lundi 8 juillet 2024 12:16

Les enseignants marocains de la langue arabe et culture d'origine (ELCO) en poste en Europe ont décidé d'observer aujourd'hui une grève et deux sit-in devant les représentations diplomatiques marocaines à Paris et à Madrid...Suite

Dans cet entretien exclusif avec l'ambassadeur du Maroc en France réalisé par notre confère Rachid Wahib, directeur de «Maghreb info», Chakib Benmoussa, récemment nommé à ce poste, aborde différentes questions relatives notamment aux relations entre le Maroc et la France, les Marocains résidant à l'étranger...

Ministre français de l'Intérieur depuis un an, aussi populaire dans l'opinion que dans les commissariats, Manuel Valls est-il ce "Sarkozy de gauche" aux méthodes musclées que dénoncent ses adversaires ? Rencontre avec un ambitieux fils d'immigré qui ne s'interdit rien et à qui l'on prédit tout.

Ce colloque international consacré aux logiques de la sécularisation et de la citoyenneté en cours dans l'islam contemporain convoquera des éclairages multidisciplinaires : l'histoire des religions, l'anthropologie et la sociologie religieuses, la philosophie et la sociologie politiques, mais aussi la théologie islamique contemporaine.

Selon le sondage Dedicated RTBF/La Libre, seuls 20 %des Belges considèrent que les populations d'origine étrangère sont bien intégrées dans notre société. Ils sont également 80 %à ressentir une montée des radicalismes religieux. Et à s'en inquiéter.

La perception du défaut d'intégration des étrangers mise en lumière dans le récent sondage n'est pas neuve, selon le sociologue Andrea Rea (ULB). En période de crise économique, on cherche des boucs-émissaires, constate-t-il. Et on cristallise sur les musulmans. Alors que "c'est ceux qui détiennent le pouvoir économique et la richesse qui font défaut d'intégration", dit-il.

Le renforcement prévu des lois antiracistes en Grèce tourne à la foire d'empoigne au sein du gouvernement et entre partis, illustrant les errements de la classe politique face à la flambée néonazie, suivis avec inquiétude de Bruxelles à Washington.

Le maire de Florence, étoile montante de la gauche, et le président de la région Toscane ont lancé un appel dimanche pour que la nationalité italienne puisse être adoptée sur la base du droit du sol, "ius soli", et plus le droit du sang.

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