jeudi 28 novembre 2024 10:38

La concurrence au niveau du transport dans le 'détroit de Gibraltar va faire des heureux. Depuis quelques jours, les différentes compagnies maritimes, officiant à partir de TangerMed, ont affiché de nouvelles offres avec des plix révisés à la baisse...Suite

Depuis plus de deux décennies, le dossier des MRE fait partie des priorités gouvernementales. Ainsi en témoigne la création de nouvelles instances et d'un ministère de tutelle. Au fil des années, ces intervenants ont élaboré des programmes et des plans d'action visant à assister et à accompagner les Marocains du monde lors de leur séjour au Maroc. Le bilan est encourageant, mais est jugé insuffisant par les premiers concernés…Les echos quotidien y consacre un dossier spécial avec des Interviews de M. Abdeltif Maâzouz et M. Driss El Yazami...Suite

Plusieurs grandes entreprises marocaines et PME parmi les plus innovantes sont ou ont été dirigées par des concitoyens ayant résidé à l'étranger. Ces Marocains du monde n'ont pas tous vécu un retour facile au bercail. Quand ce n'est pas le rythme du travail ou les lenteurs administratives qui les rebutent, c'est l'attitude condescendante, parfois agressive, de leurs compatriotes qui les choque...Suite

Depuis le début de l’opération Traversée du détroit, le 15 juin, et jusqu’à hier, le 7 août, les ports espagnols concernés ont enregistrés 871 069 passagers. Selon le directeur général de la protection civile espagnole, ce chiffre est nettement en baisse par rapport à la même période de l’année dernière.
Hier, mardi 7 août, ils étaient 12195 passagers et 3323 véhicules à traverser le détroit en provenance des ports espagnols d’Algésiras, Alicante, Almeria, Malaga, Motril et Tarifa et en direction de Tanger, Sebta, Nador, Melilla, Al Hoceïma, puis Oran, Alger et Ghazaouet. C’est ce qu’a indiqué la direction générale de la Protection civile espagnole dans une note rendue publique ce matin.
Si les lignes reliant l’Espagne à l’Algérie sont belles et bien opérationnelles, la majorité des Algériens résidant à l’étranger empruntent l’avion pour rejoindre leur mère patrie, vu que les frontières terrestres maroco-algériennes sont toujours fermées. La grande majorité des passagers effectuant cette traversée se dirigent donc vers le royaume.
Depuis le début de l’opération de la traversée du détroit (Operación Paso del Estrecho), le 15 juin dernier, et jusqu’au 7 août, 871 069 passagers ont été enregistrés ainsi que 228 499 véhicules. 517 732 voyageurs, soit plus que la moitié du nombre total des passagers, ont transité via le port d’Algésiras, relève la Protection civile.
Les chiffres en baisse
Lors de sa visite, mardi, au port de Sebta, Juan Antonio Díaz, directeur général de la Protection civile espagnole, a fait savoir que le nombre de passagers concernés par cette opération était en baisse de 25%, par rapport à la même période de l’année 2011. « Les conditions ne sont pas les mêmes qu’il y a quelques années », a souligné le responsable espagnol, cité par le site d’actualité Que.es, évoquant notamment la crise économique qui règne depuis plusieurs mois sur la péninsule ibérique. Juan Antonio Díaz espère toutefois une éventuelle augmentation du nombre de passagers « après la fin du mois de ramadan ». En effet, un grand nombre de Marocains résidant à l’étranger, venus passer le mois sacré au Maroc, devraient revenir dans leur pays d’accueil après la fin du ramadan.
8/8/2012, Ghita Ismaili
Source : Yabiladi

Des associations militant pour les droits des étrangers en France continuaient mercredi de demander un moratoire sur les expulsions du territoire en attendant la révision du Code européen de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CESEDA), annoncée pour l'automne prochain.
Réagissant aux expulsions de Roms ces deniers jours successivement à Saint-Etienne, Grenoble, Aix-en-Provence, La Courneuve et Lyon, le Mouvement contre le Racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) a réaffirmé son vÂœu partagé par de nombreuses associations de défense des droits des étrangers d'un moratoire sur les expulsions du territoire français en attendant la révision du CESEDA.
Avec le collectif Romeurope, le Mrap affirme, dans un communiqué parvenu à l'APS, attendre de l'Etat l'arrêt de toute évacuation de lieux de vie sans proposition d'hébergement ou de relogement avec un traitement "individuel" des situations, l'accès "effectif" au droit commun (protection sociale, doit à l'éducation, accès aux soinsà) ainsi que la levée des mesures transitoires qui limitent l'accès au marché du travail et à la formation professionnelle de manière discriminatoire".
Mardi, plus de 300 personnes dont des enfants en bas âge ont été expulsés de campements situés à Vaux en Velin et Villeurbanne, près de Lyon, sans proposition de relogement. Une autre évacuation a eu lieu mercredi dans le XIXe arrondissement de Paris.
Expliquant ce durcissement, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a réaffirmé sa volonté d'évacuer "avec fermeté" les campements de Roms "illicites" disséminés en France, assurant que les préfets avaient reçu instruction de "mener un travail de concertation préalable".
De leur cô té, des associations du collectif Romeurope, dont le Mrap, déplorent que la politique d'expulsion des camps et de traque des Roms s'accompagne d'une politique de renvoi des Roms vers la Roumanie en charters, signalant que jeudi, un charter est prévu pour ce faire, soit le 4eme au départ de Lyon depuis l'élection de François Hollande.
Selon le Mrap, sous couvert de départ volontaire, la France continue de "chasser" les Roms de son territoire par tous les moyens malgré les condamnations du Conseil de l'Europe.
Entre 15.000 et 20.000 Roms venus de Roumanie et de Bulgarie vivraient en France. Outre les campements illégaux, certaines familles vivent à même la rue à Paris, trouvant parfois refuge dans des cabines téléphoniques comme à la place de la Bastille, au coeur de la capitale française.
Le ministère de l'Intérieur justifie la poursuite des évacuations engagées sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy à partir de l'été 2010 par les risques sanitaires de ces campements jugés insalubres.
8 août 2012
Source : APS

Le ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger, Abdellatif Maâzouz, a présidé, mercredi à Rabat, une rencontre de communication avec les 24 consuls généraux nouvellement nommés.
Il s'agit de la première rencontre du genre, dans le but de promouvoir les relations entre le ministère et les consuls généraux du Royaume qui représentent le prolongement de l'administration nationale à l'étranger.
La réunion a connu la présentation d'exposés et d'études sur les plans et les visions du ministère dans les domaines social, culturel, juridique et économique.
Dans une déclaration à la presse, M. Maâzouz a indiqué que cette rencontre vise à communiquer aux nouveaux consuls généraux "les problèmes, les besoins et les opportunités des MRE et les voies de résolution de leurs problématiques".
Il a affirmé vouloir "expliquer aux nouveaux consuls la nouvelle méthode de travail du ministère qui est basée sur la communication, la promotion du tissu associatif des MRE et les considérer comme faisant partie de la solution et non du problème".
Le secrétaire général du ministère, Mohamed El Bernoussi, a indiqué, pour sa part, que les consulats généraux du Royaume représentent les outils efficaces du ministère dans sa relation avec la communauté marocaine établie à l'étranger, formant l'espoir que ces diplomates puissent assimiler les prérogatives du ministère et simplifier les procédures administratives, dans le cadre d'une logique consistant à servir les intérêts des MRE.
La nouvelle consule générale du Royaume à Dijon, Mme Mimouna Radi, a, pour sa part, évoqué la difficulté de la tâche qui nécessite une forte volonté, un grand sens d'écoute et un travail de proximité.
Cette rencontre de communication a été organisée à la veille de la célébration de la journée nationale de la communauté marocaine résidant à l'étranger, organisée le 10 août sous le signe "l'amélioration des services au profit des MRE".
08 août 2012
Source : MAP

L’immigration de non-juifs est un phénomène  nouveau. De nombreux Africains y vivent aujourd’hui dans des conditions difficiles. Dans la population, les mouvements anti-immigrés se développent… Suite

La communauté d'étrangers résidant et travaillant dans l’Union des Emirats Arabe Unis (EAU) fait partie des élément qui sont solidement assooiés au processus de développement, de métissage clliturei et de tolérance religiellse…Suite

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