samedi 30 novembre 2024 17:27

Un "Club des investisseurs marocains au Sénégal" (CIMAS) a été créé mercredi soir à Dakar, avec pour objectif d'accompagner les hommes d'affaires marocains dans leur aventure d'investir dans ce pays de l'Afrique de l'ouest.

Le club réunit les représentants des entreprises marocaines qui se sont implantées durant ces dernières années au Sénégal et souhaitant partager leurs expériences avec la nouvelle génération d'investisseurs intéressés par le marché sénégalais et africain.

Les différentes visites effectuées par SM le Roi Mohammed VI au Sénégal et la volonté maintes fois réitérée par les autorités sénégalaises et marocaines de donner une forte impulsion à la coopération économique bilatérale ont permis de consolider les relations économiques entre les deux pays et de dynamiser leurs échanges commerciaux.

Les entreprises marocaines engagées dans cette initiative sont Attijariwafa Bank, devenue la première banque du Sénégal et l'une des plus grandes de l'espace de l'Union économique et monétaire ouest-africaine après avoir acquis plusieurs banques locales, BMCE Bank Capital, le laboratoire pharmaceutique Sothema et les "Câbleries du Maroc".

Pour l'ambassadeur du Maroc à Dakar, M. Taleb Barrada, ce club doit accompagner les investisseurs marocains dans leur aventure au Sénégal et au delà en Afrique, en leur offrant l'information, le conseil, le soutien et l'orientation, ajoutant que cette nouvelle structure doit également faciliter aux nouveaux opérateurs marocains débarquant à Dakar les démarches administratives auprès des autorités sénégalaises en charge de l'acte d'investir ainsi que les mises en relation appropriées avec leurs homologues sénégalais.

M. Barrada, qui intervenait lors de la cérémonie de constitution de ce club à la résidence du Maroc, a relevé que les relations économiques et commerciales entre le Maroc et le Sénégal ont connu une augmentation substantielle durant les dernières années à la faveur des multiples visites effectuées par le Souverain à Dakar et des nombreux accords signés par les deux pays pour booster les échanges commerciaux, culturels et humains.

Il a fait remarquer qu'en dépit des mesures prises par le Maroc pour encourager ses entreprises à conquérir d'autres marchés et développer les échanges avec l'étranger, particulièrement le Sénégal , un grand pays ami, ce genre d'initiatives manquait à l'édifice pour orienter et mieux informer les hommes d'affaires marocains intéressés par l'acte d'investir au Sénégal.

Pour permettre aux entrepreneurs marocains d'être mieux informés sur le climat des affaires au Sénégal et d'être en contact entre eux, le Club va mettre à profit les nouvelles technologies de l'information en mettant sur la toile un site web.

Outre la création de ce club, les représentants des entreprises marocaines implantées à Dakar ont décidé de mettre en place une cellule d'informations, logée au siège de la CBAO Attijariwafa Bank à Dakar, avec pour mission de collecter la documentation nécessaire sur l'économie et le climat des affaires au Sénégal et la mettre à la disposition des entreprises marocaines.

Ils ont également décidé d'organiser des rencontres régulières pour discuter des opportunités d'affaires et tenter, avec l'aide de l'ambassade du Maroc, de trouver des solutions aux obstacles qui pourraient freiner le développement de leurs investissements au Sénégal.

Source : MAP

Passionnante et passionnée est l'histoire des liens étroits ayant toujours lié le Maroc et l'Europe: en témoigne, la grande exposition "le Maroc et l'Europe: six siècles dans le regard de l'autre" qui se tiendra du 14 courant au 14 novembre à Bruxelles.

Une manifestation d'envergure qui se veut un exceptionnel déploiement de documents historiques et d'œuvres d'art récentes, savamment agencés, pour témoigner de ces relations séculaires tissées des siècles durant entre le Royaume et le Vieux continent.

Allant des premières traces laissées par les diplomates et autres voyageurs jusqu'à l'aboutissement à l'accord du Statut avancé entre le Maroc et l'Union européenne, cette exposition jettera la lumière sur les histoires singulières et croisées entre le Royaume et l'Europe, sur la diversité et le rapport avec l'Autre.

Elle mettra en relief, également, les grandes avancées réalisées par le Maroc ainsi que le rôle de passerelle que le Royaume a, de tout temps, joué entre les deux rives de la Méditerranée, a indiqué dans un entretien à la MAP, le commissaire de l'exposition et président du Centre de la culture judéo-marocaine (CCJM), M. Paul Dahan.

Pour ce psychanalyste de formation, "les objets exposés parlent et émeuvent d'eux-mêmes. Ils permettent de voir les similitudes et les différences et sont une manière de comprendre l'Autre".

D'où l'intérêt de présenter des dizaines de manuscrits originaux, de nombreux tableaux et photographies et des gravures qui retracent les relations et rapports établis entre les deux parties sur plusieurs siècles, a-t-il ajouté.

Débats, conférences, ateliers, projections de films, soirées musicales et activités sur l'art de vivre figurent également au menu de cette manifestation, montée par le CCJM en partenariat notamment avec le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Se déclinant en sept modules, l'exposition s'érigera en un espace de dialogue prônant la diversité et l'ouverture sur la différence car, selon M. Dahan : "chaque individu est singulier et a une histoire différente ".

" Plus on s'ouvre à la différence, mieux on la comprend, et partant on est plus riche et plus fort intérieurement", a-t-il expliqué.
Pour ce faire, plusieurs espaces de la capitale européenne seront investis se transformant volontairement en galeries d'art, centres de débats, scènes de spectacles et ateliers.

Outre un panel réunissant d'éminentes personnalités marocaines et européennes autour de thèmes traitant des relations bilatérales, cette manifestation offre aussi l'opportunité de découvrir le Maroc profond à travers son histoire, ses traditions, sa musique et même son art culinaire.

Des spectacles et autres présentations artistiques conçus pour la circonstance par des artistes marocains et européens sont programmés dans le cadre de cette grande exposition.

"Le Maroc et l'Europe: six siècles dans le regard de l'autre" mettra de même en évidence l'importance de l'imaginaire tant des Européens entrés en contact avec le Royaume que dans l'esprit des Marocains à l'égard du monde occidental, a-t- tenu à préciser.

Elle est à même d'éveiller les consciences à une identité marocaine qui, ouverte sur le monde, n'en préserve pas moins une spécificité qui s'exprime dans les productions des artistes marocains contemporains ainsi que dans un savoir-faire reconnu tant dans les domaines commerciaux que culturels.

En faisant le lien avec le passé, l'objectif de l'exposition est également de démonter "les clichés" véhiculés dans le présent afin d'encourager le respect mutuel et le dialogue d'une rive à l'autre de la Méditerranée.

En raison du caractère "très vaste" du thème choisi et des spécificités historiques, a-t-il fait remarquer, l'accent sera mis sur les relations unissant la France, l'Espagne, l'Angleterre et les Pays-Bas, d'une part, et le Maroc, d'autre part.

Et M. Dahan de souligner qu'une attention toute particulière est également portée aux relations entre la Belgique et le Maroc, tant en raison du lieu où cette exposition prend naissance que de l'importance de la communauté marocaine établie en Belgique.

Outre la richesse de la bibliothèque et de la collection "Dahan-Hirsch", le Centre a noué des partenariats avec les collectionneurs et institutions pour alimenter le contenu de cette exposition, a-t-il précisé.

Après Bruxelles, l'exposition passera par la Bibliothèque Nationale du Royaume du Maroc (24 novembre-31 décembre) avant de sillonner Anvers (Belgique), Séville (Espagne), Paris (France), Londres (Grande-Bretagne), Amsterdam (Pays-Bas) et New York (Etats Unis).

Source : MAP

L'afflux de migrants et demandeurs d'asile à la frontière terrestre gréco-turque a placé la région, dans le nord-est de la Grèce, en situation de "crise humanitaire", a mis en garde mercredi la représentation grecque du Haut-Commissariat aux Réfugiés de l'ONU.

"La police reconnait qu'elle ne peut plus faire face, les centres d'accueil sont totalement débordés", a affirmé mercredi à l'AFP Ketty Kehayioglou, porte-parole du HCR-Grèce, en visite d'information dans la région en compagnie d'une responsable de la direction régionale du HCR, Laura Boltrini.

Cette mission doit notamment rendre compte des conditions dans les centres de rétention, que la Grèce s'est engagée à améliorer après une avalanche de critiques internationales ces dernières années.

"Ce matin même, une opération a été menée pour sauver 42 migrants, dont 11 femmes et deux mineurs non accompagnés, qui avaient été abandonnés depuis hier soir par leurs passeurs sur un îlot, où ils avaient à peine assez de place, au milieu du fleuve Evros" qui marque la frontière, a indiqué Mme Kehayioglou.

"Un membre du groupe est disparu après avoir tenté de nager jusqu'à une barque", a-t-elle indiqué, précisant que les rescapés étaient de diverses nationalités, notamment Afghans, Erythréens et Iraniens. Au moins 21 migrants sont morts noyés dans l'Evros depuis mai dernier, selon un pointage de l'AFP.

Pour le seul premier week-end d'octobre, 1.400 migrants ont été interceptés dans la région après leur passage clandestin de Turquie, "l'équivalent de deux ou trois villages" locaux, s'était récemment ému le ministre grec compétent, Christos Papoutsis, qui a effectué une tournée sur place.

Selon les autorités, la zone subit les conséquences d'une réorientation des couloirs de passages, après le renforcement de la surveillance des îles grecques proches des côtes turques, en mer Egée, via des patrouilles de l'Agence européenne de surveillance des frontières Frontex.

Source : Le Monde/AFP

"Omerta dans la police", un brûlot signé Sihem Souid qui fait part de "violations de l'éthique" dans ce corps constitué en France, est sorti jeudi en librairie.

Dans une présentation de l'ouvrage, l'éditeur, Le Cherche Midi, évoque l'histoire d'une femme flic entrée dans la grande maison par vocation et idéalisme, qui déchante progressivement.

Elle a démissionné d'un emploi de cadre bien rémunéré dans le privé. Sortie major de sa promotion, elle croyait que la police nationale était au service du public et des citoyens, mais elle s'aperçoit au fur et à mesure que l'institution républicaine n'est plus la garante des valeurs qu'elle est censée défendre.

Le récit de Sihem Souid apporte, documents à l'appui, la preuve que la police, loin d'être une institution garante des valeurs républicaines, les bafoue souvent. Les coulisses d'un système souvent inhumain sont décrites dans cet ouvrage.

Des associations parmi lesquelles le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) et SOS-Racisme se sont réjouies de la sortie de l'ouvrage qui, selon elles, "révèlent certaines pratiques discriminatoires très choquantes au sein de l'ordre public".

L'auteure, anciennement affectée à la police de l'air et des frontières (PAF) de Paris-Orly, témoigne des dégâts causés par la "politique du chiffre" en matière de lutte contre les immigrés "irréguliers" ou supposés tels.

On apprend ainsi, ajoutent les deux associations dans un communiqué rendu public, qu'une supérieure hiérarchique avait oralement ordonné aux policiers de la PAF de froisser certains passeports afin de pouvoir les considérer comme "suspects" et de refuser du coup l'entrée sur le territoire. C'est ainsi que les fonctionnaires de police voient leur rôle réduit à l'inscription de bâtons dans une colonne intitulée "Chiffre".

Le Mrap et SOS-Racisme disent prendre acte de ces témoignages fondés sur une expérience vécue à l'intérieur même des forces de la PAF, signalant que ces témoignages "confirment malheureusement les sévères critiques exprimées de longue date à l'encontre de la déshumanisante +politique du chiffre+".

Ces deux associations annoncent avoir entamé ensemble une "réflexion approfondie sur les réponses à apporter à ces graves problèmes, notamment par la création d'une structure susceptible d'assurer un +droit de regard+ éthique et citoyen sur les pratiques des forces de l'ordre".

Source : Atlas info

Confrontés aux dures réalités de la crise économique mondiale, un nombre de plus en plus important d'expatriés marocains rentrent au pays. Le gouvernement intensifie ses efforts pour aider la communauté de l'étranger et lui permettre de conserver ses liens avec le pays d'origine.

Le nombre de Marocains résidant à l'étranger (MRE) à décider de rentrer au pays est en hausse de 8 pour cent d'une année sur l'autre. Le ministre responsable de cette communauté, Mohammed Ameur, a dévoilé ces chiffres mercredi 6 octobre lors d'une conférence organisée en soutien à la communauté des émigrés.

Ameur a indiqué que bien que le nombre d'expatriés retournant au pays soit en hausse, il y avait encore un nombre important de MRE ayant besoin d'une assistance.

Les chiffres officiels montrent que 150 000 Marocains sont au chômage en Espagne. Selon les chiffres du gouvernement marocain, entre juin et septembre de cette année, 54 000 expatriés sont rentrés au Maroc et ont choisi de ne pas retourner en Espagne.

Le ministère a mis en place un programme d'assistance dans plusieurs pays pour aider les Marocains de l'étranger. Ce projet s'efforce de mettre en vigueur un système de soutien juridique, social et économique pour un coût total de 10 millions de dirhams (890 000 euros). Cette initiative couvre les consultations et les frais d'avocat pour défendre les expatriés marocains connaissant des ennuis, ainsi qu'un système de gestion informatisé pour suivre les demandes. En juillet 2010, plus de 2 400 demandes d'assistance ont été traitées.

Outre les programmes d'assistance du gouvernement, l'organisation Opération Ramadan a distribué quelque 11 000 repas, rapatrié des corps dans les familles défavorisées, alloué 1 000 bourses à des élèves issus de familles d'immigrants pauvres, et payé les frais de scolarisation des enfants désavantagés vivant dans certains pays africains et arabes.

Le gouvernement a également lancé un programme de partenariat avec des associations d'expatriés pour un total de 7 millions de dirhams (623 000 euros). Ce partenariat vise à faciliter l'intégration des immigrants dans leurs pays d'accueil et à les aider lors de leur retour au pays. Il permet de financer cent projets sociaux et culturels et d'apporter un soutien à vingt programmes de développement.

Cet été, le Maroc s'est efforcé de créer des conditions favorables pour la communauté des immigrants en visite durant les vacances, de manière à renforcer leur sentiment d'appartenance nationale. Le ministère a ainsi organisé onze universités d'été dans dix villes pour aider 500 jeunes MRE, un camp d'été pour 1 200 enfants, un trek dans le Sahara pour des Marocains venus du monde entier, et le premier forum international de la jeunesse marocaine à Ifrane, qui a réuni 500 jeunes.

"Il ne s'agit pas de programmes saisonniers, mais d'un plan à long terme destiné à protéger les droits des MRE et à préserver leurs liens avec leur pays", a déclaré Mohammed Ameur.

Cette stratégie est destinée à nourrir l'identité marocaine. Selon un sondage effectué auprès des jeunes Marocains habitant en Europe, 70 pour cent affirment avoir des liens étroits avec le Maroc, 93 pour cent parlent l'arabe, et 91 pour cent jugent nécessaire de maintenir de fortes relations avec leurs familles au Maroc.

"Le Maroc semble développer en permanence des liens avec la communauté de l'étranger", a expliqué Abdelhakim Choumali, qui vit en Espagne, à Magharebia. "Ces liens doivent être consolidés durant la crise actuelle. J'espère retourner au Maroc et y lancer une petite affaire. Il est préférable de rentrer que de subir la crise de l'emploi que nous connaissons depuis des mois."

"En tant que mère-patrie, le Maroc est chargé d'aider ses ressortissants, où qu'ils soient", a expliqué Naima, la femme de Choumali.

"Nous estimons que le gouvernement se préoccupe de plus en plus de la vie des expatriés et des questions qui les concernent", a déclaré Mohamed Chouti, un MRE vivant à Marseille.

Source : Magharibia

Face à l'essor d'un marché évalué à 5 milliards d'euros, la communauté veut créer une charte fondée sur le respect de l'abattage rituel. Moins de 24 heures après sa mise en ligne sur Internet, mardi 12 octobre, une pétition intitulée "Halal en danger" demandant aux instances musulmanes de reprendre...Suite

Selon le ministre-président (CSU) de Bavière, le pays n'a pas besoin de davantage d'immigrés. Ministre-président de la Bavière et président de l'Union chrétienne-sociale (CSU), Horst Seehofer est un politique éminemment important et un allié de poids de la chancelière Angela Merkel…Suite

Aziza Alaoui est artiste-peinte résidente au Mexique. Elle a participé à l’exposition « Résonances » qui se poursuit jusqu’au 7 décembre au Musée Marrakech. Entretien.

Dans vos œuvres, vous jonglez entre installations picturales et peintures. N’avez vous pas une préférence  pour un style en particulier ?

Vous savez j’ai démarré ma carrière avec des portraits de l’être humain. J’étais très attirée également par la nature. C’est dans la nature où je me retrouvais le plus car pour moi elle est  parfaite. Pour ce qui est du style artistique que je préfère, je pense que je choisis une technique selon ce que je veux exprimer. Je n’aime pas me limiter à une technique en particulier. D’ailleurs, j’ai touché à tout. De la peinture jusqu’aux installations vidéos et au ready made, tout y passe. Cela ne me dérange absolument pas de jongler entre ces diverses techniques. J’aime me laisser surprendre.

Il y a des travaux que vous exposez qui rappellent des oeuvres de peintres impressionnistes. Ressentez-vous le besoin de ressembler à ces artistes d’une ancienne génération ?

La peinture impressionniste et expressionniste m’a toujours facsinée. J’ai eu l’occasion de les découvrir lors de mes multiples voyages en Europe avant que je m’installe définitivement au Mexique. Les peintres comme Monnet et Cézanne m’ont toujours plus et je me suis intéressée de près à leurs oeuvres. Mais comme je l’ai dit plus haut je n’aime pas rester cantonnée dans un seul et même style particulier.

Vous dites que vous avez appris avec des peintres. Que voulez-vous dire par cela ?

Je n’ai pas bénéficié de formation académique, puisque mon père  voulait que je fasse des études plus « sérieuses ». Sérieuses voulait dire pour lui des études qui pourraient me permettre par la suite de bien gagner ma vie. Ma mère est allemande et mon père est  marocain. Lorsque j’ai décroché mon bac à l’âge  de 18 ans, je me suis rendue en Allemagne et c’est là que j’ai découvert bien avant de faire carrière en arts plastiques l’école impressionniste de Bruke. Je me suis confrontée à l’univers d’art contemporain d’abord à travers les livres, les musées. Par la suite lorsque je me suis mariée à un mexicain et que nous sommes allés nous installer dans son pays, plusieurs artistes m’ont ouvert la porte de leurs ateliers. C’est avec les artistes que j’ai été formée.

Lorsque vous avez sollicité les artistes pour apprendre à leurs côtés, quelle a été leur réaction ?

Je considère que j’ai beaucoup de chance. Et je suis très heureuse d’avoir pu réussir à apprendre de grands maitres de l’art contemporain au Mexique. La plupart des artistes n’ont eu aucun mal à m’acceuilir à bras ouverts.

14/10/2010

Source : Le Soir

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