mercredi 27 novembre 2024 13:39

Le Conseil des relations américano-musulmanes lance cette année, pour le ramadan, un guide à destination de toutes les communautés musulmanes des Etats-Unis. Il donne des informations pratiques pour leur permettre d’accueillir dans les mosquées des non-musulmans dans les meilleures conditions.

 Opération communication pour l’Islam aux Etats Unis : le Council on American-Islamic Relations (CAIR) propose à toutes les communautés musulmanes d’organiser une opération portes ouvertes dans les mosquées, à l’occasion du ramadan, pour présenter leur religion aux non-musulmans. Un guide pratique intitulé « Sharing ramadan » (partager le ramadan) est depuis le 14 juillet dernier publié sur le site du CAIR, à destination de ces communautés.

« Nous espérons que les mosquées, les centres communautaires et les écoles musulmanes saisiront cette opportunité pour inviter leurs voisins pour un repas durant un ftour », explique Nihad Awad, directeur national du CAIR. Le CAIR est l’une des principales organisations, aux Etats-Unis, oeuvrant pour les droits civiques des musulmans. Le 26 juin, elle a publié une enquête réalisée en collaboration avec l’Université de Californie, qui recense tous les agressions et actes islamophobes en 2009 et 2010. « Nous avons découvert qu’un Américain sur quatre avait une perception négative de l’islam », explique Nihad Awad, directeur national du CAIR. Cependant, ceux qui ont une image positive de l’islam ont pour la plupart « été en rapport, par le passé, avec des musulmans ou la culture musulmane », continue Nihad Awad.

L’objectif du guide est donc clairement de mettre le grand public en contact avec les musulmans dans les mosquées à l’occasion du ftour afin de diffuser une image plus positive de leur religion. Il indique toutes les étapes à suivre pour garantir la réussite d'un évènement : former un comité local dans chaque communauté qui sera en charge de l’organisation, envoyer des invitations aux églises, synagogues et groupes civiques, avoir un hôte à la porte pour accueillir les plus curieux, préparer un espace particulier pour installer les invités, leur proposer de la documentation sur l’islam, etc. Tout y est, jusqu’au moindre détail : « nettoyer et préparer la mosquée ou le local. La première impression est capitale. Avoir une journée pour nettoyer la mosquée avant son ouverture. Prévoir de rafraîchir les endroits qui ont besoin d’un coup de peinture. »

Véritable outil de communication, le guide comprend, en annexe, des documents types à destination des futurs comités tels qu'un flyers et un communiqué de presse. Il donne également les détails de la marche à suivre pour inviter la presse et des personnalités. « Il est important pour les hommes politiques et les chefs religieux qu’un numéro de téléphone personnel à l’un des membres du comité suive une invitation écrite formelle », précise-t-il.

A l’intérieur des mosquées, ceux qui accueillent les visiteurs doivent être prêts à répondre aux interrogations les plus fréquentes. Une liste de ces questions ainsi que leurs réponses figurent sur le guide pour les préparer. Les femmes et le jihad sont évoqués dans les termes les plus consensuels possibles. « Eviter de présenter des documents avec une message politique fort », stipule clairement le guide.

20/7/2011

Source : Yabiladi

Le Maroc participe à la 16ème édition de la Foire Internationale du Livre de Lima (FILL), qui se tient du 20 juillet au 02 août, apprend-on auprès de l'ambassade du Royaume à Lima.

Le Maroc est représenté à cet événement culturel international par l'ambassade qui prévoit une exposition de livres, des conférences, un cycle de cinéma et un spectacle de danses marocaines, ajoute-t-on de même source.

La participation marocaine à cet évènement culturel auquel prennent part plus de 150 maisons d'édition, des universités, des centres culturels et plusieurs ambassades étrangères, vise à promouvoir le potentiel culturel marocain et à mettre en valeur les atouts touristiques du Royaume, unique pays arabe représenté à cette édition.

L'exposition de livres sera, précise-t-on, l'occasion pour mettre en exergue, à travers la collection d'ouvrages exposée, le rôle pionnier du Royaume dans la conservation et la récupération de l'héritage andalou que partage le Maroc avec le monde ibéro-américain, et la singularité identitaire marocaine dans le monde arabe.

Le stand du Maroc abrite une collection de plus de 200 livres, dont la majorité sont publiés en langue espagnole par des auteurs marocains et des maisons d'édition marocaines, et portant sur différents aspects de la culture marocaine : la littérature, l'histoire, l'artisanat, l'interculturalité, la gastronomie et le tourisme entre autres.

Par la même occasion, l'ambassadeur de SM le Roi à Lima, Mme Oumama Aouad, donnera une conférence sur le thème "la présence arabe dans la littérature latino-américaine", et prendra part à des tables rondes sur "le Maroc dans la littérature latino-américaine", et "la littérature latino-américaine".

Le cinéma marocain sera également à l'honneur lors de cette 16ème édition de la FILL, avec la projection de trois films marocains en version espagnole, en l'occurrence "Ali Zaoua" de Nabil Ayouche, "Juanita de Tanger", de Farida Belyazid et "Mémoire en détention", réalisé par Jilali Ferhati.

Par ailleurs, et dans le cadre des festivités de la Fête du Trône, les visiteurs de la FILL seront au rendez-vous le 30 juillet avec un show de danses marocaines exécutées par des danseurs péruviens professionnels.

21/7/2011

Source : MAP

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La réunion qui s'est tenue mardi au cabinet du secrétaire d'Etat à la politique de Migration et d'Asile, entre des membres du cabinet de Melchior Wathelet (cdH) et une délégation du Collectif Sans-papiers, n'a rien apporté de neuf à la situation actuelle, ont conjointement indiqué le porte-parole de Melchior Wathelet et le porte-parole du Collectif.

"Nous les avons reçus mais nous ne leur avons rien proposé de nouveau par rapport à la précédente réunion, qui s'était déroulée en mai dernier", a indiqué le porte-parole du secrétaire d'État.

"Rien de positif n'est sorti de cet entretien. Le contexte politique belge n'est pas favorable, c'est toujours la même rengaine qu'on nous sert", a quant à lui regretté le porte-parole du Collectif Sans-papiers.

Sit in rue de la Loi

A l'issue de cette rencontre, les membres du Collectif Sans-papiers, qui avaient bloqué la rue de la Loi en improvisant un sit-in devant le bâtiment du secrétaire d'État, en milieu d'après-midi, à l'issue d'une manifestation, ont tenté de s'asseoir une seconde fois sur la chaussée, en signe de protestation, mais les forces de l'ordre les en ont empêché.

Après des discussions entre la police de Bruxelles Capitale Ixelles et les manifestants, la dispersion s'est effectuée dans le calme, la plupart des sans-papiers convergeant vers la place Saint-Josse, là où leur manifestation avait démarré, peu après midi.

Une centaine de membres du Collectif Sans-papiers ont manifesté afin de dénoncer l'aggravation de leurs conditions de vie, deux ans après la campagne de régularisation massive.

19/7/2011

Source : RTBF

Quand la discrimination positive permet à un policier incompétent d’accéder au plus haut rang de la hiérarchie, ça fait « Beur sur la ville ». Cette comédie policière signée Djamel Bensalah, offre surtout un regard décalé sur certaines problématiques de la société  en France, comme la vie dans les banlieues, l’islam et la burqa.

 Booder ,(anti) héros de « Beur sur la ville » Après « Neuilly sa mère » en 2009, Djamel Bensalah change de décor et signe en 2011 « Beur sur la ville », long métrage décalé qui emmène le spectateur dans une banlieue « chaude ».  Personnage principal du film, le Franco-Marocain Mohamed Benyamna, dit « Booder », incarne Khalid Belkacem, « le premier discriminé positif de la police ». C’est l’histoire d’un homme qui a tout raté dans sa vie : ses diplômes, son permis de conduire, et même ses vaccins. Policier incompétent de son état, il se retrouve du jour au lendemain, promu commissaire de police.

Premier gros dossier pour le nouveau commissaire, traquer le « tueur du vendredi », un serial-killer qui abat de jeunes femmes blondes à proximité de la mosquée de la cité, rapporte le quotidien Sud-Ouest. Khalid Belkacem est accompagné dans sa lourde tâche par Tong (Steve Tran) et Mamadou Seydou Koulibaly (Issa Doumbia), deux autres policiers issus de l’immigration, tous aussi incompétents que leur chef.

Caricature grandeur nature

L’histoire se déroule dans Villeneuve-Sous-Bois, une banlieue du département imaginaire du 9-9. « Cette banlieue, c'est la concentration de tous les problèmes que l'on peut trouver. Pas d'ascenseurs, un hôpital dégueulasse, une ville abandonnée », déclare Djamel Bensalah, le réalisateur.

Son long métrage est surtout une occasion d’aborder avec humour certains sujets sensibles, voire polémiques en France, comme l’insécurité dans les cités, l’islam, la burqa, etc. « On peut rire de ces termes anxiogènes pour les déstigmatiser. Il est important qu'un petit Arabe comme moi puisse rire de l'islam », confie encore Djamel Bensaleh, qui se dit au passage, « moralement opposé à l'idée de discrimination positive ». Booder de son côté, voit en ce film une manière de « désamorcer la peur de l'autre, de combattre le communautarisme ».

« Beur sur la ville » est donc une caricature de la société française et de ses polémiques. Si le lieu de l’intrigue, l’histoire,  et les personnages sont fictifs, le film lui puise sa matière  dans le vrai.  Le film utilise ainsi les vrais décors de Seine-Saint-Denis (93), rapporte encore Sud-ouest. L’humour étant le fil conducteur de ce long métrage, on verra notamment des plans filmés depuis l’intérieur d’une burqa, « pour voir qu'on n'y voit pas grand-chose ».

En tournée

Alors que le film est attendu dans les salles le 12 octobre prochain, les acteurs sont actuellement en tournée de promotion dans toute la France. Ayant débuté le 15 juillet dernier  par Saint-Jean de Luz, la caravane passait ce mardi à Ste-Maxime. Les 20,21, et 22 juillet prochain, ils sont respectivement attendus à Cogolin, au Lavandou , et Toulon. Plus d'informations sur le site officiel du film.

19/7/2011

Source : Yabiladi

La Marocaine Malika Abakil a remporté, mardi, l'épreuve du 800m du meeting d'athlétisme de Castres, au sud-ouest de la France.

Abakil s'est imposée en 2 min 04.09, devant la Colombienne Rosibel Garcia, deuxième en 2:04.33 et la Française Fanjanteino Felix (2:05.06).

L'athlète du FUS de Rabat confirme ainsi sa bonne forme lors de cette saison, marquée notamment par deux titres nationaux majeurs dans le 800m, à savoir le championnat national (fin juin dernier) et la Coupe du Trône (début juillet courant).

19/7/2011

Source : MAP

Pour avoir remis en cause le défilé militaire du 14 juillet, la candidate écologiste Eva Joly a été violemment attaquée par la droite. Le politologue Jean-Yves Camus revient sur cette contre-offensive basée sur le thème de l'identité et de la binationalité.

Comment peut-on expliquer le tollé suscité à droite par la proposition d'Eva Joly?

La droite tente d'instruire un procès à la gauche sur son supposé manque de patriotisme. C'est une constante du débat politique français depuis au moins un siècle et demi. Pourtant le patriotisme transcende les clivages politiques et n'a jamais été l'apanage de la droite. Il ne faut pas oublier que le patriotisme de la gauche a consolidé la République à la fin du XIXe siècle. Il y eut ensuite l'Union sacrée en 1914, puis la Résistance qui a uni des patriotes de tous bords. Qui est patriote en 1871, Thiers ou les communards? D'autre part, les positions des Verts sur la question de la Nation et sur l'Armée n'engagent pas toute la gauche.  

François Fillon qui apparaissait comme une figure modérée au sein de la droite sur les questions touchant à l'immigration, a remis en cause l'enracinement français de la candidat écologiste. Comment peut-on interpréter ses propos?

La question de la binationalité travaille la droite ces derniers temps. Le député UMP de Paris, Claude Goasguen avait récemment remis un rapport préconisant sa suppression pure et simple. Si le rapport n'a pas fait long feu, François Fillon a saisi l'occasion offerte par Eva Joly pour contenter la frange droitière de son électorat.  

En s'en prenant à Eva Joly, qui, en tant qu'ancienne magistrate, a prêté serment, la droite adopte un double discours. Rappelons-nous qu'en 2004, l'UMP n'avait pas rechigné à investir le pilote finlandais Ari Vatanen pour représenter la France au parlement européen. Un an plus tôt, la France avait également nommé Salomé Zourabichvili, ambassadrice de France en Géorgie en 2003. Un poste qu'elle a quitté pour devenir ministre des Affaires étrangères de la Géorgie quelques mois plus tard... 

Enfin aujourd'hui, retirerait-on sa nationalité française à l'otage franco-israélien du Hamas, Guilad Shalit, dont le sort préoccupe à juste titre le président de la République. 

Pourquoi la droite est passée du thème de l'immigration à celui de l'identité?

Sur l'immigration, la droite n'a jamais pu aller au-delà des déclarations de principe: la France est liée par des traités internationaux et par son appartenance à l'Union européenne. L'UMP sait en outre que les milieux économiques et patronaux ne sont pas favorables à une restriction de l'immigration, encore moins à son arrêt.  

Elle est face au même problème de cohérence lorsqu'elle s'attaque au thème de l'identité nationale. En effet chacun comprend quand la droite dit ce qu'il ne faut pas être si l'on veut devenir Français: ne pas être un fondamentaliste musulman, un polygame, un individu refusant l'intégration... 

Mais la frange la plus droitière de l'électorat veut bien plus: elle souhaite que certaines catégories d'étrangers, en raison de leur identité même, ne puisse plus devenir français. Selon eux, la nationalité ne doit plus s'acquérir par un acte de volonté mais seulement par la transmission. Or, pour aboutir à cela, il faudrait une révolution juridique qui constituerait une rupture majeure du pacte démocratique. L'UMP ne prendra pas ce risque mais elle ne peut pas le dire à ses électeurs droitiers. Pas plus qu'elle ne peut dire l'inverse aux centristes. 

Qu'en est-il de l'extrême droite?

L'extrême droite est prise dans d'autres contradictions. Le Front national a embrayé sur le refus de la double nationalité parce que les Franco-Maghrébins sont son obsession. Mais les attaques du FN contre la binationalité franco-norvégienne d'Eva Joly sont le signe d'une rupture idéologique. Pour toute une génération de militants nationalistes, les pays nordiques ont longtemps constitué un archétype positif.  

Toute une génération de cadres du FN, influencée par les théories néo-droitières sur les racines nordiques de la civilisation européenne, a doté ses enfants de prénoms germaniques ou scandinaves et lu les ouvrages de Jean Mabire, de Pierre Vial et de Dominique Venner.  

Dans les années 90, l'ancien conseiller régional FN Emmanuel Leroy écrivait dans une série de livres intitulée "Contes d'Europe", aux couvertures explicitement nordicistes. Désormais, il explique aux militants frontistes que la "stratégie de la supranationalité européenne" élaborée par les milieux néo-droitiers "est à tout le moins un échec et en tout cas une impasse". C'est une évolution du FN mariniste qui est en porte-à-faux avec cette idée présente chez beaucoup de militants d'extrême-droite selon laquelle le monde se divise entre les Européens (pas les occidentaux) et les autres. 

Quels bénéfices peut tirer la droite de cette polémique selon vous?

Très peu. Elle risque au contraire de se trouver écartelée davantage entre les partisans du modèle républicain de citoyenneté, issu de l'universalisme des Lumières, et la minorité qui reviendrait bien dessus, sans pour autant pouvoir donner une définition autre qu'exclusive de l'appartenance nationale. Résultat: une partie de ses électeurs peut envisager le choix du FN car elle estime que Marine Le Pen est la seule à tirer les conclusions politiques de sa vision de l'identité.  

Comment expliquer que le thème identitaire soit porté par une vague de partis néo-populistes aujourd'hui en Europe?

La crise économique n'explique pas la totalité du trouble identitaire qui secoue aujourd'hui l'Europe. La rapidité avec laquelle la mondialisation transforme nos repères, l'instantanéité avec laquelle les images du monde globalisé nous parviennent, la peur de la mondialisation comme indifférenciation entraîne une partie des Européens vers une mythification du passé. Et vers l'idée que la communauté nationale fait de moins en moins sens, que seul l'ancrage dans une tribu urbaine, ethnique ou culturelle peut contrebalancer le bouleversement civilisationnel. 

19/7/2011

Source : l’express

La ville de Tanger abritera, dimanche prochain, la première édition de la journée des sports "Sports day" qui prévoit des compétitions devant réunir nombre de marocains du monde.

Cet événement a été pensé pour constituer un espace de rencontre entre les MRE dans une ambiance sportive, de fête et de joie, en cette période estivale.

Pour Ayman Ramdani, un résidant marocain en Belgique et initiateur de cette manifestation en coopération avec la présidente de l'association "Femmes réalisations et valeurs", l'ancienne championne du monde du 400m haies, Nezha Bidouane, l'idée de l'organisation de Sports day Tanger procède du souci de consolider la coopération entre les marocains du monde et ceux résidant au Maroc "pour un Maroc meilleur".

Le programme de cet événement comprend des matches en basketball, handball, beach-soccer, beach-volley, programmés à la corniche de la ville du Détroit à partir de 14h30.

Les organisateurs ont également prévu la tenue de la course internationale des Marocains du monde (18h00) qui se disputera sur 5 km et sera réservée aux femmes et enfants et ce, à l'instar de la course féminine de la victoire qui se déroule à Rabat. Les participants à cette course peuvent parcourir la distance en pas de course ou à la marche, ou encore en alternant course et marche.

Des démonstrations sont également au menu de cet.

18/7/2011

Source : MAP

« Dans le cadre de la mise en œuvre des  recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation en matière d’archives, d'histoire et de mémoire,  le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), la ville d'Al-Hoceïma et le Conseil Régional Taza-Taouanate- Al-Hoceïma organisent, sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, un colloque  international sur le thème: « Patrimoine culturel du Rif : quelle muséographie ?»,  à Al-Hoceima les 15 et 16 juillet 2011.

La Commission européenne a dénoncé lundi, à la suite de l'envoi la semaine dernière d'une équipe d'experts sur place, la récente décision du gouvernement danois de rétablir des contrôles douaniers à ses frontières, menaçant Copenhague d'une procédure d'infraction aux règles européennes.

"Nous avons des inquiétudes persistantes quant à la compatibilité du renforcement des contrôles danois avec les libertés garanties par les traités européens, en ce compris l'acquis Schengen", a indiqué lundi la commissaire européen Cecilia Mallmström, citée dans un communiqué. Selon l'exécutif européen, qui a envoyé des experts sur place la semaine dernière afin d'évaluer la situation, les autorités danoises n'ont jusqu'ici pas été en mesure de fournir les justifications nécessaires à ce rétablissement de contrôles aux frontières intérieures de l'Union, sur sa frontière avec l'Allemagne notamment. "Il appartient au Danemark de démontrer par les faits que la gravité de la situation justifie la mise en place de contrôles qui peuvent affecter la libre circulation des biens, des services et de personnes", poursuit la commissaire. Celle-ci précise dans la foulée qu'elle n'hésitera pas d'utiliser "tous les outils à sa disposition" pour faire respecter la législation européenne, à savoir l'ouverture d'une procédure d'infraction contre le Danemark, suivi d'un éventuel recours devant la Cour européenne de Justice. Le gouvernement danois, sous la pression des milieux populistes, a rétabli début juillet les contrôles permanents sur ses frontières afin, selon Copenhague, de mieux lutter contre les trafics en tous genres et la criminalité organisée. La décision est toutefois contraire aux règles de Schengen, l'un des principaux acquis de la construction européenne. (MUA)

lundi 18 juillet 2011 à 15h06

Source: Le Vif/Belga

Théâtre Jean-Deschamps archicomble, hier soir, pour se gondoler avec Jamel Debbouze dont le spectacle, sans se prendre pour un manifsete, déconstipe une époque passablement tendue.

Peut-être faudrait-il songer à appeler Jamel Debbouze « docteur ». Car son spectacle, présenté hier devant un théâtre Jean-Deschamps plein comme une voiture-chameau en partance pour Marrakech début juillet sur l'A9, administre une sacrée dose de décontractant à une France agitée par les spasmes racistes qui nous polluent l'altruisme et l'envie de découvrir l'autre, le différent. En un mot, l'étranger.

Après un tour de chauffe assuré de main de maître par un futur cador du stand-up - Malik Bentalha, fortiche dans la repartie, l'improvisation face à l'imprévu, le jeu avec le public - Jamel entre sur une vieille tuerie, Old School des New-Yorkais de LL Cool J. Comme un poing-claque derrière la nuque.

Pas de chichis de mise en scène chez Jamel. Un tabouret haut, une table de bistrot pour accueillir la bouteille d'eau qu'il vient siroter de temps à autre. C'est que le type a de quoi se déshydrater, en une heure quarante de tchatche sans temps mort. Mais l'essentiel est ailleurs. Le titre du spectacle annonce la couleur : Tout sur Jamel.

Vive la France

On a donc droit à tout ou presque. Ce que l'on attend de lui sur la forme, comme l'habituel « Ta gueule » aboyé en réponse au premier spectateur criant « Jamel ». Ou bien cet art consommé de s'adapter au public local en chambrant tour à tour la légende de Dame Carcass et Jean-Claude Pérez, le maire dont il demande : « Qu'est-ce qu'il a fait, Jean-Claude Pérez, à part des châteaux forts ? » Mouche à chaque fois. On a surtout droit à des choses bien plus profondes, que Jamel fait passer en maniant à la fois l'humour (sur soi) et l'ironie (sur les autres). Haut-parleur de la banlieue, du relégué, de l'immigré, bref de la France d'en-bas qu'aujourd'hui on combat par peur, il peint avec bienveillance un tableau de la France d'aujourd'hui dont il rassemble les morceaux qu'en haut on voudrait éparpiller façon puzzle. De l'enfance à Trappes avec foutage de bordel au collège et désopilante description de la mère de Nicolas Anelka rebaptisée « Le cyclope des Antilles » jusqu'au choc des cultures de son mariage mixte, son message apparaît en filigrane : et si on rigolait de nos différences. La politique, les politiques, les religions, le football, l'équipe de France en Afrique du Sud, le décrochage scolaire, le théâtre, l'amour, la famille, le bonobo DSK, les traditions… Jamel déconstipe tous les sujets. Les désamorce et ce qu'on attend de l'humour. On aime moins le petit couplet frontal et épidermique contre Sarkozy qui n'apporte pas grand-chose au propos. N'empêche, au bout d'un rappel, heureux comme le gosse qu'il est, Jamel exulte, demande à ce qu'on rallume la salle pour voir une dernière fois la gueule réjouie des convives dit son bonheur de voir le nuancier de couleurs qui composent le public, et par-dessus tout « toutes les générations qui rient ensemble ». Avant de lancer en point final un « Vive la France ! » auquel on s'associe.

19/7/2011

Source : La Dépêche

Le ministère chargé des MRE organise, du 15 au 26 juillet, et conjointement avec l’Université Hassan II de Casablanca, la 3e université d’été au profit de 60 jeunes Marocains ou d’origine marocaine résidant à l’étranger. À cette occasion, une série de rencontres et cycles de conférences sont programmées autour du thème central de l’identité marocaine à travers ses différents aspects, culturel, linguistique, économique, et politique. Elles seront animées par plusieurs intervenants, responsables d’institutions nationales et universitaires dont Driss Yazami, président du CNDH et du CCME, Mohamed Tozy, membre de la commission sur la réforme constitutionnelle, ainsi que des dirigeants associatifs et hommes d’affaires. La rencontre est également une occasion de débattre de certaines questions d’actualité nationale et portant sur la régionalisation, la révision constitutionnelle, le rôle des jeunes dans le développement, les valeurs et le changement social au Maroc, le rôle des MRE dans le développement économique du Maroc.

18/7/2011

Source : Les Echos

Des dizaines d'enfants adoptés à l'étranger ne peuvent être reconnus en Belgique, un effet des ratés de la nouvelle loi sur l'adoption, révèle mardi le journal Le Soir.

Des dizaines d'enfants adoptés régulièrement à l'étranger ne peuvent être reconnus en Belgique ou se retrouvent sans père et mère adoptifs officiels, en raison de la nouvelle loi sur l'adoption, qui depuis septembre 2005 interdit d'adopter un enfant à l'étranger sans suivre, au préalable, des cours de préparation à l'adoption et sans obtenir un jugement déclarant le demandeur apte à assumer le statut de candidat adoptant.

De bonne foi, mais empêchés

"On constate à présent que la loi, très balisée, empêche la reconnaissance d'adoptions légitimes... Des cas qui ne répondent pas aux nouvelles conditions légales, et qui ne peuvent donc être reconnus en Belgique, alors qu'il n'y avait manifestement pas d'abus, pas de volonté de contourner la loi", dénonce aujourd'hui la députée Catherine Fonck (cdH).

Remédier à cela

Exemple: des familles qui accueillent tous les ans des orphelins de Tchernobyl et finiront par obtenir une adoption reconnue en Ukraine ou un couple belge, résidant à l'étranger, qui y adopte un enfant et qui sera confronté à une non-reconnaissance de l'adoption s'il décide de rentrer en Belgique. Catherine Fonck a dès lors déposé une proposition de loi afin de modifier le Code civil pour "régulariser" toutes ces situations d'adoption non abusives. Elle prévoit que ces parents se soumettent à posteriori aux conditions légales.
Près de 2.700 adoptions d'enfants étrangers ont été reconnues ces six dernières années, mais 423 ont été recalées.

19 Juillet 2011

Source : RTL info.be

Si les adultes ne ratent aucune occasion pour revenir au pays, leurs enfants, eux, refusent de plus en plus de passer leurs vacances au Maroc…Suite

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