'Andalousie, de Valence et de la Catalogne, qui s'inscrit dans le cadre des rencontres institutionnelles de communication avec les MRE menées pour s'enquérir de leurs conditions et les informer des actions entreprises en leur faveur, ainsi que des derniers développements de la cause nationale.

Source : MAP

Seize locaux de rétention administrative en France ne remplissant pas des conditions d'accueil suffisantes pour les étrangers en situation irrégulière seront fermés, annonce le ministre de l'Immigration.

Dans un communiqué, Eric Besson estime que ces lieux ne remplissent pas les conditions d'un accueil "digne".

Sur une trentaine de centres de rétention ouverts en France, seuls sept répondaient à tous les critères d'équipements obligatoires, selon différents rapports remis ces dernières années au gouvernement.

Les locaux voués à la fermeture sont notamment implantés à Nancy, Rennes, Le Havre, Dieppe, Toulon, Laval, Auxerre, Reims, et Charleville-Mézières. Parallèlement, sept locaux de rétention administrative seront remis aux normes, notamment ceux de Martinique et de Corse.

Pour accueillir dignement des étrangers, les locaux doivent comporter des chambres collectives non mixtes, accueillant au maximum six personnes, des équipements sanitaires en libre accès, le téléphone en libre accès et un local permettant de recevoir des visites, explique Eric Besson dans un communiqué.

Source : Le Nouvel observateur

Une déclaration hispano-marocaine destinée à promouvoir l'intégration des Marocains établis à Valence (est de l'Espagne) a été signée, vendredi, par le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur, et le conseiller (ministre) de la Solidarité et de la Citoyenneté du gouvernement autonome de Valence, M. Rafael Blasco Castany.

Cet accord prévoit, entre autres, une assistance juridique et sociale aux Marocains établis dans cette région autonome espagnole et leur faciliter l'accès au marché du travail, outre le respect des droits des mineurs non-accompagnés.

Les deux parties ont également convenu de mettre en place un partenariat dans le but d'élaborer un programme concernant les domaines éducatif, culturel et social, promouvoir la situation de la ressortissante marocaine et encourager l'enseignement de la langue arabe au profit des enfants des Marocains résidents à Valence.

La déclaration commune appelle, en outre, à la consolidation des relations culturelles entre le Maroc et la région autonome de Valence.

M. Ameur, qui intervenait à cette occasion, a souligné l'importance de cet accord et s'est félicité des efforts déployés de part et d'autre en vue de palier les problèmes auxquels sont confrontés les Marocains de Valence.

Le ministre a, d'autre part, fait état de l'importance que revêt la coopération culturelle entre le Maroc et la région autonome de Valence, appelant à conférer davantage d'élan à cette collaboration.

Il s'est, par ailleurs, félicité de la convergence des vues des deux pays sur plusieurs questions d'intérêt commun, notamment la gestion de la question de l'immigration.

Pour sa part, M. Blasco Castany a affirmé que cette déclaration est de nature à consolider les liens de coopération et d'amitié entre le Maroc et la région de Valence.

Il a, en outre, salué la contribution des Marocains au développement économique et à l'enrichissement culturel de cette région, rappelant qu'ils représentent la première communauté étrangère établie à Valence.

La cérémonie de signature s'est déroulée en présence notamment du consul général du Maroc à Valence, M. El Hassan Dahman et de plusieurs responsables du département de la Solidarité et de la Citoyenneté au gouvernement autonome de Valence.

M. Ameur effectue du 10 au 17 janvier une visite de travail en Andalousie, à Valence et en Catalogne qui s'inscrit dans le cadre des rencontres régulières avec les Marocains résidents à l'étranger pour s'enquérir de leurs conditions et les informer des actions entreprises en leur faveur.

Source : MAP

Sept longs métrages avec des images des deux rives de la Méditerranée seront à l'affiche du Cinéma AfricArt à Tunis, du 20 au 25 janvier, et ce, dans le cadre du cycle de films "Migration et exils dans les cinémas arabes".

L'événement est organisé par l'Institut français de coopération (IFC) à Tunis en collaboration avec l'association marseillaise "Aflam" pour la diffusion des cinémas arabes.

Les films présentent les approches de plusieurs générations de réalisateurs, venant des deux rives de la Méditerranée, sur la question de l'exil et de la migration.

Les sept films seront projetés à raison de deux séances par jour à 18H30 et 21h00. Les cinéphiles auront rendez-vous avec "Ila ayn? vers où" de Georges Nasser (Liban 1957), "Lettre d'un temps d'exil" de Borhane Alaouié (Liban 1988), "Des vacances malgré tout" de Malek Bensmail (Algérie-France 2002), "La femme seule" de Brahim Fritah (France-Maroc 2004), "Lettre à la prison" du réalisateur franco-tunisien Marc Scialom, "Inland" de Tariq Teguia (Algérie-France 2008) et "Le tableau" de Brahim Fritah (France-Maroc 2008).

Source : Agence Tunis Afrique Presse

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