vendredi 5 juillet 2024 00:29

Plusieurs ONG espagnoles sont montées au créneau depuis le 4 février 2012 pour demander au gouvernement espagnol la fermeture des centres d'internement des étrangers. Motifs? Insalubrité, violences et maladies…Suite

En 2011, Yto Barrada est proclamée par la germanique Deutsche Bank artiste de L'année . Juste sacre d'une Marocaine dont l'aisance en matière de photo, sculpture, vidéo n'est plus à démontrer. Portrait empathique d'une créatrice…Suite

Le nombre de conjoints étrangers de Français obtenant un visa n'a cessé d'augmenter durant le quinquennat et a atteint 36.669 en 2010, soit une hausse de 61% depuis 2006 due à l'augmentation des mariages mixtes, selon le dernier rapport au parlement sur l'immigration.
Dans une interview au Figaro Magazine, Nicolas Sarkozy a chiffré à "plus de 25.000 chaque année" les "titres de séjour obtenus par le mariage avec un Français", souhaitant que la délivrance de ces titres soit soumise "aux mêmes conditions de logement et de ressources" que le regroupement familial.
Augmentation des mariages entre français et étrangers
En 2006, le nombre de visas délivrés à des conjoints étrangers était de 22.785, en baisse de 12% par rapport à l'année précédente. Ce chiffre a progressé de 30% en 2007 à 29.635, puis de 17,5% en 2008 à 34.819. Cette hausse s'est ralentie en 2009 (+ 2,3%, à 35.611), puis en 2010, avec 36.669 visas délivrés à des conjoints étrangers (+ 3%), selon les chiffres du rapport au Parlement sur "les orientations de la politique de l'immigration et de l'intégration" édité en décembre 2011. Cette hausse s'explique par l'augmentation du nombre de mariages entre français et étrangers.
Ces chiffres portent sur les visas de long séjour valant titre de séjour (VLSTS) d'un an délivrés par l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII), ainsi que sur les visas de court séjour délivrés aux Algériens en vertu d'un accord bilatéral de 1968.
Selon l'OFII, en 2009, les conjoints ayant bénéficié d'un visa étaient Algériens (28%), Marocains (18,4%), Tunisiens (9%), Turcs (5,3%), Malgaches (2,7%). 58,3% étaient des femmes, 41,7% des hommes. En 2011, selon l'Intérieur, 22.000 personnes ont obtenu leur naturalisation par mariage.
Le nombre d'enfants et de conjoints ayant bénéficié d'un regroupement familial a baissé de 13,4% entre 2006 (16.101) et 2010 (13.943), selon le rapport au parlement, qui mentionne l'instauration de conditions de ressources et de logement en 2007 parmi les raisons expliquant une baisse de 17,8% pour 2009. "Nous avons réformé le regroupement familial, désormais accordé sous conditions de logement et de ressources. Il est passé de 25.000 par an à 15.000", a affirmé M. Sarkozy au Figaro Magazine. Interrogé sur ces chiffres, l'Elysée a renvoyé vers le ministère de l'Intérieur.
Le conjoint bénéficiant d'un visa ou du regroupement familial est soumis dans son pays d'origine à un "test d'évaluation de ses connaissances du français et des valeurs de la République". A son arrivée en France, il signe un contrat d'accueil et d'intégration (CAI), qui l'oblige à suivre une formation civique et linguistique.
9/2/2012
Source : Le Figaro/AFP

Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid a procédé, jeudi à Casablanca, à l’inauguration de la 18e édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL), organisé sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI jusqu’au du 19 courant.
S.A.R. le Prince Moulay Rachid a, à cette occasion, effectué une tournée dans le salon qui se tient sous le thème ‘’ Un temps pour lire, un temps pour vivre’’ et visité plusieurs stands notamment celui du Royaume d’Arabie Saoudite, invitée d’honneur de cette édition, ou sont exposés, entre autres, des publications éditées spécialement pour cette manifestation.
Son Altesse Royale a également visité les stands de Sochepresse, des maisons d’édition Dar Toubkal et Marsam, de la librairie Carrefour des livres et celui du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), qui abrite également l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC), le Conseil de la concurrence et le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME). S.A.R. le Prince Moulay Rachid a, en outre, effectué des visites aux stands de la Bibliothèque nationale, de la Belgique, du ministère de la Culture, de la France, de l’Institut Royal de la culture amazighe (IRCA), de l’Espagne, de l’Algérie, de l’Amérique Latine, le pavillon collectif monté par l’Italie, le Portugal, l’Allemagne et l’Angleterre et le stand des Émirats arabes unis.
Son Altesse Royale a procédé, par la suite, à la remise des Prix du Maroc du Livre aux lauréats de l’année 2011. Il s’agit de M. Rachid Benhaddou, sacré dans la catégorie Etudes littéraires et artistiques pour son ouvrage ‘’Jamaliyat Albayn-Bayn’’.
Driss Chehhou, auteur de l’ouvrage sur ‘’Les équilibres forestiers environnementaux à l’ouest du Moyen Atlas’’, et Ahmed Sadki, qui a écrit sur ‘’La problématique de l’existence dans la pensée d’Ibn Arabi: recherche dans la phénoménologie de l’absence’’, se sont vu décerner, ex æquo, le prix de la catégorie Sciences humaines et sociales.
Le prix de la Traduction a été attribué, ex æquo, à Azeddine Khattabi pour sa traduction de l’ouvrage de Guillaume Sibertin-Blanc, ‘’La philosophie politique du 19e et 20e siècle’’ et à Hassan Taleb pour sa traduction de ‘’Qu’est-ce que l’histoire littéraire?’’ de l’auteur Clément Mouazan.
Omar Walqadi, auteur du roman ‘’Al Ibhar Ila Ithaqua’’, et Mohamed Zahir, qui a écrit ‘’Voix que je n’ai pas entendue’’, ont reçu, ex æquo, le prix de la catégorie Récit et Narration alors que Hassan Nejmi s’est vu décerner le prix de la Poésie pour son recueil ‘’Un mal comme l’amour’’.
S.A.R. le Prince Moulay Rachid a, ensuite, pris une photo-souvenir avec les écrivains et intellectuels primés.
Sur Haute instruction de S.M. le Roi Mohammed VI, Son Altesse Royale a décoré de Ouissams Royaux 14 personnalités du monde de la culture, marocaines, arabes et étrangères, dont 6 chercheurs et créateurs, 4 éditeurs, 3 bibliothécaires et libraires et une personnalité de la société civile.
Ont été décorés du Ouissam du mérite national de l’ordre d’officier, Driss Méliani, poète, Niimat Allah Al Khatib Boujibar, chercheur en archéologie, Zhour Karam, romancière, critique et universitaire, Mohamed Mestaoui, poète et chercheur dans la culture amazighe, Mohamed Darif, chercheur, Abeljalil Nadim, responsable de la maison d’édition ‘’Dar Toubkal’’, Amina Alaoui Hachimi, directrice aux éditions ‘’Yanbouu Al Kitab’’, Nadia Salmi, directrice de l’institution ‘’Youmad’’, Taieb Habi, directeur de la librairie ‘’les belles images’’, Abdellah Ghouari, libraire spécialisé dans les livres anciens et rares, Othmn Akdim, responsable de la librairie ‘’CDPL/DSM’’ et Abderrahmane Hansal, président de l’Association des librairies rurales.
Mme Margareth Obank, directrice de la revue britannique ‘’Banipal’’ et Bassam Kourdi, responsable des éditions du centre arabe culturel de Casablanca, se sont vu décerner le Ouissam Alaouite de l’ordre de chevalier. S.A.R. le Prince Moulay Rachid a, par la suite, pris une photo-souvenir avec les personnalités décorées.
A son arrivée à l’Office des foires et expositions (OFEC), qui abrite cette manifestation, S.A.R. le Prince Moulay Rachid a passé en revue un détachement des Forces auxiliaires qui rendait les honneurs avant d’être salué par Mohamed Amine Sbihi, ministre de la Culture, le DR Ahmed Mohamed Assaif, vice-ministre de l’Enseignement supérieur du Royaume d’Arabie Saoudite, Mohamed Halab, wali de la région du Grand Casablanca, et Mohamed Chafik Benkirane, président du conseil de la région de Casablanca.
Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid a, également, été salué par le Colonel major Saïd Al Jaouhari, commandant de la place d’armes, Najib Gourani, gouverneur chargé des affaires internes à la wilaya, Mohamed Sajid, président du conseil de la ville, Mohamed Mansar, président du conseil de l’assemblée préfectorale de Casablanca, Omar Touimi, secrétaire général de la préfecture des arrondissements de Casablanca-Anfa , Kamal Dissaoui, président du conseil de l’arrondissement de Sidi Belliout, Ahmed Kouitaa, secrétaire général du ministère de la Culture.
S.A.R. le Prince Moulay Rachid a, en outre, été salué par Hassan Al Ouazzani, directeur du livre, des bibliothèques et des archives au ministère de la Culture, Hamid Zakaria, délégué régional du ministère à Casablanca, Saïd Ben Saïd Alaoui, coordinateur général des commissions du prix du Maroc du livre, Rachid Jabouj, coordinateur général du SIEL, et Aziz Al Alami Gouraftei, directeur général de l’OFEC.
Le SIEL, organisé par le ministère de la Culture, avec la coopération de l’OFEC, compte la participation de 40 pays et plus de 700 participants des mondes de l’édition, de la presse, de la diffusion, de la distribution, des bibliothèques, de l’imprimerie et des arts graphiques de la publicité, de la microédition et des multimédias.
9/2/ 2012
Source : MAP

Les Marocains résidant à l’étranger (MRE) ont transféré à fin 2011, 58,3 milliards de dirhams vers le Maroc, contre 54,3 milliards de dirhams en 2010, soit une augmentation de 7,8%.
La majorité de ces transferts proviennent de France, d’Espagne, d’Italie, des États-Unis et des pays arabes.
Les MRE de France arrivent en tête en matière de transferts d’argent avec 40,9%, soit 22,13 milliards de dirhams en 2010, suivis par l’Espagne avec 5,43 milliards de dirhams, l’Italie 5,4 milliards et les États-Unis avec 2,95 milliards de dirhams.
Les transferts de Marocains résidant en Arabie Saoudite sont estimés à 1,77 milliards de dirhams, de Koweït 441,7 millions de dirhams et du Qatar 299 millions de dirhams.
En 2008 et 2009, les transferts de MRE vers le Maroc avaient enregistré des baisses respectives de 3,5% et de 2,8%, en raison de la crise économique que traversaient plusieurs pays d’accueil des Marocains du monde.
9/2/2012
Source : Bladi.net

Dans un grand entretien accordé au Figaro Magazine, à paraître samedi 11 février, Nicolas Sarkozy, qui n'est toujours pas officiellement candidat, pose les bases de sa future campagne électorale en évoquant ses "valeurs pour la France". Il évoque plusieurs pistes.
Référendum. Alors qu'il n'y a jamais eu recours en cinq ans, M. Sarkozy annonce qu'il veut désormais user du référendum. "Je crois que la meilleure façon de surmonter des blocages dans notre société, c'est de s'adresser directement au peuple français", indique-t-il. Plusieurs des réformes qu'il propose au long de l'entretien pourrait y être soumises, notamment celles sur les droits des chômeurs.
Immigration. Nicolas Sarkozy plaide pour une réforme du droit des étrangers afin de rendre la juridiction administrative seule compétente en matière d'immigration.
M. Sarkozy propose aussi que "les titres de séjour obtenus par le mariage avec un Français (plus de 25 000 chaque année) soient soumis aux mêmes conditions de logement et de ressources" afin de combattre "plus efficacement les fraudes".
Il veut par ailleurs réformer les prestations sociales accordées aux demandeurs de droit d'asile : "Elles seront limitées quand le demandeur ne coopérera pas avec l'administration, quand il déposera sa demande plus de trois mois après son entrée sur le territoire, ou quand il refusera une offre d'hébergement."
Il se redit opposé à la régularisation des étrangers en situation irrégulière qui, selon lui, "créerait immédiatement un appel d'air".
Cette réforme pourrait également être soumise à référendum : "C'est un sujet dont on peut débattre", dit-il…Suite

"My Land" (ma terre), film documentaire à succès du réalisateur marocain Nabil Ayouch sur le conflit israélo-palestinien, sortira mercredi sur les écrans français.
Cette sortie vient couronner un parcours formidable du film, projeté dans plusieurs festivals internationaux et primé notamment au Festival national de Tanger 2011 du prix du montage et du prix de la meilleure musique.
A travers ce documentaire filmé en 2010, Nabil Ayouch revisite le conflit israélo-palestinien sous un angle humain en donnant la parole à de vieux réfugiés palestiniens d'avant 1948, qui vivent dans des camps au Liban, et de jeunes Israéliens de 20 ans qui habitent aujourd'hui sur les mêmes terres que là où habitaient ces Palestiniens.
Les témoignages qu'il recueille, aussi bien dans les camps des réfugiés au Liban qu'en Israël, permettent un dialogue à distance entre les deux parties, confrontant deux mémoires et retraçant une réalité: celle de deux peuples qui se battent pour la même terre.
Né en France en 1969, d'un père musulman marocain et d'une mère juive, d'origine tunisienne, Nabil Ayouch, livre, lui-même, son propre témoignage sur le conflit, en voix off en début du film.
"J'ai souffert d'un conflit qui alimentait toutes les conversations, qui résonnait constamment au sein de mes deux familles. Un conflit, dans une contrée lointaine, entre deux peuples qui se battaient pour la même terre. Ce conflit ne m'a jamais quitté. Il a forgé ma conscience politique, il a éveillé ma capacité de révolte, il a surtout défini la plupart des rapports que j'entretiens avec le monde qui m'entoure", affirme le réalisateur marocain.
"My Land" est le premier film documentaire de Nabil Ayouch qui a à son actif plusieurs oeuvres cinématographiques au rayonnement international reconnu.
Ses films ont été largement primés à travers le monde dans divers festivals et vendus dans de nombreux pays. "Mektoub" et "Ali Zaoua" avaient représenté le Maroc aux Oscars en 1998 et 2001.
Lors du Festival de Cannes 2010, plusieurs professionnels ont adhéré à son projet de film "Les Etoiles de Sidi Moumen", en quête alors de financement dans le cadre de "L'Atelier" de la Cinéfondation du festival.
07/02/2012
Source :  MAPF

Le poète marocain Mohamed Bennis participera, le 14 février au Palais des Beaux-arts de Bruxelles, à une soirée de poésie arabe d'amour et présentera à cette occasion ses…Suite

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