vendredi 5 juillet 2024 06:16

Les Marocains d'Espagne se démènent pour envoyer de l'argent à leurs proches au Maroc malgré la crise et la perte des ressources. Si le collectif marocain est celui qui a enregistré la perte la plus importante dans le nombre des affiliés à la sécurité sociale, il n'en demeure pas moins que les envois effectués par les Marocains restent tout de même importants, au vu de la conjoncture actuelle et les caractéristiques de la communauté…Suite

SM le Roi Mohammed VI, a procédé, mardi à Salé, à la pose de la première pierre pour la construction de l'Université Internationale de Rabat (UIR), pour un investissement global de 1,2 milliard de dirhams.

A cette occasion, le président de l'UIR, M. Noureddine Mouaddib, a exposé devant SM le Roi les domaines d'intérêt de cet important établissement universitaire, ses pôles d'enseignement et de recherche, et les principaux axes de son développement pour les prochaines années.

La création de l'Université internationale de Rabat, qui permettra de générer 300 emplois directs en 5 ans, est une initiative inédite de partenariat public-privé dans le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche, a souligné M. Mouaddib, précisant que ce projet est financé grâce aux contributions d'acteurs économiques et institutionnels et de l'Etat.

Le projet de l'UIR, située dans le site de Rabat Techonopolis sur une superficie de 20 hectares, intervient conformément aux Hautes orientations de Sa Majesté le Roi, que Dieu L'assiste, dans les domaines de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il prévoit essentiellement la construction de bâtiments dédiés à la recherche, d'une bibliothèque et d'une résidence universitaire, ainsi que d'installations à vocation sportive, sociale, commerciale et de divertissement.

L'université disposera à l'horizon 2015 d'une capacité d'accueil de 5.000 étudiants, dont 4.000 pourront être logés sur place, avec 20 à 30 pc des étudiants originaires d'Afrique subsaharienne.

Ce projet s'impose aujourd'hui comme un modèle de partenariat scientifique entre un groupement d'académies et d'universités marocaines et de grands instituts et universités étrangers. Il se donne pour ambition de contribuer à la formation d'élites marocaines et africaines conformément aux standards internationaux de performance en la matière, tout en affirmant une forte identité marocaine.

L'Université internationale de Rabat est structurée en un domaine majeur d'ingénierie constitué de quatre pôles de formation et de recherche, à savoir l'aéronautique, automobile et ferroviaire, les énergies renouvelables, l'environnement et les études pétrolières, les technologies de l'information et de la communication (TIC), ainsi que l'architecture et design.

Autour de ces pôles, l'UIR met en place un Business school en management, fiscalité et finance, un institut de sciences politiques et de relations internationales, un centre de langues, cultures et civilisations et un institut de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) d'ingénieurs et de commerce.

Les formations seront dispensées par un corps professoral de haut niveau composé de 40 enseignants, dont des enseignants-chercheurs permanents (50 pc), des enseignants-chercheurs mobilisés par les partenaires académiques (30 pc) et d'Intervenants du monde des affaires (20 pc).

Par la même occasion, trois innovations technologiques dans le domaine des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, brevetées par l'UIR, ont été présentées au Souverain.

Il s'agit, d'une part, d'une éolienne domestique, fonctionnant sans vent, facilement évolutive en puissance et, d'autre part, d'une parabole thermo-solaire, fonctionnant à partir d'un système à base de miroirs, et également d'un lampadaire solaire dont le système intègre une solution d'éclairage à très faible consommation. Toutes ces innovations seront mises en application dans le campus de l'université.

Source : MAP

Hors d'Allemagne, personne n'a vraiment prêté attention la semaine dernière à l'annonce par un homme politique allemand de la création d'une nouvelle formation baptisée Parti de la liberté.

Dans la capitale allemande, l'initiative de Rene Stadtkewitz, hostile aux immigrés, a en revanche provoqué un petit tremblement de terre politique dont les secousses ont été ressenties jusqu'à la chancellerie.

"Pour l'instant, nous nous concentrons sur le développement de ce nouveau parti à Berlin mais si nous avons du succès ici, je ne peux certainement pas exclure d'en faire un mouvement national", a déclaré à Reuters cet homme de 45 ans exclu de l'Union chrétienne-démocrate (CDU) de la chancelière Angela Merkel en raison de ses opinions.

Implanté dans le quartier de Pankow dans l'est de Berlin, Rene Stadtkewitz milite pour l'interdiction du voile, pour la fermeture des mosquées et pour la réduction des aides sociales pour les musulmans. Il est la dernière émanation en date d'un puissant courant anti-immigrés qui, en séduisant les électeurs à travers l'Europe, bouscule la classe politique traditionnelle.

A l'image du Front national en France ou de la Ligue du Nord en Italie, l'existence de partis hostiles à l'immigration n'est pas une nouveauté en Europe. Pour les observateurs, certains sont toutefois en train de briser des tabous érigés après la Seconde Guerre mondiale en tentant d'exploiter les peurs liées à l'immigration, qui suscite une hostilité croissante avec la crise économique.

La France en première ligne

"Ce à quoi nous assistons n'est pas une nouveauté mais un approfondissement et une accélération de quelque chose qui était déjà là", remarque Dominique Moisi, de l'Institut français des relations internationales (Ifri).

"Ces personnalités politiques jouent avec le feu car les sentiments sur cette question sont très profonds et ne disparaîtront pas avec la reprise économique", ajoute-t-il.

La France s'est placée en première ligne dans ce débat qui agite l'Europe. Outre le lien entre immigration et délinquance établi au cours de l'été par Nicolas Sarkozy, la Commission européenne a qualifié mardi de honte la politique française d'expulsion des Roms.

Avant Rene Stadtkewitz en Allemagne, Geert Wilders s'est imposé en quelques mois comme l'une des acteurs centraux du jeu politique aux Pays-Bas par ses propositions d'interdiction du Coran et d'expulsion des musulmans jugés coupables de crimes.

En raison des résultats serrés des élections de juin, les partis de droite tentent de s'appuyer sur Geert Wilders pour former un gouvernement minoritaire. Si ces efforts échouent, de nouvelles élections pourraient encore renforcer le poids de son Parti de la liberté, selon les sondages.

En Italie, pays européen ayant accueilli le plus d'immigrés en 2009, la Ligue du Nord d'Umberto Bossi fait partie de la coalition au pouvoir de Silvio Berlusconi. Elle a ainsi obtenu la vote de lois autorisant l'emprisonnement des immigrés clandestins et la poursuite des personnes leur venant en aide.

Pour Heather Grabbe, directrice de l'Open Society Institute à Bruxelles, de plus en plus de dirigeants européens se rendent compte que la stigmatisation de l'immigration permet de tirer parti des peurs des électeurs à l'égard de l'économie, du chômage, de la mondialisation et d'un avenir incertain.

Aversion "de bon sens" contre les musulmans

"Les gens en Europe ont pu s'offrir une vie aisée dans les décennies suivant la Seconde Guerre mondiale mais ils observent désormais que leur niveau de confort est menacé", souligne Heather Grabbe. "La conséquence est que la tolérance n'est plus perçue comme une valeur européenne à défendre, même dans les pays auparavant fiers d'être ouverts et libéraux."

Le meilleur exemple en est la Suède, où un parti anti-immigration semble pouvoir franchir le seuil des 4% de voix lors des élections prévues dimanche et entrer ainsi pour la première fois au parlement.

Les Démocrates suédois, qualifiés de xénophobes par le Premier ministre Fredrik Reinfeldt, ont troqué leurs tenues de skinheads pour d'élégants costumes avec lesquels ils répandent un discours parfaitement calibré mêlant soutien à Israël, défense des femmes et aversion "de bon sens" envers l'immigration musulmane, selon les termes de leur leader Jimmie Akesson.

En Allemagne, où le souvenir du régime nazi a longtemps empêché le développement de formations d'extrême droite, l'émergence d'une nouvelle force hostile à l'immigration pourrait bouleverser la donne politique.

Avec le développement du Parti de Gauche et des Verts, six partis différents siègent désormais au parlement fédéral, ce qui rend plus difficile la recherche de coalitions stables.

"Le danger est là", prévient Manfred Güllner, patron de l'institut de sondage Forsa, en rappelant notamment le fort soutien dans l'opinion publique dont a bénéficié Thilo Sarrazin.

Ce dernier a démissionné de la Bundesbank après la publication d'un ouvrage dans lequel il écrit que les musulmans minent la société allemande.

"Il y a une perte de confiance dans les partis traditionnels, une sorte de vide qu'une personnalité charismatique comme (Jörg) Haider peut combler", ajoute Manfred Güllner, en allusion à l'ancien dirigeant autrichien d'extrême-droite.

Source : L’Express.fr

Le public génevois a pu découvrir le 11 septembre Maroc Urbain, un spectacle consacré à nos musiques urbaines grâce à l'association Mozaik Production qui s'est alliée pour l'occasion aux organisateurs de l'boulevard…Suite

 

La première édition du "Guide du Maroc pour les Espagnols" sera présentée, mercredi à Séville (Sud de l'Espagne), à l'initiative de la Fondation des trois cultures de la Méditerranée.

Editée par la "Casa de Espana" (Maison de l'Espagne) de Tétouan, cette publication se veut un instrument pratique au service de tous les Espagnols désireux de mieux connaître le Maroc ou de le visiter quelque soit leur objectif, apprend-on auprès de la Fondation.

Ce Guide contient notamment des informations sur les différents secteurs de l'économie marocaine, les aspects culturels et les attraits touristiques du Royaume, souligne la même source dans un communiqué.

Outre des explications sur les services consulaires offerts par l'Espagne au Maroc, la publication présente aussi des informations pratiques sur des aspects de la vie quotidienne dans le Royaume liés, entre autres, aux transports et aux services de santé, le tout illustré de plans et de photos des principales villes du pays.

La présentation de ce Guide, qui s'inscrit dans le cadre du cycle d'activités culturelles "Maroc en trois cultures", sera marquée par la participation notamment de ressortissants Espagnols installés au Maroc.

Initié depuis fin mai par la Fondation des trois cultures de la Méditerranée en collaboration avec le ministère chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, le cycle "Maroc en trois cultures", qui s'étale jusqu'à octobre prochain, a connu l'organisation de séminaires, de tables rondes, de concerts et d'expositions axés sur le Royaume.
Source : MAP

Le nouveau roman de l'écrivain marocain Fouad Laroui "Une année chez les Français" publié aux éditions "Julliard" a été retenu parmi la première sélection du Prix Goncourt 2010, décerné en France.

Le jury de l'Académie Goncourt a sélectionné cette oeuvre aux côtés de treize autres en lice pour ce prix prestigieux de la littérature française, a précisé cette institution sur son site internet.

A partir de cette sélection, deux autres plus réduites seront établies le 5 octobre puis le 4 novembre, avant l'annonce du lauréat le 8 novembre prochain.

Dans sa nouvelle fiction, Fouad Laroui raconte l'histoire de Mehdi, un petit marocain originaire d'un milieu modeste de l'Atlas, qui, à dix ans et grâce à une bourse d'étude obtenue en 1970, se trouve propulsé dans l'univers sophistiqué d'un lycée international (Lycée Lyautey de Casablanca), aux antipodes de celui de sa famille.

Avec un humour corrosif, le romancier marocain raconte le choc culturel que représente pour Mehdi la découverte du mode de vie des Français, "ces gens qui vivent dans le luxe, mangent des choses incomestibles, parlent sans pudeur et lui manifestent un intérêt qu'il ne comprend absolument pas", écrit -il.

Ingénieur et économiste de formation, Fouad Laroui est professeur de littérature à l'Université d'Amsterdam.

Romancier, poète et essayiste, Fouad Laroui (52 ans) a publié plusieurs oeuvres notamment "Les dents du topographe" (1996), "De quel amour blessé" (1998), "Méfiez-vous des parachutistes" (1999) et "Le jour où Malika ne s'est pas mariée" (2009).

Source : MAP

 

Les manifestants anti-mosquée à New York et ceux qui déchirent ou menacent de brûler des corans tombent dans le piège idéologique que leur tend Al-Qaïda, dont ils garantissent la survie, estiment des experts et un responsable musulman.En assimilant islam et terrorisme, ils apportent à Oussama ben Laden les arguments qui confortent sa propagande, sa vision du monde et d'un affrontement des civilisations, assurent-ils.

Une analyse qui fait écho aux propos du président Barack Obama, qui avait qualifié "d'aubaine pour Al-Qaïda" l'idée de brûler le Coran et a appelé ses compatriotes à la "tolérance" à l'occasion de l'anniversaire des attentats du 11 septembre, assurant que les Etats-Unis ne seront "jamais en guerre contre l'islam"."La montée de l'islamophobie en Occident est l'oxygène qui maintient en vie Al-Qaïda", explique à l'AFP Fawaz Gerges, professeur de relations internationales du Moyen-Orient à la London School of Economics. "Ce qui se passe aux Etats-Unis est pour eux une bénédiction".

"Tout ce concept de guerre au terrorisme a donné à Al-Qaïda les arguments théologiques et idéologiques qui lui ont permis de dire au monde musulman: l'Occident vous fait la guerre, et nous sommes l'avant-garde de l'Islam", poursuit l'expert."Leur stratégie est de provoquer un +clash+ de civilisations et nous sommes, à l'Ouest, entraînés contre notre volonté dans une confrontation qui en fait n'existe pas. C'est un piège", ajoute M. Gerges.

Selon lui, les récentes manifestations, notamment en Afghanistan et en Indonésie, parfois violentes, contre le projet d'un obscur pasteur américain de brûler des corans montrent à quel point il est facile de manipuler des foules.Pour Fawaz Gerges, comme pour le chercheur français Dominique Thomas, de l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Al-Qaïda n'utilise sa version radicale de l'islam que pour mieux camoufler un agenda et des objectifs politiques.

"Derrière cette rhétorique religieuse fondamentaliste, il y a un discours politique de type révolutionnaire, qui rappelle celui d'un mouvement tiers-mondiste révolutionnaire de libération et qui n'est absolument pas religieux", souligne Dominique Thomas."Ils disent: l'Occident occupe nos terres, cela fait 80 ans qu'ils ont découpé nos territoires avec les accords Sykes-Picot (partage du Proche-Orient après la première guerre mondiale, ndlr), c'est du colonialisme direct et indirect. Ils volent nos richesses, ils envahissent nos pays, ils tuent nos femmes et nos enfants. Et ça, c'est de la politique. L'islam n'a rien à voir avec tout çà", selon M. Thomas.

S'il truffe ses discours de références religieuses, Oussama ben Laden, quand il s'adresse par exemple directement au peuple américain, lui dit "Si vous bombardez nos villes, nous bombarderons les vôtres" ou "Demandez-vous pourquoi nous ne nous en prenons pas à la Suède," rappelle le chercheur.

En se contentant de souligner que les kamikazes du 11 septembre 2001 étaient musulmans, sans tenter de comprendre ce qu'il y a derrière leur geste, les manifestants anti-mosquée rassemblés ce week-end à Manhattan apportent de l'eau au moulin d'Al-Qaïda, assurent MM. Gerges et Thomas."Je vous parie que dans quelques jours ou quelques semaines nous allons avoir un enregistrement, sans doute (du numéro 2 d'Al-Qaïda) Ayman Al-Zawahiri, qui utilisera cette stupide histoire des corans", prédit M. Gerges.Ghayasuddin Siddiqui, président du "Muslim Parliament of Britain", dénonce quant à lui le fait que "ces jihadistes dévoient le langage islamique pour faire avancer leur cause politique et enrôler de nouvelles recrues. C'est très triste".

"L'islam n'a rien à voir avec leur agenda. L'islam est une religion simple, qui prêche l'intégrité, la piété, l'engagement, le respect des autres et de la loi", assure-t-il."Au final, ceux qui souffrent sont les simples musulmans. Directement, car ce sont eux les principales victimes de leurs attentats; et indirectement car ils pâtissent de la mauvaise réputation que ces terroristes font à l'islam", déplore le responsable musulman.

14/09/2010

Source : Lalibre.be/AFP

La Commission européenne a tapé du poing sur la table contre la France mardi au sujet des renvois controversés des Roms, menaçant Paris de poursuite en justice pour non respect de la législation de l'UE et qualifiant son attitude de "honteuse".

"Je suis personnellement convaincue que la Commission européenne n'aura pas d'autre choix que d'initier des procédures en infraction contre la France" sur ce dossier, a déclaré lors d'une conférence de presse la commissaire à la Justice et aux Droits des Citoyens, Viviane Reding.

"J'ai l'intention de proposer (cette initiative) au président de la Commission", a-t-elle précisé, indiquant qu'une décision devrait être prise "dans un délai de deux semaines".

La Commission européenne est chargée de veiller au respect des traités par les différents pays de l'UE. La procédure envisagée débutera par des injonctions de Bruxelles à Paris, pour que le France se conforme au droit européen, faute de quoi la Cour européenne de justice de Luxembourg sera saisie avec de possibles amendes à la clé.

Dans le détail, Mme Reding a annoncé son intention de demander l'ouverture d'une procédure d'infraction à la législation de l'Union européenne contre Paris pour transposition insuffisante d'une directive européenne sur la libre circulation de citoyens européens et "application discriminatoire" de ce texte.

"Ca suffit!", a clamé Viviane Reding. Elle a estimé que l'attitude du gouvernement français, qui a dissimulé l'existence d'une circulaire ciblant expressément les Roms pour les expulsions, "est une honte".

Le document administratif, datant du 5 août mais dont l'existence vient seulement d'être révélée, rappelle en préambule aux préfets français les "objectifs précis" fixés par le président Nicolas Sarkozy: "300 campements ou implantations illicites devront avoir été évacués d'ici trois mois, en priorité ceux des Roms".

Ce texte constitue une nouvelle source d'embarras pour Paris car il officialise le concept de minorités qui n'existe pas dans la loi française.

Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a annoncé dans la foulée avoir signé une nouvelle circulaire "pour lever tout malentendu sur une éventuelle stigmatisation" des Roms. Mais, à Bruxelles, le mal était déjà fait.

"Je ne peux que regretter profondément que des garanties politiques m'ayant été données par deux ministres français soient désormais ouvertement contredites par une circulaire administrative délivrée par le même gouvernement", a dénoncé Mme Reding.

"C'est une honte!", a-t-elle commenté.

Mme Reding a aussi ciblé dans ses critiques le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes Pierre Lellouche.

"J'ai un problème avec les déclarations faites hier (lundi) par le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, mettant en cause le rôle de la Commission en tant que gardienne des traités, un fondement de l'UE", a-t-elle dit.

Source : Romandie/AFP

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