dimanche 4 août 2024 03:15

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Les Marocains demeurent toujours au premier rang des travailleurs extracommunautaires affiliés au régime de la sécurité sociale en Espagne, selon des chiffres officiels publiés jeudi à Madrid.

Le secrétaire d'Etat néerlandais à la Justice et à la sécurité, Fred Teeven, qui reste intransigeant face aux appels incessants pour l'amélioration des conditions des immigrés illégaux, a demandé jeudi aux municipalités de s'abstenir de prendre en charge "les clandestins".

Deux jours après chaque élection depuis plus de 200 ans, la petite ville de Georgetown bariolée des couleurs américaines enterre littéralement la hache de guerre, une tradition surnommée "Return Day", à laquelle participent sans faillir vainqueurs et perdants du scrutin.

Enseignant le suédois aux immigrants, Ebba Åkerman s'est vite rendue compte qu'elle était la seule Scandinave que fréquentaient ses élèves. Elle décide alors de rassembler des compatriotes et des demandeurs d'asile autour d'un dîner, une initiative qui suscite beaucoup d'enthousiasme malgré la montée de l'extrême droite dans le pays.

Barack Obama a levé par décret la menace d'expulsion qui pèse sur 4,7 millions d'étrangers en situation irrégulière, malgré le tollé que cette mesure a suscité dans les rangs républicains avant même que les détails en soient connus.

Le coup d'envoi des Journées du Maroc en Bulgarie qui se tiennent du 19 au 30 novembre à Sofia et Plovdiv (capitale économique bulgare), a été donné, jeudi, par la ministre de l'Artisanat et l'économie sociale et solidaire, Mme Fatima Marouan et par la ministre bulgare du tourisme, Mme Nikolina Angelkova, en présence de M. Valentin Poryazov, vice-ministre bulgare des affaires étrangères.

Un millier de migrants ont été secourus en mer Méditerranée au cours des dernières 24 heures, ont annoncé jeudi les autorités maritimes italiennes.

L'Autriche a décerné le "Prix de performance interculturelle" à la Fondation Orient-Occident, en reconnaissance à son engagement inlassable en faveur des migrantes subsahariennes au Maroc.

L'Eglise suédoise veut gérer les centres d'accueil de réfugiés et présenter ainsi une alternative aux entreprises à but lucratif qui travaillent dans ce secteur, indique la radio publique SR.

Le panneau à l'entrée de la ville se veut accueillant : "Welcome to Intipuca". Mais il a aussi une saveur ironique, cette commune du Salvador ayant été peu à peu vidée de ses habitants, partis aux trousses du rêve américain.

"The place to be" - l'endroit où il faut être - ajoute le panneau. Mais les rues calmes et les nombreuses maisons vides trahissent un exode commencé depuis longtemps.

Dans le parc central, justement nommé "Les émigrants", un monument est dédié à l'agriculteur Sigfredo Chavez, premier à être parti vers de meilleurs horizons, sac au dos, en 1967.

Arrivé à Washington, il a travaillé à la plonge. Trois mois plus tard il envoyait sa première lettre au pays, puis faisait venir sa famille. Dans les rues d'Intipuca, la nouvelle s'est répandue, incitant d'autres à l'imiter.
L'histoire est emblématique des nombreuses migrations au départ d'Amérique centrale, avec 5,3 millions de personnes originaires de cette région vivant désormais aux Etats-Unis, dont 2,9 millions de Salvadoriens.
Beaucoup ont franchi illégalement la frontière et vivent sans papiers aux Etats-Unis. Le président américain Barack Obama a fait un geste en faveur de ces clandestins en annonçant jeudi soir une régularisation provisoire de quelque cinq millions d'entre eux.

A Intipuca, 5.000 personnes ont pris la route. Elles vivent à Washington, au Maryland et en Virginie.

Il reste 7.000 habitants. Il est presque impossible d'en trouver un n'ayant aucune famille installée aux Etats-Unis.
Casquette de l'équipe de football américain Redskins vissée sur la tête, Matilde Argueta, 79 ans, vit loin de ses quatre enfants, partis eux aussi.

Assise devant sa maison, où elle vend des fruits et légumes, elle raconte : "Mes enfants étaient encore petits quand je suis devenue veuve. Pour les élever, je me suis tuée à cultiver du maïs".

"Il faut accepter qu'ils s'en aillent faire leur vie. Je ne pouvais pas leur donner plus et là-bas, ils s'en sortent", dit-elle, une photo de ses enfants entre ses mains tremblantes.

L'un d'eux ne l'appelle plus depuis 18 mois, les autres lui envoient parfois 200 dollars qu'elle dépense en nourriture et médicaments.

 'Ville du dollar

"La migration a amené des bonnes et des mauvaises choses : elle aide l'économie du village, où il n'y a pas de travail et où les salaires sont misérables, mais elle a aussi disloqué des familles", explique un responsable municipal, Santos Portillo, dont les deux enfants vivent illégalement aux Etats-Unis.

Intipuca, construite autour de champs de coton, a souffert de la chute des cours dans les années 1960, poussant Sigfredo, et tant d'autres après lui, à vendre ses terres et partir.

Les départs ont continué pendant la guerre civile entre 1980 et 1992.

L'envoi d'argent vers les familles restées au pays a vite valu à Intipuca le surnom de "ville du dollar".

A l'époque, la ville n'avait pas de bureau de change, donc le billet vert servait de monnaie locale, bien longtemps avant la dollarisation de l'économie salvadorienne en 2001.

Cet argent a permis de construire le stade municipal, l'église, l'école.

C'est grâce à lui que les chemins de terre ont été recouverts de bitume et que les maisons, autrefois de simples baraques aux toits en zinc, sont désormais en ciment, construites à l'américaine.

 Elles n'ouvrent leurs portes qu'à l'occasion du retour de leurs propriétaires, notamment pour la fête locale en mars, quand un concours désigne la "Miss Intipuca-USA" parmi les habitantes installées aux Etats-Unis.
 L'envoi d'argent a baissé mais représentait encore en 2013 quatre milliards de dollars, 16% du PIB du Salvador.
"Quand là-bas ils ne vont pas bien, nous non plus ça ne va pas", résume Santos Portillo, qui se plaint des "parasites qui n'attendent que l'arrivée d'argent pour tout gaspiller, pendant que leurs proches ont deux emplois pour pouvoir en envoyer".

"C'est un village endormi par la migration, sans développement ni vie propre", renchérit Omar Blanco, lui-même parti à 15 ans, en 1980, enchaînant là-bas les petits boulots... avant d'être expulsé en 2006.

Intipuca garde les yeux rivés vers le nord : sur son site intipucacity.com, le village suit ses habitants qui vivent loin.

Et beaucoup continuent de s'endetter pour payer les 9.000 dollars demandés par les passeurs, malgré les dangers sur le chemin, avec déjà des milliers de morts.

"Ici ne vivent que les personnes âgées et ceux qui ont échoué là-bas" et ont été renvoyés au Salvador, dit Matilde Argueta, gardant espoir qu'un jour, ses enfants rentreront, "au moins pour les derniers jours de (sa) vie".

21 nov. 2014,Maria Isabel SANCHEZ

Source : AFP

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