samedi 6 juillet 2024 16:23

La décision du journal belge néerlandophone "De Morgen" de ne plus utiliser le mot "allochtone" pour désigner les personnes d'origine étrangère, terme qu'il juge "stigmatisant" et "excluant", a suscité un vif débat en Belgique, notamment au sein des médias qui se demandent si ce mot était nécessairement teinté d'esprit négatif, et s'accordant à dire que ce n'est pas un changement sémantique qui apportera les solutions aux problèmes du racisme et des discriminations.

Jeudi dernier, le quotidien flamand à grand tirage De Morgen (centre gauche) annonçait à la une sa décision de ne plus employer sur ses colonnes le terme "allochtone" (allochtoon), un terme qui "stigmatise sans nuance tout un groupe de personnes", selon son rédacteur en chef Wouter Verschelden.

"C'est dans les faits un mot codé pour remplacer d'autres qualificatifs: musulman, peu éduqué, pauvre, arabe, nord-africain ou non-européen", indique-t-il.

"Alors qu'il désigne en principe ceux qui ne sont +pas d'ici+, nous ne l'utilisons jamais pour un Français, un Néerlandais ou un Allemand", ajoute-t-il.

Pour Wouter Verschelden, ce mot est certes "pratique", mais ce terme est "stigmatisant" et "excluant", et selon lui, son côté pratique ne peut excuser de labelliser ainsi de façon simpliste un groupe de personnes.

La démarche du Morgen a été favorablement accueillie par le chef du gouvernement belge Elio Di Rupo, d'origine italienne, qui a salué une "belle et courageuse initiative". "Personne n'écrit jamais que je suis un Premier ministre allochtone", ajoute M. Di Rupo.

La ministre de l'Intérieur et l'égalité des chances, Joëlle Milquet, a quant à elle, invité l'ensemble des médias belges à suivre l'exemple du Morgen et à supprimer le terme "allochtone" de leur vocabulaire.

Un appel qui ne trouvera pas écho auprès des médias belges, qui estiment que le mot en lui-même "n'est pas choquant" ni "blessant", mais plutôt la façon dont il est utilisé.

"De par sa définition, allochtone est un terme correct", estime Jean-François Dumont, secrétaire général adjoint de l'Association des journalistes professionnels (AJP), qui dit "ne pas être choqué" par ce mot.

Mais, poursuit-il, il faut faire attention à la façon dont on utilise les mots. Il est essentiel que les journalistes s'interrogent sur le sens des mots qu'ils emploient. Dans la presse, beaucoup de mots sont connotés positivement ou négativement", a-t-il ajouté.

Un point de vue que partage le directeur-rédacteur en chef du quotidien "le Soir" Didier Hamann, qui estime que "tous les médias ont un rôle déterminant dans l'élaboration des stéréotypes et qu'ils doivent encourager à susciter une autre perception des minorités ethniques" en Belgique.

"La sémantique participe évidemment à cette construction d'image mais croire qu'elle peut résoudre les exclusions relève du rêve", souligne-t-il.

Pour lui, on peut toujours supprimer le mot allochtones, si l'on veut, mais un autre prendra sa place. "Il ne faut pas changer le lexique, il faut adapter certaines mentalités", poursuit le journaliste.

Et de conclure que le "vivre ensemble" passe par "la reconnaissance des différences" et appeler les choses par leur nom ne nuit pas à la résolution des problèmes. "Ce n'est pas en changeant les mots, en pratiquant la distorsion de la réalité que les journaux résoudront la question de la coexistence de communautés de cultures différentes". La solution, selon lui, "réside dans le traitement éditorial plus que le vocabulaire".

Pour l'éditorialiste de "la Libre Belgique", "le mot Allochtone, qui signifie d'origine étrangère, n'est pas blessant. Et s'il est utilisé, c'est souvent pour éviter d'autres mots qui, eux, peuvent jeter le discrédit sur une race, une religion, une région", estime-t-il.

"Il ne faut pas nier la stigmatisation dont souffrent certaines personnes nées ici, Belges et fiers de l'être, simplement parce qu'elles portent sur leur visage les signes de leur lointaine origine. Penser qu'en supprimant le vocable "allochtone", on va régler le racisme, l'exclusion, la ghettoïsation, c'est très naïf. Il faut renforcer les efforts individuels, collectifs pour intégrer ceux qui souhaitent l'être, pour modifier l'image que l'on a les uns des autres. Il y a un mot pour cela : le respect", écrit l'éditorialiste.

Le rédacteur en chef de "la Dernière heure" a, quant à lui, affirmé qu'il continuera à employer ce mot.

"Nous ne trouvons pas qu'il est choquant. Ce n'est pas en biffant un terme qu'on va résoudre le problème de l'intégration des minorités ethniques dans une société aujourd'hui mondialisée", indique-t-il.

Même son de cloche du côté de la RTBF, (Radio et télévision belge francophone), dont le directeur de l'information Jean-Pierre Jacquemin, ne compte pas interdire l'utilisation du terme "allochtone", et qui insiste sur l'emploi du "mot juste" qui permet au public de comprendre l'information.

"A la RTBF, il n'y aura pas de bannissement. Nous ne sommes pas pour l'interdiction mais pour l'usage de mots et de concepts qui doivent être compris par le plus grand nombre, par tous nos publics", dit-il.

Les médias relèvent par ailleurs que l'annonce du Morgen intervient dans un contexte marqué par des manifestations qui ont eu lieu récemment à Anvers en réaction à la diffusion sur internet d'une vidéo portant atteinte à l'islam. Elle intervient également à trois semaines du scrutin communal du 14 octobre, et en plein campagne électorale où le thème de l'immigration est fortement présent.

26 Sept. 2012, Mahjouba Agouzal

Source : MAP

Bank Al-Maghrib, la banque centrale du Maroc, a indiqué mardi qu'elle maintenait sa prévision d'un taux de croissance inférieur à 3% en 2012, ajoutant qu'elle comptait sur un rebond en 2013, avec une hausse de 4 à 5% du Produit intérieur brut (PIB).

"La prévision de croissance pour l'année 2012 est maintenue à moins de 3%", souligne dans un communiqué Bank Al-Maghrib, au terme de la réunion trimestrielle de son conseil à Rabat.

Au titre de son argumentaire, elle évoque notamment "les risques liés à l'activité des principaux partenaires".

La Banque centrale du royaume note également que "les comptes extérieurs continuent d'être impactés par l'évolution de la conjoncture mondiale", avec un creusement du déficit commercial de 6,1% en glissement annuel.

Les transferts des Marocains résidant à l'étranger sont également en baisse, de 1,8%, selon la même source.

En revanche, l'institution avance que la croissance en 2013 devrait "se situer entre 4% et 5%, sur la base d'une production céréalière moyenne et des perspectives internationales qui demeurent mitigées".

Le Maroc a connu au cours des dernières années un taux de croissance équivalent. En 2011, il a ainsi atteint 5%. Mais le pays subit un ralentissement de son activité cette année, dans le contexte de la crise économique et financière en Europe.

Alors que le gouvernement planche sur le budget 2013, les spéculations vont bon train sur l'ampleur du déficit public, qui a dépassé les 6% l'an dernier. Le ministre de l'Economie et des Finances, Nizar Baraka, a récemment réaffirmé la volonté gouvernementale de le ramener à 5% en 2012.

25 sept 2012

Source : AFP

Quelque 8.884 migrants illégaux ont débarqué depuis le début de l'année sur les côtes italiennes contre 62.692 durant l'année 2011, a annoncé mardi la ministre italienne de l'Intérieur, Annamaria Cancellieri.
"Même si l'on est loin des chiffres qui ont marqué les difficiles phases d'urgence, la tragédie du 6 septembre confirme que l'on se trouve face à un phénomène qui ne peut ne pas interpeler nos consciences et nous pousser à adopter une ligne d'action qui tienne compte de l'exigence de rigueur mais aussi de celle humanitaire", a affirmé la ministre.
Le 6 septembre dernier, une embarcation de fortune transportant 110 émigrés tunisiens clandestins avait fait naufrage au large de l'île italienne de Lampedusa (sud). Seuls 56 naufragés ont pu être sauvés.
Cancellieri, qui intervenait devant le "Comité Schengen", une structure parlementaire chargée de la surveillance de l'application de la convention du même nom, a indiqué à cet égard que sous l'impulsion du gouvernement italien, un débat est engagé actuellement au niveau européen sur les initiatives à entreprendre pour faire face aux flux des migrants irréguliers en provenance d'Afrique du nord.
Et de préciser lors d'une audition devant ce Comité que Rome a plaidé pour l'activation de mesures d'urgence, en réitérant sa ferme position quant à la nécessité de la mise en oeuvre d'une politique européenne en matière de contrôle des frontières extérieures de l'UE qui tienne compte des particularités des pays de la rive nord de la Méditerranée, majoritairement exposés au phénomène migratoire.
Bulgarie: les préjugés contre les immigrants dépassent ceux contre les Roms
25 sept 2012 (AFP) - Les préjugés en Bulgarie contre les immigrants d'Afrique et d'Asie dépassent les préjugés de longue date face à la minorité Rom, estimée à 10% de la population, selon une étude de l'institut Open Society parvenue mardi à l'AFP.
"Les préjugés à l'égard des Roms, qui constituent la minorité la plus exclue et stigmatisée de Bulgarie, sont dépassés par ceux à l'égard d'autres groupes ethniques, dont l'intégration posera plus de problèmes", a déclaré Alexei Pamporov, l'auteur de l'étude réalisée en mai dernier auprès de 1.159 personnes.
L'opinion publique est la plus hostile à l'égard des Africains, des immigrants musulmans (arabes, Albanais, Kurdes), ainsi que des Vietnamiens. Un peu mieux accueillis, les Chinois font objet d'autant de méfiance que les Roms, la minorité historique la plus isolée.
A peine 10% des ressortissants bulgares accepteraient d'épouser ou laisseraient leur enfant épouser un Noir, qu'il soit originaire d'Afrique, des Etats-Unis ou de l'Union européenne. Ils sont 11,5% à répondre positivement concernant un Vietnamien, un Albanais ou un arabe, 12,5% pour un Chinois, 13,6% pour un Rom.
Ce dernier chiffre monte à environ 20% parmi la population habitant des petites localités, à faible niveau d'éducation ou appartenant à une minorité historique - Roms, Bulgares de religion musulmane, Turcs, Arméniens, juifs et Roumains.
Les jeunes de moins de 30 ans se montrent plus ouverts: environ 25% d'entre eux déclarent pouvoir épouser un Rom et 26% un Chinois.
Les autres minorités historiques sont bien accueillies comme voisins et collègues, mais moins bien comme membres de la famille.
Dans le milieu professionnel, le stéréotype du Rom "voleur et paresseux" reste plus fort: à peine 31% des ressortissants bulgares accepteraient de travailler avec un chef rom, contre 36% un chef chinois et 39% un chef arabe. Les moins de 30 ans se disent prêts à travailler avec un arabe ou un Chinois à 60%, contre seulement 50% avec un Rom.
Les étrangers les mieux accueillis sont les ressortissants blancs de l'Union européenne et les Russes. 42,7% des personnes interrogées accepteraient d'épouser ou de laisser leur enfant épouser un ressortissant de l'UE et 37% un Russe.
L'étude fait état d'une "attitude ambivalente" face aux Japonais, bien accueillis comme voisins, collègues ou employeurs, mais pas comme membres de la famille.
Il n'existe pas de statistique sur la présence des immigrants d'origine africaine ou asiatique en Bulgarie, mais leur nombre est négligeable, allant de quelques centaines à quelques milliers.
25 sept 2012
Source : MAP

Le Maghreb et les migrations subsahariennes : le rôle des associations et des syndicats" est le titre d'un ouvrage qui a été présenté, lundi soir, au siège de Casa Africa à Las Palmas.
Intervenant à cette occasion, l'une des coordinatrices de cet ouvrage, Olivia Orozco a indiqué que ce dernier est le fruit d'une série de travaux présentés lors d'un séminaire organisé à Madrid, avec la participation de chercheurs européens, maghrébins et africains.
"Les flux migratoires de l'Afrique de l'Ouest ont changé avec le temps en touchant les pays du Maghreb non seulement en tant que région de transit mais aussi comme destination", a-t-elle dit, ajoutant qu'"en devenant des récepteurs de l'immigration, les pays du Maghreb ont dû faire face à de nouvelles situations et circonstances qui touchent aussi bien les gouvernements que les organisations non gouvernementales, les syndicats et les médias".
"Les migrations subsahariennes au Maghreb sont une réalité rarement connue et étudiée même si ce phénomène devient de plus en plus important", a-t-elle souligné.
Selon Orozca, le livre, qui propose une "approche spécialisée de cette multiple réalité migratoire", compile une série d'études sur les migrations subsahariennes au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Libye et en Mauritanie et d'autres analyses transversales concernant leur incidence sur les politiques migratoires européennes.
L'ouvrage, dont l'élaboration a été menée sous la coordination notamment de Rafael Bustos et Lothar Witte, comporte également des entretiens et des témoignages d'immigrés subsahariens et des acteurs de la société civile (associations, syndicats et presse locale).
La présentation du livre a été suivie par une conférence donnée par Hassan Boubakri, professeur de géographie à l'université tunisienne de Sousse sur le thème de la migration subsaharienne dans l'évolution du contexte migratoire en Tunisie et en Libye avant et après 2011.
D'autres journées de présentation de l'ouvrage, organisées en collaboration avec la Fondation Friedrich Ebert, sont prévues à Madrid (le 25 septembre) et à Alicante le 26 septembre.
25 sept 2012
Source : -MAP

Une importante délégation représentera le Royaume du Maroc à la cérémonie d'inauguration de la Grande mosquée de Strasbourg, ce jeudi, a-t-on appris auprès du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).
Conduite par M. Ahmed Taoufiq, ministre des Habous et des Affaires islamiques et M. Abdelhak Lamrini, historiographe du Royaume, cette délégation est composée de plusieurs personnalités marocaines, dont le Secrétaire général du CCME et initiateur du projet de la Grande Mosquée de Strasbourg lancé en 1998.
Depuis quinze ans, l'association de la Grande Mosquée de Strasbourg, appuyée par les autorités locales de la ville de Strasbourg et soutenue par les hautes autorités religieuses monothéistes, a incessamment Âœuvré pour l'édification de ce projet. Il va sans dire que le Maroc a très tôt soutenu, sur tous les plans, ce projet en ce qu'il incarne comme modèle de la coopération maroco-française dans le domaine religieux et cultuel.
Le Royaume a, d'ailleurs, contribué au financement de cette grande réalisation, sous l'impulsion de SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L'assiste, à hauteur de 3.900 000 euros.
Le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, représentera le Président de la République François Hollande, et prononcera un discours à cette occasion.
Plusieurs représentants des pays islamiques et des personnalités politiques, religieuses et intellectuelles assisteront à cet évènement qui revêt une importance d'autant plus particulière au moment où la question de l'islam et de son intégration dans l'espace européen vit un moment délicat.
Un programme d'activités très riche a été lancé le 24 septembre incluant des conférences, des tables rondes, des soirées coraniques, des tournois sportifs, des expositions et une veillée spirituelle avec les chioukhs ainsi que des savants du monde arabe.
Le programme des activités de cette semaine culturelle organisée à cette occasion sera clôturé par une soirée festive au Palais de la musique et des congrès, animée par plusieurs artistes dont l'ensemble dirigé par Briwel, incarnation de l'excellence de la musique andalouse.
Conçue par l'architecte italien Paolo Portoghesi, sur un terrain de plus 10.000 mètres carrés alloué par les autorités alsaciennes, la Grande Mosquée de Strasbourg est une des plus grandes d'Europe. Elle héberge une salle de prière de 1.050 m2 sans piliers et s'édifie sous une coupole de 20 mètres de hauteur pour 17 de diamètre. Elle a la capacité d'accueillir plus de 1500 fidèles.
Terre Concordataire, l'Alsace avec sa tradition de tolérance, a rendu possible le financement de ce projet dont la répartition implique les collectivités locales, la communauté musulmane et les donateurs.
25 sept  2012
Source : MAP

La compagnie Royal Air Maroc (RAM) met sur le marché une offre de 50 000 sièges à destination de l'Europe à des prix compétitifs, fait savoir mardi à Casablanca le management de la compagnie lors d'un point de presse.
Les billets aller-retour, dont le prix va de 1790 DH pour l'Espagne et le Portugal à 1900 DH pour Paris et 2390 DH pour le reste de l'Europe, doivent être souscrits entre le 27 septembre et le 7 octobre pour des voyages à programmer entre novembre 2012 et mars 2013, explique-t-on de même source.
Tout au long de l'année des tarifs attractifs vers l'Europe (autour de 2800 DH) seront proposés alors qu'étudiants, MRE, familles et séniors pourront bénéficier de tarifs spéciaux pour leurs déplacements sur les lignes de la compagnie nationale, a-t-on précisé.
Une réflexion est en cours avec les acteurs concernés pour promouvoir l'activité charter notamment à partir de Marrakech et Agadir tout autant que pour l'encouragement du tourisme interne à travers l'offre, à des prix attractifs, d'un package incluant vol, hôtels et autres prestations touristiques.
Le management de la compagnie a exprimé son satisfécit quant à la réalisation des objectifs du plan de rationalisation de l'opérateur aérien (2011-2016) notamment au niveau de la réduction des effectifs (Plus de 1900 départs contre 1500 programmés), de l'homogénéisation de la flotte, de l'amélioration de la qualité des services et ce malgré une conjoncture difficile ( crise économique, baisse de l'activité touristique et hausse du prix des hydrocarbures) et une concurrence forte avec plus de 8, 5 millions de sièges offerts sur la destination Maroc.
Le chiffre d'affaire s'est établit en 2012 à plus de 11,6 milliards de DH contre plus de 10 milliards en 2011 a-t-on rappelé précisant que le plan de rationalisation avait tablé sur 11,014 milliards de DH.
La compagnie poursuivra l'extension de son réseau avec l'ouverture prochaine (Avril) de lignes desservant Stockholm et Copenhague 3 fois par semaine et l'intensification des fréquences vers Londres et Madrid et Âœuvrera pour le renforcement de la place de Hub de l'aéroport de Casablanca (qui représente 40 pc des clients de la compagnie avec 1 million de passagers) avec la desserte du Cap Vert par 3 vols /semaine qui s'adjoindra à celles intéressant la Guinée Bissau, l'Angola et la République centrafricaine.
Dans les projets de la compagnie figurent de nouvelles lignes aériennes vers l'Amérique (Washington, Rio, Sao Polo), l'Europe (Hambourg, Budapest, Sofia, Prague) ou encore l'Asie et particulièrement la Chine qui sera reliée au royaume à travers sa capitale Pékin et sa métropole économique Shanghai.
25 sep 2012
Source : MAP

La prévision de la croissance économique pour l'année 2012 est maintenue à moins de 3 pc, a indiqué Bank Al Maghrib (BAM) qui a tenu mardi sa réunion trimestrielle.
Cette prévision est en relation notamment avec la matérialisation des risques liés à l'activité des principaux partenaires et à la campagne agricole, explique la Banque centrale.
Les comptes extérieurs continuent d'être impactés par l'évolution de la conjoncture économique mondiale. Ainsi, le déficit commercial s'est accru de 6,1 pc à fin août en glissement annuel, et les transferts des MRE ainsi que les recettes de voyages ont accusé des baisses respectives de 1,8 pc et 5 pc, ajoute la même source.
Pour 2013, la croissance devrait se situer entre 4 pc et 5 pc, sur la base d'une production céréalière moyenne et des perspectives économiques internationales qui demeurent mitigées, selon les projection de la banque centrale.
25 sept. 2012
Source : MAP

Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).

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