picto infoCette revue de presse ne prétend pas à l'exhaustivité et ne reflète que des commentaires ou analyses parus dans la presse marocaine, internationale et autres publications, qui n'engagent en rien le CCME.

Mohammed BENZAKOUR, poète et écrivain.
Il écrit régulièrement pour un certain nombre de grands journaux aux Pays- Bas, publie des opinions sur les questions relatives au multiculturalisme et à la diversité religieuse. Il a publié son premier livre en 2004, sur un combattant belge d’origine libanaise «Abu Gehgeh : Est-il un guide ou un imposteur ?». En 2005, il publie son deuxième livre «La caverne de Ben Laden», où il a rassemblé ses articles et réflexions sur la ligne d’intersection entre les deux cultures. En 2008, son recueil de nouvelles a paru sous le titre «chirurgiens répugnants». En 2013, il publie son roman «Yemma», une biographie de sa mère, qui a été transférée dans une clinique de soins infirmiers après son AVC, qui lui a causé une paralysie totale. Le livre un témoignage d’une année entière dans la clinique et les difficultés rencontrées par le patient ou sa famille. Mohammed
BENZAKOUR A obtenu un certain nombre de prix littéraires.

 

Est une femme politique ivoirienne, elle l’actuelle Ministre de la communication au Côté d’Ivoire depuis le 22 Novembre 2012.
Affoussiata Bamba Lamine est avocate inscrite au Barreau de Paris et titulaire d’un doctorat en droit européen des affaires comparées à l’Université Nancy II. Elle a été, de 2002 à 2005, conseillère juridique du Ministre d’Etat, Ministre de la Communication avant d’assurer le poste de directeur de cabinet adjoint en Charge des affaires juridiques, administratives et institutionnelles du Secrétaire Général des Forces Nouvelles. En 2012, Affoussiata Bamba Lamine est élue à l’assemblée nationale de la Côte d’Ivoire et préside la Commission des affaires générales et Institutionnelles. Affoussiata Bamba Lamine est membre du Comité d’évaluation et d’accompagnement de l’accord politique d’Ouagadougou (CEA) et Chevalier de l’ordre National du mérite de Côte d’ Ivoire

 

Professeur d’Histoire Contemporaine à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Meknès (Université Moulay Ismail- Meknès).
Spécialiste des relations hispano-marocaines à l’époque contemporaine. Ses travaux de recherche portent essentiellement sur la présence espagnole dans le Rif. Auteur d’un ouvrage portant sur la société rifaine face au protectorat espagnol au Maroc (1912-1956). Il a également publié une vingtaine d’articles traitant différents aspects de l’histoire du Rif à l’époque coloniale.

 

Né à TIRGUIST en 1959, dans la région d’Al Hoceima. M. Mohammed AAUJJAR a obtenu une licence en droit de l’Université Mohammed Premier d’Oujda, puis il a suivi des formations dans le journalisme, et les médias aux États-Unis, en France et au Portugal.
Il a été ministre en charge des droits de l’Homme, et au 27 Septembre 2002, il a été élu lors des élections législatives, député de la circonscription Océan à Rabat. Il a occupé directeur du journal «al mithaq al watani ». Il est membre du Bureau exécutif du Rassemblement National des Indépendants, (RNI), et membre fondateur de l’Organisation marocaine des Droits de l’Homme, où, il était membre dès la composition du premier bureau. M. AUJJAR, est aussi membre fondateur du Cercle national du journalisme ; il a été élu, Adjoint au Secrétaire général du Syndicat de la presse marocaine. Il est Président du Centre « ACHOUROUK », pour la promotion de la démocratie, la liberté de la presse, et des Droits de l’Homme. Récemment, Monsieur M.AUJJAR, a été élu Président de l’Alliance Arabe des défenseurs de la liberté de la presse.
M.AUJJAR publie des articles, et des travaux de recherche dans plusieurs journaux, et magazines marocains et arabophones.

 

Journaliste, polémiste et écrivain français, né le 18 décembre 1962 à Paris. De (2008-2011), il a été chroniqueur sur Europe 1, dans les tranches d’information du matin, puis du soir, et sur i-Télé en (2010-2011).
Depuis janvier 2011, il est chroniqueur dans Avant-premières, tous les jeudis soirs sur France 2. Il est parmi les spécialistes de l’histoire du Front national, qui fut le thème de son deuxième livre. ASKOLOVITCH a écrit une biographie de Lionel Jospin, a interviewé Éric Besson pour son ouvrage contre Ségolène Royal, «Qui connaît Madame Royal ?», et a réalisé deux autres livres d’entretiens, le premier avec Rachida Dati, sur son parcours, le second avec l’actuel ministre de l’intérieur, Manuel Valls, sur la refondation de la gauche. Il est chroniqueur dans des émissions de radio et télévision comme «On refait le monde» sur RTL, «On refait le match» sur RTL et LCI, et, «Entre les lignes», sur LCP, la chaine Parlementaire.

 

Est un militant des Droits de l’Homme et secrétaire général de l’ODTI (Organisation Démocratique des Travailleurs Immigrés).
Il est né en République démocratique du Congo ; obligé de quitter sa terre natale en 2005, il obtient le statut de réfugié. En 2012, il met en place le syndicat des travailleurs immigrés qui est affilié à la centrale syndicale ODT. En 2013, Marcel AMIYETO obtient le prix Rif des droits de l’Homme. Il est également Citoyen d’honneur du Maroc par le parti de la gauche verte en signe de reconnaissance à sa lutte, son dévouement et sa contribution au respect et la dignité humaine, ainsi qu’à la promotion des valeurs de tolérance et de solidarité. En Mars 2013, il obtient le trophée du 2ème Forum migrant à Fqih Bensalah.

 

Est titulaire d’un doctorat en Histoire contemporaine portant sur les relations maroco-algériennes, soutenu en 2005 à l’Université Mohammed V, à Rabat.
Il a publié un livre en 2008 sous le titre : « Les Algériens au Maroc entre 1830-1962, contribution à l’histoire contemporaine du Maghreb », (Edition Abi Rakrak, Rabat). Il a participé à plusieurs colloques scientifiques, où il a donné plusieurs interviews pour les mass media marocaines et étrangères sur les relations maroco-africaines et maroco-algériennes. Mohammed AMATTAT a publié des études sur le Maghreb contemporain. Il est actuellement Professeur de l’Enseignement Supérieur, et assistant au Centre National de Formation des Inspecteurs de l’Enseignement (CFIE)
Rabat – Maroc.

 

est né à Tétouan en 1961. Il a obtenu son DEA à l’Université Mohammed V de Rabat, ce spécialiste de l’histoire de l’Afrique sub- saharienne.

Durant sa carrière aux Pays Bas, il a occupé plusieurs postes ; il était professeur de langue arabe, puis, a été embauché pour un poste de responsabilité dans la Fédération des Seniors musulmans. Kacem ACHHBOUN a été membre fondateur et Secrétaire Général jusqu’ à 2001 de l’Université islamique de Rotterdam. Actuellement, il est président de la Fondation «Hiwar» pour l’amitié maroco-néerlandaise, simultanément il entretient une activité régulière au sein d’autres d’organisations régionales et nationales.

 

Titulaire d’un Doctorat en géographie de développement des régions arides ( Rouen- France) et d’un Doctorat d’Etat en Sciences de l’Université Libre de Bruxelles.

Il a effectué plusieurs enquêtes de terrain dans plusieurs pays africains. Il a publié plusieurs ouvrages, articles et rapports sur la Présence Marocaine en Afrique de l ’Ouest, sur les dynamiques actuelles de l’Afrique et sur les relations du Maroc avec les autres pays africains principalement sur le plan humain et économique. Il a également réalisé plusieurs expertises pour le compte des organismes publics et privés. Depuis 2007, il occupe le poste de Directeur de l’Institut des Etudes Africaines (Université Mohammed V-Souissi, Rabat).

 

Membre du Conseil Economique, Social et Environnemental, M. Abbadi est né le 14 juillet 1960 à Settat.

Titulaire d’un doctorat d’État es études islamiques de l’Université Qaddi Ayyad de Marrakech en 2002, M. Ahmed Abaddi enseigne, depuis 1988, l’histoire comparée des religions et la pensée islamique au sein de cette université. Depuis 1995, il assure également des cours comme professeur de sociologie de l’Afrique du Nord dans le cadre d’un programme de coopération entre l’Université Qaddi Ayyad et l’Université De Paul de Chicago. M. Abaddi est l’auteur de deux ouvrages ainsi que d’un nombre d’articles et d’analyses publiés au Maroc comme à l’étranger. Ahmed Abbadi, qui est membre du Conseil de l’Université Qaddi Ayyad depuis 2002, a été nommé Directeur des Habous et des affaires islamiques en avril 2004, et depuis avril 2006, il est le Secrétaire Général de La Rabita Mohammadia des Oulémas.

Depuis sa création, le CCME a inscrit dans ses priorités la promotion et la diffusion des créations littéraires des créateurs marocains du monde ainsi que des travaux scientifiques de / sur l’immigration.
La traduction de ces œuvres vers l’arabe constitue également une priorité.
Cette volonté se traduit par une collection qui s’enrichit d’année en année, particulièrement à l’occasion du SIEL.

Une centaine de participant(e) s contribuent à enrichir le programme des thématiques proposées par le pavillon du CCME à la 20ème édition du SIEL 2014. Venues de plusieurs pays d’Afrique, d’Europe, du monde arabe, des Etats Unis et du Maroc, ces personnalités seront au rendez-vous avec le public quotidiennement dans les espaces au stand CCME qui sont dédiés aux axes suivants :

Classée parmi les 20 personnalités féminines les plus influentes dans le monde musulman.

Ismahane ELOUAFI est directrice générale du Centre international d’agriculture Biosaline (AIBC) depuis 2012. Avant de rejoindre l’AIBC, elle dirigeait la Division de la recherche et des partenariats de l’Agence Canadienne d’Inspection des aliments (ACIA). Ismahane est titulaire d’un doctorat en génétique (Université de Cordoue, Espagne), et elle a une passion pour la science, sa gestion et son intégration à la politique.

Prix de la ligue arabe de l’émigré.

Hassan Belarbi est titulaire d’un doctorat en génie chimique en 1999 de l’Université d’Almeria, où il exerce comme Professeur et directeur de la coopération au sein de la même université.

Prix Charles Stark Draper 2014 de la National Academy of Engineering (NAE) de Washington DC.

Il est né à Fès et a effectué ses études aux Lycées Moulay Rachid et Moulay Driss à Fès où il obtient le baccalauréat

en sciences mathématiques en 1971. Après une année à l’Université Mohamed V de Rabat, il rejoint la ville française de Rouen où il intègre les classes préparatoires aux grandes écoles, avant d’être admis en 1978 à l’Institut Polytechnique de Grenoble (INP), où il travaille depuis.

Cinquantenaire de la convention de la main d’œuvre Maroc-Belgique (1964-2014)

Le 17 Février 1964 la Belgique a signé, à la demande de nombreuses grandes entreprises industrielles, un accord avec le Royaume du Maroc pour faire venir en Belgique une main d’ouvre marocaine, et particulièrement rifaine. Encouragés par cette convention, le nombre des Marocains en Belgique passe de 400 au début des années soixante à 40.000 en 1974. Depuis, ce nombre n’a cessé d’augmenter. Aujourd’hui, environ 300 000Marocain(e) s ou d’origine marocaine vivent en Bélgique participant aussi à tous les secteurs de la société.

La commémoration des cinquante ans de la convention de 1964 ambitionne de rendre un modeste hommage à la communauté marocaine de Belgique, et de constituer une pause pour une réflexion sur l’histoire, l’état actuel et les perspectives de cette présence.

Cinquantenaire de la convention d’établissement entre le Maroc et le Sénégal (1964-2014)

En 1964, le Royaume du Maroc et la République du Sénégal ont signé une convention d’établissement. Cette convention confortait, entre autres, les rapports bien ancrés depuis plusieurs décennies, voire des siécles entre les deux pays. La communauté marocaine au Sénégal de même que le communauté sénégalaise au Maroc se développent actuellement et renforcent cette tradition d’échange.

La commémoration de la signature de la convention d’établissement entre le Maroc et le Sénégal est l’occasion de retracer l’histoire et les perspectives de l’immigration marocaine au Sénégal, mais aussi de la présence sénégalaise au Maroc.

Après avoir mis à l’honneur les littératures créoles de la diaspora lors de la 19e édition du salon international de l’édition et du livre, le stand du CCME va à la rencontre de la terre et de l’Homme africains. C’est dire combien ce continent, et plus particulièrement sa partie occidentale, est lié à la question de la migration et de la mobilité. Les préhistoriens savent que l’Homme est, à l’origine, africain d’identité. C’est de ce continent que, en conséquence, se répandra la toute première onde de mobilité, mettant en branle l’Histoire des mouvements migratoires qui se poursuit jusqu’à nos jours.

Le drame survenu jeudi dernier au large du préside occupé de Sebta continue de susciter des polémiques en Espagne, surtout après les déclarations officielles faisant état de l'usage par la Garde civile d'un matériel antiémeute contre les clandestins subsahariens.

Le drame survenu jeudi dernier au large du préside occupé de Sebta continue de susciter des polémiques en Espagne, surtout après les déclarations officielles faisant état de l'usage par la Garde civile d'un matériel antiémeute contre les clandestins subsahariens.

Le maire démocrate de New York Bill de Blasio a annoncé lundi que la métropole allait délivrer des papiers d'identité municipaux aux sans-papiers qui y résident.

Google+ Google+