samedi 30 novembre 2024 01:59

La Commission mixte maroco-qatarie pour les affaires consulaires et sociales a plaidé, mardi, pour le raffermissement des liens de coopération entre les Caisses de retraite dans les deux pays.

Le Conseil de gouvernement a adopté, jeudi, le projet de loi 72-15, relatif à une convention destinée à éviter la double imposition fiscale et à prévenir l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu entre le gouvernement du Royaume du Maroc et le gouvernement d'Arabie Saoudite.

Un Consulat Honoraire du Maroc à Ostrava, une ville située à 370 km à l'Est de Prague, a été inauguré vendredi, par l'ambassadeur du Royaume en République Tchèque, Mme Souriya Otmani.

Les Pays-Bas comptent quelque 1,3 million d'habitants portant deux nationalités ou plus, dont un quart de ressortissants marocains, selon des chiffres de l'office national des statistiques (CBS), publiés dernièrement.

La Constitution de 2011, qui consolide les fondements d'un Etat moderne et démocratique, reconnaît le rôle majeur de la communauté marocaine établie à l'étranger, notamment les Marocains d'Amérique, dans le développement économique et politique du Royaume, a indiqué, vendredi à Bethesda (Etat du Maryland), le Directeur exécutif du Centre maroco-américain pour le commerce et l'investissement (MATIC), Jean AbiNader.

Les participants à un colloque tenu, vendredi à Bethesda, Etat du Maryland, sous le thème "De juillet 2011 à juillet 2015, la Constitution marocaine à l'aune de la pratique", ont souligné que la nouvelle Constitution marocaine, avant-gardiste à l'échelle du monde arabe et de l'Afrique, a apporté de nombreux acquis majeurs en faveur de la communauté marocaine établie à l'étranger et renforcé ses liens avec la mère Patrie.

Les travaux d'un séminaire sur "Les acteurs locaux et la diaspora au cœur du développement territorial" ont débuté, samedi à Taourirt, à l'initiative du Collectif des associations pour le développement de l'Oriental.

Un Afghan a été abattu par des gardes-frontières bulgares, jeudi 15 octobre au soir, alors qu’il tentait d’entrer illégalement en Bulgarie depuis la Turquie. Le drame, qui coïncide avec l’adoption à Bruxelles d’un « plan d’action commun » entre l’UE et la Turquie pour endiguer les flux migratoires, est le premier cas connu de tir mortel de forces de l’ordre depuis le début de la crise qui a vu affluer des centaines de milliers de migrants en Europe.

La Commission européenne a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi qu'elle avait conclu un "plan d'action commun" avec la Turquie pour endiguer les flux migratoires, à l'issue d'un sommet des chefs d'Etats à Bruxelles. Ce plan d'action consiste à augmenter le soutien - notamment financier - à ce pays confronté en première ligne à l'afflux de réfugiés syriens en échange d'une meilleure coopération pour gérer cet afflux, a indiqué le Premier ministre belge Charles Michel à l'issue de la réunion.

Mettre en place une « réelle coopération » entre les pays pour lutter contre les réseaux criminels au coeur de l’immigration clandestine: c’est l’enjeu d’un Forum opérationnel d’Interpol/Europol organisé jeudi et vendredi à Lyon.

La crise migratoire en Europe "semble jouer le jeu" des principaux partis de droite en Suisse, selon un sondage de l'institut GFS.Bern à quelques jours du scrutin législatif du 18 octobre.

Les travaux de la 2e réunion des Hauts fonctionnaires préparatoire au Sommet de la Valette sur la migration se sont ouverts, mercredi à Rabat, avec la participation de représentants de plusieurs pays africains et européens et d'organisations régionales et internationales.

"La France faisait naguère envie, elle fait maintenant pitié": celui qui assène ce verdict sans appel contre un pays menacé par le "multiculturalisme" au risque de se "désintégrer" est le philosophe Alain Finkielkraut, l'un des intellectuels les plus courus de l'hexagone.

La question migratoire et la lutte contre la radicalisation sont les thèmes majeurs de l'agenda de la 29ème session du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe, qui se tiendra la semaine prochaine à Strasbourg.

La question complexe et souvent controversée de la gestion migratoire va dominer les débats de la conférence de l'Union interparlementaire (UIP) qui se tiendra du 17 au 21 octobre à Genève.

Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne se retrouvent, ce jeudi après-midi à Bruxelles, pour un sommet destiné essentiellement à faire le point sur la crise des réfugiés et sur la mise en œuvre des actions prioritaires découlant de l'agenda européen en matière de migration.

 L'UE est prête à faire des "concessions" à la Turquie mais en échange d'engagements sérieux de sa part pour tarir le flux de migrants vers l'Europe, ont prévenu les dirigeants européens réunis jeudi à Bruxelles.
Ce nouveau sommet sur la crise migratoire vise à coordonner les efforts diplomatiques au-delà des frontières européennes, alors que les vagues de migrants continuent d'arriver à l'approche de l'hiver.

L'Europe doit aider Ankara "à prendre soin des réfugiés" et à mieux surveiller ses frontières, a insisté la chancelière allemande Angela Merkel, martelant qu'il n'était pas acceptable que l'espace maritime entre la Turquie et la Grèce soit "aux mains des passeurs".

La traversée de la mer Egée, route principale des réfugiés syriens pour gagner l'Europe, a une nouvelle fois été endeuillée jeudi, avec la mort de sept personnes après la collision entre une embarcation en bois et un patrouilleur grec au large de l'île de Lesbos.

La Turquie, limitrophe de la Syrie et qui accueille déjà plus deux millions de réfugiés, est "devenue la porte d'entrée pour des centaines de milliers de réfugiés vers l'Europe", a rappelé la Commission européenne.
Deux commissaires ont eu des entretiens jeudi à Ankara avec les autorités turques sur un "plan d'action". Selon des sources européennes, l'exécutif de l'UE serait désormais prêt à mettre sur la table jusqu'à trois milliards d'euros d'aides. Mais tout dépendra, in fine, de ce que les Etats membres accepteront de débourser.

 'Concessions'

Le président du Conseil européen Donald Tusk, maître d'oeuvre du sommet de Bruxelles, a évoqué de nécessaires "concessions" à faire pour convaincre Ankara.

Il a redit sa crainte que l'UE ait à faire face au printemps prochain à un nouvel afflux de réfugiés, "peut-être plus gros que la vague actuelle", alors que plus de 700.000 migrants ont franchi les frontières extérieures de l'UE depuis le début de l'année, selon l'agence Frontex.

Mais M. Tusk a réclamé jeudi "des garanties que la réponse de la Turquie à notre offre sera aussi substantielle et concrète que la nôtre".

L'UE a notamment mis dans la balance une éventuelle facilitation de l'attribution des visas aux ressortissants turcs, même si le sujet provoque "des sueurs froides dans certains Etats membres", selon un diplomate.

Il ne faut pas de "libéralisation dans n'importe quelles conditions avec des visas qui pourraient être accordés à des individus dont on ne connaîtrait pas exactement l'identité", a mis en garde le président français François Hollande.

La Commission européenne a estimé de son côté que l'UE devait être prête à ouvrir "d'autres chapitres dans le processus d'adhésion" de la Turquie, alors que Berlin et d'autres capitales y sont opposées.
Les Européens ont également voulu faire preuve de bonne volonté en acceptant de discuter de la "zone de sécurité" que le président turc Recep Tayyip Erdogan appelle de ses voeux le long de sa frontière avec la Syrie.

Mais "la présence et l'activité russes en Syrie montrent à quel point cette zone de sécurité sera difficile", a prévenu M. Tusk, rappelant que "la Russie est très clairement contre cette idée".

'More for more'

Les chefs d'Etat devaient d'ailleurs exprimer jeudi leurs inquiétudes face aux attaques russes en Syrie. Même s'ils sont divisés sur le rôle que peut jouer le président syrien Bachar al-Assad dans une transition politique, ils devaient réaffirmer leur consensus sur le fait qu'il ne "peut y avoir de paix durable en Syrie" sous le régime actuel.

La mise en place à long terme d'un "corps européen" de gardes-frontières pour mieux contrôler les frontières extérieures devait également être évoquée.

Le nombre d'arrivées de migrants à ces frontières reste très élevé, et les capacités d'accueil des pays voisins de l'UE sont souvent saturées.

La Hongrie doit d'ailleurs recevoir le renfort d'environ 150 policiers de Pologne, de la République tchèque et de Slovaquie pour l'aider à surveiller sa frontière avec la Serbie, ont annoncé les quatre pays.
Il est également attendu que le sommet de Bruxelles rappelle la coopération que l'UE veut instaurer avec les pays de la "Route des Balkans", empruntée par les réfugiés, et plus loin, avec l'Afrique.

Dans leurs négociations avec les pays africains, les dirigeants européens entendent entériner le principe du "more for more" (plus pour plus): s'ils veulent plus d'aide, ces pays doivent faciliter le retour sur leur sol des migrants économiques renvoyés par l'UE.

Le sujet sera au coeur du sommet de La Valette, qui réunira l'UE et des pays africains à Malte les 11 et 12 novembre.

Pour financer des aides en direction des pays dont elle veut faire des partenaires, en Afrique comme dans les pays voisins de la Syrie, la Commission européenne a mis en place des fonds devant réunir plusieurs milliards d'euros, que les Etats membres tardent à abonder malgré leur promesses.

15 oct. 2015,Cédric SIMON

Source : AFP

La Hongrie a annoncé jeudi que les travaux de construction par Budapest d'une clôture anti-migrants à la frontière croato-hongroise sont "achevés" et la fermeture effective de la frontière aux migrants ne dépend plus que d'une décision politique.

Entre les déclarations rassurantes du gouvernement et les projections pessimistes de certaines ONG concernant le dernier compromis entre le Maroc et les Pays-Bas sur la sécurité sociale, les Marocains des Pays-Bas s'interrogent sur la portée de ce nouvel accord et ses répercussions sur leurs droits, acquis au fil de dizaines d'années de sacrifice et de labeur.

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