mercredi 3 juillet 2024 10:21

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat, M. Chakib BOUALLOU, professeur à l’École nationale supérieure des mines de Paris, a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Quelles sont les actions concrètes à attendre de la COP22 ? Comment peut-on fédérer les acteurs africains autour d’un projet commun ? Comment peut-on sensibiliser les pays d’accueil à considérer la dimension humaine de l’immigration ? Comment peut-on mobiliser la diaspora en faveur de la coopération sud-sud ?

Les explications dans cet entretien :

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat, Mme Charafat Afailal, Ministre déléguée auprès du ministre de l'énergie, des mines, de l'eau et de l'environnement, chargée de l'eau, a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Quelles actions concrètes devrait-on attendre de la COP22? Comment peut-on fédérer les pays africains pour relever les défis du changement climatique? Comment soutenir la contribution des compétences marocaines du monde au développement de l'Afrique?

Les explications dans cet entretien : 

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat, M. Saramady TOURÉ, Ambassadeur de la Guinée au Canada et ancien ministre de l'environnement, a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

 Quelles sont les actions concrètes à attendre de la COP22 ? Comment peut-on fédérer les acteurs africains autour d’un projet commun ? Comment peut-on sensibiliser les pays d’accueil à considérer la dimension humaine de l’immigration ? Comment peut-on mobiliser la diaspora en faveur de la coopération sud-sud ?

Les explications dans cet entretien :

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat, M. Cheikh Bécaye GAYE, Directeur général de la Recherche au Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche du Sénégal, représentant de son Ministre à cette rencontre, a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Quelles sont les actions concrètes à attendre de la COP22 ? Comment peut-on fédérer les acteurs africains autour d’un projet commun ? Comment peut-on sensibiliser les pays d’accueil à considérer la dimension humaine de l’immigration ? Comment peut-on mobiliser la diaspora en faveur de la coopération sud-sud ?

Les explications dans cet entretien :

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat, M. Christian PARADIS, ancien ministre du développement international et de la francophonie du Canada et président et co-fondateur du Global Development Solutions (GDS), a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Comment peut-on fédérer les acteurs africains autour d’un projet commun ? Comment peut-on sensibiliser les pays d’accueil à considérer la dimension humaine de l’immigration ?

Les explications dans cet entretien :

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat, M. Patrick RAJOELINA, conseiller diplomatique du Président de la République de Madagascar et corédacteur de la Constitution de la Quatrième République malgache, a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Quelles sont les actions concrètes à attendre de la COP22 ? Comment peut-on fédérer les acteurs africains autour d’un projet commun ? Comment peut-on sensibiliser les pays d’accueil à considérer la dimension humaine de l’immigration ? Comment peut-on mobiliser la diaspora en faveur de la coopération sud-sud ?

Les explications dans cet entretien :

Dans le cadre de sa participation au symposium international sur le climat,  Mme Mme Amina Benkhadra, Directrice générale de l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), a accordé cette entrevue au site web du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).
Quelles actions concrètes devrait-on attendre de la COP22? Comment peut-on fédérer les pays africains pour relever les défis du changement climatique? Comment mobiliser la diaspora africaine en faveur des causes du continent?
Explications dans cet entretien :

Depuis fort longtemps on assiste à l’absence de grands leaders africains tel que le regretté souverain feu Mohamed V, Jamal Abdel Nasser et Nelson Mandela.  Voici que l’Afrique accueille aujourd’hui Sa Majesté Mohammed VI, comme un nouveau leader qui porte les espoirs des peuples et leurs rêves d’un futur meilleur. Il avance pour défendre leurs intérêts, dans une ère où l’Afrique est sur le point de se résigner à son sort empreint de soumissions, des répercussions des guerres civiles, des changements climatiques, des exodes massifs et les départs du continent noir vers le Nord loin de la soif, la faim, les violences et le terrorisme.    

Un leader qui a eu la confiance des peuples de l’Afrique avant ses gouvernants, préoccupé par le souci du développement du continent africain et qui s’enquiert, lors de ses visites, de ses villes, ses villages et ses jungles. C’est pour cela que le discours du 41e anniversaire de la marche verte, prononcé depuis Dakar, capitale du Sénégal, consacre dans sa première partie un précédent historique pour les Rois du Maroc ; et témoigne, dans sa deuxième, de l’amitié et de la fraternité pour le Sénégal. Le discours depuis Dakar ne devrait pas susciter l’exclamation, au contraire, si l’on considère la position historique du Sénégal vis-à-vis du Maroc et le soutien indéfectible dans ses causes justes, notamment la question de la souveraineté du Royaume. Quand le Maroc avait quitté l’Union Africaine en 1984, l’ancien Président Abdou Diouf avait même déclaré qu’ « il n’est pas possible d’imaginer l’organisation sans le Maroc … ».

Si le discours de la marche verte de 2015 avait été prononcé depuis Laayoune, capitale des provinces du sud, qui incarne les fondements de la stabilité, l’attachement de leurs enfants à leur marocanité et à leur système politique, et se distingue par son potentiel à devenir un axe de coopération économique reliant le Maroc à ses racines africaines ; le discours de la marche verte  de 2016 a, pour sa part, été prononcé depuis un pays frère, lié historiquement et spirituellement au Royaume et considéré parmi les Etats démocratiques de l’Afrique. Un pays qui respecte les institutions constitutionnelles et les urnes, qui jouit également d’une stabilité politique et sociale remarquable dans la région ; et non pas pays de coups d’état. Le Président Macky Sall considère le discours depuis Dakar comme un évènement historique, car Sa Majesté le Roi a voulu s’adresser à l’Afrique et aux Africains.

Dans le discours du 6 novembre 2016, Sa Majesté le Roi a utilisé un langage direct, dont les objectifs, à la dimension africaine, peuvent être facilement assimilés. Ceci justifie la référence faite à la carte africaine, qui porte plusieurs messages directs : le Maroc est un composant africain, le futur du Maroc est dans l’Afrique et le futur de l’Afrique dans le Maroc.

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