jeudi 28 novembre 2024 11:00

Le chef du gouvernement a rencontré les Marocains résidant à l'étranger, à l'occasion de la Journée nationale qui leur est consacrée chaque 10 août. Il leur a promis l'amélioration des services qui leur sont rendus...Suite

Des milliers d'ouvriers sont arrivés avec le lancement de vastes chantiers dans le BTP. Une partie d'entre eux s'est reconvertie dans le commerce, en bonne intelligence avec la population locale...Suite

Les Marocains du monde ont célébré vendredi 10 août leur journée nationale. Un rendez-vous annuel pour renforcer davantage les attaches avec la mère-patrie.
La célébration de la journée des Marocains résidant à l’étranger intervient cette année dans un contexte marqué par la nomination d’un nouveau gouvernement et également par la crise économique qui sévit dans la majorité des pays d’accueil, notamment ceux d’Europe. Une situation qui pousse de nombreux ressortissants à regagner leur terre natale. Afin d’entendre la voix de cette communauté, le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger a organisé, à cette occasion et sous la présidence du chef du gouvernement, une journée de communication entre gouvernement et diaspora marocaine. Cette année, la rencontre a été initiée sous le signe «promotion des services rendus aux Marocains du monde». Le choix de ce thème n’est pas fortuit. Les aspirations des MRE quant à l’amélioration des services publics sont de plus en plus élevées. Surtout que ceux-ci restent entachés par la lourdeur et la complexité.
Ainsi, la manifestation avait pour objectif d’étudier les moyens permettant de promouvoir la qualité des services sollicités par les Marocains à l’étranger et de faciliter les procédures et démarches des différentes administrations et institutions au Maroc ainsi que celles des missions diplomatiques et consulaires établies à l’étranger. Dans son mot d’ouverture, le ministre de tutelle, Abdellatif Maâzouz, a tenu à mettre en exergue l’importance de la promotion des services publics au profit de la communauté à l’étranger, surtout dans l’actuelle conjoncture, marquée par la crise et par la volonté des ressortissants d’investir au Royaume. Le ministre a braqué la lumière sur l’intérêt qu’accorde le gouvernement à cette question.
D’autant plus que le programme gouvernemental pour le quinquennat 2012-2016 a érigé l’amélioration de la qualité des services publics rendus aux MRE en axe prioritaire de son action en la matière.
Abdellatif Maâzouz a également fait savoir que le choix de ce thème tenait également compte du nombre des doléances formulées par les Marocains du monde, s’articulant notamment autour de la qualité des services dispensés par les administrations et les missions diplomatiques. De son côté, Abdelilah Benkirane a loué cette initiative et le choix de ce thème. Pour lui, «cette journée est l’occasion idoine pour prêter une oreille attentive à ces gens venus d’ailleurs». Et c’était le cas. Abdelilah Benkirane, venu accompagné de certains parmi les membres de son staff, a témoigné beaucoup d’intérêt pour les requêtes des Marocains migrants. Et ce, malgré quelques accrochages entre ces derniers et le staff d’organisation. Les ressortissants ont pointé du doigt l’administration, les missions diplomatiques et la justice. En somme, nos Marocains à l’étranger veulent une administration efficace et une justice transparente et intègre. La représentation politique n’est pas en reste. Les ressortissants réclament leur droit de vote afin de prendre part à la gestion de la chose publique en tant que Marocains à part entière.
Sur ce registre, Abdelilah Benkirane s’est montré rassurant, en leur promettant que pour les prochaines législatives, ils voteront pour les personnes qu’ils auront choisies. Cependant, du temps devait être accordé au gouvernement pour traiter l’ensemble des dossiers afférents aux obstacles constatés. En s’adressant à l’assistance, le chef du gouvernement a tenu à mettre l’accent sur sa nouvelle vision, basée essentiellement sur la promotion d’une nouvelle dynamique prônant la consolidation de la confiance, la non-discrimination et la réflexion commune autour de l’amélioration de la qualité des services rendus aux MRE. Il a ainsi souligné la volonté du gouvernement de mettre en place des structures d’encadrement spécifiques au niveau régional pour orienter et faciliter les démarches administratives au profit des MRE. «Il est temps que l’État soit au service de la communauté marocaine résidant à l’étranger et de l’ensemble de la société». L’État ne vous considère pas comme une source de devises. Aujourd’hui, vous disposez de tous les droits comme le reste des Marocains», pour reprendre l’expression de M. Benkirane.
Lors de cette rencontre, les ministres présents ont rappelé les programmes lancés par leurs départements en faveur de la diaspora. Ainsi, Saâd-Eddine El Othmani, ministre des Affaires étrangères et de la coopération a mis l’accent sur les efforts consentis par son ministère afin d’offrir des services rapides, efficients et de qualité, notamment au niveau des consulats. Idem pour Abdeladim El Guerrouj, ministre en charge de la modernisation du secteur public, qui a cité les mesures prises par son département visant à qualifier l’administration et à rehausser la qualité des services. Quant à Idriss Azami, ministre chargé du Budget, il s’est étalé sur les stratégies adoptées en matières fiscale et douanière visant à faciliter les procédures au profit des MRE.
Convention de retraite au profit des Mre
Lors de cette rencontre, il a été procédé à la signature d’une convention de partenariat entre le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger et la Caisse nationale des retraites et d’assurances, représenté par la Caisse de dépôt et de gestion (CDG). Son objectif est de permettre à la communauté marocaine à l’étranger d’adhérer au régime de retraite au Maroc, en assurant une couverture de retraite adaptée aux besoins de cette communauté, englobant une pension de retraite et le transfert du corps du défunt à la mère patrie en cas de décès.
12 Août 2012,  Soumaya Bencherki
Source : LE MATIN

"Les ressources humaines, pilier du développement" est le thème du deuxième forum sur la migration prévu, les 22 et 23 août, à la commune Tafraout Al Mouloud, à l'initiative de l'Association éponyme avec l'appui de l'Initiative nationale pour le développement humain.
Cette édition prévoit un colloque sur la question du développement dans la commune , une session de formation au profit des associations sur les projets générateurs de revenu et une série d'activités artistiques ponctuées par deux soirées animées par des troupes d'Ahwach et des groupes de musique.
Figurent au menu également des activités sportives au stade communal, des spectacles et compétitions pour enfants, un salon de produits locaux au souk hebdomadaire de la commune et des cérémonies-hommages en l'honneur de nombre de personnalités s'étant illustrées par leur contribution au développement de la région.
Agadir, 12 août 2012
Source : MAP

Le gouvernement autonome de Catalogne n'appliquera pas la décision de Madrid sur l'interdiction de la gratuité des soins médicaux au profit des sans-papiers, dont l'entrée en vigueur est prévue à partir du premier septembre, a réaffirmé, dimanche, un responsable catalan.
Engagé dans une politiqué d'austérité sans précédent, le gouvernement conservateur espagnol avait annoncé, en avril, que les sans-papiers n'auront plus le droit, à partir du premier septembre, d'accéder aux prestations médicales gratuites en vertu d'une nouvelle réforme du système de santé.
Cette décision "est de nature à aggraver davantage la situation de marginalité dont souffre ce collectif", a mis en garde Xavier Bosch, directeur général de l'Immigration du gouvernement catalan, soulignant que l'accès à la santé est un "droit universel".
M. Bosch a également exprimé le soutien de la Catalogne à l'initiative d'un mouvement de médecins espagnols "objecteurs de conscience" qui ont fait part de leur rejet d'appliquer la décision de Madrid, accusant le gouvernement espagnol de "faire l'amalgame entre tourisme sanitaire et immigration".
La décision de Madrid "porte un coup dur à l'Etat de bien-être, dans la mesure où elle ne vise pas seulement les étrangers sans-papiers, mais aussi les Espagnols qui ne cotisent pas à la sécurité sociale", a encore estimé le responsable catalan.
La décision de Madrid de priver les sans-papiers de la Carte sanitaire a suscité l'indignation des partis politiques et des ONG de défense des droits des immigrés en Catalogne. Le Médiateur de cette communauté autonome, Rafael Ribo, a défendu, la semaine dernière, le droit des immigrés sans-papiers d'accéder gratuitement aux soins de santé dans les hôpitaux publics d'Espagne, précisant que des recommandations seront adressées prochainement à ce sujet à l'exécutif régional.
Pour pouvoir bénéficier gratuitement du système de santé espagnol, les étrangers doivent être affiliés à la Sécurité sociale et payer des impôts.
Selon une information rapportée par le quotidien espagnol El Pais, les sans-papiers désireux de recevoir des soins médicaux dans les hôpitaux publics doivent souscrire à une assurance de 710 euros par an, qui peut atteindre jusqu'à 1.864,80 euros pour les personnes de plus de 65 ans. Le gouvernement espagnol compte ainsi réduire les dépenses de la santé publique d'un milliard d'euros.
Outre les sans-papiers, les Espagnols ayant des revenus annuels supérieurs à 100.000 euros et qui ne cotisent pas à la Sécurité sociale ainsi que les ressortissants européens qui profitaient du système de santé espagnol dans le cadre du "tourisme sanitaire" seront privés de la gratuité des soins.
L'exécutif catalan avait "déploré" en mai cette décision "unilatérale" de Madrid, soulignant qu'il envisage de mettre en place un "mécanisme administratif", en vue de permettre aux immigrés sans-papiers de continuer à bénéficier gratuitement des soins médicaux.
D'après les médias espagnols, plus d'un demi-million de sans-papiers se verraient privés de la Carte sanitaire à laquelle tous les immigrés, justifiant d'un certificat de résidence municipale, pouvaient prétendre.
En vertu de cet amendement, l'accès aux soins de cette catégorie d'étrangers, hors pays de l'Union européenne, sera limitée aux seuls cas d'urgence médicale, d'accouchement et du suivi des enfants mineurs.
Les familles des immigrés, légalement établis en Espagne, n'ayant pas encore obtenu leurs papiers devront se contenter, elles aussi, de ce service minimum.
12 août 2012
Source : MAP

Les participants à une rencontre organisée à l'occasion de la journée Nationale de la Communauté Marocaine Résidant à l'Etranger ont plaidé pour plus de coopération entre les consulats Marocains et les autorités des pays d'accueil pour mieux défendre les droits et intérêts des Marocains du monde.
Lors de cette rencontre, tenue vendredi sous le thème : "Promotion des services rendus aux Marocains du Monde", les intervenants ont également mis l'accent sur la nécessité de doter les consulats de personnel suffisant et d'attachés sociaux qualifiés, indique dimanche un communiqué du ministère Chargé des Marocains Résidant à l'étranger.
Concernant les services juridiques et judiciaires rendus aux MRE au Maroc, la rencontre a été l'occasion pour souligner la nécessité d'une bonne coordination entre les différents départements concernés et l'implication de la société civile dans la défense des droits des MRE.
Les participants ont aussi mis l'accent sur l'importance d'informer les Marocains du monde sur les dispositions du Code de la famille et le régime de la kafala pour mieux préserver les droits de l'enfant.
S'agissant des prestations de l'Administration des Douanes et Impôts Indirects et la Direction Générale des Impôts, les intervenants ont déploré le manque d'informations des MRE à propos des démarches et décisions se rapportant à cette administration. Ils ont, dans ce sens, recommandé à la Direction Générale des Impô ts de faire coïncider les avis d'imposition avec la période de retour des MRE afin d'éviter les majorations et intérêts de retard.
Les séminaristes ont en outre plaidé pour la mise en place d'un portail pour faciliter l'accès à l'information des MRE sur les différentes offres immobilières, appelant à la révision de la réglementation du secteur pour inciter les opérateurs à mieux respecter leurs engagements en termes de qualité et de délais de réalisation.
Au volet économique, l'accent a été mis sur la nécessité de réserver un quota au profit des MRE au niveau des zones industrielles et de mettre en place un mécanisme d'accompagnement des investisseurs MRE, outre la pérennisation du fonds MDM Invest et l'implication des compétences marocaines dans les chantiers de développement du Royaume.
Cette rencontre, présidée par le Chef du Gouvernement, Abdelilah Benkirane, a connu la participation de près de 600 MRE, ainsi que des représentants des départements et administrations concernés par la gestion des affaires des Marocains du monde, selon le communiqué.
12 août 2012
Source : MAP

Des dizaines d'agressions visant les immigrés sont régulièrement perpétrées dans les quartiers défavorisés d'Athènes, sur fond de percée de l'activisme néonaziet de profonde crise sociale et économique.
Un jeune Irakien a été poignardé à mort dans la nuit de samedi à dimanche à Athènes par cinq motards chassant les étrangers, a annoncé la police, alors que le pays est accusé d'incurie face à la banalisation de la violence xénophobe.
Le jeune homme, dont l'âge n'a pas été précisé, a succombé à l'hôpital où il avait été transféré avec "de nombreuses blessures provoquées par un objet tranchant", selon un communiqué de la police. La police recherche ses attaquants, "cinq personnes à bord de quatre motos qui avaient auparavant tenté dans la même zone d'agresser un Roumain et un Marocain", a ajouté le communiqué.
Le modus operandi est le même que celui de dizaines d'agressions visant immigrés, réfugiés ou Grecs d'origine étrangère, désormais régulièrement perpétrées dans les quartiers défavorisés d'Athènes et d'autres centres urbains, sur fond de percée de l'activisme néonazi et de profonde crise sociale et économique.
Dans une rare réaction officielle, le ministre de l'Ordre public, Nikos Dendias, a exprimé sa "profonde tristesse" pour ce meurtre, affichant la détermination de l'Etat à punir de tels actes, "quel que soit le soi-disant prétexte que ses auteurs y trouvent".
Le pays est actuellement dans le collimateur des organisations et ONG internationales, dont le Conseil de l'Europe et Human Rights Watch, pour son incurie face à la violence xénophobe et l'impunité de fait jusque là garantie à ses auteurs, dont beaucoup présumés proches du parti néonazi Aube Dorée, propulsé au parlement avec 7% des voix en juin.
La réthorique anti-migrants alimentée par les dirigeants politiques
La réthorique anti-migrants des dirigeants politiques a aussi été dénoncé cette semaine par Amnesty International, après que Nikos Dentias eut estimé que le pays devait faire face à une "invasion d'immigrants" sans précédent depuis celle des Doriens au IVe siècle avant notre ère.
Le meurtre du jeune Irakien intervient après le lancement par la police d'une opération visant à chasser des centres urbains les sans-papiers qui s'y entassent. Elle suit aussi l'arrestation en début de semaine d'un jeune Pakistanais pour le viol avec graves violences d'une adolescente de 15 ans sur l'île cycladique de Paros.
Durant sa récente campagne électorale, le conservateur Antonis Samaras, devenu premier ministre, avait promis de faire la chasse à l'immigration illégale.
Considérée comme l'une des deux principales porte d'entrée dans l'UE, la Grèce a enregistré plus de 55.000 arrestations de migrants en 2011 dans la région frontalière avec la Turquie, selon la police Frontex, et 12.000 depuis début 2012. Pour le nombre de migrants légaux, les estimations officielles grecques varient de 784.000 à 970.000. Les migrants irréguliers étaient eux 470.000 en 2010, selon les dernières données policières.
12/08/2012
Source :  LEXPRESS.fr/Avec

"Les Marocains résidant à l'étranger (MRE) ont droit à des services de qualité, du fait qu'ils ont toujours fait montre de grandes capacités d'innovation, d'adaptation et d'un grand attachement à leur pays d'origine nonobstant les aléas de la conjoncture", a affirmé le ministre délégué chargé des MRE, Abdellatif Maâzouz.
"En choisissant l'amélioration des services rendus aux Marocains du monde comme thème de la journée nationale des MRE, nous avons voulu démontrer notre volonté, dans ce contexte de crise, de dépasser la vision alarmiste qu'adoptent certains médias en parlant de nos compatriotes expatriés comme des sinistrés", a souligné M. Maâzouz dans une interview publiée vendredi par le quotidien +Le Matin du Sahara et du Maghreb+.
A cet égard, le ministre a appelé toutes les instances concernées à répondre aux aspirations "légitimes" des MRE à une administration plus proche d'eux, à ne pas trop se compliquer la vie avec des procédures longues et fastidieuses et à être dignement accueillis et orientés, tout en relevant que l'atteinte à ces attentes "peut porter préjudice à la qualité des relations de ces concitoyens avec leur pays d'origine".
Le ministre a également fait savoir que "si le Maroc est classé au 3ème rang mondial avec un taux d'émigration des compétences qualifiées de18,5 pc, il est certain qu'une politique efficace de mobilisation des compétences peut ralentir cette évasion et, pourquoi pas, l'inverser. Notre approche dans ce sens vise la valorisation du savoir-faire de ces compétences et de leurs expériences professionnelles ainsi que l'optimisation de leur rô le dans la dynamique de développement du Maroc".
Concernant le bilan de l'opération "Marhaba 2012" qui a été lancée le 5 juin dernier, M. Maâzouz a précisé que les chiffres définitifs seront annoncés au lendemain du 15 septembre prochain, tout en notant que "les premières constatations indiquent un léger recul du nombre d'arrivées de MRE par rapport aux années précédentes, en raison de plusieurs facteurs défavorables".
Pour ce qui est de l'impact de la crise financière et économique qui sévit en Europe sur les concitoyens, le ministre a constaté qu'elle est plus visible en Espagne qu'en Italie, en témoigne ses répercussions sur la stabilité de l'emploi, sur le niveau et le mode de vie des gens, sur la perception même de leur avenir en Espagne.
"J'ai rappelé aux responsables espagnols que la communauté marocaine est un atout dans la perception des relations de bon voisinage, des intérêts économiques et des enjeux géostratégiques qui lient les destins de nos deux pays : l'Espagne étant notre partenaire européen le plus proche et le Maroc la porte d'entrée vers les marchés arabe et africain d'une économie espagnole en besoin d'ouverture pour se relancer", a indiqué M. Maâzouz.
Quant à l'Italie, le ministre a dit qu'"il a été agréablement surpris d'apprendre que la communauté marocaine est la mieux intégrée et qu'elle compte, sur ses 600.000 membres, près de 60.000 chefs d'entreprise de tailles diverses".
Il est à rappeler que le ministère chargé des MRE organise ce vendredi, sous la présidence effective du chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane et avec la présence et la contribution de plusieurs ministres, une journée de communication sur le thème "Promotion des services rendus aux Marocains du Monde", au club Bank Al-Maghrib à Rabat.
Cette manifestation servira de cadre de rencontre entre les membres de la communauté marocaine résidant à l'étranger et les responsables des institutions et départements publics concernés. Elle permettra d'étudier les moyens de nature à promouvoir la qualité des services sollicités par les MRE et à faciliter à leur intention les procédures et démarches des différentes administrations, institutions et collectivités locales au Maroc ainsi que celles des missions diplomatiques et consulaires établies à l'étranger.Bas du formulaire
10 août 2012
Source : MAP

Google+ Google+