dimanche 17 novembre 2024 12:26

Membre du Conseil Economique, Social et Environnemental. Né en 1953 à Casablanca, M. Mohamed Horani est lauréat de l’Institut National des Statistiques et Economie appliquées à Rabat (1974).
M. Horani a fondé en 1995 Hightech Payment Systems (HPS) qu’il dirige depuis en tant que Président Directeur Général. M. Horani a été Président de la Fédération des Technologies de l’Information, des Télécommunications et de l’Offshoring (APEBI) de janvier 2008 à mai 2009. M. Horani a également été Président de la CGEM de 2009 à 2012.

 

Chercheur au Centre de recherches et d’études pour le dialogue des civilisations et des religions comparées à Soussa (Tunisie).
Spécialiste de l’histoire sociale et culturelle contemporaine, il étudie notammentles mouvementsmigratoires etles séjours temporaires dans le Maghreb et toute la charge sociale et culturelle que ces mouvements véhiculent depuis le colonialisme français dans la région.Pour son doctorat en histoire contemporaine, il prépare une thèse intitulée « immigration et migrants entre la Tunisie et le Maroc à l’époque coloniale française 1912-1956 : effets-manifestations-acculturation ». HamdiYemen est également membre du laboratoire d’études et de recherches des jeunes chercheurs en histoire, affilié à la faculté des lettres et des sciences humaines de Sfax et écrivain journaliste dans plusieurs supports de presse écrite et électronique tunisienne.

 

Femme politique marocaine, actuellement présidente de l’internationale socialiste des femmes (ISF).
Ouafae Hajji est économiste et ancien cadre de banque. Elle est élue municipale de la ville de Rabat de 1992 à 2009 (trois mandats) et vice-présidente de la commune urbaine Agdal Ryad et de la communauté urbaine de Rabat de 1996 à 2003. Ouafae Hajji est militante et responsable politique au sein de l’Union socialiste des forces populaires. Elle est militante associative féministe, membre fondatrice et coordinatrice nationale de Jossour, Forum des femmes marocaines.

 

Doctorat de Paris-Sorbonne, professeur-chercheur au département d’études anglo-américaines et membre-fondateur du Groupe de recherche Science et Culture à l’Université Mohammed 1er, Oujda.
Il est membre-fondateur du Cercle de Sagesse pour Penseurs et Chercheurs, et du Centre Maghareb (Rabat). Il est Secrétaire général du CEOM (Conseil européen des oulémas marocains, Bruxelles). Parmi ses publications, « Lawrence d’Arabie ou l’Arabie de Lawrence » (L’Harmattan) ; « De la modernité et de la créativité arabo¬ musulmane » (Centre Culturel Arabe) et Abderrahmane et la mer (roman, Centre Culturel Arabe).

 

Professeur universitaire experte dans le domaine du développement.
Enseignante chercheure respectivement à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Ibn Tofail de Kénitra et à la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales de l’Université Mohamed V de Rabat-Souissi ; elle a développé une grande expérience en terme d’enseignement de formation et de recherche. Auteure de plusieurs articles et ouvrages dans le domaine des sciences sociales ; ses travaux de recherches ont porté sur des thématiques fort diversifiées. Native d’Oujda, Mme Haddouche a été témoin de l’histoire des zones frontalières et spécialement des migrations et les déplacements forcés des populations entre le Maroc et l’Algérie.

 

Professeure à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis et co-directrice du laboratoire EXPERICE (Paris 13 - Paris 8).
Elle est docteur en sociologie de l’EHESS. Vice-présidente de l’ICI, Institut des Cultures d’Islam, établissement culturel de la Ville de Paris à Barbès, elle est Fulbright Alumni, Fellow de programmes de recherches au Columbia University Research Center on Social Difference et a été Professeur Invitée à NYU (New York University). Elle travaille et contribue au débat public sur les questions croisées de genre et d’ethnicité au regard des expériences migrantes et minoritaires dans les contextes français et européens postcoloniaux et a écrit, co-écrit ou contribué à de nombreuses publications en français et en anglais. Parmi lesquelles : 2006, La république mise à nu par son immigration, dir. (Paris : Ed. La Fabrique) ; 2004, Les féministes et le garçon arabe, avec Éric Macé (La Tour d’Aigues: L’Aube) édition poche 2006 ; 2000, Des « beurettes» aux descendantes d’immigrants nord-africains (Paris : Grasset/Le Monde) édition poche 2003 : Des beurettes, Paris, (Hachette Pluriel), 2004 :
traduction en arabe, Le Caire.

 

Est muséologue muséographe formé à Paris et à Montréal où il entame sa carrière.
Depuis 2004 il est basé à Barcelone où en tant que Directeur du département international de LUNATUS SL il participe à la conception et à la réalisation de nombreux musées et centres d’interprétation en Europe, Asie et Monde Arabe. En 2010 il crée au Maroc avec des associés catalans la société K.NOUR dédiée à la conception des musées, centres d’interprétation et parcs thématiques. Depuis sa création K.NOUR s’est impliquée dans des projets pionniers, entre autres: l’Ecomusée Minier de Jerada, le Musée régional du Rif et le Parc de la Préhistoire de Sidi Abderrahmane à Casablanca.

 

Est chercheur à l’Institut français du Proche Orient (IFPO) de Beyrouth. Il préside aussi depuis 2005 le Centre d’information et d’étude sur les migrations internationales (CIEMI) de Paris.
Il est directeur de publication de la revue Migrations Société et membre du Comité de rédaction de L’Année du Maghreb. Parmi ses nombreux ouvrages, La Nouvelle Islamophobie, éditions La Découverte (2003) ; Marianne et Allah. Les politiques français face à la « question musulmane », éditions La Découverte (avec Aziz Zemouri, 2008) ; Le syndrome autoritaire. Politique en Tunisie de Bourguiba à Ben Ali, Presses de Sciences Po (avec Michel Camai, 2003) ; Renaissances arabes. Sept questions sur des révolutions en marche, éditions de l’Atelier (avec Michaël Béchir-Ayari, 2011) et Dictateurs en sursis. La revanche des peuples arabes, éditions de l’Atelier (avec Moncef Marzouki, 2009 et réédition en 2012).

 

Est une féministe Belgo-sénégalaise, juriste internationale et experte en droit du développement.
Panafricaniste et citoyenne du monde convaincue, elle travaille depuis une décennie sur les questions de justice, droits humains, genre et développement en Afrique, en Europe, en Asie, dans le Pacifique et le monde. Elle a occupé les fonctions de juriste et responsable des questions de genre et de droits des femmes au PNUD, à l’ONU FEMMES, la Commission de L’Union Africaine et le Tribunal pénal international pour le Rwanda. Diakhoumba Gassama est détentrice d’un Master en droit international des droits humains de l’Université du Western Cape au Cap en Afrique du Sud et d’une maitrise en droit international et européen de l’Université d’Aix-Marseille III en France.

 

Docteur d’Etat es-sciences, directeur de l’Ecole Doctorale des Télécommunications de l’Université de Dakar.
Professeur titulaire à l’école supérieure polytechnique de Dakar, président du Conseil National des Marocains au Sénégal (CNMS) et Directeur du Laboratoire de recherche en Imagerie Médicale et Bio Informatique. Il est membre du CCME.

 

Docteur en droit de l’université Mohamed V Agdal Rabat en droit international privé et droit de la famille.
Après avoir préparé un diplôme des études supérieures approfondies en management politique et social, Ouafa Essalhi a soutenu une thèse sur l’Application du Code marocain de la famille sur le sol européen, oublié en 2014 dans la collections du CCME.

Docteur en anthropologie de l’Université catholique de Louvain (UCL) en Belgique. Sa thèse doctorale porte sur les constructions identitaires d’artistes musulmans en contexte européen.
Diplômé en judaïsme, en philologie et en histoire orientale, cet agrégé d’arabe est aujourd’hui enseignant-chercheur à Sciences-Po Rabat (UIR) et chercheur-associé au Centre Jacques Berque. Il est membre du comité de direction du CISMOC (Centre interdisciplinaire d’études de l’islam dans le monde contemporain), du comité international du Master en Sociologie de l’islam européen de l’Université de Padoue (Italie), co-fondateur de la Yeshivah Madrasa, une maison d’étude portant sur l’étude des sources scripturaires juives et musulmanes, directeur du projet culturel Art&TIC et directeur-fondateur d’EmridNetwork (European Muslim Research on Islamic Development). Farid El Asri vient de co-éditer Islam belge au pluriel, Presses Universitaires de Louvain, 2012. Son ouvrage, Islam en musique, constructions identitaires d’artistes musulmans européens, paraîtra prochainement aux PUL.

 

Née en 1982 à Rabat, est artiste photographe, écrivain et productrice
Elle entame tôt son parcours s’études supérieurs en Amérique du nord puis en Europe, et développe à travers ses multiples voyages sa fibre artistique. Elle réalise pour le compte du Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies une série de reportages photographiques en Haïti, au Mozambique et en Mauritanie. Nezha Alaoui est par ailleurs vice-présidente de l’ONG « World memory film project » pour la prévention du génocide et de la xénophobie, soutenue par l’ONU et d’importantes stars hollywoodiennes. Elle est aussi directrice fondatrice de Mayshad Art, entreprise d’édition, de production artistique, audiovisuel et d’événementiel.

 

Président du Conseil National de Sécurité(CNS).
François Banga Eboumi était ambassadeur du Gabon en France, puis en Espagne avant de devenir conseiller personnel de feu Omar Bongo dans les années 90. François banga Eboumi a été ambassadeur du Gabon au Maroc de 2004 à 2012.

 

Est diplômé en droit, islamologie et docteur en sciences politiques. Il est directeur de recherche au CNRS et, depuis septembre 2010, directeur du Centre Jacques-Berque pour les sciences humaines et sociales à Rabat (Maroc).
Il est aussi professeur invité aux universités de Strasbourg et de Louvain, et enseignant à l’EHESS. Ses travaux se sont concentrés sur la sociologie et l’anthropologie du droit, particulièrement dans les pays du Proche-Orient arabe. Actuellement, ses recherches consistent en une approche des questions de vérité dans différents contextes arabophones, y compris les tribunaux et parlements, la psychiatrie, les médias et l’éducation religieuse. Il a dirigé de nombreux ouvrages collectifs, dont La Chari a aujourd’ hui (La Découverte, 2011) et Ethnographies of Islam (Edinburgh University Press, 2012). Parmi ses livres, on peut citer Le Jugement en action (Droz, 2006), Practi ces of Truth (Benjamins, 2011), Délibérer sous la coupole: L’ activité parlementaire dans les régimes autoritaires (Presses de l’IFPO, 2013).

 

Journaliste et producteur, Daniel Desesquelle est un passionné de la radio. Après un passage en tant que professeur d’économie au lycée français de Lisbonne, il intègre en 1983 radio France 3 à Amiens, qui venait alors de se créer.
Il se forme sur le tas, et intègre trois ans plus tard RFI. Spécialiste des questions de défense, Daniel Desesquelle enquête pendant dix ans sur le commerce des armes, anime des conférences sur le désarmement, et couvre plusieurs conflits en Afrique, dans le Golfe et en Yougoslavie. Il suivra aussi la dislocation du bloc soviétique, en partant en reportage en Allemagne, en Roumanie, en Tchécoslovaquie... Spécialiste de l’Europe, il se retrouve ainsi aux commandes de « Carrefour de l’Europe » en 2007, une émission hebdomadaire sur l’actualité de l’Europe sur Radio France internationale (RFI)

 

Sociologue, née en 1975 à Rabat, vit en Grande-Bretagne depuis 1999. Titulaire d’un master de la London School of Economics and Political Sciences et d’un doctorat de l’Université de Sussex consacré au capital social et à l’insertion des Marocains à Londres, elle a travaillé plusieurs années comme consultante et chercheuse dans le cadre de programmes européens sur l’intégration des minorités ethniques.
Coordinatrice de projet pour le Migrant and Refugee Communities Forum, elle a réalisé un projet d’histoire orale de la diaspora marocaine au Royaume Uni intitulé Moroccan Memories in Britain, exposé au Maroc durant l’automne 2009 (Tanger, Rabat, Essaouira). Myriam CHERTI est actuellement chercheur associée à l’Institute for Public Policy Research à Londres, et collabore également aux travaux du Sussex Centre for Migration Research et de l’Open Society Institute. Myriam CHERTI est
l’Auteur de Paradoxes of Social Capital: a Multi-Generational Study of Moroccans in London (Amsterdam University Press, 2008).

 

Est actuellement Professeur d’Histoire et d’Anthropologie Politique à l’Institut des Etudes Africaines, Université Mohammed V - Souissi Rabat, Maroc. En tant qu’enseignant, chercheur, Dr. Chegraoui avait servi au département d’histoire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines - Saïs de l’Université Sidi Mohammed Ben Abdallah, à Fès, «Maroc»., membre du bureau de l’Association marocaine pour la recherche historique 2007-2013, et membre du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique.
Il a mené des recherches sur l’histoire, l’Anthropologie politique de l’Afrique du nord, de l’Afrique sub-saharienne, l’islam politique. Actuellement, il est coordonateur d’un groupe de recherche sur l’Afrique : espaces géostatiques et civilisations. Travaux récemment publiés: Etat et Islam en Afrique de l’Ouest; Routes commerciales : Caravanes transsahariennes entre le Maghreb et le Soudan; les Ottomans dans l’historiographie traditionnelle marocaine; L’Odyssée d’El- Hadjj Umar au Moyen-Orient ou le rapport au pouvoir politique et idéologique ; Religion et ethnocentrisme au Maghreb ; Monarchie et islam politique au Maroc, de Mohammed Tozy (traduction à l’arabe en collaboration avec Mohammed Hatmi).Il a participé, en tant que visiting professor en Avril 2008 au programme : Contexte culturel «L’Islam: L’expérience marocaine», au Maricopa Community Colleges, Phoenix en Arizona USA. Consultant en affaires africaines pour des organismes nationaux et internationaux, médias marocains et étrangers.

 

Est né en 1990 en Italie, dans la région de Trévise. Il a grandi dans le nord de l’Italie ou il a commencé des études à l’institut technique professionnel.
Depuis l’age de 15 ans, Said Chaibi a commencé à travailler dans le domaine, notamment dans des associations
représentant les immigrés. Il a ensuite intégré le parti politique Gauche, écologie et liberté (Sinista Ecologia Liberta). Il défend les droits économiques entre les autochntones et les immigrants. Aujourd’ hui, Said Chaibi est le premier conseiller d’origine étrangère de la ville de Trévise.

 

Historien, a soutenu en 1991 une thèse de doctorat sur les relations dans le bassin méditerranéen au XIIIème siècle.
Président en 1993 de l’association de la mosquée de Strasbourg, on lui doit la construction de la Grande mosquée, premier lieu conçu dès l’origine pour le culte musulman dans cette ville. Expert de la Commission européenne (Programme « Une âme pour l’Europe », 1997-2003), il a présidé la commission formation du Conseil français du culte musulman (CFCM) et a été élu vice-président du conseil en 2005. En 2006, il rejoint l’Institut d’Etudes Islamiques de Bruxelles où il a fondé le Centre euro- islamique pour la culture et le dialogue, qu’il dirige (Charleroi, Belgique). Abdellah BOUSSOUF a été nommé Secrétaire général du Conseil de la
communauté marocaine à l’étranger en 2007.

 

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