Créé par des jeunes diplômés MRE de Hollande, le groupe d'action « Stop la criminalité des jeunes marocains », veut que la communauté marocaine des Pays-bas se prenne en main et se responsabilise face à la violence de ses jeunes.
C'est sans langue de bois que les jeunes diplômés du groupe Stop la criminalité des jeunes marocains de Hollande (Stop criminaliteit Marokkaanse jongeren) ont rédigé un manifeste pour que la communauté installée dans ce pays s'occupe de sa jeunesse et prenne ses responsabilités. « La nuisance causée par ces jeunes est devenue un problème pour la société néerlandaise, mais aussi pour la communauté. C'est le règne de la culture de la rue » déclare Hassan, fonctionnaire de police à La Haye.
Pour lui, les jeunes marocains de Hollande ont une mauvaise image dans la société et sont considérés comme des « citoyens de seconde zone ». Il note que les actes de violences sont de plus en plus grave et de plus en plus nombreux.
Face à ce constat, le manifeste appelle les marocains, et en particulier les professionnels et les associations à se mobiliser pour redonner des repères a cette jeunesse désœuvrée.
L'association appelle la communauté marocaine à mettre en place une politique de suivi social de ses jeunes. Des « assistants sociaux » marocains pour les marocains en quelque sorte. Ces derniers auront pour vocation de prévenir et de corriger, mais aussi d'aider à l'intégration des jeunes marocains dans la société a travers les études et l'emploi. « Nous voulons les mettre sous pression avec un suivi continu » affirme le manifeste.
Une approche différente et intéressante selon le criminologue Frank Van Gemert, de l'Université libre d'Amsterdam. « Les parents marocains ont un style d'éducation dur et autoritaire mal accepté par la société Hollandaise. Il y a une nette différence, car désormais ce sont des gens qui ont grandi dans ce pays et qui savent comment fonctionne la société qui prennent les choses en main. C'est un changement très positif ».
Parmi les premiers signataires du manifeste, on compte des organisations comme l'Union des organisations musulmanes marocaines des Pays-Bas (UMMON), NIV, SMN, mais aussi beaucoup d'employés marocains des administrations hollandaises de l'aide sociale, de la culture, de l'éducation, de la police et de la justice.
Des séminaires de formation devraient avoir lieu dans les prochaines semaines.
Source: Yabiladi
Essaouira accueillera a la fin du mois une exposition sur les marocains de Grande Bretagne. Et parallèlement à cet évènement, les deux pays ont signé un protocole d'accord au profit du 7ème art.
Cette année, l'Angleterre et les liens qui nous lient avec le royaume de sa majesté Elisabeth II sera à l'honneur lors du Festival des Andalousies Atlantiques à Essaouira du 29 octobre au 1er Novembre. En marge de ce festival, Paul Dahan propose une exposition baptisée "MOROCCAN MEMORIES IN BRITAIN", et organisée par le Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger (CCME). Comme l'intitulé de l'exposition l'indique, il est là question de mettre en relief l'héritage commun entre les deux royaumes. L'exposition présentera notamment le parcours de Marocains d'Angleterre.
Parallèlement a cette activité culturelle, on apprend que les deux gouvernement se sont engagés a collaborer activement dans le domaine cinématographique. En effet le Maroc et Angleterre adoptent un accord de coopération en la matière. Le but est de mutualiser les installations et les compétences. Les exemples de collaboration sont nombreux. Les films tels que Kingdom of Heaven, Black Hawk Down, Troy ou encore Laurence d'Arabie montrent que l'industrie cinématographique anglaise a toujours plébiscité les studios, décors et paysages marocains. Mais aujourd'hui elle souhaite passer à la vitesse supérieure.
Le département de la Culture du gouvernement Britannique souhaite voir les cinéastes des deux pays collaborer. Il prévoit, entre autre, de mettre a la disposition des marocains, les moyens de post-production anglais. Selon Simon Sion, Ministre des Industries Créatives, il est temps de redynamiser cette coopération. « Le Maroc a été très populaire pour les cinéastes depuis de nombreuses années, [...] mais jusqu'à présent il y a eu peu d'avantages pour les producteurs marocains et britannique travaillant ensemble sur des projets ».
Source: Yabiladi
Une exposition sur "les mémoires des Marocains en Grande-Bretagne" sera organisée du 29 octobre au 1er novembre à Essaouira à l'initiative du Conseil de la communauté marocaine à Etranger (CCME), le Moroccan Memories Foundation et la Moroccan British Society.
Prévue en marge du Festival des Andalousies Atlantiques, "cette exposition est l'aboutissement d'un travail de deux années de recueil des archives, de l'histoire orale et iconographique de la communauté marocaine au Royaume-Uni, dont la présence dans ce pays remonte au XIX-ème siècle", souligne le CCME dans un communiqué.
Cette exposition, réalisée par Mme Myriam Cherti, explore la longue histoire des relations maroco-britanniques et célèbre l'héritage commun. Elle a été présentée au Royaume-Uni durant trois mois (décembre 2008-mars 2009), d'abord à la prestigieuse British Library à Londres, puis dans 5 grandes villes (St Albans, Crawley, Trowbridge, Manchester et Edinburgh) et a attiré de très nombreux visiteurs.
L'objectif de cette exposition est triple. Elle invite le plus large public à découvrir et à réfléchir sur la manière dont les histoires sont interconnectées et crée un environnement favorable aux Maroco-britanniques pour partager la diversité de leurs histoires de migration et montrer la façon dont cette communauté a enrichi l'environnement culturel de la société britannique d'aujourd'hui, indique la même source.
L'exposition s'articule autour de trois parties. Il s'agit de "Premiers échanges" qui vise à mettre en lumière la relation séculaire entre le Maroc et la Grande-Bretagne par la voie diplomatique, sociale et des échanges culturels. Cette partie présente également des pièces de la collection du Musée du judaïsme marocain à Bruxelles.
Le volet "Histoires occultées" met en lumière les histoires de vie des Marocains qui sont arrivés en Grande-Bretagne depuis les années 1960 alors que "Héritage partagé" présente la manière dont le patrimoine marocain est perçu et utilisé par les artistes Maroco-britanniques et les artistes non marocains.
En marge de l'exposition, d'autres activités sont prévues : projection de films, ateliers éducatifs pour enfants en coordination avec les écoles et les associations locales, concerts de musique, ainsi qu'une conférence portant sur le thème "Le Maroc et la Grande-Bretagne : Histoire partagée, héritage et avenir", au cours de laquelle les intervenants reconstitueront et débattront de l'héritage et de l'histoire des relations maroco-britanniques.
"L'exposition est un voyage documenté et illustré à travers les échanges diplomatiques et sociaux, les biographies des Marocains émigrés en Grande-Bretagne. Une façon d'inviter le public à découvrir les aspects souvent méconnus de l'histoire de cette communauté marocaine en Grande-Bretagne. Une histoire qui est aussi au cœur de la mémoire et de la singularité d'Essaouira", soulignent, pour leur part, les organisateurs du festival des Andalousies Atlantiques.
Source: Bled.ma
Le Maroc est investi dans la lutte contre l'immigration irrégulière, et partant doit être soutenu dans ses efforts déployés notamment dans la surveillance des frontières et la lutte contre les réseaux de passeurs de clandestins, a indiqué M. Jacques Barrot, vice-président de la Commission européenne.
"Le Maroc doit être aidé dans la surveillance de ses frontières et dans sa lutte contre l'immigration irrégulière'' en transit vers l'Union européenne, a déclaré à la MAP, M. Barrot, en marge de la signature, mardi à Bruxelles, de 55 projets financés dans le cadre de l'Initiative conjointe des Nations unies et de la Commission européenne pour la Migration et le Développement (ICMD).
Pour le responsable européen, le Maroc est en effet aujourd'hui moins un pays émetteur du flux migratoire qu'un pays de transit, se félicitant que les jeunes cadres marocains ainsi que "des élites" préfèrent rester dans le Royaume et contribuer ainsi largement au développement du pays.
Il a, en outre, salué la contribution de la communauté marocaine établie dans les pays de l'UE à travers les projets de l'ICMD qui favoriseront la dynamisation de transfert des fonds et le développement de certaines régions du Royaume.
Le Maroc a été en tête des pays bénéficiaires du financement en matière de développement local avec 8 projets pour un montant global de 1,6 million d'euros.
Ces projets ont été retenus parmi 527 en lice présentés par 16 pays devant bénéficier de ce programme triennal (2008-2011) d'une enveloppe globale de 15 millions d'euros. Ils portent sur plusieurs domaines notamment l'agriculture, l'alphabétisation des femmes et les soins de santé et touchent plusieurs régions du Royaume.
Les pays dont les projets ont également été retenus sont la Moldavie avec sept projets, les Philippines, le Mali et la Géorgie avec quatre projets chacun, le Sénégal, l'Egypte, le Nigeria, la Jamaïque, l'Equateur, l'Algérie et le Cap Vert avec trois projets chacun, la Tunisie, le Sri Lanka et le Ghana avec deux projets chacun, et enfin l'Ethiopie avec un projet.
Source: Le Matin
L'intérêt accordé aux transferts financiers ne doit pas occulter les transferts en matière de savoir et de savoir-faire des migrants, ont relevé les conférenciers, soulignant que la réflexion sur la problématique de la fuite des cadres doit s'intéresser plus à ce que les pays émetteurs peuvent tirer comme profit dans le cadre d'une politique innovante.
La défense des droits sociaux des émigrés au sein des pays d'accueil et le renforcement de la coopération entre les pays de la région euro-maghrébine figurent également parmi les décisions préconisées par les conférenciers en tant qu'alternative aux conséquences de la crise sur les émigrés.
Les participants ont souligné que certains programmes mis en faveur des émigrés dans les pays d'accueil, tels le programme d'aide au retour, n'ont pas été attractifs, ce qui impose un débat sur la nécessité de mettre en place "un nouveau modèle de croissance où la migration est conçue comme une partie intégrante de solution".
Les recommandations issues de cette conférence seront "une inestimable contribution à l'enrichissement du débat sur les retombées de la crise et sur les moyens d'éviter qu'elle se reproduise demain", a affirmé le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine à l'étranger, M. Mohamed Ameur lors de la séance de clôture.
La conférence a permis aux participants de s'entendre sur la nécessité de consolider les partenariats et de "bannir l'unilatéralisme dans l'appréhension des retombées de cette crise mondiale", a ajouté M. Ameur.
Les thématiques débattues lors de cette rencontre de deux jours ont insisté sur l'impact de la crise économique sur la migration, aussi bien les pays d'origine que d'accueil des migrants.
Organisée sous le haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, la conférence est initiée par le ministère chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger et l'Organisation internationale pour les migrations, en partenariat avec le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, le ministère chargé des Affaires économiques et générales, le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger, la Fondation Hassan II pour les MRE et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
La conférence a réuni d'éminents experts internationaux ainsi que de hauts responsables politiques représentant une vingtaine de pays.
Source: MAP
Le gouvernement autonome d'Andalousie a procédé récemment à l'édition d'un manuel scolaire, visant à favoriser l'intégration des élèves marocains établis dans cette région.
"Parlons Espagnol", est élaboré sur la base du dialecte marocain (darija), et profitera aux 22.745 élèves marocains, inscrits dans les écoles primaires et secondaires de l'Andalousie.
L'apprentissage de la langue espagnole est un très important pour l'intégration des enfants immigrés marocains, a indiqué, Javier Gil, enseignant, et l'un des promoteurs de cette initiative, lors de la cérémonie de présentation du livre.
M. Gil a également souligné que ce manuel renseigne sur les coutumes et les traditions de chaque région espagnole et les normes des comportements au sein de cette société ibérique.
Autre particularité du manuel: l'utilisation du dialecte marocain et de transcriptions non scientifiques devant faciliter aux enseignants la prononciation dans la langue maternelle des élèves, l'objectif étant de faciliter le contact avec ces jeunes.
Quelque 5.000 exemplaires de ce manuel seront distribués dans les centres d'accueil et les collèges où étudient les enfants des immigrés établis dans la communauté autonome d'Andalousie.
La cérémonie de présentation a été marquée par la présence, notamment, de la directrice générale de la politique migratoire au gouvernement autonome andalous, Rocio Palacios, et du délégué provincial de l'Emploi, Juan Bouza.
Source: MAP
Le directeur général de l'Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), M. William Lacy Swing, a souligné lundi à Rabat que les politiques de repli identitaire, de fermeture des marchés de l'emploi et des frontières sont "regrettables", dans la mesure où elles contribuent à renforcer certains préjugés à l'encontre des migrants et à alimenter la xénophobie au sein des populations d'accueil.
Ces politiques expliquent la baisse des transferts d'argent des immigrés vers les pays en voie de développement, a affirmé M. Swing à l'ouverture de la conférence internationale sur "l'impact des crises sur la migration", qui se tient les 12 et 13 octobre à Rabat sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.
"En 2008, ces flux financiers ont atteint les 328 milliards de dollars, alors que la Banque Mondiale prévoit, en 2009, une baisse de 7,3 pc", a-t-il précisé.
M. Swing a déploré, à ce titre, que les migrants, notamment les moins qualifiés, soient régulièrement exclus du marché du travail ou bien perçus, dans le meilleur des cas, comme une simple réserve de main d'œuvre taillable et corvéable à merci que l'on peut recruter et licencier en fonction des fluctuations des économies nationales.
Les migrants, a-t-il rappelé, jouent un rôle crucial dans la lutte contre la pauvreté dans les pays d'origine, par leur capacité à rapatrier des fonds. Les familles sont souvent dépendantes de ces entrées d'argent pour satisfaire des besoins élémentaires tels que l'alimentation, le logement, la santé et l'éducation, a-t-il souligné.
Aussi, M. Swing a-t-il appelé les gouvernements à prendre conscience du rôle positif que les migrants peuvent jouer dans la croissance et le redressement économique et ne pas céder à la tentation de restreindre l'accès à l'emploi ou de fermer leurs frontières aux migrants en période de crise économique.
"Il est donc essentiel de lutter contre la +marchandisation+ des immigrés en mettant les droits des migrants au cœur de toutes les politiques migratoires.
Ces droits sont indispensables pour faire en sorte que la migration contribue positivement à la fois au développement des individus et des pays d'origine et de destination", a-t-il affirmé.
Pour sa part, le gouverneur de Bank Al Maghrib, M. Abdellatif Jouahri, a expliqué l'impact de la crise économique sur la contribution des MRE dans l'économie marocaine.
Le gouverneur de Bank Al Maghrib a, par ailleurs, rappelé les mesures prises par le Maroc pour aider les MRE à affronter les effets de la crise. Il a cité à ce titre la création d'un fonds d'aide à l'investissement destiné à inciter les MRE à investir davantage dans leur pays d'origine.
Côté accès à la propriété, M. Jouahri a cité l'extension de la garantie Damane Assakane aux MRE afin de permettre à cette catégorie de la population d'acheter ou de construire un logement avec des facilités de crédit. En vue de booster la relance des transferts de fonds, les banques marocaines, a-t-il ajouté, ont également décidé de suspendre les commissions prélevées sur les transferts des MRE et de rééchelonner leurs dettes.
La séance d'ouverture a été marquée par la présence de MM. Mohamed Ameur, ministre délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, Nizar Baraka, ministre délégué chargé des affaires économiques et générales, Jamal Rhmani, ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle et Abdellah Bousouf, secrétaire général du CCME ainsi que plusieurs ambassadeurs.
La conférence est organisée par le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger et l'OIM, en partenariat avec le ministère des affaires étrangères et de la Coopération, le ministère des affaires économiques et générales, le conseil de la communauté marocaine à l'étranger, la Fondation Hassan II pour les MRE et le PNUD.
Se proposant d'étudier l'impact des crises, particulièrement la crise économique actuelle, sur le phénomène migratoire, aussi bien dans les pays d'origine que dans les pays d'accueil, elle réunit d'éminents experts internationaux et de hauts responsables politiques représentant une vingtaine de pays.
Source: InfoMaroc
Les participants à la session introductive de la conférence internationale sur "l'impact de la crise économique sur la migration" se sont penchés, lundi à Rabat, sur les effets de la crise sur les Marocains résidant à l'étranger, particulièrement en Espagne, en France et en Italie.
Se basant sur une étude préliminaire menée par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en collaboration avec le ministère chargé des MRE, les intervenants ont mis en exergue les conditions de vie difficiles de la communauté marocaine à l'étranger, en raison de l'actuelle crise.
Les MRE sont les plus exposés au chômage, vu qu'ils sont nombreux à travailler dans le secteur du bâtiment. Cette catégorie souffre également de discrimination à l'embauche et au licenciement, ajoutent les intervenants.
Les participants ont également mis l'accent sur les politiques migratoires plus restrictives adoptées par des pays européens. Ils ont à ce titre pointé du doigt les nouvelles lois sur la réunification familiale en France, la loi sur la sécurité publique en Italie et la nouvelle loi de l'immigration en Espagne ainsi que les programmes de retour volontaire proposés par ces pays.
Se référant aux enseignements tirés des précédentes crises, les intervenants ont souligné que les crises financières ne se traduisent pas nécessairement par l'augmentation des flux migratoires irréguliers mais sont associées à une augmentation du nombre des migrants irréguliers.
Ils ont, à ce titre, affirmé que les travailleurs migrants doivent être protégés pendant les crises financières, non seulement en raison du chômage mais aussi en raison de la détérioration des conditions de travail.
La session introductive a été présidée par l'économiste Fathallah Oualalou, qui a présenté un aperçu sur le déclenchement de l'actuelle crise économique, son évolution et ses effets.
Les travaux de la conférence, organisée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI se poursuivent par une deuxième session sur "l'impact de la crise actuelle sur les pays d'accueil des MRE".
La conférence est organisée par le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger et l'OIM, en partenariat avec le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, le ministère des Affaires économiques et Générales, le conseil de la communauté marocaine à l'étranger, la Fondation Hassan II pour les MRE et le PNUD.
Se proposant d'étudier l'impact des crises, particulièrement la crise économique actuelle, sur le phénomène migratoire, aussi bien dans les pays d'origine que dans les pays d'accueil, la conférence réunit d'éminents experts internationaux et de hauts responsables politiques représentant une vingtaine de pays.
Source: MAP
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