mercredi 27 novembre 2024 23:42

Selon une étude menée dans sept pays d’Europe, les français sont parmi les plus frileux face aux réfugiés…Suite

Le film maltais “Simshar”, une fiction sur le drame de l’immigration clandestine en méditerranée, a été présenté, mardi, en salle à Tunis…Suite

La commission nationale de suivi et de recours a tenu hier sa quatrième réunion au siège du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) à Rabat, en présence de Mbarka Bouaïda, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, et de Charki Draïss, ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur, El Hossein El Ouardi, ministre de la Santé, Anis Birou, ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration, Idriss Azami Al Idrissi, ministre délégué chargé du Budget, et Driss El Yazami, président de la Commission, et des membres de la Commission représentant la société civile. La commission a ainsi délibéré sur les 8.644 demandes ayant reçu un avis défavorable de la part des commissions provinciales chargées de l’examen des demandes de régularisation. À cet égard, la Commission a préconisé d’assouplir les critères de la circulaire du 16 décembre 2013 afin de faciliter la régularisation de certaines catégories.

Quelques 27.000 ressortissants étrangers ont acquis la nationalité néerlandaise en 2014 et les Marocains sont les premiers bénéficiaires, selon des chiffres de l'Office national des statistiques (CBS).

Une convention-cadre de partenariat et de coopération, destinée à faire bénéficier les immigrés et les réfugiés en situation régulière au Maroc d'une couverture médicale de base et de soins de santé similaires à ceux dispensés dans le cadre du régime d'assistance médicale (Ramed), a été signée lundi à Rabat.

La place de la communauté marocaine à l'étranger est l'un des déterminants principaux de la qualité des relations avec les pays d'accueil, a indiqué, mardi à Rabat, le ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration, Anis Birou, assurant que la défense des droits de cette frange est "une tâche quotidienne qui prend plusieurs aspects".

Depuis le début de la crise des migrants, les dirigeants européens ne savent plus où donner de la tête pour gérer le problème des réfugiés qui affluent massivement, et de manière ininterrompue, vers le vieux contient fuyant les guerres civiles qui déchirent leurs pays.

Les dirigeants de l'UE ont enjoint mardi les Etats membres d'être "à la hauteur" d'une crise migratoire qui "pourrait créer un séisme dans le paysage politique européen", lors d'un débat devant le Parlement européen.

La crise migratoire qui a vu 700.000 migrants et réfugiés arriver en Europe via la Méditerranée depuis janvier va s'aggraver, a prévenu mardi le président du Conseil européen Donald Tusk, mettant à l'épreuve la coopération, déjà délicate, entre les pays de l'UE.

Des migrants arrivés en Suède refusent depuis deux jours de descendre d'un bus de l'agence des migrations au motif que la localité qui les accueille est trop isolée, certains souhaitant même retourner en Allemagne, a-t-on appris mardi auprès de l'agence.

Un collectif d'ONG's algériennes a interpellé les autorités concernant le déni de dépôt de plainte auquel sont confrontées certaines migrantes subsahariennes, victimes de viol en Algérie.

Les conflits régionaux et les flux de réfugiés en Méditerranée ont été, lundi, au centre des travaux de la première journée du Comité Méditerranée de l'Internationale Socialiste (IS) qui se tient à Barcelone (nord-est de l'Espagne). Une délégation marocaine de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), composée du responsable des relations extérieures au sein du parti, Mohamed Benabdelkader, ainsi que de Mohamed Idrissi et Aicha Rouki, respectivement secrétaire général et membre du secrétariat du parti en Espagne, prend part à cette rencontre initiée par le Parti socialiste catalan.

Les eurodéputés, réunis en session plénière à Strasbourg, se sont affrontés mardi lors d'un vif et long débat consacré à l'examen des mesures décidées pendant le mini-sommet organisé par la Commission européenne (CE) , dimanche à Bruxelles, pour faire face à l'arrivée massive de réfugiés sur la route des Balkans occidentaux.

Les autorités suisses ont été vivement critiquées par des ONG pour avoir refusé les demandes d'asile de 3.500 personnes en six mois conformément à l'accord européen de Dublin, en pleine crise migratoire dans le Vieux-Continent.

Les déclarations de dirigeants politiques stigmatisant les réfugiés et les migrants qui tentent de trouver asile en Europe aboutiront à engendrer des violences, du racisme et du sectarisme, a déclaré le Haut Commissaire de l'Onu aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad al Hussein, mardi.

La ministre autrichienne de l'Intérieur Johanna Mikl-Leitner a déclaré mardi que l'installation de "barrières techniques" aux frontières était prévue dans la ville de Spielfeld (sud), où un grand nombre de migrants entrent dans le pays via la Slovénie.

Le décret paru début octobre au Journal Officiel accordant une aide financière aux chibanis désireux de rester plus longtemps dans leur pays d’origine laisse un goût amer aux MRE et enfants des retraités dont un grand nombre d’origine marocaine. Bien qu’ils aient apprécié la volonté de Paris de se pencher sur ces cas, ils dénoncent « une meurette » qui ne résout pas le vrai problème des chibanis.

Alors que la Suède a toujours été le bon élève de l'Europe en matière d'accueil de migrants, les autorités ont dû se résoudre à durcir la législation sur l'immigration.

Une convention-cadre de partenariat et de coopération, destinée à faire bénéficier les immigrés et les réfugiés en situation régulière au Maroc d'une couverture médicale de base et de soins de santé similaires à ceux dispensés dans le cadre du Régime d'Assistance Médicale (RAMED) a été signée lundi à Rabat.

Durcissement Dans leurs discours, des personnalités des « Républicains » et de l’UDI n’hésitent plus à développer sans mots voilés des parallèles entre banlieues, immigration et délinquance.

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