samedi 6 juillet 2024 16:13

La société civile marocaine et les migrants ont été engagés dans la dynamique associative bien avant le lancement de la nouvelle politique migratoire et d'asile du Maroc, a indiqué, lundi à Rabat, le président du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), Driss El Yazami.

Les avancées réalisées par la femme marocaine sur les plans politique et social ont été mises en exergue lors d'une rencontre organisée, dimanche, par l'association 'Asilah pour l'Avenir en Europe'', à l'occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme.

Le Centre d’histoire de la Résistance et de la déportation de Lyon invite onze artistes contemporains qui abordent le thème de l’exil.

Bouchra Jerrar prend les rênes des collections de femme de la mythique maison de couture… Suite

La nouvelle politique migratoire, lancée par le Maroc suite aux orientations royales, entame sa troisième année…Suite

Le Royaume peut se targuer d’avoir régularisé la situation de 24 associations, vu que leurs membres sont tous issus de la migration irrégulière. Une démarche qui traduit l’importance que les pouvoirs publics accordent à la société civile en tant que partenaire de la mise en œuvre de la nouvelle politique migratoire.

Des participants à une rencontre, organisée mercredi à Rabat, ont salué la volonté et l'engagement du Maroc en faveur de la protection des droits des travailleuses migrantes et de la préservation des acquis des employées domestiques.

Parce qu’elles se sont illustrées par leur dynamisme entrepreneurial, plus de 40 femmes marocaines de 19 pays ont été célébrées jeudi dernier à Marrakech. C’était dans le cadre d’une cérémonie organisée par le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger et des affaires de la migration à l’occasion de la Journée mondiale de la femme.

Le Haut commissariat des Réfugiés (HCR) a dénoncé dimanche "les conditions invivables" du campement improvisé d'Idomeni à la frontière de la Grèce avec la Macédoine où s'entassent plus de 14.000 réfugiés qui espèrent la réouverture de la frontière, fermée depuis une semaine.

Un tabou est en passe de tomber dans l'Allemagne d'après-guerre à la suite du succès dimanche lors d'élections régionales du mouvement AfD, qui confirme l'enracinement de la droite populiste dans un pays faisant jusqu'ici exception en Europe.

Des participants à une rencontre, organisée mercredi à Rabat, ont salué la volonté et l'engagement du Maroc en faveur de la protection des droits des travailleuses migrantes et de la préservation des acquis des employées domestiques.

Le plan turco-allemand de renvoi de réfugiés syriens de Grèce en Turquie paraît mal engagé. « Plus on prend le temps de l’examiner, plus les difficultés surgissent », expliquent des diplomates. Concocté par la chancelière allemande, Angela Merkel, et le premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, ce plan, destiné à décourager les migrants d’emprunter des voies « illégales » pour venir en Europe, a été discuté lors du sommet des vingt-huit dirigeants européens, lundi 7 mars à Bruxelles. Ces derniers sont censés l’adopter définitivement lors d’un nouveau conseil les 17 et 18 mars.

Comment le phénomène migratoire est-il traité dans les manuels scolaires ? C'est à cette question très actuelle que répondent les auteurs de ce livre dans cette étude portant sur l'Albanie, L'Algérie, la France, l'Italie et le Maroc. Ils mettent en évidence des positionnements qui sont aussi bien le fruit d'histoires nationales, de traditions disciplinaires, que de liens entre le discours des manuels scolaires et l'ensemble des discours sociaux avec lesquels ils entrent en résonnance.

Un livre paru aux éditions de l’Harmattan en mois de mars 2016, sous la direction de Amandine Denimal, Bruno Maurer, Michèle Verdelhan-Bourgade

Source : editions-harmattan

Le groupe de travail «Administration, droits des usagers et politiques publiques», relevant du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME), a présenté, jeudi dernier à Rabat, trois nouvelles études portant sur «La protection sociale des immigrés marocains, cas de la France», «La protection sociale des immigrés marocains, cas de l'Espagne» et «L'immigration marocaine aux îles Baléares».

Embrigadée dans les jeunesses du Mouvement sioniste, Fanny Mergui, l’enfant de la médina a quitté Casablanca pour Israël en 1961. Elle retourne au Maroc en 1993 pour s’y installer et « retrouver son équilibre »…Suite

Un haut responsable de l'ONU a jugé jeudi "illégales" les expulsions collectives de migrants prévues dans le projet d'accord entre Ankara et l'UE, lequel implique le renvoi des demandeurs d'asile syriens vers la Turquie.

Le projet d'accord UE-Turquie sur les migrants a suscité jeudi des questions sur sa compatibilité avec les droits de l'Homme: l'ONU a jugé "illégales" les expulsions collectives envisagées, et plusieurs membres des 28 se sont inquiétés de possibles compromissions avec le régime islamo-conservateur d'Ankara.

La France a intensifié ses moyens de surveillance en Manche et mer du Nord pour tenter de mettre un frein aux périlleuses traversées vers l'Angleterre entreprises par certains migrants, ont annoncé jeudi les autorités maritimes du secteur.

Le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) a présenté, jeudi à Rabat, trois nouvelles études sur les Marocains de France, d'Espagne et des Iles Baléares, visant à permettre à toute partie concernée par la question de l'immigration marocaine (chercheurs, institutionnels et journalistes) d'avoir accès à des outils de travail et à des informations pertinentes sur cette communauté.

La Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger (MRE) vient d'inaugurer son Espace Rivages avec l'exposition "Ode à la femme" de l'artiste maroco-belge Rachid Sebti, organisée du 1er mars au 30 avril à Rabat.

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