mercredi 27 novembre 2024 23:48

La commission nationale de suivi et de recours a tenu hier sa quatrième réunion au siège du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) à Rabat, en présence de Mbarka Bouaïda, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, et de Charki Draïss, ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur, El Hossein El Ouardi, ministre de la Santé, Anis Birou, ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration, Idriss Azami Al Idrissi, ministre délégué chargé du Budget, et Driss El Yazami, président de la Commission, et des membres de la Commission représentant la société civile. La commission a ainsi délibéré sur les 8.644 demandes ayant reçu un avis défavorable de la part des commissions provinciales chargées de l’examen des demandes de régularisation. À cet égard, la Commission a préconisé d’assouplir les critères de la circulaire du 16 décembre 2013 afin de faciliter la régularisation de certaines catégories.

Quelques 27.000 ressortissants étrangers ont acquis la nationalité néerlandaise en 2014 et les Marocains sont les premiers bénéficiaires, selon des chiffres de l'Office national des statistiques (CBS).

Une convention-cadre de partenariat et de coopération, destinée à faire bénéficier les immigrés et les réfugiés en situation régulière au Maroc d'une couverture médicale de base et de soins de santé similaires à ceux dispensés dans le cadre du régime d'assistance médicale (Ramed), a été signée lundi à Rabat.

La place de la communauté marocaine à l'étranger est l'un des déterminants principaux de la qualité des relations avec les pays d'accueil, a indiqué, mardi à Rabat, le ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration, Anis Birou, assurant que la défense des droits de cette frange est "une tâche quotidienne qui prend plusieurs aspects".

Depuis le début de la crise des migrants, les dirigeants européens ne savent plus où donner de la tête pour gérer le problème des réfugiés qui affluent massivement, et de manière ininterrompue, vers le vieux contient fuyant les guerres civiles qui déchirent leurs pays.

Les dirigeants de l'UE ont enjoint mardi les Etats membres d'être "à la hauteur" d'une crise migratoire qui "pourrait créer un séisme dans le paysage politique européen", lors d'un débat devant le Parlement européen.

La crise migratoire qui a vu 700.000 migrants et réfugiés arriver en Europe via la Méditerranée depuis janvier va s'aggraver, a prévenu mardi le président du Conseil européen Donald Tusk, mettant à l'épreuve la coopération, déjà délicate, entre les pays de l'UE.

Des migrants arrivés en Suède refusent depuis deux jours de descendre d'un bus de l'agence des migrations au motif que la localité qui les accueille est trop isolée, certains souhaitant même retourner en Allemagne, a-t-on appris mardi auprès de l'agence.

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