lundi 27 janvier 2025 17:49

Le saviez-vous ? Le Maroc est la seconde destination des Français en matière d'immigration, hors Union européenne et Amérique du Nord. Le Maroc n'est plus qu'une simple destination touristique, mais une terre d'accueil pour travailleurs de l'hexagone.

L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a appelé, vendredi, à "un engagement plus large" de toute la région méditerranéenne et du reste de l'Europe pour prévenir les traversées périlleuses en Méditerranée, en reconnaissant que la migration est "un processus à gérer plutôt qu'un problème à régler".

Le Commissaire aux droits de l'Homme du Conseil de l'Europe, Nils Mui?nieks, a fait part de son inquiétude, dans une lettre adressée récemment à la ministre française de la Justice, Christiane Taubira, concernant la délocalisation des audiences pour migrants au Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot et, prochainement, à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle.

Deux cercueils provenant notamment du Qatar arrivent en moyenne chaque jour à l'aéroport de Katmandou: ainsi sont rapatriés les corps d'ouvriers népalais qui ont tenté leur chance dans cet Eldorado économique, en pleine préparation pour le Mondial-2022.

Plusieurs personnes ont été interpellées, samedi à Rome, suite à des heurts ayant opposé les forces de l'ordre à une centaine de participants à une manifestation qui a rassemblé des dizaines de milliers de contestataires des mesures d'austérité adoptées par le gouvernement.

A peine la crise budgétaire terminée, le président américain Barack Obama a appelé le Congrès à terminer la réforme du système d'immigration, entamée au printemps, mais ses adversaires républicains du Congrès ne partagent pas le même enthousiasme.

Chaque année, des milliers de migrants empruntent les routes migratoires de l'Afrique vers l'Europe, dans l'espoir d'y trouver une vie meilleure. Parmi eux, nombreux sont ceux qui débarquent à Ceuta, minuscule enclave espagnole au Maroc, à quelques kilomètres des côtes européennes. Ils ont atteint l'Europe, mais restent parfois des années « emprisonnés » dans la ville, sans savoir ce qui les attend. Entretien avec Jonathan Millet, co-réalisateur du documentaire « Ceuta, douce prison », qui sortira en janvier 2014 sur nos écrans.

Après les résultats de l'enquête administrative sur l'expulsion de Leonarda, François Hollande avait promis samedi de modifier la circulaire sur les expulsions d'étrangers en situation irrégulière. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a adressé dans la soirée aux préfets le document qui durcit l'interdiction faite aux forces de l'ordre d'intervenir "dans le cadre scolaire".

 

La banlieue sud de Moscou s'est enflammée lundi après le meurtre d'un Russe par un "non-slave". En cause, la pression migratoire doublée d'une attitude ambiguë vis-à-vis de l'ultranationalisme.

 

L'association Terre pour tous regroupe 850 familles dont les enfants disparus avaient pris la mer pour l'Europe. Elle demande aux autorités tunisiennes et italiennes de créer une commission d'enquête.

En visite à Bruxelles, la ministre italienne de l'Intégration, Cécile Kyenge Kashetu, est venue réclamer plus de cohérence face aux flux migratoires auxquels sont exposés les pays du sud. Au sommet européen de la semaine prochaine, l'Italie demandera notamment à revoir le rôle de Frontex.

Après les expulsions de Leonarda et d’un Arménien scolarisé à Paris samedi dernier, les lycéens se sont mobilisés ce jeudi dans la capitale...

Déjà la veille, à la sortie des cours, les SMS s’échangeaient. Avec un mot d’ordre: bloquer l’ouverture des lycées et se retrouver à 11h à Nation… Le message est, semble-t-il, bien passé (2.500 à 6.000 manifestants) entre les élèves, relayé par des professeurs du lycée Camille-Jenatzy (18e), où était scolarisé Khatchik Khachatryan, expulsé samedi vers l’Arménie.

La secrétaire d’Etat à l’immigration se targue de maîtriser les flux migratoires. Sur les 8 premiers mois de cette année, 8400 demandes d’asile ont été rejetées pour 2000 acceptées. Moins de 20%. Une proportion assez comparable à celle des deux années passées. Mais le nombre des demandes est, lui, en forte baisse. La Belgique se ferme-t-elle aux demandeurs d'asile?

La méthode particulière employée par le gouvernement britannique pour pousser les immigrés illégaux à se régulariser ou à rentrer chez eux récolte de nombreuses critiques parmi la population.

Le pire, en politique, est de donner l'impression de ne rien maîtriser. C'est ce qui arrive à la gauche, entraînée à quelques semaines de distance dans deux polémiques sur le sujet ultrasensible de l'immigration. Il y a d'abord eu l'affaire des Roms qui a débouché sur la joute Valls-Duflot : une opposition frontale entre deux ministres, l'un socialiste, l'autre écologiste, et qui a mis à mal l'autorité présidentielle parce que aucun des deux n'a en réalité fait machine arrière.

Ils seront, sans doute, aussi vite oubliés que leurs milliers de prédécesseurs, mais les morts de Lampedusa et de Malte auront forcé les responsables européens à sortir de leur silence : les chefs d'Etat et de gouvernement ne pourront éviter, à Bruxelles les 24 et 25 octobre, le dossier de l'immigration clandestine. Ils devront dire et, mieux encore, faire quelque chose pour que la Méditerranée cesse d'être ce "cimetière humain" décrit par le premier ministre maltais. Le communiqué final évoquera la nécessité d'aider davantage l'Italie et les autres, de renforcer la surveillance, d'aider les pays de transit à contrôler les départs d'embarcations, etc. Des propos sans doute éloignés d'une "politique migratoire intelligente" prônée par certains.

Les femmes ont toujours été présentes sur les chemins de la migration. Aujourd’hui, nombre d’entre elles s’embarquent dans cette aventure sans compagnon. Une fois arrivées en France, ces migrantes subissent de plein fouet les violences et discriminations sexistes, tout en bénéficiant par ailleurs d’une relative clémence de la part des autorités.

Surveiller l'afflux d'immigrants clandestins. C'est le projet de la Bulgarie qui envisage d'installer une clôture de 30 kilomètres sur une partie de sa frontière longue de 259 kilomètres avec la Turquie.

Les difficultés d’accès aux soins s’accentuent chez les plus démunis, parmi lesquels plus de 90 % de personnes d’origine d’étrangère, souligne Médecins du Monde dans son rapport 2012 publié mercredi, regrettant « des réponses publiques souvent plus sécuritaires que sociales ».

 

Le chef du Service fédéral russe des migrations (FMS) Konstantin Romodanovski estime qu'il faut expulser les étrangers qui ont été condamnés et qui ont purgé leur peine en Russie.

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