jeudi 28 novembre 2024 12:29

Madagascar étudie son profil migratoire afin d’optimiser son développement socioéconomique

L’Etat malgache a récemment annoncé le lancement d’un grand projet visant à définir le profil migratoire de l’île. « La migration, tant nationale qu’internationale peut être un levier pour le développement économique » a annoncé à cette occasion le Premier ministre malgache Omer Berizky, précisant qu’« aucune étude approfondie n’a [pour le moment] été effectuée en ce sens ». Ces données apparaissent pourtant indispensables pour pouvoir mettre en place des stratégies efficaces pour le développement et la croissance de Madagascar.

Cette étude sera financée par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à hauteur de 200 000 dollars. Elle comprendra la formation de formateurs en vue de la collecte et l’analyse des données migratoires et la publication du profil migratoire.

Le rapport final dressera les contours des tendances migratoires, des caractéristiques des migrants, des effets de la migration sur le développement humain et socioéconomique, sur la santé, sur l’environnement…

22/8/2012

Source : envoidargent

L’Etat malgache a récemment annoncé le lancement d’un grand projet visant à définir le profil migratoire de l’île. « La migration, tant nationale qu’internationale peut être un levier pour le développement économique » a annoncé à cette occasion le Premier ministre malgache Omer Berizky, précisant qu’« aucune étude approfondie n’a [pour le moment] été effectuée en ce sens ». Ces données apparaissent pourtant indispensables pour pouvoir mettre en place des stratégies efficaces pour le développement et la croissance de Madagascar.

Cette étude sera financée par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à hauteur de 200 000 dollars. Elle comprendra la formation de formateurs en vue de la collecte et l’analyse des données migratoires et la publication du profil migratoire.

Le rapport final dressera les contours des tendances migratoires, des caractéristiques des migrants, des effets de la migration sur le développement humain et socioéconomique, sur la santé, sur l’environnement…

22/8/2012

Source : envoidargent.fr

C’est une histoire « à perdre la raison » que le cinéaste belge, Joachim Lafosse, a choisi de mettre sous les feux des projecteurs. Son film, sorti en salles aujourd'hui, en France, revient sur le quintuple infanticide qui avait secoué, en février 2007, la Belgique et plus particulièrement sa communauté marocaine.

Sorti en Belgique en mai, le dernier long-métrage du Belge Joachim Lafosse vient d’atterrir en France. « À perdre la raison », en salles dès aujourd'hui, mercredi 22 août, en France, revient sur l’affaire Geneviève Lhermitte : l'épouse belge d’un Marocain, qui avait assassiné leurs cinq enfants, il y a cinq ans, en 2007.

Contrairement à la Belgique, où le film avait essuyé différentes critiques, notamment de la part des vrais protagonistes de l’histoire, le film a bien été accueilli par la presse française qui n’a pas hésité à applaudir la performance d’Emilie Dequenne, qui interprète le personnage de Geneviève Lhermitte. Le rôle du père, Bouchaïb Moqadem, nommé Mounir dans le film, est, lui, joué par le talentueux acteur d’origine algérienne Tahar Rahim.

« Le récit autour de ‘l’affaire’ m’a perturbé. J’y ai trouvé matière pour approfondir les thèmes de mes films précédents : les bonnes intentions et ce qu’elles dissimulent, les névroses familiales, la manipulation et la perversité… », confie Joachim Lafosse, cité par Rue89. « Il était hors de question de faire un film sur le fait divers en tant que tel », poursuit-il. Pour ce cinéaste belge de 37 ans, « le cinéma n’est pas le lieu de la vérité, et encore moins de la vérité judiciaire. Ce qui me passionnait n’était pas la prétendue véracité des faits, mais les contradictions des êtres. Cette démarche a suscité des polémiques violentes dans mon pays ».

A perdre la raison : la véritable histoire

Tout a commencé en 1990, à Nivelles, en Belgique. Bouchaïb Moqadem, un Marocain résidant en Belgique, rencontre Geneviève Lhermitte, une jeune femme avec qui il partageait les bancs de l’école. Quelques mois plus tard, le jeune couple se marie. De leur union, naitra cinq enfants : Nora, Myriam, Mina, Medhi et Yasmine. Contraint de déménager, le couple s’installe chez le Dr Michel Schaar, le père adoptif de Bouchaïb. Au fil des années, Geneviève qui ne sortait plus de son domicile « familial », devient dépressive.

En février 2007, alors que son mari était en voyage, elle commet l’irréparable. Après leur avoir préparé le déjeuner, la maman décide de mettre fin à la vie de ses enfants, âgés à l’époque des faits de 4 à 12 ans. Après les avoir égorgés l’un après l’autre, elle tente de se suicider.

« Mes enfants ont été torturés et massacrés. C’est un crime contre l’humanité. J’en ai gros sur le cœur. Ma vie est détruite. Je voudrais que ce procès constitue un espoir pour que mes enfants reposent en paix à tout jamais. J’ai confiance en la justice belge », avait confié, en 2008, le père des cinq enfants, le Belgo-marocain Bouchaïb Moqadem, à Yabiladi.com.

Geneviève Lhermitte a finalement été condamnée, en décembre 2008, à la prison à perpétuité pour l’assassinat de leurs cinq enfants.

22/8/2012

Source : Yabiladi

Auteur d’une bonne prestation face au Rayo Vallecano ce lundi, Youssef El Arabi n’a pas laissé les lecteurs du journal Marca indifférents.

En effet, suite à un sondage effectué sur le site du quotidien sportif espagnol, l’attaquant du FC Granada, a été élu homme du match Rayo Vallecano-Granada et figure donc parmi les 10 meilleurs joueurs de la première journée de Liga aux côtés de Messi et de Alves entre autres.

Voici la liste des 10 joueurs :

Toulalan (FC Malaga)

Jesús Navas (FC Séville)

Hemed (RCD Majorque)

Beñat (Athletic Bilbao)

Diego Alves (FC Valence)

Messi (FC Barcelone)

Arda (Atlético Madrid)

Nelson Oliveira (Deportivo La Corogne)

El-Arabi ( FC Grenade)

Ebert (Valladolid)

22/8/2012

Source : Mountakhab.net

Ils auront accès à plus de métiers, mais les expulsions judiciaires des campements illicites continueront.

Matignon a fixé la ligne sur la question des Roms, ces quelque 20 000 ressortissants roumains ou bulgares dont l'installation en France, dans des campements de fortune, souvent en violation de la propriété privée, occasionne des troubles insupportables pour les riverains concernés.

Dès hier matin, en préambule à la réunion qu'il devait présider l'après-midi sur le sujet, Jean-Marc Ayrault a promis «fermeté et humanité». Une déclaration aussitôt accueillie comme une forme de soutien à Manuels Valls, très critiqué dans son camp pour avoir fait expulser des campements illicites à Lille cet été.

Le premier ministre s'est par ailleurs déclaré «favorable à une évolution» des mesures transitoires qui restreignent l'accès des ressortissants de ces pays au marché du travail en France. À ce jour, et jusqu'au 31 décembre 2013, ces étrangers, qui ne sont pas encore pleinement européens, n'ont accès qu'à 150 types d'emplois dans des secteurs dits «en tension».

Extension des secteurs professionnels accessibles aux Roms

Certes, on trouve dans cette liste nombre de métiers de main-d'œuvre, mais leur exercice y est très encadré. Parmi les conditions imposées: le versement par l'employeur d'une taxe à l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii). Un frein à l'intégration de ces populations, estiment les associations humanitaires qui les soutiennent. En Italie et en Irlande, les autorités ont purement et simplement supprimé ces mesures transitoires, offrant aux «Roms» un accès sans réserve à leur marché de l'emploi.

La France semble privilégier une solution intermédiaire. Lors de la réunion d'hier, en présence de neuf ministres, dont celui de l'Intérieur, Manuel Valls, l'hôte de Matignon a retenu le principe d'une extension des secteurs professionnels accessibles aux Roms et annoncé la suppression de la taxe pour les employeurs. A-t-il ainsi voulu limiter le risque d'«appel d'air» tant dénoncé par l'opposition? Beaucoup s'interrogent, quoi qu'il en soit, sur la portée concrète de telles mesures en période de crise. «Le gouvernement fait diversion», assure le député UMP de l'Yonne, Guillaume Larrivé.

Trouver des terrains

Quid, en effet, des 300 à 400 campements illicites qui concentrent, en périphérie des grandes villes, toute la misère de ces populations itinérantes s'adonnant souvent à la mendicité? D'un côté, le gouvernement déclare qu'il fera exécuter les expulsions ordonnées par la justice. De l'autre, il défend la doctrine du candidat Hollande de ne pas expulser sans proposition préalable de relogement.

Les autorités s'activent donc pour recenser les terrains disponibles. Mais ces derniers manquent. Tous les gouvernements s'y sont cassé les dents. La France invite par ailleurs les pays d'origine de ces communautés à mieux prendre en charge leurs ressortissants. «Le gouvernement souhaite ouvrir des discussions avec ceux-ci», déclare Matignon.

En tout état de cause, les expulsions de Roms cesseront «au plus tard fin 2013», se félicite le collectif Romeurope, dont Jean-Marc Ayrault a tenu à recevoir hier les représentants. Le temps de la «stigmatisation» est peut-être révolu. Le problème des Roms est loin d'être réglé.

23/8/2012

Source : Le Figaro

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