samedi 6 juillet 2024 23:22

picto infoCette revue de presse ne prétend pas à l'exhaustivité et ne reflète que des commentaires ou analyses parus dans la presse marocaine, internationale et autres publications, qui n'engagent en rien le CCME.

Les premiers entretiens du réseau des étudiants et diplômés marocains de l'enseignement supérieur français "club France Maroc" auront lieu le 3 février à Casablanca, sous le thème "La contribution des diplômés marocains supérieur français au développement économique du Maroc".

Ces entretiens ont pour objectif de contribuer au débat sur la mobilisation des compétences marocaines de l'étranger en donnant la parole aux praticiens et protagonistes du sujet, indique un communiqué du réseau, soulignant qu'une déclaration finale présentant des propositions concrètes sera élaborée à l'issue de ces journées et diffusée auprès des acteurs et des autorités concernés.

Ils sont organisés par l'ambassade de France au Maroc avec la participation de la Chambre Française de Commerce et d'Industrie du Maroc, du Ministère chargé de la Communauté Marocaine Résidant à l'Etranger et du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger.

Le club France Maroc a été créé à l'initiative de l'ambassade de France au Maroc et de la Chambre Française de Commerce et d'Industrie du Maroc.

29/1/2011

Source : MAP

Le Maroc, par le biais de son ambassade au Royaume-Uni et du ministère chargé de la communauté établie à l'étranger, a tenu jeudi soir à Londres une conférence axée sur les opportunités d'investissement.

Réunissant nombre d'acteurs associatifs, cadres et membres éminents de la communauté marocaine en Grande-Bretagne, la rencontre, présidée par Chrifa Lalla Joumala, ambassadeur du Maroc au Royaume-Uni, a été l'occasion de s'informer sur les avantages qu'offre le Maroc en matière d'investissement et les procédures et mécanismes mis en place par le gouvernement pour apporter l'assistance nécessaire dans ce domaine.

Représentants de banques, de l'Agence de promotion des investissements et directeurs des Agences régionales de promotion et de développement des régions du Nord et de l'Oriental et de la Caisse Centrale de Garantie ont expliqué à l'assistance la teneur de l'offre visant à renforcer et à promouvoir des investissements productifs.

Aussi, M. Mohamed M'barki, directeur général de l'Agence de promotion et du développement de l'Oriental a-t-il présenté un exposé sur les opportunités d'investissement dans la région à la faveur des différents projets lancés dans le cadre de l'initiative royale pour le développement de cette zone.

Il a, à ce titre, mis en avant le dynamisme que connait la région de l'oriental grâce à la volonté Royale d'en faire un pôle de développement, avec la mobilisation des forces vives issues de la région.

Dans le même ordre d'idées, le responsable s'est attardé sur les structures de facilitation de l'investissement qu'offre la région à travers le Centre Régional d'Investissement d'Oujda (CRI-Oujda) et le Fonds d'Investissement Régional de l'Oriental, qui a pour objectif de soutenir les porteurs de projets d'investissement innovants, dans tous les secteurs.

Sur la même lancée, le directeur de l'Agence de promotion et de développement du nord, M. Fouad Brini, a exposé les attraits de sa région qui bénéficie d'une forte activité d'investissement.

Usant de chiffres pour attirer de potentiels investisseurs vers la région qui jouit d'un nombre de projets de taille (Tanger Med, la zone franche et l'usine Renault...), M. Brini a précisé que sur les dix dernières années, la moyenne des projets d'investissement dans la zone a été de 20 milliards de dhs par an.

Pour sa part, le directeur général de la Caisse centrale de garantie (CCG), M. Houcine Itaoui, a axé son intervention sur la portée et l'importance du Fonds MDM Invest, destiné à encourager les investisseurs parmi les MRE.

Il s'agit, a-t-il noté, d'un fonds conçu pour tous les MRE présentant un nouveau projet d'investissement ou un projet d'extension d'un montant égal ou supérieur à un million de dirhams promu directement par un MRE.

Le montage financier des projets, a-t-il rappelé, combine un apport personnel en devises de 25 pc du coût du projet, une aide de l'Etat de 10 pc du coût du projet et un financement bancaire pouvant atteindre 65 pc.

Les représentants des principales banques opérant en Grande-Bretagne (Banque populaire, Attijari wafabank et BMCE) ont veillé à leur tour à répondre à tous les questionnements de la présence avide de connaitre les multiples facilités offertes. Ils ont également Âœuvré à enlever les appréhensions des futurs investisseurs relatives notamment aux procédures administratives.

En marge de la conférence, le ministre chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur, a tenu une rencontre avec les présidents des associations des marocains résidant en Grande-Bretagne pour s'enquérir des différents problèmes qu'ils rencontrent et prêter ouille à leurs doléances. Le ministre tiendra une deuxième rencontre avec la communauté vendredi après-midi.

28/01/11

Source : MAP

Une association d'aide aux étrangers aux frontières s'est dit "inquiète" des mesures mises en œuvre par le gouvernement français pour tenter de restreindre les flux migratoires au détriment de l'accueil et de la protection des étrangers, en particulier des demandeurs d'asile.

Dans son rapport pour 2009, l'Association nationale d'assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé) constate que la multiplication des mesures prises, ces dernières années, pour limiter les arrivées aux frontières et l'accès au territoire, français et européen, a encore fait sentir ses effets en 2009.

Elle affirme, dans un communiqué diffusé jeudi, avoir "de nouveau" recueilli un nombre "important de témoignages concordants : les étrangers ne peuvent en général bénéficier d'une réelle assistance juridique", signalant que la seule présence d'associations en zones d'attente (ZAPI 3) "ne permet pas de garantir le plein exercice des droits des étrangers".

"C'est la raison pour laquelle l'Anafé n'a de cesse de revendiquer la mise en place d'une permanence d'avocats en zone d'attente", a-t-elle réclamé, soulignant que cette situation aboutit en outre à créer de "graves inégalités" parmi les étrangers maintenus en zone d'attente puisque pour des motifs de placement identiques, l'issue de leur procédure sera différente selon que la personne a pu se faire ou non assister d'un avocat choisi ou de l'Anafé, et selon la pratique de la police aux frontières.

Pour l'association, l'objectif du bilan d'observation 2009 est de "témoigner des dysfonctionnements observés au quotidien en zone d'attente de Roissy, de les dénoncer et d'interpeller les pouvoirs publics afin qu'ils modifient profondément leur politique en matière de migrations, notamment en matière de contrôles aux frontières".

La réaction de l'Anafé intervient alors que le Sénat examine actuellement un projet de loi sur l'immigration, déjà adopté en première lecture par le Parlement français.

La grande majorité des étrangers placés en zone d'attente en France le sont à l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle (85 % des placements en 2009). La durée moyenne de maintien à Roissy était de 2,75 jours. 11 058 personnes ont été placées dans cette zone dont 3091 demandeurs d'asile).

En 2009, le taux de refoulements pour la zone de Roissy a atteint 52 %. 141 personnes suivies par l'Anafé ont été refoulées, soit vers le pays de provenance, soit vers leur pays d'origine. Ces refoulements concernaient 104 demandeurs d'asile, refoulés dans 45,76 % des cas vers leur pays d'origine.

27 jan 2011

Source : APS

Londres- Le ministre délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur, a invité la diaspora marocaine basée en Grande-Bretagne à saisir les opportunités d'investissements offertes au Maroc.

M. Ameur, qui s'exprimait lors d'une conférence organisée jeudi soir à Londres sur ce thème, a mis en exergue le vaste programme de réformes mis en œuvre au Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, ainsi que les grands projets de développement lancés à travers le Royaume.

Il a relevé les grands changements qu'a connus la communauté marocaine à l'étranger, lesquels changements ont imposé, a-t-il dit, une nouvelle approche et une politique plus novatrices dans le traitement des questions liées à l'immigration.

Cette approche repose désormais sur la nécessité d'accompagner ces changements tout en veillant au renforcement des liens indéfectibles qui lient cette communauté, en particulier les générations montantes, à la mère-patrie.

La communauté marocaine résidant à l'étranger comprend actuellement une élite montante et présente dans tous les domaines, qui doit être associée au développement que connait le Maroc moderne, a poursuivi le ministre, soulignant que cette communauté a joué un rôle important dans l'élan de développement entrepris aujourd'hui par le Royaume.

Toutes les conditions sont réunies pour que les membres de la diaspora marocaine participent au développement du pays, a-t-il indiqué, soulignant que d'importantes opportunités sont désormais disponibles dans de nombreux domaines à la faveur des réformes et des projets d'envergure lancés au Maroc.

Il a cité la présence de plus en plus remarquée de nouvelles générations de la diaspora marocaine dans des domaines de développement et d'investissement aussi novateurs que ceux de l'offshoring et des nouvelles technologies de l'information.

Il s'agit d'initiatives qu'il faut développer et accompagner, a dit M. Ameur, qui n'a pas manqué de rendre un hommage appuyé à l'ambassadeur du Maroc en Grande-Bretagne, Chrifa Lalla Joumala, pour ses efforts inlassables en faveur du renforcement de l'image du Maroc en Grande-Bretagne et de la consolidation des relations de coopération avec ce pays.

Ont Participé à cette conférence, plusieurs ressortissants marocains établis au Royaume Uni et des représentants d'entreprises anglaises ayant une expertise reconnue dans les domaines liés à la thématique de la rencontre, et qui sont à la recherche de partenariats institutionnels ou d'affaires, d'un marché ou d'opportunités d'investissements au Maroc.

Les représentants des banques et des agences régionales de promotion et de développement des régions de l'Oriental et du nord du Royaume ainsi que les représentants de centres régionaux d'investissement et de l'Agence Marocaine de Développement de l'Investissement ont également pris part à la rencontre.

La conférence s'est assignée comme objectif de mettre en relief les opportunités d'investissement au Maroc, notamment dans les régions de l'oriental et du nord.

L'accent a été mis sur les mécanismes existants et les mesures mises en place par le gouvernement pour encourager les projets d'investissement présentés par les ressortissants marocains résidant à l'étranger.

Ainsi des exposés bien ciblés ont été présentés lors de cette conférence, qui s'inscrit naturellement dans le cadre de la politique de développement économique du Maroc, fondée entre autres sur la mobilisation des citoyens marocains du monde pour la promotion économique du pays, la sensibilisation des investisseurs sur les opportunités offertes par le Royaume et sur l'attractivité des projets de grande envergure lancés à travers le pays.

Source : MAP

Le Conseil Français du Culte Musulman a validé le calendrier électoral qui prévoie des élections les 5 et 19 juin 2011 pour le renouvellement de ses instances au niveau national et régional.

Lors de son Conseil d'Administration, réuni récemment à Grisy-Suisnes en région parisienn, les administrateurs ont, à cette occasion, salué le travail effectué par le CFCM pour l'élaboration de la première Charte Halal de cette instance représentative du culte musulman en France.

Le Conseil d'Administration a insisté sur la nécessité de tenir compte du respect des règles religieuses attendu par lacommunauté musulmane, indique un communiqué du CFCM, ajoutant toutefois que le CA a invité le Bureau Exécutif du CFCM "à finaliser la réflexion sur une disposition restée en suspens afin de recueillir le consensus le plus large sur le sujet".

Quant à la "Réforme du CFCM", le CA "a analysé avec un grand intérêt les modifications proposées pour améliorer lefonctionnement et la gouvernance du CFCM et des CRCMs", et "a invité le Bureau Exécutif à poursuivre ses travaux afin d’affiner les réponses à certaines questions soulevées avant de soumettre le projet à l'AssembléeGénérale Extraordinaire du CFCM pour validation".
Par ailleurs, le CA du CFCM tout en saluant la volonté et la contribution des pouvoirs publics dans la mise en œuvre, au niveau national etrégional, de la convention cadre signée par le CFCM et le ministère del’intérieur chargé des cultes sur le suivi des actes antimusulmans, a tenu à faire part de sa "grande inquiétude devant le climat d'islamophobie ambiantet ses nombreuses manifestations qui se sont multipliées ces derniers temps".

A cette occasion, "les administrateurs réitèrent la demande du CFCM de la mise en placed’une mission d’information parlementaire sur l’islamophobie et appellent toutes les forces vives de la nation à unir leurs efforts pour prévenir toute menace contre la cohésion nationale et le vivre ensemble", conclut le communiqué.

27 Janvier 2011

Source : Atlasinfo

Le ministre de l'intérieur français, Brice Hortefeux, a soutenu la construction d'une clôture à la frontière gréco-turque, principale porte d'entrée en Europe des immigrants sans papiers, lors d'une visite à Athènes, jeudi 27 janvier. "Les mesures qui sont engagées, dès lors qu'il ne s'agit pas de restaurer le mur de Berlin, vont dans le bon sens et nous les soutenons", a déclaré M. Hortefeux, également chargé de l'immigration, lors d'une conférence de presse avec le ministre de la protection des citoyens, Christos Papoutsis.

Le gouvernement grec a annoncé, au début de l'année, sa volonté de construire une clôture de 12,5 km dans le nord-est de la Turquie, à proximité du fleuve Evros. Selon l'agence européenne Frontex, 200 clandestins par jour tentent de passer la frontière à cet endroit.

L'initiative a suscité l'embarras de Bruxelles. "Les murs ou les grillages sont des mesures à court terme qui ne permettent pas de s'attaquer de manière structurelle à la question de l'immigration clandestine", avait déclaré un porte-parole de la commissaire chargé de la sécurité, Cecilia Malmström. L'Organisation des Nations unies a condamné l'initiative grecque. Depuis, la Bulgarie – qui souhaite entrer dans l'espace Schengen, qui permet la libre circulation de ses membres sur le territoire européen –, a annoncé qu'elle souhaitait à son tour construire une clôture à sa frontière avec la Turquie.

"LE DÉFI EST LE PASSAGE PAR VOIE TERRESTRE"

La Grèce avait alors dénoncé l'"hypocrisie" de certains Etats européens. Brice Hortefeux a été clair : pour lui, la lutte contre l'immigration clandestine "passe par l'action nationale de la Grèce, mais aussi par une très grande solidarité européenne avec le soutien de la France". "Les flux migratoires bougent en fonction des actions et des législations. Aujourd'hui le défi est le passage par voie terrrestre", a expliqué Brice Hortefeux, en rappelant que lors d'une précédente visite en 2008, alors qu'il était ministre de l'immigration, ils empruntaient plutôt "les façades maritimes". Les clandestins entraient alors en Grèce par les îles.

Le ministre des affaires européennes, Laurent Wauquiez, avait apporté son soutien, le 6 janvier, à la politique de lutte contre l'immigration du gouvernement grec, mais sans se prononcer sur "la solution technique" de la clôture.

La visite de M. Hortefeux – entouré d'une poignée de conseillers, dont l'ancien ministre Alain Carignon –, intervient alors que la Grèce et la Belgique viennent d'être condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme. La Cour de Strasbourg a condamné la Belgique pour avoir renvoyé un Afghan demandeur d'asile en Grèce, alors qu'elle savait qu'il serait soumis à des "traitements dégradants". Le règlement européen Dublin II prévoit que les demandes d'asiles doivent être examinées par le pays où la personne est entrée dans l'Union européenne. Mais la Grèce ne peut répondre aux demandes.

Plusieurs pays, de l'Allemagne à la Suisse, ont annoncé qu'ils suspendaient les mesures de renvois des demandeurs d'asiles, vers la Grèce, après la décision de la CEDH. Le ministre français a expliqué qu'il était encore en train d'analyser l'arrêt de la Cour du 21 janvier et qu'il donnerait sa réponse "dans les prochains jours".

27/1/2011, Alain Salles

Source : Le Monde/AFP

Mme Souad Talsi, membre du Conseil de la communauté marocaine à L'étranger (CCME), a été officiellement faite membre du prestigieux Ordre de l'Empire Britannique (MBE).

La distinction a été remise jeudi à Mme Souad Talsi par le Prince Charles de Galles, lors d'une cérémonie organisée au Palais de Buckingham, résidence officielle de la reine Elisabeth II d'Angleterre à Londres.

Cette distinction vient récompenser les services rendus par la militante en faveur de la communauté marocaine à Londres.

Le MBE est une reconnaissance des réalisations ou des services rendus à la communauté par les personnes choisies et dont l'action sert de modèle.

Mme Talsi a confié à la MAP qu'elle était honorée par cette distinction, tout en se disant "reconnaissante" au Maroc, son pays d'origine, "dans lequel j'avais appris les valeurs de solidarité et la noblesse de l'action sociale".

Elle a émis le souhait de voir les membres de la communauté marocaine, en particulier les jeunes, faire montre de davantage d'engagement et d'implication dans tous les aspects la vie dans le pays d'accueil tout en restant attachés à la mère-patrie.

Mme Talsi est fondatrice du Centre Al-Hassaniya pour la femme marocaine en Grande-Bretagne, une Association qui ?uvre depuis de longues années en faveur de l'intégration de la communauté marocaine, en particulier les femmes, au sein de la société britannique.

L'Association, basée au quartier londonien de Kesington and Chelsea qui abrite une importante communauté marocaine, a récemment été choisie par le Groupe de presse britannique, The Guardian, parmi les cinq meilleures Associations caritatives du Royaume-Uni pour l'année 2010.

Ce choix récompense les efforts consentis par le centre en faveur de personnes vulnérables, en particulier les femmes en difficulté.

Mis en place en 1985, le Centre Al-Hassaniya s'est distingué par sa contribution à l'intégration de la femme marocaine au sein de la société britannique et à la promotion des valeurs de solidarité parmi les membres de la communauté marocaine.

Tout en focalisant ses activités sur la situation de la femme, le Centre demeure ouvert également aux hommes et aux autres communautés arabe et musulmane dans la région de l'ouest de Londres.

Mme Talsi est également membre actif de plusieurs Associations et Groupes britanniques, dont le Groupe consultatif national des femmes musulmanes en Grande-Bretagne (NMWAG) et le Boris Johnsons' Migrant and Refugee Advisory Panel, une instance dont le rôle est de conseiller le maire du Grand Londres sur les questions de l'immigration.

27/1/2011

Source : MAP/Aufait

Le 29 janvier, lors, lors d’une rencontre littéraire,  la  dédicace du livre «   Maudites chèvres ! Itinéraire d'un immigré marocain » de Philippe Hubert et Youssef Loukili aura lieu à la Maison de la Presse. A 14 h, à la salle du Pessebre à Prades (France),Il y aura également un atelier d'échange sur l'immigration avec les familles de «   Mosaïque » …Suite

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