Le journal français de l'économie et des finances «Les Echos» écrit, dans son édition de mardi, que le port Tanger Med, né de la volonté de SM le Roi Mohammed VI de désenclaver le nord du Maroc, a déjà dépassé Marseille pour le nombre de conteneurs manutentionnés.

«Nous avons traité 1 million de conteneurs EVP (équivalent vingt pieds) l'an dernier et même si la crise ralentit notre croissance, nous anticipons une progression de 30 pc en 2009», explique au quotidien, le président du directoire de l'Agence spéciale Tanger Méditerranée (TMSA), Saïd Elhadi.

Pour le journal, Tanger Med, qui se veut une plate-forme mondiale d'éclatement des marchandises, au carrefour des routes entre l'Europe, l'Asie, les Amériques et l'Afrique, «est déjà desservi par 25 lignes régulières, et connecté à 70 ports de la planète».

Et de souligner que TMSA vient de confier à un groupement piloté par Bouygues, la construction de Tanger-Med 2, un complexe de deux nouveaux terminaux à conteneurs qui fera, à terme, passer la capacité totale à 8 millions de conteneurs.

«Incluant également d'autres activités portuaires (terminaux pour les navires rouliers, le trafic passagers et vrac, les hydrocarbures), mais aussi terrestres avec la création d'une zone logistique, industrielle et tertiaire, Tanger-Med, qui aura nécessité, entre 2003 et 2017, un investissement total de 3 milliards d'euros, dont la moitié payée par le privé, commence aussi à gagner d'autres paris que celui du conteneur», note la publication.

Elle relève, à cet égard, que la zone logistique, qui a ouvert en novembre dernier, accueille déjà le logisticien français Geodis et le fabricant japonais de machines-outils Makita et, que le groupe automobile français Renault, a maintenu la création d'une usine assemblant 200.000, puis 400.000 véhicules par an.

MAP


Le prix Abdellah Guennoun des Etudes islamiques a été attribué ex-aequo au chercheur marocain Ahmed Boubouch pour sa thèse "les relations internationales en Islam" et au professeur égyptien Abdeladim Ahmed Abdeladim pour son ouvrage "Les droits des non-musulmans en Islam".

Les méthodologies et l'analyse approfondie des sujets abordés par les deux chercheurs ont été appréciés par le comité scientifique de la 8ème édition du prix Abdellah Guennoun, dont les résultats ont été annoncés samedi au siège de la Fondation Abdellah Guennoun pour la Culture et la Recherche Scientifique.

Dans son ouvrage "Les droits des non-musulmans en Islam" (20 pages), Abdeladim Ahmed traite notamment des fondements de la cohabitation avec les non-musulmans, des droits des non-musulmans dans les pays islamiques, du dialogue entre les religions et du fikh des minorités non-musulmanes.

Le chercheur marocain Mohamed Boubouch s'est penché, quant à lui, sur les relations entre les pays islamiques et les pays voisins en se référant à des vérités historiques, la non-discrimination religieuse entre les individus et les normes régissant les relations en temps de guerre et en temps de paix.

Le comité scientifique a décidé également la remise du prix d'encouragement au chercheur Mohamed Harrak pour son ouvrage "l'identité culturelle du Maroc dans la pensée de Abdellah Guennoun".

Dans la catégorie des lettres, le prix est revenu à l'écrivain Abdellatif Chahboun pour son ouvrage "la poésie de Abdelkader Tastaoui" (961 pages) alors que le second prix a été remis ex-aequo à Abdelkrim Lakraâ pour sa thèse universitaire sur la pensée de Abdellah Guennoun, et à Abdeslam Tahiri et Fatima El Habib pour leur ouvrage "Le recueil Ben Abdellah El Messari".

Le prix Abdellah Guennoun, décerné pour la première fois en 1992, a été créé en 1990 à la demande des participants à une conférence consacrée à ce grand érudit.

L'organisation de ce prix est assurée actuellement par la Fondation Abdellah Guennoun pour la Culture et la Recherche Scientifique.

MAP

Le gouvernement portugais compte faire appel à des médecins d'Amérique latine pour combler la pénurie des cadres médicaux dont souffre le pays, a annoncé jeudi le secrétaire d'Etat à la Santé, Manuel Pizarro.

Ces médecins, dont le nombre définitif n'a pas encore été arrêté, doivent être affectés notamment dans les hôpitaux publics de l'Algarve et l'Alentejo (sud), où il y a un manque "flagrant" de professionnels de la santé, a ajouté M. Pizarro dans une déclaration à la presse en marge d'une visite à des unités hospitalières de la région de Faro.

"Il s'agit d'un processus délicat qui exige d'abord des discussions entre les gouvernements ainsi que l'évaluation des compétences des médecins concernés" qui doivent répondre aux normes établies par l'Union européennes pour pouvoir exercer au Portugal, a toutefois précisé le responsable portugais.

"Les résultats des négociations avec nos partenaires seront communiqués prochainement", a ajouté M. Pizarro, précisant que la plupart des médecins qui seront appelés à travailler au Portugal sont originaire de l'Uruguay, le premier pays d'Amérique Latine à avoir répondu à la demande de Lisbonne.

L'Espagne qui fournissait le plus gros contingent de médecins au Portugal n'est plus disponible à satisfaire nos demandes en raison de la pénurie dont elle soufre, elle aussi, dans ce domaine, a-t-il dit, soulignant que plus 1.600 postes sont vacants notamment en matière de médecine générale et de la famille.

Près de 4.300 médecins étrangers travaillaient en 2008 au Portugal provenant des pays de l'UE (60 pc) et d'Amérique du Sud notamment du Brésil, selon des chiffres publiés par la presse locale.

MAP
Plusieurs milliers de personnes se sont mobilisées samedi à Cologne pour tenter de bloquer une manifestation organisée par un groupe d'extrême droite opposé à la construction d'une nouvelle mosquée dans la ville.

Selon les forces de l'ordre, environ 3.000 policiers ont été déployés dans toute la ville afin d'éviter d'éventuels affrontements entre les deux groupes.

L'édifice, comportant deux minarets de 55m de haut, sera construit dans le quartier d'Ehrenfeld, où vivent de nombreux immigrés. Le chantier doit débuter avant la fin de l'année.

Les opposants au projet ont été appelés à se rassembler pendant trois jours par le mouvement nationaliste Pro-Koln. Le groupe dénonce une "islamisation" de la ville.

Vendredi, plusieurs centaines de manifestants, en majorité pacifistes, sont parvenus à empêcher que les dirigeants de Pro-Koln organisent une conférence de presse dans un bâtiment de la municipalité. Ils ont finalement trouvé refuge sur un bateau amarré sur le Rhin. Huit personnes ont été arrêtées pour avoir bombardé le navire de pierres et de "paint balls".

La chargée de mission du gouvernement pour l'immigration, Maria Bohmer, a condamné le rassemblement nationaliste. Elle a estimé qu'il "n'y avait pas de place en Allemagne pour les mouvements d'extrême droite qui veulent "discriminer les minorités".

On estime à 120.000 le nombre de musulmans vivant à Cologne, perçue comme l'une des villes les plus tolérantes d'Allemagne et où les minorités sont le mieux intégrées.

AP
Les transferts de fonds à destination des pays en développement devraient s'élever à 320 milliards de dollars en 2009, soit une baisse de 7,3 pc par rapport à 2008 qui avait enregistré 328 milliards de dollars, selon un rapport publié à Washington.

Cette diminution est bien inférieure à celle des investissements privés vers les pays en développement, souligne le document rendu public récemment par la Banque Mondiale (BM).

Les envois de fonds "résistent relativement bien", indique la même source, expliquant que bien que les flux de migrations aient baissé, le nombre de migrants vivant à l'étranger n'a pas été fortement touché par la crise.

D'après le rapport, un certain nombre de facteurs peuvent, toutefois, affecter négativement cette situation, en l'occurrence la profondeur et la durée de la crise actuelle, les variations imprévues des taux de change et le renforcement éventuel des contrôles migratoires dans les principaux pays d'immigration.

"Il est possible que l'augmentation du chômage déclenche le renforcement des restrictions à l'immigration dans les principaux pays de destination", indique Hans Timmer, directeur du Groupe Perspectives du développement de la Banque mondiale.

Selon lui, ces restrictions "affecteraient de manière négative les envois de fonds et pourraient, tout comme le protectionnisme commercial, ralentir le redressement économique mondial".

Les transferts de fonds entre de nombreux pays ont baissé par rapport au dernier trimestre 2008. Conformément à la récente révision à la baisse des prévisions de croissance économique mondiale de la Banque, le nouveau rapport (2009-2011) souligne l'impact de la crise financière actuelle sur les envois de fonds et décrit les tendances régionales et nationales spécifiques.

Les envois de fonds vers l'Amérique latine ont baissé en grande partie en raison du ralentissement du secteur du bâtiment aux USA. Les nouvelles prévisions mettent en évidence une chute de 6,9 pc des envois de fonds à destination de l'Amérique Latine et des Caraïbes.

L'Afrique sub-saharienne devrait elle aussi connaître une baisse des envois de fonds estimée à 8,3 pc.

Cependant, bien qu'en baisse, les envois de fonds vers l'Asie méridionale et l'Asie de l'Est devraient demeurer élevés en 2009.

L'Inde, la Chine et le Mexique restent les premiers destinataires des envois de fonds parmi les pays en développement.

Le Tadjikistan, la Moldavie, les îles Tonga, le Lesotho et la Guyane, pays aux économies plus réduites, sont les destinataires de fonds les plus importants en proportion au PIB. Ils représentent plus de 25 pc de ce dernier.

"Les envois de fonds sont une source essentielle de revenus pour de nombreux pays pauvres. Bien que ces derniers résistent à la crise, une baisse minime de 7 à 10 pc peut être source de difficultés pour les bénéficiaires et leurs gouvernements, en particulier ceux souffrant de déficits budgétaires", indique Dilip Ratha, économiste principal du groupe Perspectives du développement de la Banque mondiale.

Selon l'expert, la réduction des frais d'envois de fonds et le développement d'outils innovants permettant d'optimiser ces derniers pour favoriser l'inclusion financière et l'accès aux marchés de capitaux, doivent faire partie des réponses à la crise financière.

MAP
Une centaine de jeunes espagnols se rendront, du 20 août au 11 septembre prochains, au Maroc pour visiter des projets de développement dont certains sont soutenus par le gouvernement autonome de la région de Madrid et ce, dans le cadre de la 4ème édition du programme "Madrid rumbo al sur" (Madrid, destination sud).

Ces jeunes espagnols, représentant des lycées de la région de Madrid, auront l'occasion de voir de près des projets de développement réalisés à Marrakech, Tétouan, Berkane, Al Hoceima, Fès, Sidi Ifni et des communes du Moyen Atlas, indique-t-on auprès du département chargé de l'immigration et de la coopération du gouvernement de Madrid.

Ces projets concernent les domaines de l'éducation et de la promotion des droits des femmes, entre autres, ajoute la même source.

La participants à cette expédition, sélectionnés parmi près de 600 candidats à ce voyage, seront accompagnés par un groupe de professeurs spécialisés dans la coopération internationale, le développement, la géographie et l'histoire.

Avant d'entamer leur voyage, les jeunes élèves retenus bénéficieront d'une formation en matière de coopération et développement.

"Madrid rumbo al sur", dont l'édition précédente a été organisée au Mali et au Sénégal, est un programme de la Communauté autonome de Madrid qui a pour objectif de faire découvrir à des jeunes espagnoles de nouveaux horizons et de leur donner une idée sur les efforts de développement.

MAP
Le 5ème Festival méditerranéen d'Al Hoceima se tiendra, du 25 juillet au 02 août prochain, sous le signe  du "Développement, proximité et dialogue".

Tenue à l'initiative de l'Association Rif pour la solidarité et le Développement (ARID), ce festival prévoit un programme aussi riche que varié comprenant des soirées artistiques, des conférences, des activités sportives et des expositions, indique un communiqué des organisateurs.

Cette manifestation se veut "un espace de distraction et de fête au sens noble du terme, de diversité culturelle et d'échange entre les différentes civilisations de la Méditerranée", ajoute le communiqué.

"La Méditerranée, berceau des civilisations, est plus qu'une zone d'échanges de marchandises mais un espace de création et d'une réactivité culturelle", souligne-t-on de même source.

Parmi les têtes d'affiche de cette 5ème édition, on note le célèbre artiste libanais Marcel Khalifa, Cheb Khaled (Algérie), l'artiste amazigh Khalid Izri (Maroc/Belgique).

Des soirées artistiques sont également prévues dans les communes de Issaguen, Targuist, Beni Boufrah, Imzouren et Ait Bouayach.

Des conférences seront organisées sur des thèmes ayant trait à "l'histoire de l'immigration dans le rif vers l'étranger" et "l'immigration et le développement".

En marge de cette manifestation, une exposition de photographies intitulée "Présence et mémoire : Histoire des Marocains au Pays-Bas" ainsi que deux autres pour présenter des produits du terroir et de l'artisanat seront également montées.

Source : MAP

Le 8 août 2009 à Casablanca :

Séminaire sur le thème

« migrations marocaines : nouveaux enjeux, nouveaux défis »

A l'initiative d'Al Wasl

Et en partenariat avec

le journal Al Ittihad Al Ichtiraqui

Et les associations : Codenaf (Espagne), Afak (Pays Bas), Orim (Italie), Sawt Al Mouhajir (Belgique), Amitié Marocco Danoise (Danemark), 2 Rives de Picardie (France), 2 Rives d'Auvergne (France), ACM (France), ATMF 92 (France), Conseil Franco Marocain des scientiques et des ingénieurs (France), Les Chibanis (France),  Solidarité Agen (France), 2 rives Nord Pas de Calais (France), Horizons (France)

Inscription et informations : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


L'accord sur l'asile et l'immigration en Belgique, sur lequel le Comité ministériel restreint élargi présidé par le premier ministre Herman Von Rompuy est parvenu à s'entendre samedi soir, vient d'être dévoilé dimanche par le gouvernement belge.

Dans une "instruction" relative à l'application de l'autorisation de séjour pour raisons humanitaires, tel que prévu par la loi sur les étrangers, l'exécutif belge arrête les critères de régularisation qui donnaient matière à polémique depuis un an et demi, rapporte l'Agence Belga.

Ce texte, poursuit-on, détaille ces critères, en application de la loi relative à l'accès au territoire, et qui consistent particulièrement en "l'ancrage local durable" et "les procédures anormalement longues".

Cette notion "d'ancrage local durable" vise à prendre en compte la pleine intégration de personnes qui ont tissé des liens sociaux en Belgique, explique-t-on, ajoutant que les demandes de régularisation pourront être introduites pendant une période de trois mois à compter de la prochaine rentrée judiciaire en septembre prochain.

Cette régularisation permettra aux personnes justifiant de cinq ans de présence en Belgique et d'un séjour légal ou à ceux qui ont demandé à l'obtenir avant le 18 mars 2008 (date de l'accord de gouvernement), de "faire valoir que le centre de leurs intérêts affectifs, sociaux et économiques situe en Belgique".

Seront également pris en considération les liens sociaux tissés en Belgique, la connaissance d'une des langues nationale, l'emploi, souligne la même source précisant que c'est l'Office des étrangers qui examinera la recevabilité et le bien-fondé de la demande.

En cas de doute, c'est la commission consultative des étrangers qui rendra un avis au ministre qui devra motiver sa décision s'il ne suit pas cet avis.

En outre, les personnes présentes en Belgique depuis le 31 mars 2007 liées par un contrat de travail à durée indéterminée (CDI) ou un CDD d'un an, avec salaire minimum garanti, et qui prouvent leur intégration en Belgique avec les liens sociaux, la langue et l'emploi pourront également être régularisées, si elles prouvent par la suite l'obtention d'un permis de travail ou obtiennent l'avis favorable de la Région sur une prochaine délivrance d'un permis de travail.

Concernant la reconnaissance de la problématique des procédures d'asile anormalement longues, les concernés pourront être régularisés pour avoir été laissés dans une position d'attente durant des années.

Si la durée totale atteint cinq ans (quatre pour les familles avec enfants scolarisés), la régularisation supposera que la procédure soit toujours en cours ou qu'elle ait été clôturée après le 18 mars 2008.

Outre ces nouveaux critères, l'instruction accorde au ministre ou à son délégué la prérogative d'apprécier d'autres cas humanitaires urgents, souligne-t-on de même source.

MAP
Les travaux de la Première rencontre nationale des alimâtes, prédicatrices et mourchidates, placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, ont pris fin dimanche à Skhirat.

La cérémonie de clôture a été marquée par l'annonce du lancement d'un portail sur le Web dédié aux prédicatrices et mourchidates (www.alimates.ma) ainsi que par l'approbation d'un plan d'action pour l'appui de leurs activités.

Intervenant à cette occasion, le ministre des Habous et des Affaires Islamique, M. Ahmed Toufiq, a appelé les participantes à s'imprégner des valeurs d'engagement et de crédibilité, inspirées par la Sira du Prophète Sidna Mohammed, Prière et Salut sur Lui, et qui constituent le cadre de l'action des alimâtes, prédicatrices et mourchidates.

S'agissant du nouveau portail, le ministre a indiqué que la commission en charge de ce site comprend quatre alimâtes, trois mourchidates et trois prédicatrices.

De son côté, le secrétaire général du Conseil supérieur des oulémas, M. Mohamed Yessef a souligné que cette rencontre, ayant réuni plus de 600 participantes, constitue un "événement historique unique en son genre dans le Monde arabe et islamique", soulignant qu'il est temps pour que les alimâtes s'impliquent activement et assument leur rôle dans le cadre du Pacte des Oulémas "Mithaq Al Oulamae", annoncé par SM le Roi dans son discours prononcé à Tétouan le 27 septembre 2008.

Dans cette optique, M. Yessef a salué les initiatives Royales en faveur du développement spirituel qui tributaire d'une large mobilisation des prédicateurs et prédicatrices.

S'agissant de l'adoption d'un plan d'action pour l'appui des activités des alimâtes, prédicatrices et mourchidates, le Secrétaire général du Conseil supérieur des oulémas a assuré que ce plan va contribuer à la mobilisation et l'unification des efforts en matière d'encadrement religieux des femmes, considérant que ledit plan va aussi ouvrir de larges perspectives à l'action de la femme savante dans sa mission sociale et spirituelle.

Parmi les principaux apports de ce plan, a-t-il poursuivi, la contribution des conseils locaux des Oulémas à l'élaboration de programmes religieux qui seront diffusés sur la Radio nationale ainsi que sur les ondes de la Radio Coranique Mohammed VI.

Ce plan d'action a également prévu des rencontres mensuelles autour des communications faites lors de cette première rencontre ainsi que sur les objectifs de l'encadrement, son contexte et ses mécanismes.

La séance d'ouverture de cette rencontre a été marquée par le message adressé par le Souverain aux participants, dont lecture a été donnée par le ministre des Habous et des Affaires Islamiques, M. Ahmed Toufiq.

MAP

SG au JT de 2m: spécial programmation de la journée internationale des migrants

Les entretiens du symposium

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